Pourquoi existe-t-il des gens infortunés qui sont de bonne humeur, et d'autres fortunés qui font la gueule ? Et surtout, comment sourire à la vie quelle que soit notre situation ? C'est ce qu'on va voir dans cet épisode !
0:00 • Introduction / Précédemment
1:35 • Début de l'épisode - Fortune et perception
2:53 • Prendre conscience de notre fortune
4:48 • Le piège de l'attente infinie
6:24 • Le cycle maudit du vendredi soir
7:37 • Intérioriser les bons moments
8:51 • Savoir pour quoi se battre
9:43 • Les fondements de la fortune
11:35 • Écran de fin / citations
Thème principal par Jean-Michou : https://soundcloud.com/jean-michou
Texte original : https://amzn.to/3wnTUxP
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#theoriedubonheur #fortune #chance #sourire #perception #pointdevue #developpementpersonnel #choix #savourer #philosophie #plaisir #logique #blasé #passion #ennui #bonheur
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4:48 • Le piège de l'attente infinie
6:24 • Le cycle maudit du vendredi soir
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00:00 Vous l'avez sûrement remarqué, il existe autour de nous des gens peu fortunés qui ont tout le temps le sourire
00:04 et d'autres très fortunés qui font tout le temps la gueule.
00:06 Ce qui tend à montrer que être fortuné ne veut pas forcément dire être heureux.
00:11 Est-ce que pour autant la fortune n'y est pour rien dans le bonheur ?
00:14 Non bien sûr, essayer d'être heureux avec une blessure ou une maladie grave, vous verrez c'est plus difficile.
00:19 J'ai mal. J'ai beau être matinal, j'ai mal.
00:22 Mais si on veut convertir notre fortune en bonheur, il faut apprendre à en profiter.
00:27 Et pour ça je vais pas vous donner une méthode bien précise qui marche à tous les coups,
00:30 parce qu'à vrai dire je sais pas si elle en existe.
00:32 Par contre on va voir ensemble, disons, des trucs et astuces pratiques pour mieux profiter de la vie.
00:37 Précédemment dans Théorie du Bonheur.
00:41 On va plutôt parler de la fortune au sens très large, c'est-à-dire qu'on va ranger là-dedans
00:44 la totalité des circonstances qu'on peut rencontrer dans la vie.
00:48 Ça inclut vos proches, votre travail, votre liberté, votre identité, votre santé
00:51 et même jusqu'au fait que vous soyez en vie, mais aussi des trucs moins conséquents
00:55 comme le temps qu'il fait, le trafic sur votre route, le score de votre joueur de ping-pong préféré, etc.
00:59 Tout ça, ce sont des circonstances de votre existence et donc ça fait partie de votre fortune.
01:04 Le problème avec les plaisirs, c'est qu'on s'y habitue et qu'on les ressent avec de moins en moins d'intensité.
01:09 Pire encore, certaines personnes deviennent insensibles et ne savent plus apprécier des plaisirs simples
01:13 comme juste un moment tranquille en famille ou juste une bonne bouffe entre potes.
01:17 [Générique]
01:30 "L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt."
01:33 Cette expression faisait doucement marrer mes grands-parents
01:35 parce qu'un jour où une panne de réveil leur a fait louper leur avion,
01:38 ce même avion, parti sans eux, est allé se planter dans l'océan indien sans qu'aucun passager n'en réchappe.
01:42 On a fourré la catastrophe.
01:44 De là, il y a deux manières de voir les choses.
01:47 Si on est très pragmatique, on peut se considérer malchanceux
01:50 parce qu'on avait prévu d'être à telle heure à destination et qu'en fin de compte, on est en retard.
01:54 Tout comme, bien sûr, on peut se considérer très chanceux de ne pas avoir fini en complément alimentaire pour les requins.
01:58 En fait, quelle que soit notre fortune, on peut toujours en être mécontent parce qu'on trouve qu'elle pourrait être meilleure
02:03 comme on peut toujours en être content parce qu'on trouve qu'elle pourrait être pire.
02:06 Quoi qu'il en soit, on ne peut jamais la juger objectivement bonne ou mauvaise.
02:10 "Je crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation."
02:13 Parce que ça dépend uniquement de comment on la perçoit.
02:16 Et c'est ce qui explique qu'on peut être malheureux même dans des circonstances que d'autres jugeraient favorables
02:21 comme on peut être heureux dans des circonstances que d'autres jugeraient défavorables.
02:25 Finalement, c'est pas tellement notre fortune elle-même qui nous rend heureux ou non,
02:28 mais bien la manière dont on la perçoit.
02:30 Et donc nous, ce qu'on va regarder maintenant, c'est différentes manières de percevoir notre fortune
02:35 de telle sorte qu'on en soit le plus content possible.
02:41 Peut-être vous êtes-vous déjà tapé un rhume carabiné tel qu'il vous est presque impossible de respirer par le nez.
02:46 C'est très très chiant quand ça arrive, pas vrai ?
02:48 Mais il se peut aussi qu'à cet instant, alors que vous visionnez cette vidéo,
02:52 eh ben vous avez pas de rhume.
02:53 Ce qui veut dire que vous pouvez faire ceci.
02:55 [inspire]
02:59 [souffle]
03:02 Et ce petit plaisir qu'on ressent quand on inspire profondément par le nez avant d'expirer,
03:07 ça a l'air de rien comme ça.
03:08 Mais bordel, qu'est-ce que ça nous manque quand on est enrhumé ?
03:11 Pourtant, on pense rarement à se dire "tiens, aujourd'hui c'est cool, je suis pas enrhumé,
03:15 je peux prendre de grandes inspirations par le nez, ça fait plaisir."
03:17 Bon, j'ai conscience que c'est pas très sympa pour vous si là maintenant vous avez un rhume.
03:21 Du coup, on va prendre un autre exemple.
03:22 Quand j'étais plus jeune, je me tapais souvent des aftes à répétition.
03:25 Mais genre des gros, quoi.
03:26 Et puis parfois des petits...
03:28 Et ben même principe, quand on a pas d'afte, on pense rarement à se dire
03:31 "tiens, aujourd'hui c'est cool, j'ai pas d'afte, je peux manger des spéculoos sans avoir envie de mourir."
03:35 Bon, si là maintenant vous avez un rhume et un afte, vous êtes gentils mais je peux rien pour vous.
03:38 Vous pourriez faire un effort aussi.
03:40 Quand on cherche de quelle manière percevoir notre fortune pour qu'elle nous rende heureux,
03:44 la première étape c'est déjà de percevoir notre fortune, d'en prendre conscience.
03:48 Or, c'est pas aussi évident que ça en a l'air, parce que comme on vient de le voir,
03:51 nos expériences négatives nous marquent beaucoup plus que nos expériences positives.
03:55 Ça, c'est un produit dérivé d'un de nos biais cognitifs dont j'avais déjà parlé à l'épisode 5,
03:59 l'aversion à la perte, et ça nous oblige pour prendre conscience de notre fortune
04:03 à faire un effort conscient pour la remarquer.
04:06 Et là, c'est chacun son petit truc.
04:08 Moi par exemple, j'avais un rituel chaque soir en rentrant de mon premier boulot,
04:11 je montais dans ma bagnole et avant de mettre le contact,
04:13 je repensais à tout ce que j'avais bien aimé dans ma journée,
04:15 et je prenais un petit temps pour en sourire.
04:17 C'est tout, ça casse pas trois pattes à un connard, mais ça fonctionne,
04:19 vous pouvez essayer chez vous si vous voulez.
04:21 Faut juste trouver un moment où on peut prendre son temps et où on n'est pas dérangé.
04:24 "Et là, vous faites le point.
04:26 J'ai eu de magnifiques épiphanies assis là-dessus.
04:29 C'est vrai, on peut pas faire de véritables introspections en bas dans ces toilettes pleines de microbes."
04:34 C'est l'histoire d'un jeune prince à qui on offre tous les jours un nouveau trésor.
04:41 "Prince Ali, sa seigneurie, Ali Ababoua."
04:45 Et ce jeune prince adore qu'on lui offre des trésors.
04:48 En fait, il aime tellement ça qu'aussitôt qu'on lui en offre un,
04:51 il le range avec les autres avant de se dandiner d'impatience jusqu'à ce qu'on lui offre le suivant.
04:55 Et à force, il commence même à trouver le temps long et pénible entre chaque trésor qu'on lui offre.
04:59 Parce qu'il est à chaque fois si obnubilé par la perspective du prochain
05:02 qu'il en oublie l'existence de la montagne de trésors qui lui ont déjà été offerts.
05:06 Eh ben nous, bien souvent, on n'est pas différent de ce jeune prince.
05:09 On peut être si impatient à la perspective d'un truc
05:11 que tout ce dont on profite déjà en attendant nous paraît mort-naissant saveur.
05:15 Pourtant, c'est pas parce que demain on va manger dans un restaurant 5 étoiles
05:18 que tout ce qu'on mange d'ici là est moins bon ou moins digne d'être savouré.
05:22 "Le laque pour fraîcher son eau, c'est délicieux !
05:27 Ce que nous voulons, c'est du poisson fort bien goûteux !"
05:32 Et le problème, c'est que si à chaque fois qu'on obtient un truc,
05:35 au lieu de profiter de notre fortune totale,
05:37 on se met tout de suite à penser à un autre machin qui nous manque,
05:39 bah vu qu'il n'y a pas de fortune parfaite et qu'on peut toujours désirer de nouvelles choses,
05:43 on risque de passer notre vie entière à ne jamais profiter de ce qu'on a.
05:47 Et à la place de toujours désirer ce qu'on n'a pas,
05:49 ce qui nous condamne à rester coincés indéfiniment dans un cycle de frustration ininterrompu.
05:53 Non seulement ça, mais y'a un deuxième effet qui se coule !
05:56 C'est que, comme je l'ai dit tout à l'heure, on est plus sensibles à la perte qu'au gain.
05:59 Donc quand on va perdre un truc qu'on a obtenu, on va le sentir doublement passer,
06:03 d'une part parce qu'on aura perdu ce truc,
06:05 et d'autre part parce qu'on regrettera de ne pas en avoir profité.
06:09 Un peu dans le même registre, pas mal de gens vivent chaque jour de la semaine
06:15 comme une longue et pénible attente du vendredi soir.
06:18 C'est-à-dire qu'ils ne sont contents QUE le vendredi soir,
06:21 et le samedi parce que ça y est c'est le week-end,
06:23 et le reste du temps ils font la gueule,
06:25 dès le dimanche même parce qu'ils dépriment déjà à l'idée de la semaine qui va reprendre.
06:28 Donc au total, ils sont misérables environ 70% de leur existence.
06:32 Et à la rigueur, ça pourrait se comprendre s'ils avaient des conditions de travail
06:35 particulièrement horribles et infamantes.
06:37 Mais pour certains c'est même pas le cas !
06:39 Ils ont des bonnes conditions de travail, des collègues sympas, des soirées agréables,
06:42 mais comme ça leur est moins agréable que le week-end,
06:45 alors par effet de contraste, ils envisagent leur semaine comme une souffrance
06:48 "Eh, je suis pas venu ici pour souffrir, ok ?"
06:50 au lieu de l'envisager tout simplement comme un moment certes moins agréable,
06:54 mais agréable quand même.
06:56 Quand on dit qu'il vaut mieux vivre dans le moment présent,
06:59 c'est précisément de ça qu'on parle.
07:01 Bien sûr qu'on peut toujours avoir hâte de la prochaine bière entre potes,
07:04 de la prochaine partie de jambes en l'air, de la prochaine prime de salaire,
07:07 mais plutôt que de penser qu'à ça au point d'oublier tout ce que le présent
07:10 a déjà d'agréable à offrir,
07:12 il vaut mieux s'en réjouir d'avance,
07:14 c'est-à-dire être content de se dire qu'on va bientôt en profiter,
07:17 et ajouter la satisfaction que cette pensée nous apporte
07:20 au plaisir dont on peut déjà profiter maintenant.
07:23 Un soir où j'étais gamin, dans notre maison de vacances familiale,
07:29 ma maman nous a appelé avec mes frangins à arrêter ce qu'on était en train de faire
07:32 pour aller la rejoindre sur la terrasse.
07:34 Depuis cette terrasse, on avait une très belle vue sur la mer,
07:36 et ce soir-là, il y avait un beau coucher de soleil
07:38 avec des couleurs un peu singulières qui teintaient les nuages.
07:40 On le regarde ensemble un moment, puis ma mère nous dit
07:43 "Vous avez remarqué comme ce coucher de soleil est beau.
07:45 Alors ce qu'on va faire, c'est qu'on va le prendre en photo,
07:47 mais pas avec un appareil.
07:49 On va le prendre en photo avec nos yeux,
07:51 et on va le garder en mémoire.
07:53 Ainsi plus tard, chaque fois que vous en aurez envie,
07:55 vous pourrez vous souvenir de ce beau coucher de soleil
07:57 et de la chance que vous avez eu d'y assister,
07:59 et ça vous fera plaisir.
08:01 Et vous savez quoi ? Je sais pas trop dire quel âge j'avais,
08:03 mais c'est un de mes plus vieux souvenirs,
08:05 et j'y tiens beaucoup.
08:07 Et je l'aurais jamais eu si ma mère ne nous avait pas dit ça.
08:09 Encore aujourd'hui, je continue à faire ce que j'appelle
08:11 les points de sauvegarde, c'est-à-dire que dans les moments
08:13 où je me sens bien, je prends le temps de savourer,
08:15 d'intérioriser le souvenir, de sorte que plus tard,
08:17 j'ai la possibilité d'y repenser
08:19 et d'en tirer du plaisir.
08:21 Le truc, c'est que si personne ne nous apprend à faire ça,
08:27 on pense pas à le faire, donc bah aujourd'hui,
08:29 c'est moi qui vous l'apprends.
08:39 Dans la vie, il y a des trucs importants
08:41 et des trucs pas importants.
08:43 Et il faut bien faire la différence. Pourquoi ?
08:45 Parce que si on pense qu'un truc important ne l'est pas,
08:47 alors on ne se bat pas assez pour l'obtenir
08:49 ou le protéger. Notre santé,
08:51 par exemple, c'est bien un truc auquel on fait pas gaffe,
08:53 surtout quand on est jeune et dont on réalise trop tard
08:55 le prix à payer. Petite pensée, par exemple,
08:57 à ceux qui ont fumé un paquet de clopes par jour
08:59 tous les jours depuis leurs 15 ans, et qui se retrouvent
09:01 à 30 avec un teint de chiottes, les dents jaunes,
09:03 le souffle court, et ça, c'est que le début de leurs emmerdes.
09:05 Tandis qu'à l'inverse, si on pense
09:07 qu'un truc pas important l'est, alors on risque
09:09 de déployer une énergie disproportionnée
09:11 pour l'obtenir, peut-être même on risque
09:13 de sacrifier d'autres trucs qui, eux, pour le coup,
09:15 sont vraiment importants.
09:17 Et là, je vous renvoie à l'exemple de mon ami dont j'avais parlé
09:19 à l'épisode précédent, qui avait sacrifié
09:21 à son travail son couple et sa vie sociale,
09:23 tout ça pour une augmentation dont il a réalisé
09:25 plus tard qu'elle ne changeait pas grand-chose à son quotidien.
09:27 Un ami à moi a investi un peu
09:33 de pognon en bourse. Et du moment où il l'a fait,
09:35 ça l'a complètement obsédé, au point que
09:37 quand ses actions prenaient de la valeur, il était content,
09:39 et quand elles en perdaient, il faisait la tronche.
09:41 "Pourquoi tu dis rien ? Tu fais la tronche, ou quoi ?"
09:43 Ce qui fait qu'en fin de compte, c'était assez prodigieux,
09:45 son humeur dépendait directement du
09:47 cours de la bourse, et donc il était mécontent
09:49 à peu près un jour sur deux. C'était d'autant plus
09:51 absurde que ça ne changeait strictement rien à son quotidien,
09:53 et que de toute façon, tant qu'il avait pas vendu
09:55 ses actions, il avait ni perdu, ni gagné,
09:57 quoi que ce soit. Pour expliquer ce
09:59 qui n'allait pas avec cet ami, on va faire appel
10:01 à une vieille connaissance.
10:03 [Générique]
10:05 Imaginez deux individus, chacun doté
10:07 d'une fortune parfaitement identique.
10:09 A ceci près qu'ils ne la visualisent pas
10:11 de la même manière.
10:13 Le premier la juge fondée
10:15 sur des choses vraiment importantes, comme sa santé,
10:17 ses amis, son couple, tandis que
10:19 le second, lui, la juge fondée sur des choses
10:21 qui lui paraissent importantes, mais qui ne le sont
10:23 pas vraiment, comme la valeur de ses placements
10:25 boursiers, ou encore le score de son équipe
10:27 de foot préférée. Et quand le vent
10:29 du hasard vient éprouver la fortune
10:31 de chacun, il se produit ceci.
10:33 Voilà ! Quand notre fortune est fondée
10:45 sur des choses vraiment importantes, on ne se laisse pas
10:47 bouleverser à la moindre perturbation,
10:49 parce qu'on sait que l'essentiel est toujours là,
10:51 et qu'en fin de compte, ça ne nous change pas grand-chose.
10:53 Dans le cas contraire, en revanche,
10:55 tout se casse la gueule à la moindre mouche qui pète.
10:57 - Hé hé ! La mouche qui pète !
10:59 - Ah ah ah ah ah ah !
11:01 Bon, d'accord, mais dernière question,
11:03 comment réagir cette fois quand
11:05 quelque chose d'important nous est enlevé ?
11:07 Est-ce qu'il existe dans ce cas des moyens
11:09 de moins mal le vivre ?
11:11 Alors oui, mais c'est plus compliqué,
11:13 et il va me falloir un peu de temps pour développer.
11:15 Du coup, je pense que vous l'avez déjà compris,
11:17 on verra ça au prochain épisode !
11:19 Merci à tous d'avoir suivi cet épisode
11:21 43, j'espère qu'il vous a plu !
11:23 Ça y est, c'est les vacances !
11:25 J'en profite pour vous annoncer que je vais prendre
11:27 deux petites semaines de repos, chose qui ne m'est pas
11:29 arrivé depuis très longtemps. Je vais donc
11:31 vous demander un poil plus de patience que d'habitude
11:33 en attendant la sortie du prochain épisode,
11:35 encore que ça dépendra de si je sors pas un épisode bonus
11:37 un peu plus court que d'habitude, je vous avoue que
11:39 j'y ai pas encore réfléchi, on verra. N'hésitez pas
11:41 à liker, vous abonner, à activer la cloche, commenter
11:43 ou partager cet épisode. Si vous souhaitez
11:45 contribuer à financer mon travail sur cette chaîne,
11:47 vous en avez toujours la possibilité soit sur ma page
11:49 Tipeee, soit grâce au bouton "Merci".
11:51 Comme toujours, je dis un immense merci à mes généreux
11:53 contributeurs, dont les noms s'affichent maintenant à l'écran.
11:55 Voilà, c'est tout pour moi,
11:57 bonnes vacances à tous, je vous dis à la
11:59 prochaine et comme d'habitude,
12:01 prenez soin de vous !
12:03 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org