Le témoignage de Marie-Charlotte victime d'effets secondaires suite à la vaccination

  • il y a 7 mois
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Transcript
00:00 Vous avez 34 ans, vous êtes maman de deux enfants,
00:02 vous étiez jusque-là préparatrice en pharmacie.
00:05 Et vous allez nous raconter votre histoire, qui est folle.
00:10 Arrive le moment de la vaccination,
00:12 et là, compte tenu de votre métier, vous avez été obligé de vous faire vacciner.
00:15 Il y avait donc obligation vaccinale pour le personnel soignant, forcément,
00:20 donc obligé, si vous vouliez continuer, à travailler.
00:23 Merci d'être là ce soir, parce que je sais que vous êtes très ému,
00:27 et je sais que votre témoignage est très très attendu.
00:29 Bonsoir, merci beaucoup de me recevoir et de me donner la parole ce soir.
00:33 On est les seuls à vous recevoir.
00:34 Oui, les seuls.
00:35 Vous avez contacté d'autres médias ?
00:37 J'ai contacté d'autres médias, oui.
00:40 C'est ça, BFM ?
00:41 J'ai envoyé plein de lettres, même dans des journaux, des petits journaux de communes.
00:47 J'ai essayé par tous les moyens de faire entendre nos voix en tant que victime.
00:53 La prochaine fois, vous passerez par Valérie Benayim, elle a des amis dans le journalisme.
00:56 Elle vous fera un visite.
00:57 Vous étiez contre le vaccin à la base ?
01:00 Moi, je ne voulais pas me faire vacciner au départ.
01:02 D'accord. Pourquoi, en fait, au départ ?
01:04 Pourquoi ? Parce que je travaillais en pharmacie,
01:06 et que je sais que pour élaborer un médicament, il faut de nombreuses années.
01:10 Pour élaborer un vaccin, il faut de nombreuses années, il faut des phases de test.
01:14 Et que les vaccins qu'on nous a proposés ne sont pas des vaccins,
01:18 puisque les phases de test n'ont pas été réalisées jusqu'au bout.
01:21 Il y a eu beaucoup de choses qu'on nous a cachées.
01:26 Ce que vous dites, bien sûr, on ne regarde que vous.
01:29 Oui, bien sûr.
01:30 Ça n'engage que vous, sur vos propos.
01:32 On nous a cachées des choses.
01:33 Pour vous, on vous a cachées des choses ?
01:34 On nous a cachées le fait que ce n'était pas un vaccin qui était sûr et efficace,
01:39 qui avait une innocuité et une sécurité,
01:41 puisque aujourd'hui, on est des centaines de milliers de personnes touchées par les infections.
01:45 Alors, justement, avant de continuer votre témoignage, j'aimerais me tourner vers Valérie Benayim.
01:49 C'est pareil. Géraldine Maillet. C'est pareil, c'est la même équipe.
01:52 Géraldine Maillet, quand vous entendez ça, qu'est-ce que vous dites ?
01:55 J'écoute Madame.
01:56 Est-ce que vous trouvez qu'on nous a menti ?
01:58 Je fais confiance en la parole de Madame.
02:03 Non, mais là, sur ce qu'elle dit sur le vaccin, est-ce que vous répondez ?
02:06 Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? J'en sais rien.
02:08 Moi, je suis juste observatrice de la situation, comme vous.
02:11 J'ai l'impression qu'on nous a tout dit, qu'on ne nous cache rien, qu'on ne nous a pas menti,
02:21 qu'on ne nous a pas manipulé, qu'on ne nous a pas empoisonné,
02:24 qu'il n'y a pas un grand système mondialisé pour goinfrer Big Pharma,
02:28 qu'évidemment, comme dans toute vaccination, il peut y avoir des effets secondaires,
02:33 et que plus on vaccine, plus il y a des effets secondaires, plus ou moins graves.
02:37 Voilà, à partir de là, est-ce que je peux dire de plus que ça ?
02:42 On ne va pas faire un débat, c'était juste pour avoir l'avis de Géraldine.
02:44 Pour avoir l'avis de Marie-Charlotte.
02:46 Donc, pour vous, vous n'êtes pas d'accord avec Géraldine.
02:49 Pour vous, on nous a menti sur le vaccin, et c'est pour ça que vous ne vouliez pas vous faire vacciner à la base.
02:53 Vous avez donc été obligée de le faire, pour forcément travailler.
02:57 Oui, pour nourrir mes deux enfants en bas âge.
03:00 J'ai fait une profession, ce n'est pas pour changer de profession en cours de route,
03:04 parce qu'on me refuse le travail pour une obligation.
03:07 Et il y a un autre facteur aussi, c'est que mon petit garçon est atteint de pathologie grave,
03:11 et qu'il devait se rendre à l'hôpital tous les 15 jours pour recevoir des injections.
03:15 Donc, j'étais, dans tous les cas, obligée de recevoir cette injection.
03:19 Alors, première injection, vous faites injecter une première dose. C'était quel vaccin ?
03:23 Pfizer, pour les trois doses.
03:25 D'accord. Vous avez eu des effets secondaires au départ, ou pas ?
03:27 Première dose, aucun effet secondaire.
03:30 Donc là, vous êtes un peu soulagée ?
03:32 Du coup, j'étais soulagée. Je me suis dit, bon, tant mieux.
03:36 Alors, quelques temps après, forcément, c'était le protocole, vous faites injecter une seconde dose.
03:42 Tout à fait.
03:43 Alors, là, qu'est-ce qui se passe ?
03:45 Donc, deuxième dose, j'ai commencé à recevoir, à ressentir des effets indésirables qui se sont...
03:52 Au bout de combien de temps ?
03:53 On va dire que ça s'est apparu quelques jours après la vaccination,
03:58 mais je n'ai pas mis ça sur le dos de la vaccination au départ, puisque c'était des symptômes assez étranges.
04:05 D'accord. C'était quoi, les effets indésirables ?
04:07 J'ai eu des soucis au niveau des cervicales, des douleurs dorsales et cervicales.
04:13 J'ai eu un collier, une minerve pendant un mois.
04:16 J'avais des troubles gastro-intestinaux assez importants.
04:19 J'avais des nausées, je n'arrivais plus à m'alimenter.
04:22 Vous avez perdu 22 kg ?
04:23 Oui, j'ai perdu 22 kg en 8 mois.
04:25 22 kg. Il vous dit quoi, votre médecin, à ce moment-là ?
04:28 Mon médecin, à ce moment-là, c'était tout le début de la vaccination.
04:31 Donc, il me dit "écoute Marie-Charlotte, je n'ai aucun effet indésirable remonté jusqu'à moi pour l'instant.
04:38 Je ne pense pas que ce soit le vaccin. Tu sais, tu fais peut-être un burn-out.
04:43 Tu as une vie assez mouvementée, parce qu'à la base, j'étais très sportive.
04:47 Donc, je faisais mon travail, mon sport, mes enfants, enfin voilà, beaucoup de choses.
04:51 Et j'étais tout le temps à fond. J'étais une femme vraiment très dynamique.
04:55 Donc, il m'a dit "écoute, peut-être que tu es fatiguée, peut-être qu'il y a du surmenage. Donc, on va voir".
05:01 Donc, vous vous dites "bon, quand même, perdre 22 kg, burn-out, surmenage, ça fait quand même beaucoup".
05:05 Excusez-moi. Bon, après, votre médecin, il a essayé de vous rassurer, on peut le comprendre.
05:09 Oui, il a essayé de me rassurer.
05:10 Il était pour le vaccin, votre médecin ?
05:12 Le médecin de l'époque prenait sa retraite.
05:14 Donc, du coup, lui, tous les vaccins qu'il avait connus, il n'y avait pas eu forcément de soucis.
05:19 Donc, il a dit "il faut y aller".
05:21 Voilà, il ne m'a pas dit "c'est le vaccin".
05:23 Là, vous êtes avec 22 kg en moins et vous faites injecter la troisième dose, c'est ça ?
05:28 Alors, je reçois, oui. Alors, j'ai changé de pharmacie entre-temps.
05:31 J'ai dû déménager, donc j'ai changé de pharmacie, j'ai changé d'employeur.
05:34 Et donc, quand je suis arrivée là-bas, je leur ai expliqué que j'avais eu des effets indésirables.
05:40 Moi, je l'ai mis sur le dos, des effets du vaccin,
05:45 parce que j'ai ressenti que c'était juste après la vaccination, mais je n'en étais pas sûre.
05:51 Et quand la pharmacienne m'a dit "de toute façon, on est obligé de se faire vacciner,
05:56 puisque nous sommes tenus par la loi de le faire, donc tu vas devoir le faire quoi qu'il arrive".
06:01 Et je l'ai fait, j'ai fait la troisième dose.
06:03 Et là, ça a été le début de l'enfer pour moi.
06:06 Ma vie, elle a complètement basculé.
06:08 Alors, on va vous raconter ça à 21h07 en direct sur C8.
06:12 Vous vous écroulez deux heures après l'injection.
06:15 Oui.
06:16 Est-ce que, avant la deuxième dose, est-ce que vous aviez, ou avant la première dose,
06:22 est-ce que vous aviez des problèmes de santé ?
06:24 Aucun.
06:25 Aucun, vous étiez sportive ?
06:26 J'étais très sportive, j'étais de la course à pied, des semi-marathons, de la natation sportive.
06:30 Aucun problème de santé ?
06:31 Je n'avais pas de problème de santé.
06:33 Donc, la troisième dose, vous écroulez deux heures après l'injection.
06:37 Qu'est-ce qui se passe ?
06:38 Juste après l'injection, j'ai commencé à ressentir des douleurs qui montaient,
06:43 donc du bras, aussi de l'injection.
06:45 Direct après ?
06:46 Oui.
06:47 Ça montait, ça montait, c'est monté jusqu'au cervical.
06:49 Ensuite, j'ai été prise d'une violente migraine, une céphalie vraiment assez impressionnante.
06:54 J'ai eu la vue qui s'est troublée.
06:56 J'ai commencé à avoir des nausées, à ressentir comme un état grippal, en fait.
07:02 Et j'avais de la fièvre.
07:04 J'ai mes jambes qui commençaient à flageoler.
07:07 Je ne tenais plus sur mes jambes.
07:08 Et une énorme fatigue.
07:10 Une fatigue, ça m'a pris vraiment très très vite.
07:13 Donc, j'ai eu du mal, énormément de mal à finir ma journée.
07:16 D'ailleurs, mes collègues l'ont vue.
07:17 Elles m'ont dit "Waouh, mais qu'est-ce qui se passe ?
07:20 C'est l'injection qui te fait ça ?"
07:22 Voilà.
07:23 Alors, on vous dit que vous avez une galactorrhée.
07:28 C'est un écoulement surabondant de lait pendant la période de lactation.
07:31 Une mélanose, c'est une apparition de pigments noirs sur des parties du corps.
07:34 Ça s'est apparu le lendemain matin quand je me suis réveillée.
07:38 Alors, les médecins pensent au départ que c'est un cancer généralisé.
07:41 Oui.
07:42 Alors, au début, en fait, je me réveille le matin et je vois du lait qui sort de ma poitrine
07:46 alors que je n'ai pas laité depuis trois ans et demi.
07:48 Donc, je commence à paniquer.
07:50 Et puis, je prends ma douche et là, je vois des tâches noires qui ne devraient pas être là.
07:56 Donc, je panique et j'appelle ma gynécologue.
07:59 Et je lui explique que je suis très fatiguée, que je ne suis pas bien du tout.
08:03 J'ai des douleurs osseuses. J'ai l'impression d'avoir été percutée par un camion.
08:07 Et sur le coup, je ne lui dis pas que c'est la vaccination parce que je voulais avoir l'avis de spécialiste.
08:15 Et donc, elle me reçoit en urgence.
08:17 Elle me prend dans son cabinet et là, elle panique complètement.
08:21 Je la vois courir partout dans le cabinet.
08:23 Elle me dit "Mon Dieu, je pense qu'il y a un cancer ou alors il y a une tumeur quelque part au cerveau.
08:28 Il faut absolument qu'on aille vérifier ça tout de suite".
08:31 Vu l'abondance des symptômes, elle a pensé que c'était une métastase d'un cancer.
08:36 Donc, tout de suite, j'ai été prise en urgence par une dermatologue pour aller vérifier si les tâches étaient malignes.
08:43 J'ai fait dans la foulée, dans la même journée, des prises de sang, des échographies pour vraiment vérifier au plus rapide.
08:51 Et donc, la gynécologue me dit "Non, c'est bénin. C'est vrai que c'est très inquiétant".
08:58 La dermatologue me dit ça, la gynécologue me dit "Bon, on va suivre, on va faire d'autres analyses".
09:04 Et elle me donne le conseil d'aller voir d'autres généralistes.
09:07 Donc, je change de médecin.
09:09 Justement. Et là, on vous diagnostique à un moment une piélonnéphrite aiguë,
09:13 puis une maladie neurologique sévère et incurable, une encéphalomyélite myalgique.
09:19 C'est ce que vous avez actuellement.
09:21 Quels sont les effets ? C'est quoi les symptômes ?
09:23 Alors, l'encéphalomyélite myalgique, c'est un collégial de médecins internistes qui m'ont diagnostiqué cette pathologie-là.
09:31 Parce que j'étais hospitalisée, j'étais dans un état très dégradé pour mon âge,
09:36 avec tellement de symptômes que tout le monde était perdu.
09:40 Tous les spécialistes étaient perdus, ils ne comprenaient pas.
09:42 J'avais plus d'une quarantaine de symptômes.
09:44 Et donc, ils ne comprenaient pas d'où ça venait, et pourquoi aussi rapidement,
09:47 et pourquoi mon état se dégrade aussi rapidement.
09:49 Et là, on m'annonce que j'ai une encéphalomyélite myalgique.
09:53 C'est une maladie neurologique multisystémique qui atteint le système immunitaire, le cerveau et tous les organes.
09:59 Et c'est une maladie qui est incurable, pour laquelle il n'existe aucun traitement.
10:04 Il y a énormément de malades en France.
10:06 On était 250 000 avant les injections Covid.
10:08 Maintenant, on est en plus de 300 000 à être atteints de cette pathologie.
10:12 Alors, justement, parce que c'est le 12 juin 2022, pour la première fois,
10:16 et si vous nous rejoignez à 21h11, c'est là, le plus important.
10:20 Le plus important, il est là.
10:21 12 juin 2022, pour la première fois, un grand spécialiste fait le lien entre votre maladie et le vaccin.
10:28 Tout à fait.
10:29 Qu'est-ce qui se passe ?
10:30 J'ai été confiée, on m'a confiée, on m'a mis dans les mains d'un très grand spécialiste de cette maladie.
10:38 Parce que, je vais vous répondre très clairement, on m'a dit, en me diagnostiquant cette pathologie,
10:43 qu'on ne la connaissait pas, qu'on ne savait pas comment elle était apparue, etc., comment la traiter.
10:49 Donc, on m'a dit, allez voir un spécialiste qui s'y connaît.
10:52 Et ce spécialiste-là m'a dit, je suis là pour vous écouter.
10:57 Et il m'a répondu très clairement, vous n'êtes pas la première et c'est le vaccin,
11:01 c'est l'injection Covid, contre le Covid, qui vous a mis dans cet état.
11:05 Et il me l'a écrit noir sur blanc.
11:07 Alors, justement, vous avez même une lettre de l'ANSM.
11:10 Oui.
11:11 Qui reconnaît que vos problèmes de santé sont liés au vaccin.
11:13 Oui. J'ai eu un retour de l'ANSM parce que j'ai déclaré auprès de la pharmacovigilance mes effets indésirables.
11:20 Puisque j'avais énormément d'effets.
11:23 Donc, ça a été très... On a pris les choses très au sérieux.
11:27 J'ai été portée plainte, j'ai déposé des dossiers auprès de plein d'organismes.
11:33 Et donc, oui, l'ANSM, sans avoir, et je précise bien,
11:38 parce que j'ai eu le résultat là parce qu'on n'a pas voulu me donner mes résultats.
11:42 J'ai eu le résultat de l'ANSM alors que j'avais porté mon témoignage en juin 2022.
11:50 Je viens d'avoir le résultat il y a trois jours,
11:52 où on me dit que oui, en effet, ma pathologie est reconnue par l'ANSM comme étant résultante.
12:01 Alors, justement, est-ce que vous allez avoir...
12:02 Jeudine, là, je vous pose vraiment la question.
12:04 Vous avez pris un avocat. Est-ce que vous allez avoir des dommages à intérêts ou pas du tout ?
12:07 - Alors, justement, je suis maintenant dans les mains d'un très grand avocat
12:12 que vous connaissez sûrement, d'ailleurs, qui a défendu Éloïse Soivre, maître Lanzarone.
12:18 - Bien sûr, je connais.
12:19 - Que je remercie, qui a décidé de prendre mon cas...
12:22 - Merci à lui.
12:23 - Voilà, merci à lui de prendre mon cas au sérieux
12:26 pour pouvoir, justement, reconnaître ses effets indésirables.
12:29 - Écoutez bien ce que je vais vous dire maintenant, parce que c'est pas le plus grave.
12:33 Le plus grave, il est venir.
12:34 Vous marchez aujourd'hui avec des béquilles.
12:36 - Oui.
12:37 - Votre vie, aujourd'hui, vous êtes...
12:41 Aujourd'hui, complètement... Votre vie, elle a complètement changé.
12:45 Vous pouvez pas travailler.
12:46 - Je suis dépendante de tout le monde, en fait.
12:48 - Et le plus grave, vous nous avez dit que votre espérance de vie était réduite.
12:53 - Oui.
12:54 - C'est-à-dire ?
12:55 - C'est-à-dire que j'ai 2 spécialistes très sérieux
12:59 qui m'ont expliqué que mes organes se lésaient de plus en plus.
13:03 J'ai un foie qui est à la limite de l'hépatome égale.
13:05 Il est très, très gros.
13:06 J'ai des insuffisances dans tous les... À tous mes organes.
13:11 J'ai des dérèglements du système rénine angiotensine.
13:14 J'ai un sévère hypométabolisme au cerveau.
13:16 C'est-à-dire que mon cerveau est complètement endormi.
13:19 Il ne fonctionne pas comme une personne normale.
13:21 - Les spécialistes, ils vous disent quoi ?
13:22 - Bah, ils me disent que le prochain virus que je vais attraper,
13:26 je risque, comme je n'ai plus de système immunitaire,
13:29 je risque de me faire dégrader, donc mon coeur peut s'arrêter.
13:34 Mon foie peut lâcher.
13:36 Je peux avoir un accident cérébral.
13:39 En fait, je peux partir de tellement de choses.
13:41 Là, j'ai le système immunitaire d'une personne qui a atteint d'un VIH,
13:44 mais qui n'a pas de traitement.
13:45 Donc, si j'attrape une grippe, je peux mourir.
13:47 Si j'attrape le Covid, je peux mourir.
13:51 En fait, on ne sait pas de quoi je partirais,
13:54 mais tous mes organes sont tellement fatigués,
13:57 sont tellement lésés.
13:59 Mon cerveau est tellement épuisé.
14:01 J'ai des troubles cognitifs très importants,
14:03 vraiment des pathologies qui sont graves.
14:07 J'ai un SAMA, j'ai une myofascite à macrophages,
14:12 en plus de l'encéphalomie lignologique.
14:14 C'est beaucoup de pathologies qui se rajoutent les unes par-dessus les autres.
14:17 - Tu te rappelles que vous n'aviez rien ?
14:19 - Et je n'avais rien.
14:20 - Est-ce que c'est vrai que votre compte TikTok a été banni ?
14:22 - Oui.
14:23 Alors, je vais vous dire, j'ai fait une vidéo tout à l'heure
14:26 sur un nouveau compte que j'ai créé,
14:28 en disant que je passais ce soir avec vous,
14:30 et elle a fait 10 minutes.
14:31 - C'est incroyable.
14:32 - Pendant des comptes.
14:33 - 10 minutes.
14:34 Et j'ai été immédiatement censurée.
14:36 - 30 secondes sur la liberté d'expression.
14:38 - Oui.
14:39 Mais ce que je veux dire, c'est que des cas aussi dramatiques et bouleversants,
14:42 il y en a, avoués par la NSM, des dizaines de milliers.
14:46 C'est 126 000 reconnus, dont 25 % graves.
14:50 Et on dit en général que porte-plainte à la NSM qu'un cas sur 10.
14:55 - Pendant des comptes.
14:56 - Et ça, c'est des chiffres officiels, c'est pas moi qui invente.
14:58 Et le ministre allemand, on est le seul pays au monde
15:01 qui ne reconnaît pas, le ministre allemand a reconnu les effets secondaires.
15:06 Alors après, on peut discuter en disant qu'il y a eu des effets positifs,
15:08 des effets négatifs.
15:09 Je demande une commission d'enquête, c'est tout parlementaire.
15:12 Et je demande qu'on ait les statistiques de mortalité par statut vaccinal,
15:16 par tranche d'âge.
15:18 Et l'INSEE me les refuse.
15:20 Parce que si on voit, entre ceux qui sont vaccinés,
15:22 ceux qui ne sont pas vaccinés, entre 10 et 15 ans, 15 et 20 ans,
15:26 moi, je demande la vérité, je ne demande pas qu'on dise oui ou non.
15:30 Je demande qu'on ait une commission d'enquête.
15:32 - Tout à fait. - Merci.
15:33 - Par décence pour vous, pour tout le monde.
15:34 - Au moins pour... - Merci, on l'a pas.
15:36 - En hommage aux victimes et aux personnes décédées.
15:38 - Merci.
15:39 - Parce qu'il y a eu beaucoup de personnes qui sont décédées à cause de ce vaccin.
15:42 Et d'ailleurs, Maître Lanzarone a défendu Eva Musso.
15:45 Je connais sa maman, Michèle, qui est extraordinaire,
15:48 qui se bat pour sa fille depuis des années.
15:50 Et Maître Lanzarone a enfin réussi à faire reconnaître
15:55 que c'est Pfizer qui a tué sa fille.
15:57 - Merci. - Ça a été reconnu.
15:59 [Musique]

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