• il y a 8 mois
Eliot Deval et ses invités débattent des grands thèmes de l'actualité dans #HDPros2WE à 20h du vendredi au dimanche

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00:00 Il est 20h30 sur CNews, merci d'être avec nous pour l'heure des pro 2.
00:03 Kevin Bossuet, Elisabeth Lévy, Eric Reuvel, Yoann Usaï et comme chaque vendredi, Jean-Sébastien Ferjou est en retard.
00:09 Simon Guillin pour l'information.
00:11 Cher Simon, bonsoir.
00:12 Bonsoir Elliot et bonsoir à tous.
00:14 Un week-end de Pâques sous le signe de la menace terroriste en France.
00:17 Les forces de l'ordre seront présentes devant chaque église catholique et temple protestant.
00:21 Une demande du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui se veut prévoyant bien sûr en vue du contexte actuel.
00:27 Le groupe État islamique reconnaît l'arrestation de 4 de ses membres en Russie à l'origine de l'attentat de Moscou la semaine dernière.
00:34 Cette attaque du 22 mars avait fait 143 morts.
00:37 Des responsables russes accusent l'Ukraine d'être impliquée dans cet attentat alors que Kiev dément toute implication.
00:43 Et puis au Proche-Orient, des bombardements israéliens ont de nouveau frappé la bande de Gaza aujourd'hui.
00:47 Le Hamas fait état de plusieurs dizaines de morts.
00:50 Selon le programme alimentaire mondial, la population dans la bande de Gaza fait face à une famine imminente.
00:55 Cher Elliot.
00:56 Merci Simon Guillain pour le point sur l'information.
00:59 Bonne nouvelle, j'en sais bien.
01:00 C'était un verre joué.
01:01 Est arrivé sur le plateau.
01:04 Si vous voulez, on commence l'émission avec 2-3 minutes de décalage.
01:07 Comme ça, c'est sûr que vous êtes à l'heure.
01:09 Vous allez bien Jean-Sébastien ?
01:10 Et vous ?
01:11 En pleine forme.
01:12 L'information est tombée aux alentours de 17h ce vendredi.
01:15 Le Conseil d'État a donc confirmé l'expulsion du territoire de l'imam Mahjoubi.
01:19 Sa requête a été rejetée, accusée notamment d'apologie du terrorisme.
01:23 Le Parc Ednim a ouvert une enquête à ce propos.
01:26 Gérald Darmanin a tweeté "Victoire importante contre l'islam radical".
01:29 Le Conseil d'État vient de confirmer en appel l'expulsion de l'imam radical Mahjoubi.
01:35 Ce qui est intéressant, c'est les déclarations de l'imam,
01:37 qui était chez nos confrères aux alentours de 18h de BFM.
01:41 On n'a pas fini.
01:42 Il y a d'autres juridictions.
01:44 On ne baissera pas les bras.
01:45 On va aller jusqu'au bout.
01:47 Vous n'avez pas fini d'entendre parler de Mahjoubi.
01:50 Il parle de lui à la troisième personne.
01:51 Cela va continuer.
01:53 Mon engagement à travers les mosquées, ma place en tant qu'imam prédicateur,
01:57 je mets une croix dessus.
01:58 Je n'occuperai plus les postes d'imam ni de prédicateur.
02:01 J'imagine que s'il revient en France.
02:04 C'est intéressant la première déclaration.
02:07 La première, c'est de dire "on va aller jusqu'au bout".
02:08 Quand il dit "on va aller jusqu'au bout", c'est parce qu'il y a la Cour européenne.
02:11 C'est fini, après la Cour européenne, il y a la Cour européenne.
02:14 C'est déjà ça la Cour européenne.
02:15 Sauf que la Cour européenne, elle n'est pas forcément en accord avec le Conseil d'État.
02:18 Vous avez raison, mais prenons date.
02:20 Si ce type remet les pieds en France après ce genre de déclaration,
02:24 c'est vraiment que nous sommes absolument...
02:27 que c'est bon, il n'y a plus d'État.
02:28 Je vais vous dire pourquoi d'ailleurs ça n'arrivera pas.
02:31 Parce qu'on sait déjà, quand la Cour européenne des droits de l'homme condamne la France,
02:35 elle condamne la France, on peut avoir des amendes éventuellement.
02:38 Mais ce n'est aucune espèce de coup de coté.
02:41 Il n'y a aucune remise en question.
02:43 Il continue sa provocation.
02:45 Il dément.
02:46 Il faut rappeler quand même qu'il a assimilé notre drapeau national à un drapeau satanique.
02:52 Il a tenu des propos...
02:53 Vous voyez tous ces drapeaux qu'on a dans les matchs,
02:55 c'est des drapeaux sataniques qui ne valent rien.
02:57 Ceux qui les ont imposés, c'est simplement pour qu'on se déteste, qu'on ne s'aime pas,
03:00 qu'on mette la haine dans nos cœurs.
03:04 Il n'aime pas la France.
03:05 Il est dans la défiance vis-à-vis de notre pays.
03:07 C'est ça qu'ils font constater.
03:09 Il n'a pas dit que c'était un lapsus.
03:10 Il a dit que c'était le drapeau LGBT, mais c'est pareil.
03:14 On ne veut pas non plus de gens qui trouvent le drapeau LGBT satanique.
03:18 Johan Usahi, puisqu'il est effectivement dans la provocation,
03:21 qu'il continue ses provocations, quand il dit "vous n'avez pas fini d'entendre parler de moi",
03:25 c'est une provocation, je crois maintenant, compte tenu du fait qu'il ne reviendra pas en France,
03:29 même si la Cour européenne des droits de l'homme condamne la France,
03:31 cette décision ne sera pas appliquée.
03:33 On paiera une amende éventuellement.
03:34 C'est ce qui s'était passé avec un Ousbec.
03:36 Absolument.
03:37 Gérald Darmanin sur ce plateau avait dit "il est où l'Ousbec ?"
03:39 Absolument.
03:40 Donc il ne reviendra pas.
03:41 Puisqu'il ne reviendra pas, je pense maintenant qu'il faut arrêter de parler de lui
03:44 et essayer de faire en sorte d'oublier ce monsieur.
03:47 Il y a peu de raisons de se réjouir en ce moment.
03:49 Il ne reviendra pas en France.
03:50 C'est un grand motif de satisfaction.
03:51 Et je vais vous dire, détrompez-vous.
03:53 Pourquoi ? Et là, je m'adresse à Jean-Sébastien Ferjou,
03:55 qui parle souvent du poids des réseaux sociaux.
03:56 Bien sûr.
03:57 L'imam Majoubi.
03:58 Bien sûr.
03:58 Il est très actif, notamment sur TikTok.
04:02 Il a des milliers d'abonnés, voire des dizaines de milliers.
04:05 Et ces dernières semaines, il a été, encore une fois, très, très actif sur les réseaux sociaux.
04:10 Donc, même s'il n'est pas sur notre sol, il y a les réseaux.
04:12 Oui, mais ça, c'est la responsabilité du gouvernement de faire en sorte de légiférer,
04:16 de contraindre précisément ces réseaux sociaux à s'adapter.
04:19 Je crois que dans les médias, il faut arrêter de parler de lui
04:22 et de faire de la publicité à ce monsieur qui n'a plus aucune importance pour nous désormais.
04:25 Il s'occupe des autres sur Twitter, sur une chaîne d'information.
04:28 Et il y a contesté, en fait, ce qui lui était reproché, à l'exception,
04:31 parce que c'est ce qu'il y a dans la décision du Conseil d'État,
04:34 de ses propos sur les femmes, effectivement, tout en disant
04:37 "c'est ce qu'on me reproche", mais en n'ayant pas l'air de se rendre compte
04:40 que ce n'est pas acceptable de ramener la femme à un statut inférieur.
04:46 Et c'est le cœur de la décision du Conseil d'État.
04:48 Mais il est aussi dans une posture victimaire.
04:50 Il est dans une posture victimaire en disant "je suis victime d'une erreur,
04:55 déjà d'une erreur de droit et d'une chasse aux sorcières politiques.
04:57 Il ne faut pas sous-estimer".
04:59 Je suis d'accord, il ne faut pas parler de lui à l'infini,
05:01 mais via les réseaux sociaux, cette posture victimaire, elle entre en résonance.
05:05 Il n'y a pas besoin que lui le dise.
05:07 Quand bien même parviendrait-on à le faire taire ?
05:09 Lui, d'autres de toute façon vont continuer à le dire en disant "c'est une injustice",
05:14 puisqu'il dément.
05:15 Lui, il dit "j'ai toujours respecté les valeurs de la République,
05:17 je respecte les valeurs de la République, on a mal compris mes propos".
05:21 - Éric Revelle ?
05:22 - Mahd Joubi, quand il vous dit "vous allez entendre parler de moi",
05:25 c'est très simple pour moi.
05:26 C'est-à-dire qu'il va, dans le pays où il sera,
05:29 il va continuer à déverser ses provocations via TikTok, via un autre réseau social.
05:37 Ça me semble tout à fait évident et ça c'est imparable quand même.
05:40 - On ne vit pas en tous les cas le psychodrame Ikkyusen.
05:43 - Oui.
05:43 - C'est-à-dire que là, l'expulsion a été extrêmement rapide.
05:48 La justice a répondu en première instance, comme avec le Conseil d'État.
05:53 - Est-ce qu'il y a une inflexion juridique ?
05:55 - Est-ce qu'on peut dire que le Conseil d'État nous a déçu en bien,
05:58 comme on dit en Suisse, si vous voulez ?
06:00 Non mais c'est vrai.
06:01 Mais simplement, pardon, juste, ce qui se passe sur les réseaux avec Mahd Joubi,
06:05 ça se passe avec des centaines, des milliers d'autres.
06:08 - La position victimaire, pardonnez-moi de vous, Elisabeth,
06:11 vous savez que, par exemple, cette jeune élève qui a menti sur l'agression du proviseur,
06:19 qui a, sur les réseaux sociaux notamment, été relayée par, non pas le CCIF, qui n'existe plus,
06:24 mais le CCIE, qui a son siège en Belgique.
06:28 - J'ai vu sa vidéo "Pleure, Nichard" qui est exactement...
06:32 - Ce qui est important, au-delà des propos...
06:34 - C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, j'ai l'impression que ça peut s'agir. Allez-y.
06:36 - Non mais au-delà des propos de l'imam, c'est quand même, me semble-t-il,
06:38 une inflexion juridique, parce que jusqu'à présent,
06:40 le Conseil d'État avait tendance à privilégier la vie familiale.
06:42 - C'est vrai.
06:44 - Et lui a argumenté, d'ailleurs c'est ce qu'il disait sur la fameuse chaîne concurrente
06:46 dont vous parliez, en disant "mais j'ai des enfants de nationalité française,
06:50 je ne vais pas me laisser faire, etc."
06:52 Et jusqu'à présent, bien souvent, la justice administrative
06:54 avait tendance à privilégier cet aspect-là...
06:56 - Quand ils étaient jeunes.
06:58 - Dans l'actualité également.
07:00 - Il a des enfants jeunes, un enfant qui est soigné.
07:02 - Je le dis aux téléspectateurs, on est ensemble jusqu'à 21h10,
07:04 c'est vrai que l'émission est un peu bousculée,
07:06 et on change notre manière de fonctionner.
07:08 Weekend Pascal oblige bien sûr.
07:10 Lunra, ça c'est une actualité intéressante.
07:12 L'agence de l'ONU pour les réfugiés de la Palestine,
07:14 au cœur d'une polémique depuis le 7 octobre,
07:16 puisque certains de ses employés sont suspectés
07:18 d'être impliqués dans l'attaque terroriste en Israël.
07:20 Il y a un rapport qui doit d'ailleurs être rendu le 20 avril prochain,
07:22 sur la neutralité ou non de Lunra.
07:24 Un rapport avec un conseiller indépendant.
07:26 Et bien pour autant, vous avez la France
07:28 qui a décidé d'allouer une enveloppe
07:30 de 30 millions d'euros pour Lunra,
07:32 avant même que le rapport soit rendu.
07:34 C'est quand même intéressant.
07:36 On écoute Christophe Lemoyne,
07:38 le porte-parole du Ministère des Affaires étrangères.
07:40 - En 2024, la France contribuera aux actions de Lunra,
07:42 à hauteur de 1,5 milliard d'euros.
07:44 - C'est un rapport qui est très important.
07:46 - C'est un rapport qui est très important.
07:48 - C'est un rapport qui est très important.
07:50 - Nous allons soutenir les actions de Lunra
07:52 à hauteur de plus de 30 millions d'euros.
07:54 Nous verserons nos contributions
07:56 en nous assurant que les conditions sont remplies
07:58 pour que Lunra remplisse ses missions
08:00 dans un esprit dénué d'appel à la haine et à la violence.
08:02 Nous n'avons jamais cessé de soutenir Lunra.
08:04 En 2023, il y avait eu un doublement de l'aide à Lunra.
08:06 Il y avait eu des apports exceptionnels d'aide à Lunra,
08:08 compte tenu de la situation.
08:10 Nous avons toujours dit que l'action de Lunra
08:12 était une action de l'Etat.
08:14 Et bien, nous avons toujours dit
08:16 que l'action de Lunra était une action de l'Etat.
08:18 Nous avons toujours dit que Lunra joue un rôle crucial
08:20 à Gaza et dans la région,
08:22 et qu'il faut impérativement
08:24 qu'elle puisse continuer son travail sur place.
08:26 - Alors, que fait Lunra?
08:28 Et qu'est-ce qui est reproché à Lunra?
08:30 On voit le sujet d'Aminat Adem.
08:32 Créée en 1949 par l'ONU,
08:34 Lunra a pour objectif d'aider les réfugiés palestiniens
08:36 déplacés après la création d'Israël.
08:38 L'agence est présente à Gaza,
08:40 mais également en Cisjordanie,
08:42 au Liban, en Syrie,
08:44 en Syrie et en Syrie et en Syrie.
08:46 Elle dispense des services
08:48 qui vont de l'éducation à la santé,
08:50 en passant par l'infrastructure des camps.
08:52 Mais après l'attaque du 7 octobre dernier,
08:54 Lunra se retrouve dans la controverse.
08:56 Israël accuse 12 employés de l'agence
08:58 d'être impliqués dans le massacre
09:00 mené par le Hamas.
09:02 Des accusations lourdes de conséquences,
09:04 puisqu'une quinzaine de pays,
09:06 dont la France,
09:08 suspendent leur financement.
09:10 Aujourd'hui, ces mêmes pays ont décidé
09:12 de reprendre leur contribution
09:14 en faveur de l'agence onusienne.
09:16 La France a annoncé participer
09:18 à hauteur de 30 millions d'euros
09:20 cette année, à la condition que Lunra
09:22 remplisse ses missions avec neutralité.
09:24 Le rapport final de l'ONU,
09:26 mené par un comité indépendant
09:28 chargé d'évaluer la neutralité de l'agence,
09:30 doit être rendu le 20 avril.
09:32 - Alors pourquoi ne pas attendre le 20 avril ?
09:34 - Ce qui est très intéressant,
09:36 c'est que les Israéliens
09:38 ont présenté aux gouvernements français
09:40 et aux autres gouvernements
09:42 des éléments suffisamment probants
09:44 du noyautage de Lunra par le Hamas.
09:46 Parce qu'en fait,
09:48 qu'est-ce que c'est Lunra ?
09:50 Ce sont pour l'essentiel
09:52 des Palestiniens,
09:54 avec des gens de l'ONU qui viennent
09:56 de New York ou de tous les pays de l'ONU,
09:58 qui sont dans les postes de direction.
10:00 Mais sinon, en plus de ce qu'on leur reproche,
10:02 il y a quand même l'éducation.
10:04 On a tous vu,
10:06 enfin beaucoup d'entre nous,
10:08 les manuels d'éducation
10:10 qui sont proposés par Lunra.
10:12 C'est vraiment absolument abject.
10:14 Donc Israël présente des éléments...
10:16 - On n'a pas à compter en comptant le nombre de juifs.
10:18 - Oui, Israël, absolument.
10:20 Avec des cartes, bon, enfin bref,
10:22 je vous passe les détails.
10:24 Israël a donné des éléments suffisamment probants.
10:26 Apparemment, le gouvernement français
10:28 n'a pas d'autres éléments, sinon ils n'auraient pas...
10:30 - Il semblerait qu'il y ait 12 employés
10:32 qui soient particulièrement visés.
10:34 Mais moi, ce qui m'intéresse,
10:36 déjà c'est pourquoi,
10:38 il a pu donner 30 millions
10:40 avant même qu'il y ait
10:42 le sort d'audit
10:44 pour savoir s'il y a neutralité
10:46 ou non de Lunra.
10:48 C'est assez surprenant, on pourrait attendre le 20 avril.
10:50 Et puis la deuxième chose,
10:52 au vu de la situation à Gaza,
10:54 si vous avez donné 60 millions d'euros en 2023,
10:56 normalement en 2024, vous donnez le même budget.
10:58 Si tout est blanc à Lunra,
11:00 si tout va bien à Lunra,
11:02 c'est-à-dire que vous donnez même plus.
11:04 - Mais là, il peut y avoir une...
11:06 - Il peut y avoir une urgence, simplement.
11:08 - Non mais là, on ne comprend pas, Elisabeth.
11:10 - Juste un mot, pardon.
11:12 - On sent qu'il y a un malaise avec Lunra.
11:14 - Mais bien sûr, mais vous savez bien que c'est pour des raisons intérieures.
11:16 - Vous donnez beaucoup plus.
11:18 - Vous savez bien que c'est pour des raisons intérieures.
11:20 Simplement, le problème de l'aide en une minute, une seconde,
11:22 il n'est pas aujourd'hui monétaire,
11:24 il est d'arriver à trouver un moyen
11:26 de distribuer l'aide.
11:28 Le problème n'est pas...
11:30 - Non mais moi, je suis pour un impôt éthique.
11:32 Je paye des impôts.
11:34 Si c'est pour financer l'aide humanitaire, d'accord.
11:36 Si c'est pour financer le terrorisme,
11:38 je ne suis pas d'accord.
11:40 Si c'est pour financer la diffusion de l'antisémitisme,
11:42 je ne suis pas d'accord.
11:44 Vous avez raison, Eliott,
11:46 il y a une suspicion très grande
11:48 vis-à-vis de cette organisation.
11:50 Donc moi, je refuse que mes impôts aillent là-dedans.
11:52 - Moi, ce que je dis, c'est simplement
11:54 qu'il faut attendre de connaître le rapport,
11:56 de savoir si neutralité ou pas, il y a,
11:58 de savoir combien de personnes à Lunra
12:00 étaient impliquées dans le rapport.
12:02 - Mais d'autres rapports ont déjà été faits.
12:04 - Mais il n'y a pas de suspicion.
12:06 - Mais à ce moment-là,
12:08 pourquoi on donne 30 millions, messieurs ?
12:10 - Le Wall Street Journal, par exemple,
12:12 avait publié un article qui montrait
12:14 que le parking de Lunra s'est effondré
12:16 parce qu'il y avait un tunnel du Hamas en dessous.
12:18 Lunra n'a rien signalé.
12:20 - J'entends, mais alors pourquoi vous donner,
12:22 Jean-Sébastien, 30 millions d'euros à cette organisation ?
12:24 - Il faut poser la question aux ministres des Affaires étrangères.
12:26 Je pense pour la raison qu'Elisabeth a abordée,
12:28 parce qu'il faut trouver des canaux à l'heure actuelle.
12:30 - On donne de l'argent aussi
12:32 parce que Lunra n'agit pas que dans la bande de Gaza.
12:34 Lunra aide les réfugiés en Syrie, au Liban,
12:36 comme ça a été dit dans le sujet.
12:38 C'est aussi pour cela qu'on participe
12:40 à son financement, me semble-t-il.
12:42 Mais ce qui me gêne dans ce que dit
12:44 le représentant du Quai d'Orsay,
12:46 c'est qu'on veillera à ce que Lunra
12:48 respecte bien les règles.
12:50 Mais c'est impossible, en réalité.
12:52 Comment voulez-vous veiller à ce que Lunra
12:54 respecte bien les règles dans la bande de Gaza ?
12:56 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
12:58 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:00 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:02 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:04 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:06 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:08 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:10 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:12 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:14 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:16 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:18 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:20 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:22 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:24 Vous voulez que ça ne se passe pas ?
13:26 Si vous avez un organisme humanitaire
13:28 qui, de près ou de loin,
13:30 participe à une action terroriste,
13:32 mais il n'y a pas un euro qui est donné...
13:34 - Moi je suis d'accord...
13:36 - Mais vous connaissez la réponse, Eliott !
13:38 - C'est bien ce que je viens de dire.
13:40 - Mais Eliott, vous connaissez la réponse.
13:42 - De près ou de loin, avec des agents qui ont pu...
13:44 - Mais vous connaissez la réponse à votre question.
13:46 C'est-à-dire pourquoi on peut soupçonner...
13:48 Alors il y a certainement la question humaine...
13:50 - Et à l'inverse, d'ailleurs.
13:52 - Mais il y a des raisons politiques, tout simplement.
13:54 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
13:56 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
13:58 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:00 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:02 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:04 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:06 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:08 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:10 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:12 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:14 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:16 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:18 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:20 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:22 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:24 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:26 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:28 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:30 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:32 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:34 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:36 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:38 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:40 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:42 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:44 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:46 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:48 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:50 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:52 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:54 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:56 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
14:58 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:00 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:02 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:04 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:06 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:08 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:10 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:12 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:14 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
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15:24 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:26 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:28 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:30 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:32 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:34 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:36 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:38 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:40 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:42 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:44 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:46 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:48 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:50 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:52 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:54 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:56 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
15:58 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:00 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:02 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:04 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:06 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:08 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:10 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:12 - Il y a des raisons politiques, tout simplement.
16:14 - Avec Valérie Pécresse, nous avons créé en 2019
16:16 les Brigades Régionales de Sécurité pour les lycées d'Ile-de-France.
16:20 100 agents en 2024.
16:22 - Des brigades régionales qui comptent 1500 interventions par an en moyenne.
16:26 Forcées de constater néanmoins qu'elles ne suffisent pas à elles seules
16:29 à endiguer le fléau de la violence et de l'islamisme
16:32 dans les établissements franciliens.
16:34 - Il faudrait peut-être dire à James Chéron de faire profil bas
16:37 parce qu'en Ile-de-France, il y a juste eu l'attaque terroriste
16:41 et la mort de Samuel Paty.
16:43 Là, je m'adresse au professeur que vous êtes.
16:46 Est-ce que vous avez l'impression que c'est un nouveau gadget ?
16:49 Que cette force mobile scolaire ne sert strictement à rien
16:52 et que vous allez avoir toujours la même chose,
16:54 c'est-à-dire aujourd'hui plus d'un professeur sur deux qui s'auto-censure ?
16:57 - Oui, j'ai l'impression que c'est un gadget.
16:59 Ce qu'attendent les enseignants, c'est d'être soutenus
17:02 à chaque fois qu'il y a un antrisme islamiste
17:05 au sein de l'école de la République.
17:07 On l'a vu avec ce proviseur.
17:09 C'est pas normal qu'il n'ait pas pu aller jusqu'au bout,
17:13 finalement, de sa mission.
17:15 Et j'ai l'impression qu'on cache les problèmes.
17:17 Et c'est ça qui est insupportable.
17:19 Aujourd'hui, vous avez des enseignants qui ont peur.
17:21 Vous avez des enseignants que, quand ils abordent la Seconde Guerre mondiale,
17:24 ne parlent plus des Juifs parce qu'ils ont peur d'aborder des Juifs.
17:27 Vous avez des enseignants qui n'osent plus parler de laïcité
17:30 ou de liberté d'expression.
17:32 Et ça se banalise.
17:34 C'est considéré comme cela.
17:36 On ne peut plus rien faire.
17:37 Et moi, ce qui me choque, c'est que,
17:39 si vous reprenez l'affaire du proviseur,
17:41 il a fallu attendre que le Premier ministre
17:44 décide d'engager une procédure contre l'élève qui avait menti.
17:48 Je ne pense pas qu'il y avait de procédure auparavant.
17:51 Du moins, je ne pense pas que l'Éducation nationale
17:53 ait lancé un Conseil de discipline
17:55 contre cette fille voilée
17:58 qui avait menti sur ce proviseur
18:01 en disant qu'il l'avait frappé.
18:03 Ça, ça me choque.
18:05 Il faut être ferme sur l'islamisme.
18:08 Et pour cela, à chaque fois qu'il y ait une entorse
18:11 à la laïcité dans un collège,
18:13 il faut systématiquement une procédure disciplinaire.
18:16 Ça doit être obligatoire.
18:19 Heureusement que ça ne s'appelle pas Force scolaire mobile,
18:22 parce que ça ferait FSB.
18:24 Là, il y aurait un petit problème.
18:26 Éric Revelle.
18:27 Non, ça ferait FSM.
18:29 Ah oui, complètement. J'ai dit n'importe quoi.
18:31 On oublie.
18:32 Mais pardon, si le sujet n'avait pas été aussi grave,
18:35 vous pourriez presque éclater de rire.
18:37 Parce que, pardonnez-moi, je vois bien l'idée.
18:39 C'est de rassurer les professeurs en disant
18:41 qu'on va intervenir.
18:43 Mais 20 agents sur l'ensemble du territoire français.
18:46 Est-ce que vous voyez ce que ça peut donner,
18:48 vu la multitude de signalements qu'il y a,
18:51 semaine après semaine ?
18:53 Donc en fait, Nicole Belloubet fait du Nicole Belloubet.
18:56 C'est-à-dire qu'elle essaie de monter au créneau
19:00 pour rassurer les professeurs.
19:02 Mais d'abord, vous avez une partie des syndicats de professeurs
19:04 qui disent, nous, parce qu'ils n'ont pas tous compris,
19:06 nous on ne veut pas de flics,
19:08 on ne veut pas de répression dans les établissements.
19:10 Mais là, il ne s'agit pas de policiers.
19:12 Il s'agit de gens qui font partie de l'éducation nationale.
19:14 C'est des agents de l'éducation nationale.
19:15 Et en plus, c'est quand même bien de rappeler
19:17 ce qui s'est passé dans la région de l'Union de France,
19:19 mais ça existe aussi ailleurs.
19:20 C'est-à-dire qu'il y a déjà des petits groupes
19:22 comme ça qui interviennent.
19:23 Mais est-ce que c'est ça qui va rassurer les professeurs ?
19:25 Non.
19:26 20 agents mobiles sur l'ensemble du territoire ?
19:30 Elliot ?
19:31 Non mais moi, je l'ai quand même relevé,
19:32 une contradiction importante dans le discours du gouvernement
19:34 qui montre, me semble-t-il,
19:36 que l'exécutif a perdu la main en réalité.
19:38 Parce qu'on a encore entendu Nicole Belloubet dire
19:40 "nous ne laisserons rien passer".
19:42 C'est une phrase qu'il prononce matin, midi et soir
19:45 depuis des années.
19:46 "Nous ne laisserons rien passer".
19:47 Cette phrase est devenue absolument insupportable.
19:50 Parce que plus il répète ça en réalité,
19:52 plus la situation s'aggrave.
19:53 C'est-à-dire que maintenant, on est obligé
19:55 de envoyer des forces mobiles dans les écoles.
19:57 On crée une brigade spéciale tellement la situation
20:00 dans certains établissements est devenue insoutenable.
20:02 On est obligé, le week-end pascal, de protéger les églises.
20:05 On protège depuis le 7 octobre
20:07 tous les lieux de culte juif, les synagogues.
20:11 On est en train de se demander
20:13 si on va pouvoir organiser la cérémonie des Jeux d'ouverture,
20:16 la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques.
20:19 Cette phrase, il la répète à l'envie depuis des années.
20:22 Et plus il dit "nous ne laisserons rien passer",
20:24 plus l'islamisme est en train de gagner du terrain dans ce pays.
20:26 Ça montre qu'ils ont perdu la main, sincèrement.
20:28 J'avais une guirlande, vous savez,
20:30 une succession de sons à vous faire écouter
20:32 des trois derniers ministres de l'éducation nationale,
20:36 à savoir Jean-Michel Blanquer, Pape Ndiaye et Gabriel Attal.
20:40 C'est très intéressant.
20:41 Depuis 2021, on nous dit "c'est la fin du pas de vague".
20:44 C'est ce qu'on nous a répété cette semaine.
20:46 Et rien ne change.
20:47 Moi, ce qui m'intéresse en revanche,
20:49 et on va écouter Pascal Praud,
20:51 qui sur Europe 1 a eu un échange.
20:53 Je ne sais pas si vous avez entendu.
20:54 Incroyable.
20:55 C'est intéressant parce que Pascal, il l'a rappelé hier soir.
20:57 Je crois que c'est William qui lui a dit
20:59 "mais je vous ai écouté sur Europe,
21:00 hallucinant ce qui s'est passé, les chances que vous avez eu".
21:03 Et puis, il n'a pas été utilisé.
21:04 Donc, je vous propose qu'on l'écoute.
21:06 C'est assez long, mais ça en dit là aussi très long sur la situation.
21:10 C'est-à-dire qu'il est face à un proviseur
21:12 qui est également secrétaire général FSU,
21:14 donc d'un syndicat.
21:16 Et il parle du pas de vague.
21:18 Et il parle de la situation dans les écoles.
21:21 Alors, je ne pense pas qu'il y ait plus d'événements aujourd'hui
21:24 qu'il y a 20 ans, lorsque l'on a mis en place la loi sur la laïcité.
21:27 - Non mais vous n'êtes pas sérieux, M. Bechot.
21:29 Il n'y a pas plus d'événements aujourd'hui qu'il y a 20 ans ?
21:31 - Non.
21:32 - Ah bon, ben tout va bien.
21:34 - Ah non, je n'ai pas dit qu'il y avait plus.
21:36 - Alors, si vous trouvez qu'il n'y a pas plus,
21:38 c'est l'exact contraire de ce que dit M. Aubin.
21:40 C'est l'exact contraire de M. Aubin.
21:42 Il suffit de parler avec un prof pour savoir que...
21:44 Vous vous rendez compte que ce matin, M. Aubin
21:46 dit qu'on ne peut même plus dire à un élève, par exemple,
21:49 "tu écris comme un cochon".
21:51 Et vous venez me dire qu'il n'y a pas plus de problèmes
21:53 qu'il y a 20 ans dans l'école de la République.
21:55 - Mais enfin, j'ai des problèmes qui sont différents.
21:57 - Ça va contre tout ce que j'entends,
21:59 matin, midi et soir.
22:01 - Non, non, monsieur.
22:03 Ne déformez pas mes propos.
22:05 - Je les répète, vous me dites qu'il n'y a pas plus de problèmes
22:07 qu'il y a 20 ans.
22:08 - Non, non, je pense que les auditeurs entendent ce que j'ai dit.
22:10 - Vous avez dit qu'il n'y a pas plus de problèmes qu'il y a 20 ans.
22:12 - Ils sont différents, monsieur.
22:14 C'est-à-dire que, quand on regarde le nombre de faits d'atteinte à la laïcité...
22:18 - Il y a M. Bernard qui vient de mourir.
22:20 Il y a M. Paty qui vient de mourir.
22:22 Et vous me dites qu'il n'y a pas plus de problèmes qu'il y a 20 ans.
22:25 Mais vous êtes sérieux ?
22:27 Pardonnez-moi de le dire comme ça.
22:29 - Mais, monsieur, par exemple, on va revenir
22:31 au débat qu'il y a eu en août
22:33 sur le rappel de la loi de 2004
22:36 sur le port de signes ostentatoires
22:39 d'appartenance religieuse.
22:41 Il y a eu un long débat.
22:43 Il y a eu un rappel de l'interdiction du port de la Baïa.
22:46 Il y a eu 67 cas de refus sur 12 millions d'élèves.
22:50 Ça ne veut pas dire qu'il faut négliger et ne pas régler le problème.
22:54 Et là-dessus, je partage totalement l'analyse
22:57 sur le fait qu'il y a des choses inacceptables qui se passent.
23:00 Et ce qui s'est passé au lycée Maurice-Lavelle est inacceptable.
23:03 Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de travail à faire,
23:07 que le travail n'est pas fait.
23:09 Mais il ne faut pas se tromper d'objet de réflexion.
23:12 -Il y a un mâle français qui ne touche pas que l'école,
23:15 qui ne touche pas que ce monsieur
23:17 et qui ne touche pas seulement nos élus.
23:19 Ça s'appelle le déni.
23:21 On a eu souvent la discussion.
23:23 Tant qu'on ne prendra pas la mesure du problème,
23:26 cet islam qu'on peut appeler identitaire,
23:29 c'est-à-dire qui sépare les musulmans
23:31 ou qui veut séparer les musulmans du reste de la communauté nationale,
23:34 qui les élève dans l'idée qu'il y a les musulmans et les autres
23:37 et que tous les autres en veulent aux musulmans
23:40 et qui sont toujours victimes.
23:42 Cet islam identitaire a énormément progressé
23:45 dans notre jeunesse française musulmane.
23:48 On continue à expliquer que ce sont des petites minorités.
23:51 On a fait une loi sur le séparatisme.
23:53 Plus personne n'en parle parce qu'on se focalise sur le terrorisme.
23:56 Mais on est dingue.
23:58 Ce qui est en train de se passer dans notre pays
24:00 de façon qui n'est plus souterraine devient...
24:03 -Elisabeth, c'est plus que du déni.
24:06 -Parfois, c'est une forme de soumission et de complicité.
24:11 Quand vous savez certains professeurs
24:14 qui, dès qu'on parle de laïcité de manière stricte,
24:18 qui parlent d'islamophobie...
24:20 Regardez, au moment de Samuel Paty,
24:22 certains collègues de Samuel Paty l'avaient accusé d'islamophobie.
24:25 C'est une honte.
24:27 Quand Gabriel Attal a interdit la baïa,
24:29 vous avez des enseignants qui ont fait grève
24:31 contre cette interdiction.
24:33 Les gens sont chargés de transmettre les valeurs de la laïcité.
24:37 Il y a une forme d'islamo-gauchisme chez certains.
24:40 Et quand le fruit est déroulé de l'intérieur, il y a un chèvre.
24:43 -Le proviseur vous répond, ce proviseur qu'on a entendu
24:46 avec cet échange assez tendu avec Pascal Praud.
24:48 Le proviseur vous dit que c'est 67 refus sur 12 millions d'élèves.
24:52 C'est anecdotique. Vous vous jetez sur le feu.
24:55 -Vous avez un professeur qui en a deux.
24:58 -Ce qui n'est pas anecdotique.
25:00 Un de mes meilleurs amis, un ami d'enfance,
25:03 est directeur d'un établissement public.
25:06 Il me dit que ça ne sert à rien d'essayer de parler de laïcité
25:10 parce que la plupart de ses collègues répondent "fachos".
25:14 La laïcité, c'est un truc de fachos.
25:17 C'est aussi une réalité sociologique de l'éducation nationale.
25:21 Le tweet de Mme Simonnet qui remettait en cause
25:24 la version du proviseur et qui reprenait celle de la jeune femme
25:28 en posant la question "a-t-elle été frappée ou non",
25:31 ça reflète l'idéologie.
25:33 La France insoumise, c'est quoi ?
25:35 C'est des BACU 5 déclassés. C'est la même sociologie.
25:38 -En un mot, je suis d'accord pour rebondir sur ce que disait Elisabeth.
25:42 Ce n'est pas du déni de la part de certains professeurs.
25:45 Il se passe au sein de l'éducation nationale,
25:48 avec certains syndicats de gauche, voire d'extrême gauche,
25:51 qu'il se passe avec la France insoumise.
25:54 Le fait d'accepter cet enthrysme islamiste,
25:57 d'être soumis à cela,
25:59 et le fait que ça ne pose aucun problème à certains,
26:02 qu'ils soient même en soutien à cela.
26:04 La France insoumise le fait très bien.
26:06 Elle est devenue le porte-parole des islamistes,
26:09 des islamo-gauchistes à l'Assemblée nationale.
26:12 On retrouve le même phénomène avec des syndicats d'extrême gauche
26:15 au sein de la magistrature, de l'éducation nationale.
26:18 -Et dans les médias ?
26:20 -On parle d'un autre sujet, mais vous aviez quelque chose à rajouter.
26:25 -Vous parliez d'inflexion dans la décision du Conseil d'Etat.
26:29 C'est une inflexion du Conseil d'Etat,
26:31 mais c'est une inflexion que nous devons à la loi immigration
26:34 et à la disposition qu'avait souhaitée le ministre de l'Intérieur,
26:37 M. Darmanin, qui permet qu'on puisse passer par-dessus
26:40 l'argument de la famille présente en France.
26:43 C'est important, car il y a une continuité dans tous les sujets
26:46 que nous sommes en train d'aborder.
26:48 C'est important que l'Etat sache aussi réagir sur certains points.
26:51 -Et remercions le Conseil d'Etat, qui a tricoté à 40 %
26:54 cette loi.
26:56 -C'est le Conseil constitutionnel.
26:58 -Le Conseil constitutionnel, désolé.
27:00 -Je retiens les gentillesses que j'ai eues sur le Conseil d'Etat.
27:03 -Je ne te vois pas les yeux en face des trous, Eric Reuvel.
27:06 Que se passe-t-il ce soir ? Avançons.
27:08 Des scènes de violence.
27:10 On parle de l'école, mais parlons de l'université également.
27:13 L'université de Grenoble.
27:15 C'est une information qui a été complètement sous-traitée.
27:18 C'est inaperçue.
27:20 Il y a eu un article, je crois, dans Valeurs Actuelles,
27:23 qui a fait éclaircissement des scènes de violence insoutenable
27:26 à l'université de Grenoble.
27:28 Plusieurs syndicats étudiants d'extrême-gauche sont attaqués
27:31 à l'Uni.
27:33 C'est l'Uni, syndicat de droite, qui accuse ces syndicats
27:36 de les avoir attaqués.
27:38 Il s'avère qu'il y avait, jeudi soir, une conférence
27:41 avec un avocat qui devait être invité.
27:43 L'avocat qui avait été l'avocat, notamment, dans les attentats
27:46 de Nice et qui avait écrit aux côtés des victimes.
27:49 Selon l'Uni, UNEF, jeunes communistes, NPA, étaient contre
27:52 cette mobilisation. Ils ont mis la pression.
27:54 Il y a eu des tensions avec certains étudiants qui ont été blessés.
27:57 Je le dis, l'université, je vous donnerai le communiqué
28:00 juste après, a condamné ce qui s'était passé.
28:03 "Casse-toi, la PAC n'est pas à toi, c'est l'Uni !"
28:11 Dans un communiqué, l'université a donné quelques précisions.
28:15 Le rôle du bêtiment devant l'Officier Théâtre,
28:18 accueillant la conférence, cris, slogans, etc.
28:20 Lors de l'arrivée du conférencier, ce groupe a voulu s'introduire
28:23 en force dans l'amphithéâtre. Malgré l'intervention des agents
28:26 de sécurité de l'université, des échanges physiques ont eu lieu.
28:29 Un étudiant a reçu un coup et s'est blessé à la main en tentant
28:32 de retenir la porte de l'amphithéâtre. Un autre étudiant a fait usage
28:35 de gaz lacrymogène, on en est là dans les universités,
28:38 compte tenu de la dégradation du hall du bâtiment devant l'amphithéâtre.
28:41 Lors de l'arrivée des conférenciers, ce groupe a voulu s'introduire
28:44 en force, je le disais. Et donc, on a un autre étudiant
28:47 qui a utilisé du gaz lacrymo, compte tenu de la dégradation,
28:50 la situation et les gestes de violence physique. La direction a été
28:53 dans l'obligation de solliciter le concours de la force publique.
28:56 Les manifestants s'étant retirés à l'extérieur du bâtiment,
28:59 l'intervention des forces de police a été suspendue.
29:02 Et il a été constaté que les participants à la conférence
29:05 et les conférenciers avaient parallèlement quitté les lieux.
29:08 C'est-à-dire que la conférence n'a pas eu lieu. On écoute Ivan Lokoz
29:11 qui est représentant au syndicat de la Nation.
29:14 - On a vu que les 50 militants d'extrême gauche ont complètement
29:17 entouré le bâtiment et ensuite ils sont entrés par force
29:20 dans l'amphithéâtre et c'est là où ça a complètement dégénéré.
29:23 Parce qu'au moment où l'avocat est arrivé, ils ont forcé les portes,
29:26 ils ont profité pour forcer les portes, ils ont même brisé les portes.
29:29 Et équipés de gaz lacrymogènes, ils ont gazé nos militants
29:32 qui essayaient de les contenir. Après en avoir gazé un,
29:35 ils l'ont même infligé un coup de genou à la tempe.
29:38 Donc le coup de genou à la tempe l'a assommé,
29:41 il est resté inerte pendant plusieurs minutes au sol.
29:44 Et le temps qu'il soit évacué, le temps que l'ensemble des étudiants fuient,
29:47 c'est parce que c'était réellement une fuite,
29:50 fuient l'amphithéâtre pour ne pas se faire agresser par l'extrême gauche.
29:53 Ça fait 4 ans que je suis engagé à l'Uni et en 4 ans,
29:56 je n'ai jamais vu ni une telle violence, ni une telle inaction
29:59 de la part des instances universitaires.
30:02 - Alors je le disais donc, l'université a condamné ce qui s'était passé.
30:05 Il faut le dire, il y a eu un communiqué.
30:08 - Il est le maire.
30:11 - Eric Piolle doit être en train de s'occuper des pistes cyclables
30:14 parce qu'il n'a toujours pas réagi.
30:17 Il y a eu deux réactions politiques.
30:20 Hier, Yvain Lecoze, que vous avez entendu, qui est menacé de mort
30:23 pour avoir dénoncé l'antisémitisme islamiste,
30:26 c'est François-Xavier Bellamy qui le dit, qui gagne sa factulté.
30:29 Maintenant, des étudiants sont lynchés parce qu'ils reçoivent l'avocat
30:32 de victime de l'attentat de Nice.
30:35 Ce syndicat d'étudiants plutôt classé à droite,
30:38 ils ne peuvent pas organiser de réunion dans la plupart des universités de France.
30:41 C'est-à-dire qu'on ne leur donne pas de salles pour des raisons de sécurité.
30:44 Ils sont obligés d'essayer d'en trouver à l'extérieur.
30:47 Et bien souvent, au dernier moment, dans des cafés ou des lieux
30:50 qui les accepteraient, on les annule.
30:53 Et ce que je constate, parce que quand même, la violence ne vient pas de nulle part,
30:56 demain, l'Institut Labo-SI Kelsington de la France insoumise
30:59 reçoit Andréas Malm.
31:02 - Comment ? - J'ai vu ça également.
31:05 Ce Suédois qui théorise l'usage de la violence en politique,
31:08 qui dit que la violence est parfaitement légitime pour mettre à bas
31:11 le système capitaliste. - Il a le droit de mettre les pieds en France, M. Malm ?
31:14 - Bien, manifestement, tout ce que Jean-Luc Mélenchon assure
31:17 sur la promotion sur Twitter, sur X, de cet événement
31:20 qui a lieu demain. Le même Andréas Malm,
31:23 qui a écrit des livres au titre comme "Comment faire sauter un pipeline".
31:26 Donc après, on s'étonne qu'il y ait de la violence dans les universités.
31:29 - Écoutez, moi, je me bats pour que
31:32 n'importe qui, normalement, puisse aller
31:35 faire une conférence à Sciences Po, etc.
31:38 Moi, je pense qu'il faut faire attention avec la liberté d'expression.
31:41 On ne va pas commencer, nous, à appeler à la censure.
31:44 - Ce n'est pas ce que je dis. C'est poser la question. Je me mets à la place
31:47 du téléspectateur qui nous regarde, qui ne connaît pas ce monsieur.
31:50 Vous nous expliquez que cet individu a théorisé la violence en politique
31:53 et il explique comment faire sauter des pipelines.
31:56 - On n'est pas sur quelqu'un qui est pour une liberté d'expression totale.
31:59 - Surtout moi, si vous aviez fallu qu'il fallait le faire taire, je constate que la France...
32:02 - Il n'y a rien de neuf.
32:05 Il n'y a rien de neuf. Ce monsieur dont on parle,
32:08 il a déjà été reçu à l'Institut de la Boétie, je me souviens,
32:11 il y a un an, un an et demi. On avait mis en avant
32:14 les titres de ses livres. Il n'y a rien de neuf dans le fait que
32:17 certaines personnalités sont interdites d'expression dans les universités françaises.
32:20 Vous vous souvenez de Sylvia Nagazinsky. Vous vous souvenez même de François Hollande, je crois.
32:23 - Oui. - Il s'était fait déchirer son livre.
32:26 Vous voyez, François Hollande qui était socialiste,
32:29 brûlait son livre. Mais aussi, je le dis parce que
32:32 j'ai vécu ça vendredi, il y a aussi des universités où les choses
32:35 se passent bien. Moi, j'ai été remettre
32:38 des diplômes vendredi dans mon bâtiment G à la fac de Nanterre,
32:41 Paris 10 Nanterre. Quelques-uns m'ont dit "Ah, voilà,
32:44 je sais qui vous êtes". Mais je veux dire, j'ai pas été empêché...
32:47 Non, mais parce que j'ai des positions qui sont de mienne,
32:50 j'ai pas été empêché à Paris 10 Nanterre de remettre des diplômes
32:53 au bâtiment G que de mi-vendredi. - Ça dépend des campus, Éric,
32:56 parce que certains campus sont vraiment gangrénés
32:59 par l'extrême gauche. Et quand vous avez un discours
33:02 qui n'est pas celui de l'extrême gauche, vous êtes marginalisé,
33:05 on vous crache dessus, il y a même des jets d'urine,
33:08 en fait, ces gens-là prétendent lutter
33:11 pour la liberté d'expression alors qu'ils empêchent la liberté d'expression.
33:14 - Un mot avec Yann.
33:17 - Il ne faut pas dire... Il y a de la violence
33:20 dans les universités, il y a de la violence dans les manifestations en France,
33:23 il y a de la violence contre les féministes qui vont manifester
33:26 en soutien des otages retenus et violés dans la bande de Gaza,
33:29 il y a de la violence qui vient de l'extrême gauche.
33:32 La violence, elle vient systématiquement dans ce pays,
33:35 quoi qu'il arrive, de l'extrême gauche, tout le temps.
33:38 L'extrême gauche, là, qui dit à l'Uni... - À l'UQ, à tout le temps.
33:41 - Mais si, quasiment tout le temps, dans 95 % des cas, la violence dans ce pays,
33:44 elle vient de l'extrême gauche. Regardez les dernières grandes manifestations,
33:47 les manifestations d'ampleur dans ce pays.
33:50 Qui est-ce qui a été à l'origine de la violence ? Les Black Blocs,
33:53 les proches de la France insoumise, etc.
33:56 - J'entends, mais vous savez que sur les menaces,
33:59 et notamment la menace terroriste, je donne toujours ce chiffre parce que je dis
34:02 qu'il y a eu une quarantaine d'attentats qui ont été déjoués, mais dans cette quarantaine,
34:05 il y a évidemment grande majorité, c'est la mouvance islamiste, mais il y a aussi
34:08 des attentats du Prat qui ont été déjoués.
34:11 - Je parle de la violence du quotidien, entre guillemets.
34:14 - Est-ce qu'on peut avoir une pensée pour les étudiants juifs
34:17 qui ont du mal à aller sur certains camps de l'Élysée ?
34:20 L'antisémitisme vient aussi de cette extrême gauche.
34:23 - Attends, déjà, juste un mot qui m'a choqué dans le tweet que vous avez montré,
34:26 bel ami, c'est-à-dire que maintenant, quand vous dénoncez
34:29 l'antisémitisme, quel est le résultat ? Parce que là, vous parlez
34:32 des groupes violents. - Il est menacé de mort.
34:35 - Vous êtes menacé de mort. - Il a porté plainte, je le dis, au Téléspectateur.
34:38 - Je veux dire, dans quel monde vivons-nous pour que,
34:41 dès qu'il y a des gens qui ont une contrariété, maintenant,
34:44 ils menacent de mort. Excusez-moi, ça devient un élément
34:47 quand même qui devient un peu pénible.
34:50 - Plus que pénible, non. - Parce que les gens ont peur.
34:53 - Évidemment qu'ils ont peur. Ils ont peur aussi
34:56 parce que le niveau de menaces terroristes aujourd'hui
34:59 est de plus haut niveau, puisqu'on est en état d'urgence attentat.
35:02 Alors, on devait passer le sujet, ce qui est vrai,
35:05 c'est qu'on vit un week-end encore particulier
35:08 avec des fourgons de police qui seront aux portes d'une église
35:11 ce week-end pascal. - C'est faux ?
35:14 - Évidemment. Donc, saluons...
35:17 Ça fait longtemps, je suis d'accord avec vous,
35:20 mais saluons les forces de l'ordre qui vont être présentes,
35:23 mobilisées tout au long du week-end. - Ça fait longtemps, mais c'est pas
35:26 pour ça que c'est normal. - Il ne faut pas s'y habituer.
35:29 - J'allais vous dire en toute transparence, ça fait longtemps,
35:32 mais c'est insupportable. - Souvenons-nous d'ailleurs
35:35 juste à cette occasion de ce qu'avait dit le pape François
35:38 en 2016 à propos du père Hamel, vous savez, qui avait été assassiné
35:41 dans son église, en disant "il y a plus de martyres
35:44 parmi les chrétiens dans le monde aujourd'hui". - J'ai l'impression que c'est compliqué
35:47 de faire un film sur le père Hamel en hommage au père Hamel en France.
35:50 - Oui, manifestement, le CNC n'a pas accordé d'aide
35:53 sur un film en particulier, mais juste pour finir, en disant
35:56 "il y a plus de martyres chrétiens aujourd'hui que dans les premiers âges
35:59 du christianisme". - Il nous reste une minute. - On résonne sur la planète, évidemment,
36:02 pas en France. - Il nous reste une minute 30, je voudrais qu'on écoute Gérald Darmanin
36:05 qui parle de la menace terroriste et de la sécurisation
36:08 des lieux de culte. - Ce week-end, c'est le week-end
36:11 de Pâques. C'est un moment extrêmement important pour tous les chrétiens
36:14 du monde, et évidemment pour tous les chrétiens en France.
36:17 En tant que ministre de l'Intérieur, je veux le rassurer
36:20 de notre parfaite mobilisation, les préfets,
36:23 les policiers, les gendarmes, pour qu'entre ce vendredi saint
36:26 et le lundi de Pâques, pendant tout le week-end,
36:29 il y ait des policiers, des gendarmes qui protègent les lieux de culte
36:32 et singulièrement les fidèles. La liberté religieuse
36:35 n'a pas de sens si évidemment les fidèles ont peur
36:38 et si lorsqu'ils vont dans leurs églises, dans leurs temples,
36:41 ils ont des difficultés, parce que bien sûr,
36:44 je sais aussi que les chrétiens sont des cibles,
36:47 des cibles qui touchent, comme ça a été le cas
36:50 il y a maintenant quelques mois, quelques années,
36:53 à Nice et ailleurs, les fidèles et les ministres du culte.
36:56 – Une question très intéressante d'un téléspectateur,
36:59 j'allais dire auditeur, concernant le sujet précédent,
37:02 où est Sylvie Retailleau, encore une fois ?
37:05 – La ministre de l'Enseignement supérieur.
37:08 – On n'y pense même pas tellement.
37:11 – Bon, et bien écoutez, c'est déjà terminé.
37:14 C'était un plaisir d'être avec vous ce soir, c'était une émission
37:17 un peu particulière, on va remercier à nous qu'à la réalisation,
37:20 à Grégory Possy d'aller au son, et à David Tonelio et à Vision,
37:24 Benjamin Naud, Marouane Seyar, Guilhem Laffache ont préparé l'émission,
37:27 toutes les émissions évidemment sont à revoir sur cnews.fr,
37:30 restez avec nous, puisque dans un instant,
37:33 vous allez vivre cette procession du "Katénachou" sur CNews,
37:39 bon week-end Pascal à tous, et bonne fête bien sûr.
37:42 – Une joyeuse fête. – Une bonne fête de Pâques.
37:44 – On peut encore le dire, Eliott ? – Bien évidemment qu'on peut le dire.
37:47 – Bien sûr, Madame Belloubet parle des vacances de printemps.
37:50 – Qui a dit ça ? – Madame Belloubet évidemment
37:53 ne dit pas vacances de Pâques.
37:54 – Devoir de réserve vous dit, je ne dirai rien d'être.
37:56 – Comment ? – Attention vous allez avoir des problèmes.
37:59 Merci à tous les cinq et nous on se retrouve demain matin.
38:02 merci à bientôt !

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