• il y a 8 mois
Les Vraies Voix Citoyennes avec Benjamin Richard intrapreneur d’état, dirigeant de JeVeuxAider.gouv.fr, la plateforme publique de l’engagement bénévole, Virginie Atlan, Présidente fondatrice de Nous les Ambitieuses, un réseau de femmes engagées pour valoriser, récompenser les initiatives positives, éthiques, solidaires à l’endroit des citoyen et Carine et Raphaël Régent fondateur "Le Sport de Titou" pour offrir des séances de sport aux enfants handicapés placés dans des centres spécialisés
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##LES_VRAIES_VOIX_CITOYENNES-2024-04-15##

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Transcription
00:00 citoyenne, citoyenne, on vous court !
00:02 Des citoyens propres, nous nous dit, propres, nous enfants, nous regardons !
00:05 Pour l'honneur, pour servir, pour la gloire, nous avançons.
00:09 Je suis un citoyen ordinaire.
00:11 Citoyen, soldat, frère, père.
00:13 C'est mon devoir de citoyen.
00:15 Je n'ai qu'une voix.
00:16 Allez, on vous souhaite la bienvenue dans les vraies voix.
00:18 Citoyenne, on va parler d'engagement associatif ce soir avec Philippe David.
00:22 On est ensemble jusqu'à 20h.
00:23 L'engagement associatif constitue un pilier essentiel de notre société
00:28 en favorisant la solidarité et le changement positif.
00:31 Il réunit donc des individus autour de causes communes,
00:34 qui les renforcent bien sûr, et qui renforcent le tissu social.
00:37 Au sein des associations, chacun pourra donc contribuer
00:40 selon ses compétences et ses convictions.
00:42 Et ce dynamisme associatif stimule l'innovation sociale
00:45 et propose des solutions aux défis contemporains.
00:47 En somme, l'engagement associatif représente une source d'espoir
00:50 et de progrès pour un avenir plus juste et équilibré.
00:53 Et Benjamin Richard sera avec nous,
00:56 le maire d'Etat, dirigeant de JeVeuxAider.gouv,
00:59 la plateforme publique de l'engagement bénévole.
01:01 Virginie Atlan, présidente fondatrice de Nous les Ambitieuses,
01:04 un réseau de femmes engagées pour valoriser, récompenser
01:07 les initiatives positives, éthiques, solidaires à l'endroit des citoyens,
01:11 sera également en notre compagnie.
01:13 Et Karine et Raphaël, régents fondateurs le sport de Titou
01:16 pour offrir des séances de sport aux enfants handicapés
01:19 placées dans des centres spécialisés.
01:21 On vous souhaite la bienvenue, c'est les vraies voix citoyennes.
01:23 Les vraies voix Sud Radio
01:26 JeVeuxAider.gouv.fr, la plateforme publique de l'engagement bénévole
01:30 portée par le ministère de l'éducation nationale et de la jeunesse
01:33 et proposée par la réserve civique.
01:35 On est ensemble avec Benjamin Richard.
01:37 Bonsoir, merci d'être avec nous.
01:39 Vous êtes intrapreneur d'Etat, dirigeant de JeVeuxAider.gouv.fr.
01:46 Intrapreneur d'Etat, c'est l'opposé finalement d'entrepreneur
01:51 puisque c'est du public.
01:53 Là, c'est comme une start-up d'Etat finalement.
01:55 C'est une start-up d'Etat, c'est comme ça qu'on s'appelle.
01:59 Ça permet d'avoir en même temps des compétences numériques,
02:03 une méthode, une manière de travailler qui est propre aux start-up
02:06 et d'autre part de servir des objectifs de politique publique.
02:09 En agilité, c'est ça ?
02:10 Exactement, en agilité autour d'un produit numérique.
02:12 On travaille sur un service public numérique
02:14 et en même temps en réponse à des objectifs de politique publique
02:17 qui eux sont portés par l'Etat.
02:18 Et intrapreneur de l'intérieur, à l'intérieur de l'administration.
02:21 Alors ça a dû faire parce que 93% des bénévoles recommanderait
02:25 JeVeuxAider.gouv.fr.
02:27 Ça fait beaucoup de points et de long à leurs proches.
02:30 Comment expliquer cette satisfaction de ceux qui y sont passés ?
02:34 Je pense d'abord qu'ils sont satisfaits de l'engagement bénévole qu'ils ont eu
02:37 et puis de la facilité à laquelle ils ont eu accès à cet engagement bénévole
02:41 dans le service qui est proposé par la plateforme.
02:43 C'est vrai qu'aujourd'hui, on est devenu de plus en plus une plateforme
02:46 de tous les types d'engagement et je pense que ce niveau de satisfaction
02:49 montre que chacun vient trouver ce qu'il cherche sur la plateforme
02:54 et ça, ça vient récompenser les efforts des équipes derrière
02:57 qui sont en construction de la plateforme.
02:59 Alors pour revenir sur l'origine, l'origine finalement c'était le confinement
03:04 où tout le monde s'est un petit peu débrouillé.
03:06 Il a fallu, j'imagine, cadrer toutes ces bonnes volontés.
03:10 Exactement. Au moment du confinement, vous avez non seulement
03:12 une explosion des besoins du côté des associations
03:15 et une explosion des envies d'agir et puis une difficulté
03:17 à mettre tout ce beau monde en relation.
03:19 Donc c'est vrai que comme tout le monde, on avait envie de faire quelque chose
03:24 et c'est sous l'impulsion de Gabriel Attal à l'époque
03:26 qui était secrétaire d'État à la vie associative
03:28 que la plateforme a pu se monter sous cette forme-là
03:31 jeveuxaider.gouff.fr en à peine quelques jours
03:34 et puis elle a permis à un certain nombre de citoyens
03:36 de pouvoir réaliser des missions de bénévolat
03:38 en réponse aux besoins d'alors, des visites de courtoisie,
03:41 des livraisons de courses, tout ce qu'on avait à cette époque du confinement.
03:44 Et donc de pouvoir répondre à cette explosion des besoins
03:48 exprimés par les associations.
03:50 Alors la majorité c'est à 18 ans, mais pas besoin d'avoir 18 ans pour s'inscrire.
03:54 Non, tout à fait. Vous pouvez vous inscrire à partir de 16 ans
03:57 si vous avez l'autorisation de votre responsable légal.
03:59 Et puis après, ça va jusqu'à tous les âges.
04:01 Ou de faux responsables. Par exemple, il faut d'un seul parent
04:04 ou des deux impérativement, comment ça se passe ?
04:06 Au moins un responsable légal.
04:08 D'accord.
04:09 Et du coup, il a fallu organiser forcément ces demandes de bénévolat.
04:15 Aujourd'hui, cette plateforme représente combien d'associations déjà ?
04:19 Parce que comment les associations vous ont connues ?
04:22 Est-ce que c'est vous qui les avez... vous êtes allé vers eux ?
04:24 C'est eux qui sont venus vers vous ? C'était quoi la communication ?
04:26 Comment ça a fonctionné plus vite ?
04:28 Parce que très vite, parce que là ça fait 4 ans,
04:30 il y a énormément d'associations aujourd'hui.
04:33 Oui, effectivement. Aujourd'hui, on est assez fiers.
04:35 On a publié une mesure d'impact il y a quelques semaines
04:37 qui résume ces grands chiffres.
04:39 Donc je suis assez heureux de pouvoir vous les communiquer aujourd'hui.
04:41 On a d'une part, du côté des bénévoles,
04:43 on a 550 000 bénévoles qui se sont inscrits sur la plateforme.
04:46 Uniquement français ou pas ?
04:48 Il faut être résident en France.
04:50 Pour pouvoir réaliser la mission.
04:52 Elles sont proposées sur les territoires français, métropole et outre-mer, entendu.
04:55 Et puis, de l'autre part, on a 13 800 organisations qui sont inscrites.
04:59 Alors, ce sont dans l'extrême majorité des associations,
05:01 mais on trouve aussi des collectivités locales
05:03 et des organisations publiques de différentes natures.
05:06 Alors, est-ce que vous pouvez rappeler, c'est bête, c'est basique,
05:09 ce qu'est le bénévolat ?
05:11 Et combien de personnes ça représente en France ?
05:13 Bien sûr. Alors, le bénévolat, c'est un acte individuel, volontaire, non rémunéré,
05:17 qui est au service d'une cause, de l'intérêt général,
05:21 de choses qui motivent les personnes.
05:23 Et aujourd'hui, ça représente quand même un Français sur quatre,
05:25 de plus de 16 ans, qui est engagé.
05:27 Ça peut être dans différentes structures,
05:30 des structures de sport, de culture, de loisirs, de solidarité,
05:33 dans la politique, dans des syndicats.
05:35 Il y a plusieurs manières d'être bénévole.
05:37 Et aujourd'hui, ça fait à peu près 14-15 millions de personnes
05:41 qui se disent engagées dans des associations.
05:44 Est-ce que vous en avez à la durée ?
05:45 Parce que certains s'engagent pour un certain temps,
05:47 et finalement, il y a des bénévoles qui font ça toute leur vie.
05:50 C'est deux types de bénévoles différents ?
05:53 Oui, ce sont deux types de bénévoles différents.
05:55 Nous, on essaye de répondre aux besoins de chacun sur la plateforme,
05:59 autant du bénévolat ponctuel que du bénévolat régulier.
06:01 Aujourd'hui, sur ces à peu près 25% de Français
06:03 qui se disent bénévoles réguliers,
06:05 il y en a une dizaine de pourcent qui a un engagement hebdomadaire.
06:09 Et puis après, on trouve des engagements
06:11 qui sont une fois par mois, une fois par an, pour une collecte.
06:14 Il n'y a pas de petit engagement.
06:15 C'est vraiment le message qu'on a à cœur de faire passer.
06:17 Et sur plusieurs thématiques ?
06:18 Ou c'est généralement un engagement, par exemple, sur l'environnement,
06:22 où finalement, ils font du bénévolat sur plein de thématiques différentes ?
06:28 On a vraiment des personnes qui sont extrêmement mobilisées
06:31 sur plein de causes et qu'on retrouve dans toutes les associations
06:34 et dans toute la vie de quartier.
06:35 Je pense que vous en connaissez autour de vous,
06:37 qui sont multicause.
06:39 Et après, on a des gens qui sont effectivement fortement dirigés
06:42 sur une cause en particulier,
06:44 qui est celle qui leur parle le plus.
06:45 Il n'y a pas de bon ou de mauvais modèle de bénévolat.
06:47 Notre conviction à nous, chez jeveuxaider.gouv.fr,
06:49 c'est qu'on peut trouver une mission
06:51 qui correspond à chacune de ces envies d'agir là,
06:53 que ce soit pour une heure par semaine, toute l'année,
06:56 ou que ce soit ponctuellement pour une collecte, un jour dans l'année.
06:58 Qu'est-ce que jeveuxaider.gouv.fr ?
07:01 Rappelez-nous ce que c'est.
07:02 C'est une plateforme ? C'est un site web ? C'est quoi ?
07:04 C'est la plateforme publique du bénévolat.
07:06 Ça se traduit aujourd'hui par un site web,
07:08 auquel vous pouvez accéder sur l'adresse jeveuxaider.gouv.fr.
07:11 On a l'avantage d'avoir l'adresse et le nom qui correspondent,
07:13 donc c'est assez facile de nous trouver.
07:15 C'est pas tout ça !
07:17 Et aujourd'hui, nous, ce qu'on peut trouver sur la plateforme,
07:21 c'est des missions de bénévolat à côté de chez vous.
07:25 Ce qu'on propose, nous, c'est un répertoire.
07:28 Aujourd'hui, il y a 18 000 missions, là, ce soir,
07:30 qui sont ouvertes sur la plateforme.
07:32 On a 550 personnes qui viennent passer à l'action,
07:34 qui nous trouvent pour trouver leur mission.
07:36 Et donc, ce que vous trouvez sur la plateforme,
07:38 concrètement, vous rentrez votre code postal.
07:40 Vous pouvez choisir votre durée d'engagement,
07:42 les causes qui vous intéressent.
07:44 La périodicité ?
07:45 Exactement, la périodicité.
07:46 Est-ce que vous voulez être sur un engagement régulier ou pas ?
07:48 Si vous voulez faire un engagement près de chez vous,
07:50 ou depuis chez vous, puisqu'on propose aussi du bénévolat à distance,
07:53 ceux qui habitent en dehors des lieux où il y a du bénévolat,
07:56 qui ont des difficultés d'accessibilité,
07:58 ou les parents qui ont beaucoup de choses à gérer,
08:01 les gens qui n'ont qu'une petite heure à donner entre 2 et 3h du matin,
08:03 il y a forcément un engagement pour vous.
08:05 Donc, on propose tout type de possibilités d'engagement.
08:08 Et vous remplissez tous ces critères sur la plateforme.
08:11 Et nous, on met un petit peu de magie, un peu d'intelligence dans tout ça.
08:13 On essaie de vous proposer la mission qui correspond à vos envies d'agir.
08:16 Est-ce que le fait d'avoir mis en place une plateforme,
08:19 finalement, sans cette digitalisation, une numérisation du bénévolat,
08:23 c'était un frein pour plein de personnes ?
08:25 Parce que où se renseigner ? Dans quelles associations ?
08:27 Aujourd'hui, c'est facile avec cette plateforme, c'est plus simple peut-être ?
08:31 On aime à penser que l'utilisation de la plateforme est plus simple.
08:35 En tout cas, on essaye de simplifier au maximum,
08:37 pour pas qu'il y ait de frein à l'engagement.
08:38 Je vous disais en début d'émission,
08:41 qu'on était environ 14 à 15 millions de Français bénévoles.
08:44 Il y en a, on estime, que 2 millions qui passent par une plateforme d'intermédiation en ligne.
08:48 En fait, ce n'est pas forcément le moyen privilégié.
08:51 Les gens utilisent souvent le bouche à oreille des relations de proximité physique.
08:54 Mais c'est vrai qu'on a l'intérêt d'élargir un peu les horizons des uns et des autres,
08:59 de vous aider à trouver une structure qui n'est pas forcément celle de votre ville,
09:02 mais qui peut être dans la ville d'à côté,
09:04 à une 10-15aine de kilomètres,
09:05 ou qui correspond davantage à votre envie d'agir.
09:07 On essaye d'élargir vos possibilités,
09:09 pour être sûr que vous puissiez trouver chaussure à votre pied.
09:11 Allez, on fait une petite pause, on revient dans quelques instants pour la suite.
09:14 Entre temps, si vous voulez aller vérifier ou regarder,
09:17 ça s'appelle jeveuxaider.gouv.fr
09:20 On fait une petite pause, on revient dans un instant.
09:22 Radio, les vraies voix qui font bouger la France.
09:24 19h20, Philippe David, Cécile de Ménibus.
09:28 C'est une émission sur le bénévolat, l'engagement,
09:32 et on est ravis en tout cas d'accueillir nos invités.
09:36 Benjamin Richard est avec nous,
09:38 entrepreneur d'État, dirigeant de jeveuxaider.gouv.fr,
09:42 la plateforme publique de l'engagement bénévole.
09:45 Virginie Atlan qui est avec nous,
09:47 présidente fondatrice de Nous les ambitieuses.
09:49 Bonsoir Virginie, merci d'être avec nous.
09:51 C'est un réseau de femmes engagées pour valoriser,
09:54 récompenser les initiatives positives, éthiques et solidaires
09:58 à l'endroit des citoyens.
10:00 Jean-Marc Généreux est avec nous. Bonjour Jean-Marc.
10:02 Bonjour.
10:03 Vous êtes venu avec Jean-Marc Généreux dans votre besace, Virginie,
10:07 parce qu'il est engagé, il est ambassadeur de cette association.
10:10 Et c'est vrai que Jean-Marc, l'engagement, il sait ce que c'est.
10:13 On va y revenir avec vous dans quelques instants.
10:17 Ça ne nous empêche pas de poser des invités à notre invité.
10:22 Toutes ces associations finalement,
10:24 qui pluguent sur ce site internet de l'engagement,
10:29 comment vérifier que ces associations finalement sont viables ?
10:33 J'imagine que tout ça est validé à l'avance.
10:36 Et il faut rendre, pour ceux qui nous écoutent,
10:39 qu'il y aurait une association qui voudrait venir sur ce site.
10:42 Comment ça se passe ?
10:43 Alors c'est assez simple.
10:45 Effectivement, il y a tout un travail de modération et de vérification,
10:49 puisqu'on est une plateforme publique,
10:50 donc on fait attention à l'engagement de l'image de l'État sur la plateforme,
10:54 et aux utilisateurs.
10:55 Donc on a un vrai travail de modération qui est réalisé,
10:58 en partie par une équipe centrale,
11:00 et puis par des référents qui sont dans chaque département,
11:02 dans les services déconcentrés de l'État, jeunesse et sport.
11:04 Et notre objectif, c'est, vous allez vous inscrire, c'est très simple.
11:07 Le parcours pour vous inscrire en tant qu'association est assez simple.
11:09 Il y a un petit délai de modération où on vérifie que vous correspondez
11:12 aux critères de la charte de la réserve civique,
11:14 c'est-à-dire que vous n'êtes pas un syndicat,
11:15 une organisation politique, culturelle,
11:17 et que vous servez bien l'intérêt général.
11:19 Oui, pour éviter du travail dissimulé, ou que ce soit.
11:22 Est-ce que ça facilite le passage à l'action ?
11:24 Parce que souvent, il y en a qui disent "tiens, je voudrais bien,
11:27 puis tiens, j'ai trouvé cette plateforme,
11:29 finalement je vais faire quelque chose".
11:31 Exactement, ça facilite le passage à l'action.
11:33 Ça c'est un chiffre de notre mesure d'impact qui a été,
11:35 je vais vous donner un chiffre de notre mesure d'impact
11:37 qui est sorti il y a quelques semaines,
11:38 on a 28% de nos utilisateurs qui font leur première mission de bénévolat
11:42 grâce à la plateforme.
11:43 Et on pourrait se dire, c'est principalement les jeunes
11:45 parce qu'ils n'ont jamais fait de bénévolat,
11:46 parce qu'ils n'avaient pas encore l'occasion d'en faire.
11:48 Et en fait, c'est un chiffre qui ne change pas selon les générations.
11:50 On a aussi à peu près 25% des 60 ans et plus utilisateurs de la plateforme
11:54 qui ont fait leur première mission sur la plateforme.
11:56 Donc je pense qu'on donne accès à un engagement
11:58 auquel les gens n'auraient pas forcément pensé.
12:00 Et puis après, pour les plus baroudeurs de l'engagement
12:03 qui ont déjà de l'expérience derrière eux,
12:05 on a quand même une proposition de valeur,
12:07 on les aide à trouver d'autres types d'engagement,
12:09 peut-être un engagement plus ponctuel, plus régulier,
12:11 quelque chose pour compléter un peu leurs envies.
12:13 Et ça, c'est vrai que l'ensemble de nos utilisateurs en sont satisfaits.
12:17 C'est ce que vous disiez tout à l'heure, 93%.
12:19 C'est une certaine fierté.
12:21 Alors vous avez trouvé un point commun avec Virginie Latteland
12:23 et Jean-Marc Jenéreux,
12:24 puisque vous avez une campagne en ce moment de mobilisation
12:26 en faveur de l'écologie.
12:28 Exactement.
12:29 Tout à fait.
12:30 En ce moment, c'est printemps pour la planète.
12:32 On a plusieurs temps forts, parce qu'on aime bien...
12:35 Le sentiment d'urgence vient aussi sublimer l'engagement.
12:38 Et c'est vrai qu'on aime bien créer des temps forts
12:40 derrière des causes qui nous tiennent à cœur.
12:42 On a la culture et les loisirs pendant l'été,
12:44 le Mentora en septembre,
12:46 l'isolement social et la solidarité en décembre.
12:48 Et là, en ce moment, c'est l'écologie au sens large.
12:52 Vous pouvez trouver sur la plateforme,
12:54 il y a un petit espace dédié où on met en valeur
12:56 des missions d'écologie,
12:57 on met en valeur des associations qui sont engagées
12:59 sur ces sujets-là.
13:00 Vous pouvez trouver autant pour nettoyer des plages
13:02 à côté de chez vous,
13:03 que vous vous engagez dans une recyclerie,
13:05 dans des choses d'économie circulaire,
13:07 pour consommer mieux.
13:08 Il y a tous les engagements possibles
13:10 pour passer à l'action sur la thématique de l'écologie.
13:12 J'adore, évidemment, puisque vous parlez d'action.
13:14 Merci à vous parler d'action à impact.
13:15 Et c'est exactement ce que nous encourageons
13:17 avec notre concours d'écriture et de dessin.
13:20 C'est une quatrième édition
13:21 qui a pour thème protéger nos ressources,
13:23 l'environnement et jusqu'à l'océan.
13:26 Et de cette manière, évidemment,
13:27 on encourage les étudiants à mener des actions à impact
13:30 sur le terrain, de nettoyage,
13:32 mais aussi de sensibilisation aux solutions vertes et bleues,
13:35 où qu'ils se trouvent,
13:36 bord de mer, montagne, en fait.
13:38 Vous devriez les encourager à participer à notre concours,
13:40 puisque après avoir vécu une expérience,
13:42 la raconter pour donner envie à d'autres jeunes
13:45 de mener cette action à impact,
13:46 ça aurait du sens, en fait.
13:48 Au-delà d'action menée, c'est de la raconter,
13:50 de s'intégrer aussi à notre concours
13:52 et de pouvoir être parmi des lauréats
13:55 qui seront sélectionnés le 8 juin 2024.
13:57 C'est surtout d'impliquer toutes les générations,
13:59 parce que...
14:00 - Il va marquer, là.
14:01 - Bonjour.
14:02 - On l'a fait en chœur, c'était...
14:04 - Mais je pense que mon accent m'a...
14:07 - Vous travaillez.
14:09 - ... un petit peu précédé.
14:10 - C'est vrai que vous avez vraiment l'accent belge.
14:12 - C'est ce qu'on me dit.
14:14 Je le prends avec un grand sourire,
14:17 je pense que c'est un compliment.
14:19 Mais cela dit, je pense que toutes les générations,
14:21 ça doit être circulaire.
14:22 Je pense que les enfants, on peut leur donner un exemple.
14:26 L'exemple de, justement, chez moi, au Québec,
14:30 on a des hivers qui sont très prenants.
14:32 Et quand la neige fond,
14:34 on voit que sur les pelouses
14:36 ou sur les bords de les routes,
14:38 on voit que les gens ont un peu abusé de cette neige
14:42 et on voit qu'on maltraite un peu notre planète
14:45 ou de la façon qu'on se...
14:48 des parties de nos déchets.
14:50 Et je pense que ça peut devenir même une économie circulaire
14:53 si on le fait de la bonne façon.
14:55 Et de plus en plus, je pense que...
14:57 Exemple, un concours de dessin
14:59 qu'on met à l'avant, surtout sur toute la planète,
15:02 parce que cette planète, elle nous appartient
15:04 jusqu'à temps qu'on la détruit
15:06 ou jusqu'à temps qu'on ne fait pas attention.
15:08 Et je pense que ce concours va sensibiliser
15:10 toutes les générations, à part tant des enfants,
15:13 même du collège jusqu'à l'université.
15:15 - Oui, c'est notre cible, du collège aux grandes écoles.
15:18 Et qui ont déjà un apprentissage
15:21 ou une expérience qu'on doit passer aux autres.
15:25 Et ça peut passer par le dessin,
15:27 ça peut passer...
15:29 Justement, Virginie me disait une anecdote
15:31 sur quelqu'un de New York qui était super intéressante.
15:34 Un enfant, justement, qui avait...
15:36 - Oui, il participe jamais à rien.
15:38 Et la maîtresse me dit, enfin son prof,
15:40 parce que c'est un collégien, elle me dit
15:42 "Écoute, on a vraiment l'exemple, cette année encore,
15:45 de l'utilité d'utiliser ce concours
15:47 français pour faire travailler la langue française
15:49 de manière ludique et intéressée auprès de nos étudiants.
15:51 C'est qu'il y en a un qui est toujours réfractaire à tout.
15:53 Et là, cette fois-ci, il a été la voir en lui disant
15:55 "Écoutez, moi j'ai envie de participer,
15:57 mais alors voilà, j'adore le slam.
15:59 Aidez-moi à écrire un texte de slam,
16:01 et je ferai un texte pour la préservation de l'océan."
16:03 Elle me dit "Mais c'est incroyable, en fait,
16:05 dans le cours traditionnel, j'aurais pas pu utiliser ce vecteur."
16:08 Et donc, ça en tout cas encourage et ça crée une cohésion.
16:12 - On réexpliquera ça tout à l'heure,
16:14 mais Benjamin Richard,
16:16 est-ce qu'il y a des sujets,
16:18 comme là, le climat, l'environnement,
16:20 est-ce que ça crée une véritable émulation ?
16:22 Est-ce qu'on sent que c'est une jeune génération
16:26 qui s'engage, ou alors c'est la totalité,
16:29 finalement, des bénévoles, quel que soit l'âge ?
16:31 - Alors, effectivement,
16:33 ce qui est beau avec l'engagement,
16:35 c'est que ça permet de redonner prise,
16:37 de reprendre un peu l'ascendant sur des choses
16:39 où on a l'impression qu'il nous échappe des grands sujets
16:41 sur lesquels on se dit "Mais qu'est-ce que j'ai ?
16:43 Qu'est-ce que je peux faire ? Par où est-ce que je pourrais commencer ?"
16:45 Et donc, c'est vrai que ce que vous portez,
16:47 ou ce que portent les autres associations
16:49 sur les questions écologiques, ou sur ces grands sujets-là
16:51 où on se dit "Par où commencer ? La solidarité,
16:53 l'isolement social, est-ce qu'il y a une petite brique
16:55 que je peux apporter ?"
16:57 Les associations arrivent à vous donner un peu l'impression
16:59 que vous pouvez commencer quelque part,
17:01 et puis ensuite, ça peut être un long chemin d'engagement.
17:03 Donc c'est vrai que ces thématiques-là, elles motivent particulièrement,
17:05 elles suscitent de plus en plus d'engagement.
17:07 Et nous, on a la particularité sur la plateforme
17:09 d'avoir une majorité de public jeune.
17:11 Donc on a un bénévole sur deux qui a moins de 30 ans
17:13 sur la plateforme aujourd'hui, donc c'est assez considérable.
17:15 Et on voit toute cette énergie,
17:17 toute cette envie de s'engager sur différentes causes
17:19 qui ne faiblit pas.
17:21 - Et est-ce que les crises créent des vocations ?
17:23 On prend un exemple quand ils disent que les restos du cœur
17:25 manquent de bénévoles, ou manquent de nourriture,
17:27 ou manquent de produits d'hygiène. Est-ce que ça incite les gens
17:29 à venir s'inscrire chez vous, par exemple ?
17:31 - Oui, nous, on voit ces élans-là,
17:33 ces envies d'agir dans les moments
17:35 de crise. Il y a des choses
17:37 assez spontanées qui se passent,
17:39 mais ce sentiment d'urgence
17:41 était le dernier frein
17:43 avant de pouvoir sortir
17:45 de chez soi et de se dire "j'ai envie de m'engager".
17:47 Et donc c'est vrai que ces crises créent des élans.
17:49 On a eu un élan pendant le Covid, on a eu un élan
17:51 d'envie d'agir au moment de l'accueil
17:53 des déplacés ukrainiens au début de l'invasion.
17:55 On a eu...
17:57 On a des élans aussi locaux quand il y a des catastrophes
17:59 naturelles, des inondations, des feux de forêt.
18:01 Tout ça, on est capable de le voir
18:03 au niveau global.
18:05 Et c'est vrai qu'il y a d'une part
18:07 un engagement en réponse aux crises
18:09 assez spontané et d'autre part un engagement du quotidien
18:11 un petit peu plus régulier.
18:13 Et donc c'est aussi pour ça
18:15 qu'on a l'intuition que chacun
18:17 peut trouver chaussure à son pied sur la plateforme.
18:19 - Mais comment vous fléchez ? C'est-à-dire que moi
18:21 je m'inscris sur votre site,
18:23 votre plateforme
18:25 et voilà,
18:27 c'est quoi finalement le bulletin ?
18:29 C'est-à-dire que vous donnez vos sujets qui vous intéressent
18:31 ou en tout cas vos engagements
18:33 et comment c'est fléché vers les associations ?
18:35 - Les associations expriment elles aussi
18:37 leurs besoins, parce que c'est une mise en relation
18:39 qui n'est pas unilatérale. On fait attention
18:41 de correspondre aux besoins des associations. L'objectif
18:43 c'est pas de les submerger avec plein de bénévoles
18:45 à qui on ne saurait pas quoi donner
18:47 à faire le moment venu.
18:49 On fait correspondre les besoins qui sont exprimés
18:51 par les associations en disant
18:53 "Ce vendredi j'ai besoin de trois bénévoles
18:55 engagés sur l'aide alimentaire pour faire une collecte
18:57 à 18h à côté de chez moi. Et si vous avez
18:59 si vous vous recherchez quelque chose
19:01 sur les questions de précarité dans un rayon de
19:03 20 km, dans la semaine qui précède
19:05 on va venir vous proposer cette mission là.
19:07 C'est l'habitude aussi, puisque ça commence
19:09 à faire 4 ans qu'on a mis
19:11 cette chimie dans la mise en relation
19:13 qui nous permet de trouver au plus efficace
19:15 la réponse aux envies d'agir des personnes qui se connectent.
19:17 - Et le nom de la plateforme c'est ?
19:19 - Formidable, ça me donne l'occasion de vous le rappeler.
19:21 Je veux aider.gouv.fr
19:23 - C'est ça, mais c'est
19:25 une recherche naturelle. Je veux aider
19:27 quelqu'un sur une plateforme
19:29 sur Google ou n'importe quelle autre
19:31 outil
19:33 pour faire une recherche.
19:35 - On est forcément dessus, ça c'est sûr.
19:37 Allez, on fait une petite pause, on revient dans un instant.
19:39 Vous restez avec nous
19:41 jusqu'à la fin de l'émission.
19:43 On va parler de cette belle association, nous les ambitieuses.
19:45 Virginie Atlan est avec nous
19:47 et Jean-Marc Généreux aussi.
19:49 Et si vous avez des questions, n'hésitez pas, vous avez le droit
19:51 d'appeler 0 826 300
19:53 on est ensemble jusqu'à 20h.
19:55 - Sud Radio - 19h20
19:57 Philippe David, Cécile
19:59 de Ménibus.
20:01 - On adore cette émission avec Philippe David
20:03 sur l'engagement, sur la citoyenneté.
20:05 Chaque lundi
20:07 de 19h à 20h.
20:09 - Et on salue d'ailleurs Aurélie Gros et Stéphane Pelex.
20:11 On les embrasse. - On ne sait pas où ils sont
20:13 mais en tout cas... - On les retrouvera lundi prochain.
20:15 - On balancera, ne vous inquiétez pas.
20:17 Avec nous,
20:19 en tout cas, pour parler
20:21 citoyenneté, on a gardé
20:23 Benjamin Richard, bien sûr, dirigeant
20:25 de jeveuxaider.gouv.fr
20:27 Virginie Atlan, présidente fondatrice
20:29 de Nous les Ambitieuses. On est ravis de vous accueillir.
20:31 Et bien entendu, Jean-Marc Généreux.
20:33 Et à l'occasion,
20:35 finalement, de ce concours
20:37 d'écriture, de dessin, de slam,
20:39 de chant, de plein de choses, c'est la
20:41 quatrième édition et là,
20:43 on est monté d'un cran puisque
20:45 on sent que
20:47 il y a un essor, on sent qu'il y a
20:49 un retentissement
20:51 international et on est vraiment allé
20:53 à l'international cette année encore.
20:55 Oui, c'est vrai, notre volonté étant
20:57 de réaliser
20:59 une première, en fait, c'est de se dire que
21:01 en deux ans, puisque le concours va durer deux années,
21:03 on va réussir à avoir 50
21:05 lauréats annoncés le 8 juin
21:07 2024, 50 autres
21:09 lauréats annoncés le 8 juin 2025.
21:11 La date est importante.
21:13 Très, parce que c'est la journée internationale de l'Océan,
21:15 mondiale de l'Océan,
21:17 et à cette occasion, annoncer 100
21:19 lauréats et pouvoir se dire que le 8 juin
21:21 2025, ce sera aussi le sommet mondial
21:23 de l'Océan, que les chefs
21:25 d'Etat seront réunis et que
21:27 à Monaco, nous annoncerons
21:29 ces 100 lauréats. C'est une première,
21:31 c'est comment
21:33 dialoguer, échanger et sensibiliser
21:35 la jeunesse mondiale, du collège
21:37 aux grandes écoles, peu importe la voie
21:39 professionnelle choisie, les sensibiliser
21:41 et surtout recueillir leur ambition pour protéger
21:43 la planète et l'Océan. Et c'est donc une première
21:45 que de pouvoir afficher 100 lauréats
21:47 mondiaux et d'afficher
21:49 cette vision le 8 juin
21:51 2025. - Avec un partenariat
21:53 exclusif avec la fondation. - Alors on a
21:55 en fait un porteur de projet
21:57 formidable qui est un chef d'Etat, c'est Monseigneur
21:59 le Prince Albert II de Monaco
22:01 qui évidemment se réjouit
22:03 de porter ce concours
22:05 à nos côtés. Les temps
22:07 forts se passeront donc à Monaco avec
22:09 l'annonce, c'est le 8 juin déjà 2024
22:11 où on a toute une série d'activités ludiques
22:13 qui seront proposées en
22:15 garde de Monaco. On va vraiment mener
22:17 une belle journée d'action et de sensibilisation avec
22:19 la jeunesse, avec un artiste incroyable
22:21 Ilan Hanoufa qui vient avec
22:23 des baires sur lesquelles les jeunes
22:25 vont pouvoir peindre et dessiner
22:27 des messages positifs sur la protection
22:29 de l'Océan. Mais aussi un
22:31 livret que nous sommes en train de réaliser
22:33 un livret de jeux
22:35 de 40 pages pour tout
22:37 âge pour se replonger dans ce qu'on a pu
22:39 connaître. - On peut le montrer d'ailleurs. - On peut le montrer juste
22:41 alors il n'est pas finalisé en tout cas c'est la maquette
22:43 mais... - Il sera mieux que ça
22:45 - Il sera super sur papier
22:47 - C'est la pré-maquette
22:49 - Avec 40 jeux réalisés
22:51 à l'intérieur avec
22:53 notre référent développement durable de l'éducation
22:55 nationale David Guillerm mais aussi
22:57 nos partenaires qui participent
22:59 on aura des distributions évidemment de
23:01 produits aussi et tout ça étant très
23:03 éthique et responsable
23:05 on est vraiment dans une démarche où
23:07 le contenant
23:09 et le contenu vont dans le sens de notre
23:11 projet, vraiment la protection de la
23:13 ressource, des ressources en général
23:15 et avec un titre un peu général
23:17 de ces ressources qui peuvent du coup
23:19 intéresser
23:21 "n'importe quel jeune" on peut avoir une sensibilité
23:23 sur les espèces animales
23:25 et nous avons la fondation de Jane Goodall à nos côtés
23:27 mais l'océan... - Avec un ambassadeur aussi
23:29 - Un ambassadeur assez fort qui est
23:31 Laurent Balesta et Laurent Balesta
23:33 c'est la star de l'océan, on a d'ailleurs
23:35 le 23 mai un
23:37 Zoom international avec
23:39 Laurent Balesta qui va être connecté avec toutes les écoles qui
23:41 se plug à notre
23:43 Zoom et un temps d'échange
23:45 avec lui sur la fin du concours
23:47 donc voilà plein de
23:49 plein d'actions à impact pour sensibiliser
23:51 vraiment sortir de l'école
23:53 et aller à la rencontre des solutions vertes et bleues
23:55 autour de l'environnement de l'étudiant
23:57 et ça c'est quand même formidable
23:59 - Et le faire comme bénévole aussi
24:01 - Bien sûr
24:03 - Et pour ça aujourd'hui c'est...
24:05 - On a un lien à faire avec vous parce que nous
24:07 tout notre réseau national, international
24:09 ce sont que des mamans, que des personnes engagées
24:11 on a Jean-Marc Généreux qui est notre ambassadeur
24:13 au Canada mais des ambassadrices
24:15 qui sont bénévoles dont Cécile fait partie
24:17 mais Luana Belmondo, Daniel Evenou
24:19 Linda Hardy, Chantal Ladsou
24:21 beaucoup de gens qui se mobilisent
24:23 à nos côtés, on a
24:25 des gens formidables
24:27 je veux dire qu'il y a aussi des professeurs qui
24:29 jouent le jeu, on a l'exemple à Monaco
24:31 de Muriel Lestini qui fait un travail formidable
24:33 qui est sur le terrain même les week-ends
24:35 je l'ai encore croisée samedi à Monaco
24:37 elle utilise chaque événement
24:39 porteur de valeur
24:41 elle y associe ses élèves pour qu'ensuite
24:43 ils racontent dans le cadre du concours
24:45 l'expérience partagée sur le terrain
24:47 et c'est quand même formidable
24:49 - Benjamin Richard ça doit vous intéresser
24:51 des échanges entre vous
24:53 entre nous les ambitieuses et jeveuxaider.gouv.fr
24:55 - Bien sûr, ça fait beaucoup de sens
24:57 on dirait qu'il y a eu
24:59 une bonne vie de relation nationale
25:01 - Parce que vous vous êtes un peu
25:03 le Tinder des associations
25:05 - J'adore, des bénévoles
25:07 - Et nous comme on est un duo mythique
25:09 de la radio, excusez le jeu de mots
25:11 j'ai pas pu m'empêcher
25:13 - On est le Tinder et on est aussi le mythique
25:15 on fait des relations, cour de relation
25:17 on fait tout type de relations
25:19 - Mais en tout bien, tout honneur
25:21 - Et je crois qu'on a 4 ans d'expérience
25:23 sous les deux, on existe depuis 4 ans
25:25 - Exactement, c'est illustré ce que je disais tout à l'heure
25:27 comme quoi ces crises là sont des accélérateurs
25:29 d'engagement et c'est vrai qu'il y a beaucoup de choses
25:31 qui nous rassemblent, nous on est en train
25:33 de mettre en lumière toutes les missions
25:35 d'engagement sur les thématiques d'écologie
25:37 c'est sûr qu'il y en a qui peuvent intéresser
25:39 il y a un intérêt à s'y croire, à se rapprocher
25:41 - Ce qui est important de rappeler
25:43 que ce soit avec nous les ambitieuses
25:45 ou avec jeveuxaider.gouv.fr
25:47 c'est finalement ça a du sens
25:49 c'est le sens qu'on donne aux choses
25:51 à la vie, à notre travail
25:53 à l'engagement et c'est redonner
25:55 finalement de l'engagement civique
25:57 auprès d'une jeune génération
25:59 qui n'a peut-être pas été élevée
26:01 dans ce sens
26:03 - Oui, exactement, on trouve beaucoup de choses
26:05 finalement dans l'engagement
26:07 évidemment on trouve premièrement
26:09 un sentiment d'utilité
26:11 on retrouve la capacité d'agir
26:13 sur des grandes causes
26:15 on sert l'intérêt général et puis on trouve aussi des choses
26:17 très personnelles, puisque d'abord il faut que ça reste
26:19 un plaisir, que ce soit quelque chose
26:21 d'imposé, c'est vraiment un acte volontaire
26:23 et puis on trouve aussi beaucoup de choses
26:25 il faut l'assumer, on vient chercher des choses pour soi
26:27 on trouve des compétences
26:29 des compétences de gestion de projet
26:31 des petites responsabilités, du savoir-être
26:33 on trouve beaucoup de choses
26:35 - La transmission c'est essentiel
26:37 - Exactement - Est-ce qu'au Québec, j'en marque généreux
26:39 aujourd'hui on est très engagé
26:41 est-ce que finalement c'est une région
26:43 d'engagés ?
26:45 - Je pense que le Canada en général
26:47 a à coeur
26:49 que cette planète, en tout cas
26:51 pour notre parti, vu qu'on est
26:53 le deuxième pays le plus grand
26:55 sur la planète, on a
26:57 un souci
26:59 et aussi un très grand
27:01 savoir-faire
27:03 parce qu'on a une grande responsabilité
27:05 d'avoir tout ce territoire
27:07 en général, vous savez
27:09 c'est un truc qu'on prend pour acquis
27:11 mais le recyclage
27:13 des déchets, tout ça
27:15 maintenant on a quatre
27:17 trucs qui sont très importants dans chaque maison
27:19 et chaque journée
27:21 est dédiée
27:23 à reprendre
27:25 tous les éléments qui peuvent
27:27 être recyclés, qui sont bons pour la planète
27:29 je vais faire un exemple
27:31 un de nos astronautes
27:33 a fait son voyage
27:35 se retrouve sur la station spatiale
27:37 regarde à travers le hublot et il voit
27:39 cette planète qui est merveilleuse
27:41 qui est éclairée, il voit cette sphère
27:43 et il réalise, bon il pleure
27:45 il trouve ça tellement
27:47 beau - émouvant - émouvant
27:49 et il réalise comme tout le monde
27:51 mais il n'y a rien autour
27:53 de cette planète
27:55 il n'y a pas quelqu'un qui va venir sur un vaisseau spatial
27:57 d'une autre planète pour aller puiser de l'eau
27:59 ou de l'oxygène ou
28:01 réparer la couche d'ozone
28:03 et là il se dit, ça fait des millions
28:05 d'années qu'on utilise la même eau
28:07 et donc si on ne le fait pas de la bonne façon
28:09 un jour on va
28:11 tellement pourrir cette eau
28:13 et que ça va faire
28:15 et ça il faut vraiment se le dire
28:17 c'est pas nous qui allons gagner
28:19 c'est la planète qui va gagner
28:21 à un moment donné elle va dire, on va vous éliminer
28:23 parce que vous n'êtes pas bons
28:25 et souvent je dis, il n'y a pas
28:27 le père nature, c'est ma mère nature
28:29 jeune femme
28:31 il y a une ambitieuse qui va dire, allez les gars
28:33 dégagez, dégagez
28:35 vous pourrissez mon eau, vous pourrissez mon air
28:37 allez, on va régler ça
28:39 donc ça va prendre des bénévoles à quelque part
28:41 pour aider tout ça
28:43 allez, vous restez avec nous, vous faites une petite pause
28:45 on revient dans un instant, à tout de suite
28:47 France, 19h20
28:49 Philippe David, Cécile Dominibus
28:51 et très bien entouré
28:53 Virginie Atlan
28:55 qui dit au revoir, on n'a pas fini
28:57 Virginie Atlan, président de Fondafilis
28:59 de nous les ambitieuses
29:01 avec Jean-Marc Généreux
29:05 l'un des ambassadeurs de cette
29:07 association et Benjamin Richard
29:09 qui était avec nous, dirigeant de
29:11 jeveuxaider.gouv.fr
29:13 une très belle
29:15 plateforme très
29:17 interactive et qui vous permet
29:19 Benjamin Richard finalement
29:21 de trouver un sens à votre
29:23 engagement sur des thématiques
29:25 qui vous intéressent et de pouvoir
29:27 finalement se connecter avec
29:29 un besoin de sens pour les uns
29:31 et un besoin d'aide pour les autres
29:33 on fait une mise en relation toute simple
29:35 entre des envies d'agir que
29:37 toutes les générations peuvent exprimer sur différents
29:39 sujets et puis des besoins qui sont exprimés
29:41 par les associations aujourd'hui
29:43 et en fait il y a une correspondance
29:45 on arrive à mettre ce beau monde en relation
29:47 de manière très concrète, tous les jours
29:49 c'est 550 personnes sur la plateforme
29:51 qui s'engagent sur différentes thématiques
29:53 donc on est assez fiers de ce...
29:55 Et c'est local ou national ?
29:57 C'est national sur le territoire métropolitain
29:59 et ultramarin. Et donc
30:01 quelqu'un qui vit dans une
30:03 commune ou dans une région de la France
30:05 va pouvoir identifier un endroit
30:07 pour certains besoins ? Près de chez lui. Exactement
30:09 vous pouvez chercher par code postal
30:11 vous faites le dispatch. Exactement, vous pouvez chercher par code postal
30:13 à côté de chez vous dans un rayon de 5-10
30:15 kilomètres ou même si vous n'avez
30:17 pas forcément de mission à disposition
30:19 dans 5 kilomètres puisque vous habitez dans un endroit
30:21 très très reculé, vous avez la possibilité de faire du bénévolat
30:23 à distance, parce que les associations
30:25 ont aussi besoin. Vous pouvez mentorer
30:27 des jeunes en visio, vous pouvez faire plein de choses
30:29 assez sympas. Il n'y a pas
30:31 de mauvaise raison
30:33 de s'engager. Ça peut être une
30:35 heure, deux semaines, ça peut être...
30:37 Au choix. Exactement.
30:39 Vous renseignez votre disponibilité et nous on se
30:41 charge de vous trouver la mission qui correspond
30:43 à votre envie d'agir. Comme quoi le confinement
30:45 a finalement du bon
30:47 pour certains puisque que ce soit
30:49 jeveuxaider.gouff.fr
30:51 et que ce soit nous les ambitieux
30:53 c'est né finalement
30:55 de dire
30:57 qu'est-ce qu'on peut faire pour changer les choses
30:59 et avoir des actions positives. C'est ça,
31:01 vraiment par l'action positive, comment changer le monde
31:03 comment s'entraider, comment créer des ponts
31:05 entre le rural et l'urbain, comment mener des actions
31:07 au cœur des territoires, Paris n'étant pas la France
31:09 Croiser des expertises
31:11 valoriser
31:13 l'engagement citoyen puisque nous une fois par an
31:15 on a notre journée nationale des gestes audacieux
31:17 où nous valorisons des jeunes engagés qui ont
31:19 vraiment initié, mis en place
31:21 une action sociétale forte dans leur environnement
31:23 donc le concours d'écriture et de dessin
31:25 c'est une façon aussi de se sensibiliser par l'engagement.
31:27 Alors on parlait de l'engagement à partir de
31:29 16 ans sur la plateforme, pour votre concours de dessin
31:31 et d'écriture
31:33 quel est l'âge minimal requis ?
31:35 Parce qu'on peut écrire et dessiner avant 16 ans théoriquement.
31:37 C'est du collège aux voies professionnelles
31:39 et pas ce tobac, donc c'est de 11 ans
31:41 à la fin des études
31:43 puisqu'ils peuvent faire un dessin ou
31:45 nous écrire de quelle manière ils ont
31:47 décidé de s'engager au travers d'un métier
31:49 qu'ils vont exercer prochainement.
31:51 Tous les métiers aujourd'hui peuvent avoir
31:53 un lien éco-responsable
31:55 que ce soit
31:57 la construction avec les nouvelles normes
31:59 écologiques HQE
32:01 ou même
32:03 on a échangé avec les étudiants
32:05 d'ailleurs avec Jean-Michel Blanquer il y a de cela
32:07 il y a deux mois avec les étudiants d'AgroParisTech
32:09 et les futurs ingénieurs, pareil, ils sont
32:11 très sensibilisés à l'engagement
32:13 mais ça peut être aussi, je discutais avec
32:15 le Cordon Bleu et des écoles de cuisine
32:17 une manière aussi
32:19 d'être sensible à la pêche du jour
32:21 à la viande de saison
32:23 je ne savais même pas que ça existait
32:25 les fruits et légumes de saison, enfin tout peut être
32:27 mis en oeuvre
32:29 en étant respectueux de la planète, de ses ressources.
32:31 Et ce qui est important c'est
32:33 qu'aujourd'hui vous vous déployez dans tous les pays
32:35 francophones de la planète.
32:37 Pas les pays francophones en fait, toutes les classes
32:39 de français à travers le monde peuvent participer
32:41 par exemple on est actuellement avec
32:43 on travaille beaucoup avec
32:45 des études, des lycées français
32:47 ou des écoles américaines
32:49 on était avec Sarah Brook qui dirige
32:51 des cours de français dans des
32:53 écoles américaines mais elle dispense
32:55 un cours de français et elle utilise le concours
32:57 pour animer sa classe de français
32:59 puisque c'est en quelque sorte
33:01 faire discuter les étudiants
33:03 de sujets courants
33:05 de société et pour elle
33:07 c'est en tout cas depuis 3 ans
33:09 qu'elle utilise la meilleure méthode
33:11 d'encourager et de sensibiliser
33:13 les étudiants
33:15 du monde entier à pratiquer la langue française.
33:17 Pour qu'on comprenne bien, le 8 juin
33:19 2024, 50 lauréats
33:21 et idem pour le 2025
33:23 comment vont être déterminés
33:25 finalement ces lauréats ?
33:27 Alors il y a un jury, d'ailleurs
33:29 Cécile tu fais partie de ce jury
33:31 alors on a un logiciel qui trie
33:33 en continu les textes
33:35 sur le format choisi
33:37 les dessins, qui aussi
33:39 prend en compte le thème du concours
33:41 si c'est trop éloigné, ça ne garde pas
33:43 aussi en fonction des tranches d'âge
33:45 les fautes dans les textes
33:47 enfin beaucoup de paramètres déjà trie
33:49 et sélectionne. Ensuite on a
33:51 un premier jury qui
33:53 fait la grosse sélection
33:55 et le jury va
33:57 début juin et le 8 juin
33:59 annoncer 50 lauréats et 5
34:01 coups de coeur dans une base
34:03 qui aura été présélectionnée. Donc c'est
34:05 un jury qui est composé de nos partenaires
34:07 et c'est grâce à eux qu'on existe
34:09 vraiment il est important de pouvoir dire que la fondation
34:11 Antoine de Saint-Exupéry, mais la fondation
34:13 Jane Goodall, Ferrero-NJ, NQT
34:15 avec un énorme réseau de bénévoles
34:17 que vous devriez aussi rencontrer
34:19 Pif le Mag
34:21 qui sans arrêt aussi raconte le concours
34:23 à nos côtés et mettra en avant
34:25 en juillet les lauréats. On est
34:27 actuellement dans le Pif avec tous les liens
34:29 de connexion pour participer
34:31 et tous ces partenaires
34:33 communiquent aussi avec nous, créent du
34:35 contenu dans le cadre des ateliers que nous animons
34:37 sur le terrain. - Mais des petits conseils
34:39 pour les mamans qui nous écoutent ou
34:41 pour les institutrices
34:43 ou les profs qui nous écoutent de dire
34:45 "attention j'ai entendu peut-être aux fautes
34:47 d'orthographe, peut-être des petits conseils"
34:49 - C'est déjà de
34:51 sensibiliser l'enfant
34:53 l'étudiant à une
34:55 cause pour laquelle il a une sensibilité
34:57 et toi qu'est-ce que tu aimerais raconter sous forme de
34:59 BD ou de texte ou de chanson
35:01 ou de dessin ? Qu'est-ce que tu aimerais
35:03 dire ? Qu'est-ce que tu ferais ? - De poème
35:05 - Ou de poème. Qu'est-ce que tu
35:07 réaliserais pour
35:09 témoigner de ton engagement ?
35:11 Voilà, toi à ton jeune âge
35:13 ou en tant que jeune adulte
35:15 qu'est-ce que tu ferais si demain t'étais
35:17 l'ambassadeur de la planète et de l'océan ?
35:19 Qu'est-ce que tu déciderais de mettre en place
35:21 pour protéger une ressource
35:23 que tu aimes ? Ça peut être une ressource animale
35:25 ça peut être la gestion de l'eau
35:27 ça peut être une ressource particulière
35:29 - C'est quoi votre sujet, vous, Jean-Marc
35:31 Généreux, concernant la planète ?
35:33 - Moi je pense que l'eau
35:35 c'est ce qui nous... - Un enjeu
35:37 important. - Oui, et c'est drôle parce que
35:39 - Alors que vous êtes du pays qui a les premières réserves mondiales
35:41 - Absolument, mais
35:43 on veut le conserver. Moi je
35:45 dis l'eau où tu peux pas vivre
35:47 sans et où tu peux pas vivre avec trop
35:49 tu sais, à cause
35:51 qu'on manipule des trucs
35:53 dans l'air et sur la planète
35:55 il y a des inondations, on est pas
35:57 assez conscient de tout ce qui se passe
35:59 et de l'environnement, et les glaciers
36:01 je veux pas en faire un cas
36:03 mais les glaciers c'est frites
36:05 et ils font monter
36:07 le niveau de l'eau et aussi
36:09 le réchauffement de la planète, donc
36:11 à notre niveau
36:13 il y a... et je fais un petit
36:15 parallèle avec le concours de dessin
36:17 mais pour moi l'orthographe
36:19 ça a toujours été
36:21 compliqué, je suis dyslexique, c'est un peu
36:23 je peux inventer des choses
36:25 très très belles
36:27 - Pour les pognes on peut inventer des choses aussi
36:29 - Oui, je pense qu'il y a le petit
36:31 Robert et le petit Jean-Marc
36:33 cela dit, je pense
36:35 que j'ai manifesté
36:37 très souvent, j'ai milité à travers
36:39 mes dessins, j'ai sensibilisé
36:41 des gens à travers
36:43 mes coups de crayon mais qui étaient pas
36:45 nécessairement mesurés par
36:47 un orthographe particulier
36:49 et je pense que ça, cette langue là
36:51 l'expression par toutes
36:53 les formes pour militer
36:55 et ça va valider ce qu'on essaye de faire
36:57 - Je voudrais dire que l'eau c'est la vie
36:59 quand on va essayer d'explorer dans l'espace
37:01 s'il y a une autre planète, la première chose que on regarde
37:03 est-ce qu'il y a de l'eau ? S'il n'y a pas d'eau, il n'y aura pas
37:05 de vie, donc ça ne nous intéresse pas
37:07 - Un dernier mot, en même pas une minute, sur
37:09 le rapport d'impact, l'étude d'impact
37:11 que vous avez fait pour jeveudais.gouv.fr
37:13 - Oui, merci beaucoup, ça me donne l'occasion
37:15 de vous la montrer, effectivement
37:17 on a beaucoup dit rendez-vous sur jeveudais.gouv.fr
37:19 pour trouver une mission, si jamais
37:21 l'émission d'aujourd'hui vous a donné envie d'en savoir plus
37:23 sur l'engagement et sur ce que nous, on
37:25 constate de notre œil de plateforme du bénévolat
37:27 on a consigné pas mal de chiffres sur
37:29 les envies d'agir des bénévoles, les besoins des associations
37:31 sur la manière
37:33 dont tout ça se mettait
37:35 en relation et en
37:37 musique par la
37:39 plateforme et vous pouvez le retrouver sur
37:41 notre site à la rubrique "mesures
37:43 d'impact" - Eh bien merci
37:45 en tout cas beaucoup de nous
37:47 avoir rendu visite, merci
37:49 beaucoup Benjamin Richard, intrapreneur
37:51 d'état, dirigeant de
37:53 jeveudais.gouv.fr
37:55 la plateforme publique de l'engagement bénévole
37:57 merci beaucoup Virginie Atlan d'être venue
37:59 présidente fondatrice de Nous les Ambitieux
38:01 je vous rappelle que c'est un réseau de femmes engagées
38:03 pour valoriser et récompenser
38:05 les initiatives positives, merci
38:07 beaucoup Jean-Marc Généreux - Et tout le monde
38:09 peut s'inscrire au concours, hein ?
38:11 - Oui, utilisez, inscrivez-vous
38:13 - On attend vos textes ou vos dessins avant la troisième
38:15 - On s'inscrit sur Nous les Ambitieuses
38:17 - Oui, Nous les Ambitieuses, il y a le lien concours d'écriture et de dessin
38:19 et on poste son texte ou son dessin
38:21 avant le 30 mai
38:23 pour pouvoir être sûr d'être dans la sélection du jury
38:25 - Oh la la, tu vois, oh la la
38:27 - Et merci à notre ambassadeur canadien puisque des hommes
38:29 nous aident dans cette organisation de femmes
38:31 - Et c'est bien de le dire - Et c'est fort heureux
38:33 - Merci d'être venu, on se retrouve
38:35 pour les vraies voix demain à 17h avec
38:37 Philippe David - A 17h et au programme
38:39 à 20h de Sud Radio Rugby
38:41 et on va évidemment revenir sur la deuxième mi-temps grandiose
38:43 du Stade Toulousain hier
38:45 contre Exeter et le week-end de Coupe d'Europe
38:47 qui a été quand même dur pour les Français
38:49 puisque seul le Stade Toulousain est passé dans la Grande Coupe d'Europe
38:51 à 20h le flash, mais tout de suite
38:53 Sud Radio à votre service - Salut et à demain
38:55 pour les vraies voix

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