C’est sur ses plages que Bernard Kouchner avait posé en 1992 avec un sac de riz sur les épaules. La Somalie et sa capitale Mogadiscio, ravagées par la guerre civile, avaient faim et le monde venait à leur secours. 29 ans plus tard, tout est pire.
Pas d’État, pas d’équipements publics, des bâtiments en ruine, quasiment pas d’armée ni de police, la plus grande partie du pays échappe au contrôle du gouvernement.
Pendant 3 semaines, Stéphane Girard a pu filmer dans ce pays où la mort menace à chaque coin de rue. Il a suivi la vie quotidienne des jeunes Somaliens, entre misère et rêve d’exil en Europe, il s’est fait admettre dans les clans qui rendent la justice à la place de l’état, il a réussi à filmer dans la prison de Mogadiscio, la plus ancienne d’Afrique, la plus dangereuse aussi, où sont entassés à 50 par cellule des centaines de terroristes, enfants et criminels endurcis mélangés.
Il a aussi suivi le maire de la ville qui tente avec des moyens dérisoires de ramener la sécurité dans ses rues. Un combat que l’édile paiera de sa vie.
Pas d’État, pas d’équipements publics, des bâtiments en ruine, quasiment pas d’armée ni de police, la plus grande partie du pays échappe au contrôle du gouvernement.
Pendant 3 semaines, Stéphane Girard a pu filmer dans ce pays où la mort menace à chaque coin de rue. Il a suivi la vie quotidienne des jeunes Somaliens, entre misère et rêve d’exil en Europe, il s’est fait admettre dans les clans qui rendent la justice à la place de l’état, il a réussi à filmer dans la prison de Mogadiscio, la plus ancienne d’Afrique, la plus dangereuse aussi, où sont entassés à 50 par cellule des centaines de terroristes, enfants et criminels endurcis mélangés.
Il a aussi suivi le maire de la ville qui tente avec des moyens dérisoires de ramener la sécurité dans ses rues. Un combat que l’édile paiera de sa vie.
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