Campagne maïs
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00:00Le bilan que nous avons établi la semaine dernière, après études minutieuses de tous
00:11les systèmes de production, tous les secteurs de production, s'établit à 93 quintaux
00:175, c'est-à-dire un résultat meilleur que l'année dernière, ce qui nous a un petit
00:23peu surpris dans la mesure où l'année a été climatiquement beaucoup plus dure.
00:26Malgré la fin de cycle très difficile, très sèche, très chaude, on attribue ce
00:35résultat d'abord à la stratégie culturelle adoptée par les agriculteurs, c'est-à-dire
00:40que maintenant la généralisation des semis précoces a été encore une fois cette année
00:45très payante, certainement aussi l'effet variétal a joué, le progrès génétique
00:53est visible dans les contraintes de stress hydrique, et le choix des agriculteurs sur
00:59des variétés élites a certainement joué à stabiliser les rendements.
01:03Par contre, par rapport à l'année dernière, le rendement n'est pas très homogène, c'est-à-dire
01:08qu'on a à la fois, on a la cohabitation de zones à rendement très bon, très élevé,
01:14et des zones à rendement moyen où les maïs sont bien résistés, et puis des zones plus
01:18difficiles où les rendements sont quand même moyen adécevants, mais globalement
01:23c'est les bons rendements qui l'emportent.