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NewsTranscription
00:00Gilles Bermontagny avec Les Sunlights des Tropiques en 1985, des paroles écrites par notre invité, bonjour Didier Barbelivien !
00:12Bonjour, j'ai beau l'avoir entendue mille fois, je l'écoutais en fond de sourd, elle me plaît toujours autant.
00:19Et vous la fredonnez toujours avec plaisir donc.
00:22Je chante dessus.
00:25Merci beaucoup d'être avec nous Didier Barbelivien dans le club de l'été.
00:28On est en famille ce matin puisque les auditeurs d'Europe 1 vous écoutent toute l'année avec votre émission
00:33Dis-moi ce que tu chantes tous les dimanches et tout l'été avec les étoiles d'Europe 1.
00:37Mais quand on entend, Didier, Les Sunlights des Tropiques, on se dit qu'un tube sur deux en France est de vous.
00:44Non, vous exagérez.
00:48Il y en a eu, il y en a eu beaucoup, mais non, c'est pas un sur deux.
00:53Parfois on se rend compte longtemps après que vous êtes l'auteur, on découvre des chansons, on les entend, mais les paroles, Didier Barbelivien.
01:00Ça, ça m'arrive souvent, de rencontrer des gens du public qui me disent
01:05mais je ne savais pas que c'était vous qui aviez écrit ça.
01:09Vous savez, ça va faire l'année prochaine l'objet d'un spectacle.
01:14Ah bon ?
01:16Oui, Roberto Carleo, qui est un producteur, il a décidé de faire toute une...
01:23Comment on peut appeler ça ? Un genre de comédie musicale autour de mes titres.
01:27D'accord, et je crois que pour ce qui concerne Les Sunlights des Tropiques, d'ailleurs, vos filles aussi ont découvert tard que c'était vous qui aviez décrit les paroles.
01:36Louise est arrivée un après-midi à rentrée de l'école, elle me dit mais qu'est-ce que j'apprends ?
01:41Je dis mais de quoi elle va me parler ?
01:44C'est toi qui as écrit Les Sunlights des Tropiques et je ne le sais même pas, c'est mes copines qui me l'ont dit.
01:49C'est drôle.
01:50Si tu t'intéressais un peu plus à ce que c'est ton père, tu le saurais.
01:54Jean-Philippe Langeau.
01:55Et donc, il y a quand même énormément de tubes que vous avez écrits, est-ce qu'il y en a certains que vous regrettez ne pas avoir écrits ?
02:00Certaines chansons que vous regrettez ne pas avoir écrites ?
02:02Oh bah oui, alors, il n'y a que ça même.
02:05Ah bon ?
02:06Non, mais les chansons, on a cette chance en France d'avoir des auteurs incroyables.
02:13Il y a des chansons de Calogéro, des chansons de tout le monde, de Johnny, de Claude François.
02:19Comme d'habitude, j'en ai écrit, comme d'habitude.
02:23C'est un chef-d'oeuvre.
02:24Didier Barbelivien, faiseur de tubes, Didier Barbelivien, romancier.
02:28En début d'année, vous avez publié votre roman La seule façon d'aimer chez Fayard.
02:33L'histoire de Jeanne, 16 ans, lycéenne, belle, intelligente, elle a tout pour elle, elle va tomber amoureuse de son prof de français.
02:40Ils vont vivre une histoire d'amour, une histoire pas simple, évidemment.
02:44Non, pas du tout.
02:45C'est de la fiction, Didier, bien sûr, mais pourquoi choisir d'écrire sur une liaison qui semble en tout point vouée à l'échec ?
02:51Ah bah parce que j'aime cette idée, moi, je suis resté un éternel romantique et j'aime cette idée des amours contrariés.
03:00Des choses qui ne marchent pas bien à l'origine et qui vont, pendant 10 ans, dans le roman, ça se complique.
03:11Ils ne sont plus en relation à un moment, évidemment.
03:14La société réprouve cette liaison.
03:17Moi, je me suis référé à l'époque, à l'histoire de Gabriel Russier et c'est vrai que ça ne finit pas aussi mal que dans, hélas, la vie de Gabriel Russier.
03:29Mais c'est quelque chose qui est contrarié par la société, bien évidemment.
03:35Dans ce roman, La seule façon d'aimer, Didier Barbelivien, vous explorez l'attachement amoureux.
03:41Donc on l'entend, vous le dites très bien, son aspect tourmenté aussi.
03:44Cet attachement qui bouleverse l'existence et donc qui bouleverse l'existence de vos deux personnages, Jeanne et Frédéric.
03:51Oui, parce qu'à un moment, évidemment, leur existence se sépare et ça va durer longtemps.
03:57Pont-il se retrouver ? C'est ça la question dans le livre.
04:02Bon, il est question d'amour, bien sûr, d'un amour passionnel, intense.
04:06Votre titre, La seule façon d'aimer, c'est quoi la seule façon d'aimer, Didier, selon vous ?
04:11C'est d'aimer jusqu'à la folie ?
04:13Oui, je suis parti de cette phrase de Françoise Saton qu'elle avait prononcée.
04:17Il n'y a qu'une façon d'aimer, c'est d'aimer jusqu'à la folie, jusqu'à se perdre en l'autre.
04:22Et c'est ce qui arrive parce que l'héroïne, c'est elle qui mène la danse et elle est obsessionnelle.
04:34Elle veut retrouver cet homme à tout prix et elle mettra 15 ans.
04:41Et quand elle va le retrouver, que va-t-il se passer ?
04:44Il faut l'inspecteur Colombo, là.
04:47Ce qui vous intéresse, ce sont les embûches qui ponctuent cette histoire qui va durer plusieurs années.
04:54La seule façon d'aimer, c'est aussi cette chanson de France Gall, Tout donner, c'est la seule façon d'aimer.
05:00Oui, qu'elle avait fait en duo avec Elton John, absolument.
05:04Frédéric, qui est professeur de lettres dans ce livre, c'est un passionné des mots, c'est un passionné de littérature.
05:10Est-ce qu'il y a de vous aussi dans ce personnage ?
05:13Bizarrement, oui, parce que de toutes les références que je lui fais citer ou elle,
05:20bien sûr, il est emprunt de tout ce que j'ai lu, entendu dans ma vie et tout ça, bien sûr.
05:28Mais je pense que l'héroïne est plus proche de mon personnage que le héros.
05:35Parce qu'en fait, le héros, il est derrière, il se laisse un peu manipulé par elle.
05:43Au départ, c'est elle qu'il veut.
05:46Ce n'est pas un homme de 40 ans qui tombe amoureux d'une fille de 16 ans, non, non.
05:52C'est le contraire.
05:54C'est elle qui tombe amoureuse de lui, au premier regard, au premier truc.
05:59C'est ce que vous dites, c'est elle finalement qui mène la danse, si j'ose dire.
06:05Mais bon, évidemment, la différence d'âge et puis le fait qu'elle soit mineure, ça complique les choses.
06:10Vous l'expliquez aussi dans votre roman.
06:12Vous dites que vous êtes un sentimental.
06:14Beaucoup de vos chansons évoquent ce sujet de l'amour.
06:17Didi Barbu, il y vient.
06:18C'est évident pour vous d'écrire autour de ça l'amour, l'amour passionnel, mais aussi l'amour tragique tel qu'il existe.
06:26Oui, mais quand je dédicace à mes deux filles en leur disant que la plus grande affaire de leur vie sera l'amour,
06:34je pense que c'est pour nous tous pareil.
06:37On a tous nos vies professionnelles, nos vies qui sont ce qu'elles sont.
06:43Mais pour moi, l'amour a toujours été le sujet le plus important de ma vie.
06:48Donc cela devait être forcément l'objet d'un roman.
06:51Vous deviez forcément parler d'amour dans un roman.
06:54C'est-à-dire, je me disais si un jour j'écris un vrai roman, un truc en entier, pas des phrases, des pages de chansons.
07:02Oui, c'est évident pour moi.
07:05Il fallait que j'invente une histoire d'amour un peu cinglée.
07:09Une histoire d'amour un peu cinglée.
07:11La seule façon d'aimer publiée chez Fayard.
07:14On continue d'en parler avec vous.
07:16On revient dans quelques secondes.
07:2270 ans, les yeux à la fenêtre, tournés vers l'océan.
07:29Rêvés de goélettes au bar des goélands.
07:35Des copains qui se répètent, des copains fatigants.
07:39Le Club de l'été jusqu'à 11h avec à mes côtés Jean-Philippe Longo.
07:43Et nous sommes en ligne avec Didier Barbelivien.
07:46Didier, on entend votre chanson 70 ans, extrait de votre dernier album qui porte votre nom, tout simplement.
07:51Dernier album, est-ce que ça veut dire aussi que vous n'allez plus enregistrer d'albums en tant qu'interprète ?
07:57Oui, enfin, si je réenregistre, ce sera plus sur des disques.
08:03Ce sera une ou deux chansons ou trois qui passeront sur les plateformes.
08:08Mais j'écoutais vos pubs, j'adore l'idée libre comme Europe 1.
08:13Ah, la promo pour la rentrée, oui.
08:15La promo pour la rentrée, je vais vous dire pourquoi, parce que c'est la vérité.
08:20Je pense qu'on est libre sur Europe 1.
08:24En tout cas, moi, je le vis comme ça dans mon émission chaque semaine.
08:27Oui, et on vous entend le week-end dans Dis-moi ce que tu chantes et on vous retrouvera à la rentrée.
08:32On va d'ailleurs pouvoir en parler avec vous, Didier Barbelivien.
08:35Vous avez fêté vos 70 ans en mars dernier.
08:38Ça a été douloureux.
08:40Ah oui, c'est vrai ?
08:41Mais non, mais ça passe comme une lettre à la poste.
08:44Votre roman La seule façon d'aimer est sorti un petit peu avant.
08:47Mais pourquoi ce désir d'écrire un roman, Didier Barbelivien ?
08:51Parce que c'est venu de l'idée.
08:56C'est venu de ce couple improbable qui va se chercher dans 15 ans.
09:04J'ai eu l'idée de ça.
09:05Je me disais, il faut que j'écrive une histoire d'amour, mais tordue.
09:10Je ne pouvais pas écrire une histoire d'amour simple.
09:14Je voulais un truc qui tienne le lecteur en haleine.
09:18On s'apitre, on s'apitre.
09:20Vous savez, on a eu en première heure avec nous le chanteur que vous connaissez aussi très bien,
09:25j'imagine Nicolas Perracq, qui écrit aussi des romans.
09:28Je l'adore, je l'adore Nicolas.
09:29Vous allez peut-être être d'accord avec lui.
09:31Il nous disait tout à l'heure que le roman, c'est aussi une manière de raconter une histoire.
09:36Dans le temps long, elle va durer, cette histoire d'amour ou autre, plus de trois minutes.
09:40C'est de prendre le temps de développer un récit.
09:44Est-ce que c'est aussi ce que vous avez ressenti lorsque vous avez rédigé votre roman ?
09:48Oui, mais comment dire ?
09:50Je n'avais pas de frustration par rapport à ça.
09:52J'aime autant écrire des choses courtes, des chansons, que d'écrire ce roman.
09:58Je continue d'écrire des chansons pour les autres.
10:00Et franchement, c'est passionnant.
10:03Là, j'ai écrit pour Julien Gleyre, pour l'album de l'année prochaine.
10:07Ça reste une excitation.
10:09Oui, d'accord.
10:10Le jour où je ne serai plus excité par l'écriture, je m'arrêterai.
10:13Je me mettrai au jogging et je ferai comme toujours.
10:16L'écriture quelle qu'elle soit, on parlait de libre comme Europe 1.
10:19Est-ce qu'il y a aussi plus de liberté dans un roman ou pas spécialement ?
10:22Vous vous sentez libre aussi lorsque vous écrivez des chansons ?
10:25Écoutez, je me suis toujours senti libre.
10:27Depuis l'âge de 17 ans, je n'ai pas eu de frustration de ce côté-là.
10:32C'est la radio.
10:34Cet état d'esprit.
10:36C'est ça que j'aime sur Europe.
10:38Vous savez, je suis un auditeur d'Europe depuis que j'ai 12 ans.
10:41Depuis mes 12 ans, j'écoutais « Salut les copains » en rentrant de l'école.
10:45Je n'ai jamais quitté Europe 1.
10:47Votre roman « La seule façon d'aimer » dit Dibard Bolivien est cinématographique.
10:51À quand une adaptation signée ?
10:53Vous ne croyez pas si bien dire.
10:55J'ai signé les droits d'adaptation avant l'été.
10:58Formidable !
11:00Comment ça va être fait ?
11:02Est-ce que ce sera une mini-série découpée en 6 épisodes ?
11:06Est-ce que c'est un film ?
11:07Je n'en sais rien.
11:08Moi, je fais entièrement confiance au producteur.
11:10Chacun son boulot.
11:11Mais bien sûr, j'ai signé le truc.
11:13C'est bien pour moi.
11:15Est-ce qu'on a des chances de vous retrouver dedans peut-être ?
11:18Aussi d'un petit clin d'œil ?
11:20Non, je vais sûrement écrire la musique du film ou de la série.
11:26Je vais évidemment participer au dialogue.
11:28Parce qu'il y a énormément de dialogues dans ce roman qui vont être repris.
11:32Il y a des choses qui vont rester.
11:35Non, ça s'arrête là.
11:37Après, le casting, la distribution, comment ça se fait, tout ça, je laisse ça au producteur.
11:41Le réalisateur, votre ami Claude Lelouch.
11:43Alors, je ne sais pas, on glisse des idées comme ça.
11:45Je suis celui-là en ce moment.
11:47Ça tombe bien.
11:48D'accord.
11:49Parce qu'en plus, vous avez d'ailleurs travaillé avec Claude Lelouch, notamment en 88.
11:53On pense au film itinéraire d'un enfant gâté.
11:56Et donc, on ne risque pas de vous voir passer.
11:58Vous savez qu'à la manière de Cédric Lapiche, vous passez dans un film, vous savez.
12:01Non, on ne va pas vous voir du tout.
12:03Oui, un petit personnage.
12:05Mais je l'ai fait dans des films de Claude.
12:07Et c'est drôle parce que Claude, il m'a toujours mis dans des positions.
12:10On ne me reconnaît pas.
12:11Ah oui ?
12:12Dans Les Misérables, je fais un chanteur d'orchestre.
12:16Personne n'a percuté que c'était moi, forcément.
12:19Donc là, peut-être.
12:20Bon, on verra.
12:21Vous savez quoi ? On aura l'occasion, j'espère, d'en reparler avec vous, Didier Barbelli.
12:23Viens dans Le Club de l'été.
12:25La seule façon d'aimer votre roman publié chez Fayard.
12:28Vous avez donc signé les droits pour une adaptation cinématographique bientôt, prochainement.
12:33On l'espère.
12:34Avant de se quitter, Didier Barbelli, viens.
12:37Je vous propose de participer au jeu du Club de l'été.
12:39Ce sont les grands choix de l'été.
12:41Vos grands choix.
12:43Soit l'un, soit l'autre.
12:44Pas de joker.
12:45Il faut aller assez vite.
12:47Si je vous dis claquette ou espadrille, vous me dites quoi ?
12:49Là ou l'autre ?
12:50Claquette.
12:51Méditerranée ou tropique ?
12:53Méditerranée.
12:55Un bon livre ou un bon disque ?
12:57Les deux.
12:59Forcément, vous écrivez.
13:01Et vos disques, on peut les retrouver encore, bien sûr.
13:05Vous chantez Congo ou Sénégal ?
13:07Congo.
13:09Casquette ou chapeau, Didier Barbelli ?
13:11Chapeau.
13:1220 ans ou 70 ans ?
13:1420 ans.
13:16Ombre ou soleil ?
13:19Soleil.
13:21Ah, vous avez hésité.
13:23Soleil quand même.
13:25Original ou reprise ?
13:27Original.
13:29Écrire ou chanter ?
13:31Écrire.
13:33Fion ou trouspinette ?
13:35Attendez, répétez-moi doucement.
13:38Fion, c'est le flan vendéen.
13:40Ou trouspinette, c'est le vin vendéen.
13:43Le flan vendéen.
13:45Gérard Lenormand ou Michel Sardou ?
13:48Vous me déchirez.
13:50Les deux.
13:52Gérard Sardou, donc.
13:54Légion d'honneur pour terminer.
13:56Légion d'honneur ou disque d'or, Didier Barbelli vient.
13:58Disque d'or.
14:00Disque d'or, Didier Barbelli vient.
14:02Merci d'avoir été avec nous dans le Club de l'été sur Europe 1.
14:07Je rappelle que pendant tout l'été, on vous a écouté chaque samedi, chaque dimanche,
14:12de 10h à 11h, avec les étoiles d'Europe 1.
14:15Je reçois beaucoup de réactions sur ces portraits.
14:18Et il y a Johnny Hallyday et France Gall, les portraits qui arrivent le week-end prochain.
14:21Ce week-end, c'est Johnny et France Gall, absolument.
14:23Les derniers épisodes.
14:25On retrouve bien sûr tous les épisodes précédents sur Europe 1.fr et l'appli Europe 1.
14:28Et on vous retrouve à la rentrée, donc, Didier Barbelli vient.
14:30Dis-moi ce que tu chantes.
14:32J'espère bien, oui.
14:34Dis-moi ce que tu chantes.
14:36J'adore recevoir des invités improbables.
14:38Ils viennent de tous horizons. J'adore ça.
14:40Et alors, quel sera votre premier invité de Dis-moi ce que tu chantes ?
14:43Votre premier invité de Dis-moi ce que tu chantes ?
14:45Thomas Hill sera votre...
14:47Vous m'entendez, Didier Barbelli ?
14:49C'est Thomas Hill ?
14:51Oui, c'est Thomas Hill.
14:53Ah ben, je vous l'apprends.
14:55C'est avec quoi je suis...
14:57J'adore enregistrer mes émissions,
14:59mais c'est pas moi qui décide de la programmation.
15:03Ah ben alors, je vous l'apprends.
15:05Écoutez, là, j'ai fait une merveilleuse émission avec Thomas Hill.
15:09Avec Thomas Hill, qui présentera aussi à la rentrée à nouveau Culture Média,
15:12le matin sur Europe 1.
15:13Et vous, Didier Barbelli, viens, dis-moi ce que tu chantes.
15:15Les dimanches, 17h-18h,
15:17votre roman, La seule façon d'aimer, publié chez Fayard.
15:20Merci beaucoup d'avoir été avec nous dans le Club de l'été.
15:22C'est moi qui vous remercie, David.
15:24Et on vous laisse profiter.
15:25Et je vous dis, bientôt, vous me verrez traîner dans les couloirs dans pas longtemps.
15:28Voilà, très vite sur Europe 1.
15:30Et profitez de vos derniers jours de congés.