• il y a 3 mois
Avec Othman Nasrou, vice-président Les Républicains de la région Île-de-France et premier secrétaire général délégué LR.

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##LE_TOUR_DE_FRANCE_DES_NOUVEAUX_DEPUTES-2024-08-30##

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Transcription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, 7h-10h, Jean-Marie Bordry.
00:04Il est 8h38 sur Sud Radio 39 même, le temps passe très vite.
00:07Tout de suite on accueille notre invité politique, c'est Othmane Nasrouh qui est avec nous.
00:11Bonjour Othmane Nasrouh.
00:12Bonjour.
00:13Vice-président des Républicains.
00:15Quel rôle pour les Républicains dans la période politique qui s'ouvre ?
00:18Vous nous le direz.
00:19Vous êtes vice-président des Républicains de la région Île-de-France
00:22et premier secrétaire général délégué de votre parti.
00:26Nous parlerons donc de Valérie Pécresse, la présidente de votre région.
00:29Pourquoi on ne la cite pas tant que ça comme premier ministrable ?
00:31Est-ce qu'elle en aurait envie ?
00:32Vous nous le direz aussi.
00:34Mais avant ça, je suis désolé, on est obligé de revenir sur ce qui vient de se produire.
00:36Ça s'est passé à Valoris.
00:39On l'apprend il y a quelques minutes sur Sud Radio, c'est dans les Alpes-Maritimes,
00:42un rodéo urbain au terme duquel une fillette de 7 ans a été heurtée par un deux-roues.
00:49Alors cette fillette, elle a un traumatisme crânien.
00:51Elle est dans le coma en ce moment, coma artificiel entre la vie et la mort.
00:54Une môme de 7 ans.
00:56Vous, vous êtes de la ville de Trappes.
00:57J'imagine que ce phénomène des rodéos urbains doit toucher aussi la ville de Trappes de temps en temps.
01:01Comment on réagit à un drame pareil aussi révoltant ?
01:05Le problème, c'est qu'on a l'impression que ces situations ne cessent de se reproduire
01:09et que l'État, sur ce sujet comme sur d'autres, a l'air totalement impuissant.
01:12C'est un fléau qui ne fait que se répandre,
01:15contre lequel on n'arrive pas à lutter parce qu'on a dans notre pays un problème avec la sanction,
01:20on a un problème avec l'application de la loi, parce que les lois existent.
01:24La loi a été d'ailleurs considérablement musclée,
01:26permettant maintenant de saisir les véhicules,
01:28même quand la personne qui l'utilise n'est pas le propriétaire du véhicule,
01:31parce que c'était un point de blocage qui a été élevé par la loi.
01:33Et pourtant, on a le sentiment que l'impunité reste la règle et que les sanctions ne suivent pas.
01:38Mais ça fait longtemps qu'on en parle, sur la justice des mineurs,
01:40sur les centres éducatifs fermés, sur les peines de prison non exécutées,
01:44sur la doctrine d'intervention de la police qui doit être musclée,
01:48parce qu'on voit bien que quand la police n'intervient pas de peur,
01:51aussi de faire tomber par exemple l'individu qui est sur le deux-roues,
01:55elle se retrouve à laisser des innocentes personnes en danger.
01:58Donc il faut maintenant que la main de l'État cesse de trembler.
02:01Ces rodéos sont un fléau, qui sont connus par beaucoup de maires,
02:04qui n'en peuvent plus des nuisances que ça crée et des dangers que ça provoque dans leur ville.
02:08Il faut maintenant qu'on aille y compris au contact s'il le faut,
02:11et que les jeunes qui se livrent à ce type d'action soient sanctionnés systématiquement avant l'accident.
02:17Et ça passe par le retour de l'autorité dans notre pays.
02:20Et si jamais vous retournez sur le terrain, ou quand vous y retournerez,
02:23vous croiserez peut-être des jeunes qui vous diront
02:25« mais moi j'en fais régulièrement, des rodéos urbains ».
02:27Après un drame pareil, vous leur dites quoi ?
02:29On n'a pas attendu ce drame pour savoir que le danger existe.
02:33Pour les dissuader, j'entends.
02:35Pour les dissuader, je vais vous dire honnêtement,
02:37dès qu'on voit un jeune qui y fait le rodéo sauvage,
02:40il faudrait tout de suite l'interpeller et le sanctionner.
02:42Sauf que pour l'instant, il n'y a rien de dissuasif,
02:44puisque ça continue, ça arrive même à la campagne,
02:46les tours de pâtés de maison par des deux-roues dont le pot n'est même pas au nord,
02:50mais qui fait beaucoup de bruit.
02:51Tout le monde connaît ça, c'est encore pire dans les quartiers populaires.
02:54Qu'est-ce qui fait que ça ne dissuade pas,
02:56et qu'est-ce qu'on peut dire à ces jeunes qui se livrent à ce genre d'activité,
03:00pour les dissuader de le faire ?
03:02Je vais vous dire honnêtement que maintenant, il ne s'agit plus de dire,
03:04il s'agit d'agir.
03:06Et donc en l'occurrence, on a une loi qui n'est pas appliquée.
03:08On a des policiers qui ne se sentent pas soutenus par leur hiérarchie,
03:11par les politiques, quand ils interviennent dans ces quartiers.
03:13Parce qu'ils ont peur, évidemment, des incidents.
03:15Donc il y a un moment où il faut dire « stop ».
03:17Maintenant, il faut que la sanction tombe.
03:19Celui qui conduisait, par exemple, manifestement le deux-roues,
03:21dans ce rodéo urbain à Valoris,
03:23qui a heurté une fillette qui est entre la vie et la mort,
03:25je le rappelle, à l'âge de 7 ans, en coma artificiel,
03:28est-ce que sa place est en prison ?
03:30Évidemment, oui, bien sûr, sa place est en prison.
03:32Et on ne peut pas comprendre que quand on blesse gravement,
03:36voire qu'on tue quelqu'un,
03:38c'est arrivé, il y a eu des décès en Ile-de-France, très régulièrement.
03:40Il y en a, malheureusement, à la suite de rodéos sauvages.
03:42On ne passe pas un certain temps, beaucoup de temps, en prison,
03:45parce qu'autrement, on n'explique pas,
03:47on ne conforte pas l'idée
03:49que la sanction tombe à un moment.
03:51Et plus la sanction tombera,
03:53moins il y aura ce type d'incivilité.
03:55Il est 8h43 sur Soudradio,
03:57nous sommes avec Haughtmann Nassraud,
03:59vice-président Les Républicains de la région Ile-de-France,
04:02toujours qu'un gouvernement démissionnaire en France.
04:05Emmanuel Macron, actuellement en Serbie,
04:07où il vend des rafales, effectivement,
04:09c'est une des bonnes nouvelles économiques de la soirée.
04:11Emmanuel Macron qui l'assure,
04:14j'ai fait, je le cite,
04:16tous mes efforts pour aboutir
04:18à la meilleure solution pour le pays.
04:21Est-ce que vous le croyez ?
04:23Est-ce qu'il a fait tous ces efforts ?
04:25Qu'il ait fait des efforts, je ne l'en doute pas,
04:27mais ça ne me semble pas être des efforts
04:29qui vont dans le sens de l'intérêt du pays.
04:31Les efforts qui sont attendus du président de la République,
04:33c'est de donner un cap politique.
04:35Il a choisi de rester, depuis 2017,
04:37qui consiste à faire une chose et à faire l'inverse,
04:39qui consiste à essayer d'être et de droite et de gauche,
04:41ce qui n'existe pas,
04:43qui consiste à faire croire qu'il agit sur des sujets de sécurité,
04:45alors que la situation ne fait que se dégrader,
04:47sur la non-maîtrise des flux migratoires,
04:49qui est aujourd'hui une réalité,
04:51sur les déficits publics qui ne cessent de s'accumuler.
04:53Je ne crois pas qu'aujourd'hui la solution
04:55passe par le président de la République,
04:57je crois qu'il est devenu, malheureusement, une partie du problème,
04:59et c'est pour cela que je pense qu'à droite,
05:01nous avons la responsabilité de proposer autre chose aux Français.
05:03Sauf qu'il n'y a pas de majorité possible,
05:05à droite, et juste avec la droite,
05:07sans l'aide de la gauche ou du centre,
05:09à moins que vous ne veuillez vous allier au Rassemblement National,
05:11mais a priori ce n'est pas au programme.
05:13La question c'est s'allier pour faire quoi ?
05:15Et aujourd'hui, on ne va pas s'allier avec des gens
05:17avec lesquels nous sommes en désaccord,
05:19on parle d'une grande coalition avec les socialistes,
05:21nous nous voulons baisser la dépense publique, eux veulent l'augmenter,
05:23nous nous voulons baisser les impôts, eux veulent l'augmenter,
05:25nous voulons baisser l'immigration, eux veulent l'augmenter,
05:27soyons sérieux, ça c'est le mélange des genres
05:29qui nous a conduit dans cette situation d'impasse.
05:31Ça signifie qu'aujourd'hui, si jamais vous apprenez
05:33que tel Premier ministre, ancien socialiste,
05:35au hasard, Bernard Cazeneuve,
05:37arrive à Matignon,
05:39vous, vous appellerez vos camarades des Républicains
05:41à le censurer ?
05:43Censure, c'est un outil pour empêcher
05:45des choses graves d'arriver.
05:47Donc si un gouvernement venait par exemple à vouloir augmenter
05:49les impôts pour financer la ruine de l'État
05:51sous Emmanuel Macron, parce que ce pays est mal géré
05:53depuis plusieurs années maintenant,
05:55là nous devrons nous y opposer de toutes nos forces.
05:57Si il devait y avoir des ministres assoumis,
05:59nous l'avions dit, notamment avec
06:01Laurent Wauquiez, nous aurions déposé
06:03une motion de censure.
06:05En revanche, Bernard Cazeneuve, qui arrive et qui forme un gouvernement
06:07sans insoumis et qui n'annonce pas tout de suite
06:09d'augmentation d'impôts, vous n'appelez pas
06:11à sa censure ?
06:13Nous ne sommes pas, nous, le parti du désordre, du chaos.
06:15On a besoin de stabilité. Le but n'est pas à tout prix de faire tomber
06:17n'importe quel gouvernement, d'autant plus
06:19que nous ne pouvons pas en proposer un nous-mêmes
06:21puisque nous ne sommes pas majoritaires et que nous ne voulons pas
06:23nous sacrifier nos idées et nos convictions.
06:25Donc il faudra regarder évidemment le détail
06:27de ce qui est fait. Il y a des lignes rouges,
06:29elles sont clairement posées. Nous bloquerons,
06:31nous ferons tomber le gouvernement qui nuira
06:33aux intérêts du pays et donc tout sera
06:35apprécié. Mais encore une fois,
06:37la décision de nommer un Premier ministre, c'est celle du Président de la République.
06:39C'est sa responsabilité.
06:41Quel que soit le profil du Premier ministre.
06:43C'est lui qui décide, bien sûr. Et nous, nos lignes rouges sont connues.
06:45Mais là, il nous a organisé une espèce de grande émission
06:47de télé-réalité avec toutes ces consultations
06:49qui durent maintenant depuis plusieurs jours. Qu'il prenne ses responsabilités.
06:51Qu'il nomme un Premier ministre
06:53et que chaque parlementaire ensuite, eh bien,
06:55vote en son âme et conscience selon ses convictions.
06:57Nous, nos convictions, elles sont connues, nos idées sont
06:59sur la table. Nous avons, je vous le rappelle, proposé
07:01un pacte législatif avec 13 textes
07:03qui sont attendus de manière urgente
07:05par les Français. Et les lignes rouges,
07:07encore une fois, elles ont déjà été données.
07:09Parlons de votre Présidente de Région, Valérie Pécresse.
07:11On le disait, un certain nombre
07:13de prétendants à Matignon, ou plutôt de profils
07:15qui étaient cités, étaient des élus locaux.
07:17Après tout, son collègue, Xavier Bertrand,
07:19qui est du même parti que le vôtre et qui est Président de Région lui-même
07:21mais dans les Hauts-de-France. Pourquoi n'a-t-on pas
07:23tant parlé de Valérie Pécresse à Matignon ?
07:25Elle n'a pas envie d'être à Matignon, d'être Premier ministre ?
07:27Alors, elle n'est candidate
07:29à rien. Est-ce qu'elle en a envie ? C'est pas la même
07:31question. Non mais attendez,
07:33la chose qui est claire aujourd'hui, pour Valérie
07:35Pécresse, et je la connais bien pour travailler avec elle depuis plusieurs
07:37années, c'est qu'aujourd'hui elle est en train de transformer
07:39l'Île-de-France. Elle a transformé le fonctionnement,
07:41elle l'a transformé sur ses politiques sur le terrain
07:43et on a une région qui avance. Est-ce qu'elle aurait envie de transformer la
07:45France depuis Matignon, elle qui était déjà
07:47candidate à la présidentielle ? Mais la question n'est pas là.
07:49Est-ce qu'elle en a la capacité ? La réponse est oui.
07:51C'est une femme d'État, elle en a les qualités intellectuelles,
07:53humaines. Elle fait un travail,
07:55encore une fois, remarquable à la tête de la première région d'Europe,
07:57donc elle fait partie des rares personnalités
07:59qui peuvent exercer ce type de responsabilité.
08:01Mais elle l'a dit elle-même, nous ne sommes pas là
08:03pour être les supplétifs d'Emmanuel Macron.
08:05Et l'équation politique,
08:07elle est devenue insoluble à cause
08:09de ce en même temps dans lequel nous a enfermé le Président de la République.
08:11Donc on ne va pas maintenant régler
08:13un problème avec ceux qui l'ont créé.
08:15Le Président de la République doit prendre ses responsabilités
08:17et nous, à droite, nous devons garder une droite
08:19indépendante qui propose un autre chemin,
08:21qui vote ce qui va dans le bon sens,
08:23mais qui ne se dilue pas dans le Macronisme.
08:25Si Valéry Pécresse n'est candidat à rien, vous l'avez dit,
08:27il y a quelqu'un qui s'est dit disponible hier
08:29pour Matignon, c'est l'ancienne
08:31candidate à la présidentielle Ségolène Royal.
08:33Elle ferait une bonne Première Ministre ?
08:35Non, je ne crois pas. Je pense que ce serait évidemment
08:37une très mauvaise idée et je ne prends pas d'ailleurs
08:39cette idée très au sérieux, ce n'est pas pour lui manquer de respect,
08:41mais je pense qu'on a besoin de tout, sauf de cette
08:43manière-là de faire de la politique.
08:45Alors parlons maintenant de votre région. Je l'ai dit, vous êtes vice-président
08:47de la région Île-de-France auprès de Valéry Pécresse.
08:49Les Jeux Paralympiques ont commencé,
08:51on en a pour une dizaine de jours,
08:53à peu près de compétition. Dizaine de jours
08:55pendant lesquels, pour une fois, les Franciliens
08:57seront revenus. Ils étaient partis en vacances globalement
08:59pendant les Jeux Olympiques.
09:01Est-ce que vous ne croyez pas qu'on va assister
09:03à des bouchons monstres dans la mesure où
09:05cette fois-ci, les voies réservées pour les Jeux Olympiques
09:07seront en place, ils ne pourront pas rouler dessus,
09:09mais vos électeurs franciliens, bien eux,
09:11ils seront revenus au travail ?
09:13Il y a un moment, dans notre pays, il faut qu'on arrête l'autoflagellation
09:15et d'être toujours très pessimiste.
09:17On a entendu tout
09:19sur les Jeux Olympiques. La maire de Paris,
09:21Madame Hidalgo, disait que les transports
09:23qui sont gérés par la région ne seront pas prêts.
09:25Tout s'est extrêmement bien passé,
09:27contrairement à tous ces oiseaux de mauvais augure
09:29qui veulent que ça se passe mal, finalement.
09:31Moi, je n'en fais pas partie. Aujourd'hui, nous nous sommes donnés
09:33les moyens pour que ça se passe bien et je pense que
09:35ces Jeux Paralympiques se passeront aussi bien
09:37que les Jeux Olympiques. Même si les transports
09:39coûtent plus cher en ce moment parce que, précisément,
09:41il fallait augmenter l'offre
09:43pour les athlètes comme pour les supporters.
09:45Alors, attention, ils coûtent plus cher, sauf pour les abonnés
09:47du Navigo, sauf pour ceux qui ont le Liberté Plus
09:49et on peut encore le prendre pour ne pas payer la tarification
09:51temporaire qui s'applique
09:53aux gens qui sont de passage
09:55parce que nous ne voulions pas, avec Valérie Pécresse,
09:57que ce soit les Franciliens qui payent la facture des Jeux Olympiques.
09:59Il y a une chose qui est paradoxale.
10:01Vous redevenez plutôt pacifique
10:03et, comment dire,
10:05vous redevenez indulgent avec votre adversaire politique,
10:07Annie Hidalgo. Vous avez réussi,
10:09Valérie Pécresse et Annie Hidalgo, la gauche et la droite,
10:11à travailler ensemble pour faire marcher
10:13les JO de la vœux unanimes. Ça a marché.
10:15Il n'y a pas eu de couac. Pourquoi êtes-vous
10:17capables de travailler ensemble pour lancer
10:19un grand événement et pourquoi n'êtes-vous pas capables
10:21de faire marcher
10:23l'événement ?
10:25Pourquoi n'êtes-vous pas capables de
10:27lancer un grand événement et de travailler
10:29ensemble pour la France
10:31au moins ?
10:33Écoutez,
10:35David Hidalgo,
10:37c'est que nous voulons rendre, par exemple, le métro parisien
10:39accessible et qu'elle vient de refuser de le faire et de dire
10:41que ce n'est pas son affaire, l'accessibilité du
10:43métro pour les personnes en situation de handicap.
10:45Donc, pardon de vous dire que, malheureusement, moi, je regrette
10:47la gabegie de la ville de Paris, je regrette la manière
10:49dans laquelle elle a bunkérisé la ville de Paris.
10:51Si on est capables de travailler ensemble sur certains sujets,
10:53tant mieux, mais moi, je ne crois pas en même temps
10:55et je ne crois pas qu'on puisse être et du côté de Mme Pécresse
10:57et du côté de Mme Hidalgo. Je préfère largement
10:59ce que nous faisons à la région.
11:00Donc, pas de trèfle paralympique, on l'a compris,
11:02et pas non plus de travail ensemble
11:04et en équipe pour former un gouvernement.
11:06Donc, nous nous tendons la main sur les sujets régionaux,
11:08évidemment, mais encore une fois, la droite et la gauche,
11:10ce n'est pas la même chose.
11:11Et vous avez dit ce que vous ne vouliez pas,
11:12plutôt que de dire ce que vous vouliez.
11:13En tout cas, merci Haughtmann Nassrou.
11:15Je rappelle que vous êtes vice-président de la région
11:17Île-de-France, vice-président Les Républicains
11:19et premier secrétaire général délégué
11:21de ce parti. A bientôt sur Sud Radio.
11:23Merci beaucoup.
11:24Bonne rentrée à vous. Il est 8h50.
11:26La France est belle, vous êtes d'accord.
11:28On va la visiter dans un instant.
11:29Un petit peu de tourisme avant la fin des vacances.
11:30C'est avec Xavier Louis.

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