Avec Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie
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00:00Berkov, dans tous ses états, s'abalance pas mal sur Sud Radio.
00:05« Je ne vous demande pas de vous repentir pour ce qu'ont fait vos aînés, mais au moins, il faut reconnaître mon martyre, le martyre de la résistance, le martyre de la lutte armée.
00:22Les milliards de dollars ne vont pas me le rendre, et sa valeur est beaucoup plus élevée que n'importe quelle somme d'argent. »
00:29« Je ne vous demande pas des indemnités sous forme d'argent, je veux une indemnité morale, et il faut reconnaître ce qui s'est passé.
00:43Je me considère comme l'enfant de Moustapha Ben Boulaïd. »
00:49Et voilà, je ne demande pas d'argent, nous sommes des victimes, je demande réparation, je demande réparation.
00:57Qui parle ? C'est le président algérien, M. Tebboune, de l'un de ses nombreux discours de ces temps-ci sur la France, sur les relations entre la France et l'Algérie,
01:13et qui effectivement, on en a déjà beaucoup parlé, mais là ça a atteint un degré, je dirais, de violence, en tout cas d'intensité, assez rarement égalée, je crois.
01:23Xavier Driancourt, bonjour.
01:25– Bonjour.
01:26– Merci d'être avec nous, vous êtes ancien ambassadeur de France en Algérie, je vous rappelle que vous avez été pendant 7 ans,
01:30une période de 4 ans et une période de 3 ans, sous deux présidents différents, c'est ça ?
01:36– Deux présidents français et deux présidents algériens.
01:39– Deux présidents différents et deux présidents algériens, exactement.
01:42Et alors là, on a l'impression, et il y a aussi Boulême Sansalle prise en otage, en tout cas depuis au moins deux mois, si non plus,
01:52mais au fond, qu'est-ce qui se passe ?
01:54On vous avait reçu, on en avait parlé au départ, les refus de M. Tebboune de venir en France et trois visites recalées,
02:02mais qu'est-ce qui fait que la situation, en tout cas que le ton monte de plus en plus, malgré les accords de 2022, etc. ?
02:11– Comme vous l'avez dit, on est dans une escalade sans précédent,
02:16ce qui a déclenché cette escalade et cette nouvelle crise franco-algérienne,
02:21parce qu'il y en a déjà eu beaucoup avant, mais celle-ci est durable et profonde,
02:25c'est la reconnaissance par la France de la marocanité du Sahara occidental.
02:31Et c'est ça le point de départ, parce que pendant des années et des années,
02:36nous avons eu un jeu d'équilibre entre Maroc et Algérie, en tant que membre du conseil de sécurité à l'ONU,
02:42sur la question du Sahara occidental.
02:45– Depuis très longtemps ?
02:47– Depuis très longtemps, c'était la politique, depuis Chirac, depuis Mitterrand,
02:51il y avait toujours un équilibre entre les deux pays, et à l'ONU, nous jouions cet équilibre.
02:57Et puis pendant sept ans, le président de la République a quand même eu une politique pro-algérienne très prononcée,
03:04et du coup les Algériens se sont cru soutenus par la France.
03:09Et puis au mois de juillet dernier, ils lisent avec stupeur la lettre du président Macron au roi Mohamed VI
03:16sur la reconnaissance du Sahara occidental.
03:19Ensuite il y a le voyage du président Macron, la visite d'État à Rabat,
03:23ensuite il y a le prix Goncourt attribué à Kamel Daoud, qui est aussi un élément du tableau dans le contexte.
03:30– À l'Algérie, un Kamel Daoud, s'il vous plaît, mais qui fait un roman évidemment.
03:34– Et pour eux, c'est la preuve d'un complot franco-marocco-sioniste, comme ils disent.
03:41Lisez les tweets de l'APS ou autres, l'agence de presse algérienne,
03:48c'est le complot franco-marocco-sioniste.
03:51Et Boalem Sansal est l'otage de cette nouvelle crise franco-algérienne, mais qui est très profonde.
03:58– Vous avez cité le discours du président Tebboune,
04:01auquel M. Macron a répondu à la conférence des ambassadeurs lundi,
04:07en disant que ça déshonorait l'Algérie.
04:09– Mais alors justement, d'abord une question, à votre avis,
04:12est-ce qu'il fallait rompre cette, je dirais, pour des raisons que l'on peut comprendre politiques,
04:18plus penchées vers le Maroc, mais est-ce qu'il fallait rompre entre cet équilibre
04:22ou cette neutralité sur la question du Sahara, ou pas ?
04:25– C'est très compliqué, parce qu'en réalité, le président de la République,
04:30pendant 7 ans donc, a eu une politique,
04:33notamment beaucoup de gestes mémoriels vis-à-vis de l'Algérie,
04:36mais d'un autre côté, nous nous étions brouillés avec le Maroc.
04:40Vous vous souvenez de l'affaire Pegasus, etc.
04:43– Tout à fait, il faut le rappeler, oui, les histoires des renseignements,
04:46les espionnages, les écoutes téléphoniques, tout à fait.
04:50– Mais nous étions brouillés avec le Maroc.
04:52Donc, je pense que le président, je n'en sais rien,
04:56mais j'imagine que le gouvernement et le président se sont dit,
04:59bon ben, décidément, il n'y a rien à attendre de l'Algérie.
05:02Et il faut bien qu'on sorte de l'impasse dans laquelle nous nous trouvons avec le Maroc.
05:07Et le Maroc a sans doute très habilement, subtilement négocié, en quelque sorte,
05:14il a dit, ce sera à condition qu'il y ait la reconnaissance du Sahara marocain.
05:19– Marocain, c'est ça.
05:20Donc, il y a eu ce qu'il y a eu et ça a envenimé, enfin, pour vous, ça a envenimé.
05:24– Et les Algériens se sont sentis trahis.
05:27– Trahis, oui. Et d'où, là ?
05:29Mais qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, attendez, l'Algérie, c'est un pays riche,
05:33vous le savez mieux que moi, riche de ses minerais,
05:36c'est l'un des pays les plus riches d'Afrique, pas seulement d'Afrique du Nord,
05:41mais qu'est-ce qui fait cette obsession française ?
05:44Qu'est-ce qui fait que depuis des semaines, des mois, voire des années,
05:48je veux bien le passé de l'Algérie et de la France, on le connaît,
05:52mais qu'est-ce qui fait que c'est devenu à ce point obsessionnel,
05:56à ce point monocolore, je dirais ?
05:59– L'Algérie, c'est de la politique intérieure française,
06:02mais la France, c'est de la politique intérieure algérienne.
06:05– Ah oui, c'est toujours ça.
06:06– Voilà, il y a ça, mais aujourd'hui, ça a atteint un degré très fort,
06:10il y a une espèce de fuite en avant du côté algérien
06:15parce que le pays est très fragile sur le plan intérieur,
06:19le pouvoir est fragile, Théboune a été réélu avec 10% de participation,
06:24mais quand même 85% des voix.
06:27– Mais 10% de participation, c'est hallucinant.
06:32– Et en Kabylie, il y a certains bureaux de vote
06:35qui n'avaient ni assesseur et qui avaient 0% de participation.
06:39– Mais monsieur l'ambassadeur, alors Xavier Dancour, c'est nouveau,
06:42est-ce que cette participation des Algériens…
06:45– Le taux de participation est le seul indice intéressant en Algérie,
06:49puisque les gens ne votent pas, y compris les franco-algériens
06:54qui votent aux élections en France, mais qui ne votent pas aux élections algériennes.
06:58Donc le seul indice, c'est le taux de participation, et là, il était de 10%.
07:02Donc il a été réélu avec 85% des voix de ces 10%,
07:07et puis il y a depuis quelques semaines un hashtag sur les réseaux sociaux
07:12qui appelle à la révolte et qui dit « je suis mécontent ».
07:16Mécontent de qui ? Mécontent du pouvoir algérien.
07:19Et le pouvoir a très peur d'un nouveau Irak, qui a fait chuter Bouteflika.
07:24Donc sur le plan intérieur, ils sont conduits à serrer les boulons.
07:28Et puis sur le plan international, l'Algérie est très isolée.
07:31Brouillée avec le Maroc, brouillée avec l'Espagne,
07:34brouillée aujourd'hui fortement avec la France,
07:37brouillée avec le Mali, d'où elle a été exclue, on l'oublie souvent.
07:41Alors que le Mali, c'est l'arrière-cour de l'Algérie.
07:44Bouteflika y avait été pendant la guerre.
07:47Ou Yaria, Premier ministre algérien, avait été ambassadeur au Mali.
07:50Il y a toujours un tropisme malien.
07:52Même chose pour le Niger.
07:54Et puis, il y a l'affaire syrienne.
07:57Et la Russie a laissé tomber Bachar.
08:01Donc, il y a une sorte de crispation.
08:04– Oui, il y a un axe qui s'est effondré par rapport à la Syrie et tout ce qui s'est passé.
08:08– Il y a une crispation, une fuite en avant du pouvoir algérien.
08:11Et on retrouve cette obsession française, comme vous avez dit.
08:15– Alors, on va continuer à en parler tout de suite après cette petite pause
08:19avec Xavier Driancourt, ancien ambassadeur de France en Algérie.
08:23Et qu'est-ce qu'on peut faire ? Jusqu'où ça peut aller ?
08:27On en parle tout de suite après cette petite pause.
08:30Sudakov dans tous ses états, midi 14h. André Berkhoff.
08:34– Algérie française, France algérienne.
08:37En tout cas, l'attention, je ne dirais pas attention comble,
08:41mais elle va très, très, très loin.
08:43Nous en parlons avec Xavier Driancourt, ancien ambassadeur de France en Algérie.
08:47Et justement, quelques points quand même.
08:512022, après, donc il y a deux ans, crise en Paris et Alger
08:55sur la question des visas qu'ont des ressortissants algériens.
08:58Le chef d'État français algérien avait signé à Alger une prometteuse déclaration
09:02pour un partenariat renouvelé entre la France et l'Algérie.
09:06Et voici que le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barraud,
09:09dit mais nous observons des postures, des décisions de la part des autorités algériennes
09:13qui nous permettent de douter de l'intention des Algériens
09:16de se tenir à cette feuille de route.
09:18Parce que pour tenir la feuille de route, il faut être deux.
09:21Le dernier tango à Paris ou le dernier tango à Alger, je ne sais pas.
09:24Qu'en pensez-vous ?
09:26Qu'en termes diplomatiques, ces choses-là sont dites.
09:30Non, parce que l'heure n'est plus aux doutes.
09:33C'est une certitude maintenant.
09:35Quand on a écouté le discours de Théboune, c'est de la certitude.
09:39Il n'y a aucun doute à avoir sur les intentions algériennes.
09:42Et on voit bien qu'aujourd'hui, il y a des relais algériens en France
09:47qui sont utilisés, les fameux influenceurs, la mosquée de Paris, les consulats algériens.
09:53Vous-même, Maïa Partir, avec la mosquée de Paris.
09:56Exactement, qui m'a cité comme étant connu pour mon hostilité aveugle
10:02à l'égard du pays où j'ai été en sanction.
10:05On pourrait dire du recteur de la mosquée de Paris
10:08que lui-même est connu pour son hostilité aveugle
10:11pour le pays dans lequel il est en fonction.
10:15Aujourd'hui, la crise n'a sans doute jamais été aussi violente, aussi grave.
10:24Depuis 60 ans.
10:26J'ai bien l'impression, oui.
10:28Il n'y a plus d'ambassadeurs d'Algérie à Paris depuis 6 mois.
10:32En fait, les canaux sont plus ou moins coupés avec l'Algérie.
10:37Justement, et on va loin, parce que ce qui est quand même extraordinaire,
10:43c'est qu'on revive.
10:44Je rappelle que l'Algérie était dépendante, je le dis, depuis 1962.
10:49Si mes souvenirs sont bons et si ma mémoire est bonne,
10:53le président Théboune dénonce les mensonges sur l'Algérie
10:56et il accuse la France d'avoir commis un génocide dans son pays.
10:59Oui, tout à fait.
11:00C'est pas loin, c'est génocide maintenant.
11:02Il a rappelé les enfumades de Bugeaud, les essais nucléaires, le génocide.
11:08Tout y est passé.
11:10On doit être maintenant, parce que chaque année ça augmente ou chaque mois ça augmente,
11:14on doit être à 5 ou 6 ou 6,5 millions de martyrs aujourd'hui.
11:20À chaque discours, ça augmente.
11:22À chaque discours, oui, le chiffre est actualisé.
11:26Et puis alors, autre chose.
11:29Le génocide, ça a une signification juridique définie à Nuremberg.
11:33Ça veut dire qu'il fallait éliminer le peuple algérien, enfin le peuple arabe algérien.
11:37L'intention de l'éliminer, ce qui n'était pas le cas de la colonisation française et anglaise ou américaine.
11:43Exactement, y compris...
11:45C'est un phénomène du 19e siècle, du 18e siècle.
11:48Et on peut dire tout le mal qu'on veut est justifié quelques fois,
11:52mais il n'y avait pas de génocide et d'intention de tuer.
11:54C'est pour ça que ce discours est quand même un tournant de la part des autorités.
11:59Et à ce discours s'ajoute Paris.
12:03On demande à Paris de venir nettoyer les sites des essais nucléaires réalisés par la France dans le Sahara algérien entre 1960 et 1966.
12:11Oui, parce qu'il y a eu des essais nucléaires, comme vous le savez, faits au Sahara,
12:15avec l'accord du gouvernement algérien.
12:19Oui, c'est vrai.
12:20Avec l'accord du gouvernement algérien.
12:22Et le président Teboun me l'a rappelé lui-même dans un entretien que j'ai eu avec lui.
12:27Il m'a dit, oui, il y a cette question des essais nucléaires,
12:31mais je reconnais que c'était avec l'accord du gouvernement algérien.
12:35Ça fait partie des accords déviants.
12:37Et maintenant, ils disent, ce qui n'était pas dans les accords déviants, de payer ou de réparer.
12:45Donc on voit bien qu'il n'y a pas de pays.
12:52Il y a une incertitude et des faits.
13:01Et à votre avis, alors, on peut en sortir comment de cette histoire ?
13:06Ça va être très compliqué.
13:09Est-ce qu'il y a un rapport de force à montrer, comme on le montre,
13:17on en a parlé plus tôt, pour les plateformes numériques,
13:20et le problème de X, la liberté, etc. ?
13:22Ou qu'est-ce qu'on fait ?
13:24Soit nous continuons dans l'espèce de non-dit actuel,
13:29encore que le président de la République a parlé du déshonneur algérien.
13:34Soit nous cherchons un rapport de force avec l'Algérie.
13:38Mais est-ce que nous le voulons vraiment ?
13:40Et dans cette hypothèse, il y a un certain nombre de mesures pratiques que l'on pourrait prendre.
13:46Comme par exemple ?
13:47Par exemple, réduire le nombre de visas.
13:50On est aujourd'hui à peu près à 300 000 visas par an.
13:54On peut les réduire.
13:56Alors évidemment, ce n'est pas très élégant, si je puis dire,
14:01parce qu'on prend les Algériens en otage.
14:03Mais eux, ils prennent des otages également.
14:06Et encore, il faudrait que l'Espagne et l'Italie n'accordent pas de visa.
14:10Elles se mettent d'accord avec nous, parce que Schengen permet.
14:13Mais on peut dénoncer un échange de lettres de 2007
14:18entre Kouchner et son homologue algérien,
14:21qui exempte de visa les titulaires algériens de passeport diplomatique.
14:26Et ça, il peut être dénoncé avec un préavis de trois mois.
14:29On peut dénoncer l'accord de 68, dont on a déjà beaucoup parlé ici.
14:33On peut regarder un peu ce qui se passe du côté des circuits financiers,
14:37immobiliers algériens en France.
14:40Le dinar algérien est inconvertible.
14:43Inconvertible ?
14:44Inconvertible.
14:45Vous allez dans un bureau de change ou une banque,
14:47vous achetez des dirhams marocains.
14:49Oui.
14:50Mais demandez des dinars algériens, on vous dira quesaco.
14:53Ah oui, c'est extraordinaire ça.
14:55Donc il y a un cours parallèle sur le marché noir algérien.
14:59Les chauffeurs de taxi algériens vous changent des dinars.
15:05Mais le dinar est inconvertible.
15:07Donc on pourrait regarder un peu tout ça, tous ces circuits financiers.
15:10Il y a l'accord de sécurité sociale avec l'Algérie,
15:13qui jumelait avec l'accord de 68.
15:16Il y a les milliers de centenaires qui sont 223 ans,
15:19qui sont encore à l'actualité.
15:21Il y a un certain nombre de dispositions.
15:24Eh bien écoutez, on en reparlera, hélas encore,
15:27parce que le feuilleton n'est pas fini.
15:31Je crains que non.
15:32Oui, on aurait envie d'en rire, de peur d'être obligé d'en pleurer.
15:35Merci beaucoup pour vos éclaircissements.
15:37Voilà, merci, au revoir.