Elle joue dans des clips de Beyoncé, est aussi dentiste et vient d'être sacrée vice-championne du monde d'apnée libre avec une descente à 100 mètres dans les eaux du Honduras : la Française Alice Modolo répond aux questions de Julien Sellier, Cyprien Cini et Marion Calais.
Regardez L'invité de RTL Soir du 07 septembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
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00:00 Vous êtes sur RTL.
00:03 RTL, bonsoir.
00:05 Julien Célier, Marion Calais et Cyprien Signe.
00:08 19h14, RTL, bonsoir.
00:11 Bienvenue, si vous nous rejoignez, on vous accompagne jusqu'à 20h avec le trio Cyprien-Marion-Alex Vizorek.
00:16 Et on vous propose maintenant une rencontre absolument passionnante avec notre grande invitée de la deuxième heure.
00:22 Elle vient d'être sacrée vice-championne du monde d'apnée libre après une descente à 100 m dans les eaux du Honduras.
00:27 Elle est aussi dentiste, elle joue dans des clips de Beyoncé. Mesdames, messieurs, voici Alice Modolo.
00:32 Bonsoir, Alice.
00:33 Bonsoir.
00:34 Vous avez été médaillée dans une des catégories reines, le poids constant monopalme.
00:38 Qu'est-ce que ça veut dire en français ? Est-ce que vous pouvez expliquer à nos auditeurs ?
00:41 Alors, c'est très simple.
00:42 C'est la discipline qui voit l'athlète descendre et remonter le long d'un filin à la force de sa monopalme avec une seule inspiration.
00:51 D'accord.
00:52 Donc, avant, vous annoncez avant de plonger, je vais faire 100 m et l'objectif c'est d'atteindre la profondeur annoncée.
00:56 C'est comme ça que ça se passe ?
00:57 Exactement. Et il faut remonter.
00:59 Bah oui, j'espère pour vous.
01:00 Donc là, 2 minutes et 56 secondes, c'est le temps qui s'est écoulé pendant votre plongée.
01:05 Exactement.
01:06 Dans ces conditions qui étaient en plus difficiles, il paraît qu'il y avait beaucoup de courant au Honduras.
01:10 Oui, c'est un site reconnu pour ça et donc sur les 40 premiers mètres, il y avait beaucoup de courant.
01:17 Donc, c'est toujours un peu compliqué parce qu'on palme un peu plus vite pour s'extirper du courant.
01:23 Mais c'est une zone où on cherche plutôt le relâchement.
01:26 Et donc, particulièrement pour cette plongée, j'ai fait des petites erreurs techniques qui auraient pu me coûter cher.
01:35 C'est-à-dire que la compensation des oreilles, c'est le plus compliqué.
01:39 Et si on n'est pas relâché, on a du mal à compenser ses oreilles.
01:43 Compenser, c'est quoi ? C'est on souffle, on se bouche en le nez, c'est ça ?
01:45 Exactement. Comme au fond d'une piscine ou dans l'avion.
01:47 Là, il faut aller au fond de la piscine.
01:48 Et donc, il faut faire ça tout au long de la descente.
01:51 Combien ?
01:53 Au début, c'est tous les mètres.
01:55 Et puis, plus on descend, plus ça se distance.
01:57 Tous les 5 mètres, tous les 10 mètres.
01:59 Et donc, si je suis un peu crispée, je loupe une compensation.
02:02 Et après, c'est terminé.
02:04 Est-ce que c'est comme un grand maître ? Vous voyez où vous en êtes, vous ?
02:07 Non.
02:08 Donc, vous ne savez pas ?
02:09 On ne cherche pas à savoir. On est à l'intérieur de nous.
02:11 On a juste ce câble visuellement. On a les yeux entre-ouverts. C'est un peu flou.
02:17 On pense à quoi dans ces cas-là ?
02:19 On essaye de ressentir. On n'est que, justement, la plupart.
02:24 On est dans notre sphère ORL.
02:27 Et on essaye d'économiser les petites bulles d'air qu'on va envoyer pour compenser nos oreilles.
02:33 Et on imagine aussi qu'on essaye de se concentrer sur tous ces mouvements importants.
02:39 D'autant que vous, ce site-là, vous le connaissiez il y a 4 ans.
02:43 Au même endroit, vous avez perdu connaissance à 10 mètres du but.
02:47 Une syncope au fond de l'eau, c'est absolument effrayant.
02:51 Racontez-nous ce qui s'était passé.
02:53 Exactement. En fait, c'est l'année où je décide d'arrêter mon métier de chirurgien dentiste.
02:57 Donc, je connais une progression hyper importante.
03:00 J'arrive de France avec 80 mètres.
03:03 Et donc, je gravis les mètres, les mètres, puisque justement, j'arrive à compenser mes oreilles.
03:09 Il faut savoir que la limite numéro 1 des apnéistes, ce n'est pas le souffle.
03:12 C'est la compensation des oreilles.
03:14 Et donc, j'arrive à compenser. Et donc, du coup, les mètres, c'est cool.
03:18 Je fais deux records de France, 92-95.
03:20 Il me reste une plongée.
03:22 C'est celle des championnats du monde.
03:24 Tout le monde me dit "Alice, ne tente pas ça".
03:26 Mais je dis, moi, je m'en fous que ce soit un championnat du monde ou une compétition de quartier.
03:30 Je veux faire mon rêve.
03:32 L'opportunité se présente. Plus 5 mètres, c'est beaucoup.
03:36 C'est vrai que dit comme ça, ça ne paraît rien.
03:38 Non, mais attendez, même à 5 mètres tout court...
03:41 Mais c'est exactement ça. En fait, j'étais un peu novice.
03:44 5 mètres, c'est rien. C'est 5 secondes allées, 5 secondes retours, c'est 10 secondes.
03:48 Je faisais une autre discipline qui était plus physique.
03:50 Je leur dis "mais attendez, tout va bien".
03:52 Mais il y a ce courant que je ne mesure pas.
03:56 Je ne suis pas une enfant de la mer. Je viens de Clermont-Ferrand.
03:58 Et j'ai passé plus de temps dans un cabinet dentaire que sous l'eau.
04:02 Donc, du coup, je ne m'aperçois pas que ce courant va me coûter cher à la remonter.
04:07 Et à 10 mètres, comme un fusible,
04:09 mon corps s'endort.
04:12 Quand on fait une syncope dans l'eau, qu'est-ce qui se passe ?
04:14 Et comment on vous récupère ?
04:16 Parce que là, vous êtes à 90 mètres et vous faites la syncope.
04:19 Non, non, non, 10 mètres de la surface.
04:21 Ah, 10 mètres de la surface.
04:23 Il ne se passe rien au fond.
04:26 La plupart des incidents se passent vraiment dans les 10 derniers mètres.
04:31 Donc, les apnées de sécurité, il y en a 3.
04:34 Ils viennent nous chercher 1 à 30 mètres, 1 à 20 mètres et 1 à 10 mètres.
04:38 On vous raccompagne en fait.
04:39 Exactement.
04:40 Et donc, on adore ce moment parce que c'est un peu le moment où on sait.
04:44 Ils arrivent, ils sont face à nous, ils nous font un petit bruit de gorge à 30 mètres.
04:48 Donc, on sourit.
04:49 Enfin, j'avais souri.
04:51 À 20 mètres aussi et à 10 mètres, je me suis réveillée.
04:55 Il était moins beau.
04:56 Je me suis réveillée dans les bras de mes apnées de sécurité.
04:58 Vous n'avez jamais peur de l'accident ?
05:00 Vous n'avez pas peur de mourir ?
05:01 Vous n'avez pas peur de l'ivresse des profondeurs ?
05:03 Je ne sais pas si c'est une légende ou pas d'ailleurs.
05:04 Alors oui, l'ivresse des profondeurs, elle existe.
05:07 C'est surtout après 100 mètres.
05:09 Moi, je ne l'ai pas encore trop ressenti.
05:11 Donc, à suivre.
05:13 Après, on sait ce qu'on fait.
05:15 On se prive de respirer.
05:16 Donc, on mesure quand même les risques.
05:19 Mais justement, il y a tout un staff médical qui est là.
05:22 Et encore une fois, c'est un incident.
05:25 Ça s'apparente à une chute en ski, en vélo, à un cahut en boxe.
05:29 Ça fait partie de notre sport.
05:32 Vous parlez de la respiration.
05:33 Là, vous êtes restée pendant 2 minutes et 56 secondes sans respirer.
05:36 Pour descendre jusqu'à 100 mètres et remonter.
05:39 Donc, en étant active, ça veut dire que quand vous vous entraînez,
05:41 que vous restez immobile dans une piscine, vous restez...
05:43 6 minutes.
05:45 6 minutes ?
05:46 Sans respirer ?
05:47 Sans respirer.
05:48 Mais comment on progresse ?
05:50 C'est à force d'entraînement, les poumons s'élargissent ?
05:53 Comment ça se passe ?
05:54 Du coup, au début, comme j'ai fait des études de médecine,
05:58 je ne voulais absolument pas savoir ma capacité pulmonaire.
06:02 Parce que je savais que je n'avais pas une grande capacité pulmonaire.
06:05 Je savais que ça allait m'envoyer des informations négatives.
06:08 Donc, je ne voulais surtout pas savoir.
06:10 Et heureusement, parce que je n'ai que 4 litres.
06:12 Et mes coéquipiers masculins, ils ont 8 à 12 litres.
06:16 Ça a à voir avec la cage thoracique, avec la largeur ?
06:19 Et oui, forcément.
06:20 Et donc, heureusement que je ne l'ai pas su.
06:23 Parce que je me serais inhibée.
06:24 C'est un peu comme vous le dites, avec beaucoup de spontanéité,
06:27 5 mètres, c'est rien.
06:28 Mais oui.
06:29 Mais donc, si j'avais su mince 4 litres, 12 litres,
06:32 je me serais dit "ce n'est pas pour toi".
06:34 Et bien, il y a autre chose.
06:36 Et c'est ça que je suis allée chercher.
06:38 C'est que je semblais présenter que des handicaps pas sportifs.
06:42 Pas acclimatisés à l'eau.
06:44 Fumeuse ou suiveur ?
06:45 Non.
06:46 Je ne pensais jamais.
06:47 Mais c'est quoi l'autre chose alors ?
06:48 C'est le mental.
06:49 Et en effet, la respiration.
06:51 Comment on respire ?
06:52 Et juste, votre coeur, il bat à combien quand vous êtes sous l'eau ?
06:55 Vous le savez ou pas ?
06:56 Alors, au repos, il est entre 40 et 45.
06:59 Et sous l'eau, il chute en dessous de...
07:03 Je n'ai pas des mesures précises, mais en dessous de 20,
07:06 autour de 20, 25.
07:08 Comment on fait pour faire descendre son coeur à 40, 45 ?
07:11 Je rappelle que c'est minimum 70 pour les personnes normales.
07:14 Moi, je suis à 55, c'est bien.
07:16 Moi, je suis très sportif aussi.
07:18 Moi, c'est 70, c'est la moyenne.
07:20 En fait, on entraide notre corps,
07:22 c'est ce qu'on appelle le réflexe d'immersion.
07:25 Vous tous, nous tous, quand on va dans l'eau,
07:28 notre corps est bien fait,
07:30 il a un réflexe qui fait chuter le rythme cardiaque.
07:33 Et donc, quand on est apnéiste et qu'on s'entraîne beaucoup,
07:35 on le fait chuter plus vite et de manière plus importante.
07:39 C'est naturel ?
07:40 Oui.
07:41 Alice Modolo, vous êtes vice-championne du monde d'apnée,
07:43 100 mètres de profondeur ces derniers jours,
07:45 au Ronduras.
07:46 Une toute petite pause.
07:47 Et vous allez nous raconter comment vous vous êtes consacrée à l'apnée.
07:49 Parce que vous l'avez dit, vous étiez dentiste il y a encore quelques années.
07:51 Vous allez aussi nous raconter un clip
07:53 auquel vous avez tourné pour une petite jeune qui commence
07:55 et qui s'appelle Beyoncé.
07:56 A tout de suite.
07:57 RTL, bonsoir.
07:59 Julien Cellier, Marion Calais et Cyprien Sini.
08:04 RTL, bonsoir.
08:05 RTL, bonsoir.
08:06 L'émission continue.
08:07 19h25, le plein de curiosités, de sourires.
08:10 Jusqu'à 20h, nous sommes toujours avec la grande invitée de la deuxième heure,
08:13 Alice Modolo, la première femme française à avoir atteint
08:15 100 mètres de profondeur en apnée.
08:17 Elle est vice-championne du monde.
08:19 Et vous êtes aussi dentiste, Alice Modolo.
08:22 Il y a encore quelques années, vous aviez votre cabinet.
08:25 Et puis vous avez décidé de tout lâcher pour un sport pas très médiatique.
08:29 C'est quand même une sacrée aventure, non ?
08:31 Et bizarre de faire de l'apnée quand même.
08:33 Ça vient pas naturellement quand on est dentiste.
08:35 Surtout quand on vient de l'apnée.
08:37 Et bien c'est ça, plus c'est improbable, plus il faut y aller.
08:40 Et pourquoi ?
08:41 Pourquoi ?
08:42 C'est quelque chose...
08:43 En fait, mes parents sont dentistes.
08:45 Donc je devais reprendre le cabinet dentaire de mes parents à Clermont.
08:48 Donc je me suis déjà éloignée, puisque j'ai changé de région.
08:54 Je comprends.
08:55 J'aime beaucoup Clermont-Ferrand.
08:57 J'y suis allée pas à pas.
08:58 Et puis après, la situation s'est présentée à moi.
09:01 Et je me suis dit, bon, la vie te tend une énième fois cette perche, saisis-la.
09:05 Et vous dites quand même malgré tout que vous étiez meilleur dentiste qu'apnéiste.
09:09 Ça je sais pas, il faut demander à mes patients.
09:12 Vous avez aussi une autre caractéristique.
09:14 Tout le monde vous a déjà vu à la télévision
09:17 ou sur Internet, sur YouTube.
09:19 C'est notre instant vintage.
09:20 Chante Al Goya.
09:37 Vous êtes Beyoncé.
09:40 Vous avez joué Alice Monodo dans ce clip de Beyoncé, "Running".
09:45 Écoutez-nous, Beyoncé, elle cherchait une danseuse sous l'eau, c'est ça ?
09:49 En fait, j'avais eu la chance de faire déjà une pub pour une grande marque de thé.
09:53 Je sais pas si j'ai le droit de la nommer.
09:55 Smitty.
09:56 Voilà.
09:57 Ils achètent tas de pubs, Martel.
09:58 Et donc, bien sûr, Guillaume Neri avait été sélectionné pour jouer dans ce clip.
10:05 Grand apnéiste français, on le précise.
10:07 Voilà, grand champion.
10:08 Et donc, il cherchait une femme capable de l'accompagner
10:12 et de courir la tête à l'envers.
10:15 Alors, moi, j'étais en train de soigner mes patients.
10:17 Ils m'ont appelé, ils m'ont dit "ça te dirait de partir en Polynésie ?"
10:20 J'ai dit "bien sûr", mais je savais pas trop ce qui m'attendait.
10:25 Et ça a été un vrai challenge.
10:27 C'est vrai, pourquoi ?
10:28 Oui, parce qu'en fait, on est allé dans un endroit où il y a beaucoup de courant,
10:31 une passe où il y a beaucoup de courant,
10:33 pour pouvoir se mouvoir sous l'eau, pour que Guillaume puisse courir sous l'eau.
10:38 Et moi, on pensait que ça allait m'aider à courir la tête à l'envers.
10:41 Mais pas du tout.
10:42 Donc, on n'a que quatre jours de tournage
10:44 et j'arrive pas à tenir droite et à courir.
10:46 Et en plus, ils veulent que je coure, bien sûr.
10:48 Donc, je leur dis "écoutez, il n'y a aucun support solide.
10:51 Déjà, il faut me sortir du courant parce que ça me faisait chuter à droite, à gauche.
10:56 Et puis, bon, c'est compliqué de me mouvoir.
11:00 Et on a l'idée de ligoter les deux pieds avec du fil de pêche.
11:03 Il y a un apnée de sécurité qui me donne un tout petit peu de résistance
11:08 pour que j'ai un appui et j'arrive à courir.
11:11 Et c'est extraordinaire.
11:13 Mes sinus s'en souviennent parce qu'il faut imaginer que l'eau rentre dans les sinus,
11:17 rentre dans l'oreille interne.
11:19 Et donc, du coup, c'est tout cet organe d'équilibre.
11:22 Donc, je ne savais pas où j'étais.
11:24 Ça a été une vraie prouesse technique.
11:26 Et alors, la question un peu fun, elle est sympa Beyoncé.
11:28 Est-ce que vous l'avez vue ?
11:30 Ecoutez, tout ce que je peux vous dire, c'est qu'elle n'était pas prévue au programme.
11:33 Et quand elle a vu notre duo sous l'eau,
11:36 elle a dit "je les veux, je les laisse danser".
11:39 Et elle nous a laissé être les stars de son clip.
11:42 Ce qui n'est pas rien.
11:43 Ah, ça c'est chic.
11:44 Autre événement dingue à venir celui-ci.
11:46 En juin, vous allez descendre en apnée la flamme olympique à Villefranche-sur-Mer.
11:49 Un, qu'est-ce que ça représente ?
11:51 Et deux, comment vous allez faire ?
11:53 Alors, elle a déjà été immergée pour les Jeux de Sochi dans le Lake Baikal,
11:58 mais c'était en plongée bouteille.
12:00 Et aussi sur la grande barrière de Corail à Sydney.
12:03 Je ne sais pas quelle est la prouesse technique qu'ils vont réaliser pour que je puisse l'immerger.
12:09 J'attends de voir, avec impatience.
12:12 Parce que, Marie-Hélène Sétin, les Jeux de Paris ne se font pas.
12:15 Et du coup, ça se passe à Louvain, en Belgique.
12:18 Prévenez-nous un poil avant.
12:20 Je vais faire mon max.
12:22 Mais au-delà de la prouesse technique,
12:26 quel honneur, quelle chance j'ai de devenir relayeuse de cette flamme olympique.
12:31 Je pourrais dire, ça ferait une case de plus de cocher.
12:36 Il commence à y en avoir des cases.
12:38 Alice Modolo, vous la première femme française à avoir atteint 100 mètres en apnée.
12:42 Vous restez avec nous, vous êtes la grande invitée de la deuxième heure RTL.
12:45 Bonsoir, continuez avec de la cuisine, de la musique.
12:47 Maintenant, la guinguette d'Angèle Ferromac.
12:49 Bonsoir Angèle.
12:50 Bonsoir tout le monde.
12:51 Qu'est-ce qu'on mange ?
12:52 Une tarte aux prunes.
12:53 A volontier.
12:54 Et puis la playlist de Steven Bellery.
12:56 Bonsoir Steven.
12:57 Bonsoir à tous.
12:58 Qu'est-ce qu'on écoute ce soir ?
12:59 C'est un déto, il est tout amoureux, vous allez voir, c'est très signalant.
13:01 On vous retrouve dans quelques secondes, notre apnéeiste.
13:04 Je vais y arriver.
13:05 Alice Modolo, reste avec nous, RTL, bonsoir.
13:07 On revient, à tout de suite.
13:09 RTL. Bonsoir.
13:11 [SILENCE]