• l’année dernière
Avec Pierre Chaillot, statisticien et auteur de "Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels" publié aux éditions de l'Artilleur.

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##LE_FACE_A_FACE-2023-10-05##

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News
Transcription
00:00 13h52 sur Sud Radio, on est dans le face-à-face d'André Bercov dans tous ses états.
00:03 Aujourd'hui, André Bercov reçoit Pierre Chaillot, statisticien et auteur de ce livre qui a fait grand bruit,
00:08 "Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels". C'est aux éditions de l'Artilleur. Bonjour Pierre Chaillot.
00:13 Bonjour et merci de me recevoir.
00:14 Alors je rappelle Pierre Chaillot que vous étiez déjà venu en janvier dernier pour inventer ce livre,
00:19 et c'est très intéressant parce que, évidemment, avec tout le concert du cœur,
00:27 soit du cœur des vierges, soit des meutes en disant "oui, complotistes", etc.
00:32 Vous, vous amenez des chiffres. Et des chiffres absolument incontestables.
00:36 Et comme vous dites, vous l'étiez très bien d'ailleurs dans votre prépa,
00:39 vous dites "on peut discuter de tout sauf des chiffres", disait Olivier Véran.
00:43 Et puis vous vous dites "attention, on doit discuter de tout", comme moi je dis,
00:49 on doit avoir question à tout, et surtout des chiffres.
00:52 Et puis vraiment votre livre a fait effectivement sensation, et à juste titre,
00:55 parce que, voilà, vous remettiez l'église statistique au milieu du village en disant "écoutez, constatez".
01:02 Et alors, avant de commencer, on va avoir le temps d'en parler, Pierre Chaillot,
01:05 je voudrais vous faire entendre deux morceaux, deux extraits.
01:09 Le premier du docteur Jimmy Mohamed, il parle du Covid, et c'était sur RTL. Écoutez.
01:16 Docteur, le message que vous nous délivrez ce matin est assez simple,
01:19 tout symptôme de rhume doit être considéré comme du Covid, jusqu'à preuve du contraire.
01:24 Oui, d'autant qu'en ce moment je vois plein de patients avec de la fièvre, le nez qui coule,
01:27 des courbatures, des maux de gorge, des maux de tête ou encore de la toux.
01:30 Alors ça ressemble grosso modo à une espèce de syndrome grippal.
01:33 Sauf qu'en cette période de l'année, il n'y a pas de grippe.
01:35 Les températures font qu'il n'y a quasiment aucun virus qui circule en dehors du Covid.
01:40 Donc vous conseillez donc de se tester au moindre doute, et que fait-on si le test est négatif ?
01:46 Alors si le test est négatif, il faut se poser quelques questions.
01:48 Si vous êtes cas contact, qu'il y a du Covid qui circule autour de vous,
01:51 si c'est une épidémie au travail, à l'école, considérez que vous êtes porteur du virus
01:55 à partir du moment où vous avez le moindre nez qui coule, même si votre test est négatif.
02:00 Voilà, le moindre nez qui coule même si votre test est négatif, vous êtes porteur du Covid.
02:06 Alors Pierre Chahut, ça s'appelle comment ça ?
02:09 Ça s'appelle de la paranoïa, ça s'appelle un syndrome paranoïaque,
02:12 et c'est extrêmement révélateur de tout ce qu'on a vécu depuis trois ans, c'est exactement ça.
02:16 Où tout le monde est soupçonné porteur du Covid pour n'importe quelle situation,
02:21 et la force de ce que nous avons vécu, c'est que cette soi-disant épidémie de Covid-19
02:26 n'a jamais considéré le nombre de malades qu'il y avait dans une population,
02:32 de vrais malades j'ai envie de dire, sinon on n'aurait jamais dit qu'il y avait eu une épidémie,
02:35 parce qu'on n'a jamais dépassé les seuils de malades à aucun moment depuis le début.
02:39 À aucun moment ?
02:40 À aucun moment, de ce qu'on pourrait appeler un seuil épidémique,
02:43 si j'y mets en compte le nombre de malades, c'est ce que fait Réseau Sentinel depuis le départ,
02:47 et on a tout basé sur ces fameux tests.
02:50 Et ce sont ces fameux tests qui ont fait croire à une épidémie,
02:52 avec une épidémie de tests et de tests positifs.
02:55 Et là on va encore plus fort, parce qu'on peut même avoir une épidémie de tests négatifs,
02:58 qui pourraient quand même être considérés comme du Covid,
03:00 donc là on est vraiment dans l'aboutissement de la folie.
03:02 Ah oui, même si vous êtes négatif, en fait vous êtes Covid.
03:05 C'est-à-dire que tout homme bien portant est un malade qui s'ignore.
03:10 Exactement.
03:11 C'est le docteur Knoch.
03:12 C'est ça, c'était les fameuses symptomatiques, ça.
03:14 Eh bien écoutez, on va continuer de parler de tout ça,
03:16 on va avoir une heure pour en parler avec Pierre Chaillot,
03:19 et effectivement de tout, de ce qui se passe au niveau de la natalité,
03:22 de l'effondrement, des effets secondaires justement,
03:25 des tests, des vaccins, etc.
03:26 Des hôpitaux, on l'a vu hier sur les urgences,
03:29 on va prendre le temps d'en parler juste après les informations.
03:32 On continue de parler Chypre sur Sud Radio et Statistique
03:35 avec Pierre Chaillot qui est notre invité exceptionnel aujourd'hui,
03:38 et puis avec vous au 0826 300 300, comme d'habitude.
03:40 A tout de suite sur Sud Radio.
03:42 Avec 13h03 sur Sud Radio,
03:45 nous sommes désormais dans le Face à Face avec André Bercov
03:47 qui reçoit aujourd'hui Pierre Chaillot, le statisticien et auteur de ce livre
03:51 "Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels".
03:53 C'est aux éditions de l'Arctière, et puis avec vous au 0826 300 300.
03:58 Alors ça devient très intéressant, vous avez sorti votre livre,
04:01 vous avez reçu à l'époque Pierre Chaillot en janvier dernier,
04:04 et encore une fois c'est un livre que je recommande,
04:06 qu'il faut lire vraiment parce qu'il y a l'effet, ça s'appelle l'effet.
04:10 Vous savez qu'un l'oreille ne fera pas la porte.
04:12 De temps en temps il faut le laisser rentrer,
04:13 sinon il enfonce la porte et ça devient plus compliqué.
04:16 Alors il y a autre chose que je voulais vous faire entendre Pierre Chaillot,
04:20 après la magnifique analyse et le diagnostic du docteur Jimmy Mohamed.
04:26 Je voudrais vous faire entendre le nouveau ministre de la Santé Aurélien Rousseau.
04:30 Eh bien lui, vous voyez, il n'a pas besoin d'être paranoïaque,
04:33 tout va bien, tout va bien, le nouveau vaccin arrive,
04:37 et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
04:40 Écoutez.
04:41 On a un vaccin qui est plus efficace,
04:44 il est plus efficace que celui de l'an dernier,
04:46 il correspond parfaitement aux souches,
04:49 et on a un vaccin dont maintenant on a trois ans de recul,
04:52 on sait qu'on n'a pas d'effet secondaire,
04:54 et donc il faut y aller,
04:56 et par ailleurs on est dans un climat global
04:59 où j'espère qu'on arrive à porter sur papillomavirus,
05:03 sur la bronchiolite, sur le Covid, sur la grippe,
05:07 il y a une dynamique où je veux montrer que la prévention,
05:10 la vaccination c'est le progrès.
05:12 Et que ça marche.
05:13 Eh bien alors franchement Pierre Chaillot,
05:15 mais de quoi vous vous inquiétez ?
05:16 Là vous êtes là, regardez ce que vous dit le ministre de la Santé,
05:20 on a d'abord trois ans de recul,
05:22 c'est intéressant, là on va parler du recul.
05:24 Deuxièmement, il n'y a pas d'effet secondaire.
05:26 Vous voyez des effets secondaires,
05:28 on a vu des chiffres, des effets secondaires,
05:30 non ça n'existe pas,
05:31 il y a un excellent vaccin qui arrive,
05:33 et puis voilà, il faut y aller.
05:35 Je crois que c'est ce qu'on appelle un naufrage,
05:38 c'est-à-dire qu'on a un discours qui n'a ni queue ni tête,
05:41 en direct à la radio.
05:43 Les effets secondaires, si on parle bien d'effets indésirables,
05:46 ils sont reconnus de multiples manières,
05:48 il y a la remontée à pharmacovigilance depuis longtemps,
05:50 il y a la NSM qui en reconnaît une grande partie aujourd'hui,
05:53 l'agence nationale de la santé,
05:54 oui la santé, la sécurité des médicaments,
05:56 la très officielle agence, oui.
05:59 Oui, tout à fait, et puis même si on reprend les études de Pfizer et de Moderna,
06:02 si on regarde les personnes qui prennent les vaccins pendant les études,
06:05 on voit qu'il y a bien plus de malades,
06:07 au sens des maux de tête, les tous, etc.,
06:10 qui sont remontés parmi les gens vaccinés,
06:11 que parmi les gens qui reçoivent des placebo,
06:13 c'est écrit dans leurs études.
06:14 Donc depuis le début des études,
06:16 on sait très bien qu'il y a des effets indésirables de ces vaccins,
06:18 et peut-être il y a une erreur de langage de sa part,
06:20 puisque les effets indésirables des vaccins
06:22 sont ce qu'on appelle des effets primaires,
06:24 puisqu'en fait ils arrivent juste après la vaccination,
06:26 et c'est bien le premier effet,
06:27 c'est le premier effet de la vaccination,
06:28 de rendre malade et d'avoir un effet qui est indésirable.
06:30 - Ça arrive pour tous les vaccins d'ailleurs.
06:32 - Oui, et s'il y a un effet secondaire du vaccin,
06:35 c'est de protéger contre quelque chose.
06:36 Donc si le ministre nous dit qu'il n'y a pas d'effet secondaire,
06:38 on peut être d'accord sur le fait qu'en effet,
06:40 ils n'ont jamais rien montré de protégé de quoi que ce soit.
06:42 Et donc en effet, dans ce sens-là,
06:43 il n'y aurait pas d'effet secondaire,
06:44 mais bien des effets indésirables, et uniquement ça.
06:46 - Alors justement, mais qu'est-ce qu'il fait ?
06:49 Parce qu'il parle du recul, on a pris du recul.
06:52 Alors vous aussi, vous avez pris du recul,
06:54 enfin vous l'aviez pris avant,
06:55 ça faisait trois ans aussi que vous travaillez dessus,
06:57 et vos conclusions ne sont pas vraiment,
06:59 c'est le moins que l'on puisse dire,
07:00 tout à fait les mêmes que celles du ministre ou d'autres personnes.
07:03 Alors je voudrais un peu peut-être faire,
07:05 on est en octobre 2023,
07:08 il y a quelque chose dont on ne parlait pas
07:11 quand vous avez écrit votre livre,
07:12 et je sais que vous allez le rééditer en ajoutant,
07:14 mais quand même, on parle de l'effondrement de la natalité.
07:17 Et que voilà, qu'il y a vraiment des problèmes
07:19 au niveau à la fois des femmes enceintes,
07:21 au niveau du foetus, au niveau de tout ça.
07:23 Qu'est-ce qui se passe exactement ?
07:24 Qu'est-ce que vous avez pu vérifier ou chercher, Pierre Chaillot ?
07:28 - Eh bien c'est simple, on a des différents pays européens
07:31 qui nous donnent leur donnée du nombre de naissances qu'il y a chaque mois.
07:34 Alors il y a des pays en Europe dont le nombre de naissances
07:36 a tendance à baisser au cours du temps,
07:38 et donc c'est le cas de la France,
07:39 qui est un pays vieillissant, c'est pas nouveau.
07:42 Mais on peut quand même regarder
07:44 si les naissances suivent toujours, on va dire,
07:46 une courbe à la baisse normale ou la même que d'habitude,
07:49 ou si on a quand même un effondrement supplémentaire.
07:52 Et là en France, on voit que ça baisse bien plus.
07:54 Et il y a d'autres pays comme le Danemark
07:56 où il y a plutôt une petite hausse du nombre de naissances,
07:58 et on voit qu'il y a une baisse, en Allemagne aussi on voit qu'il y a une baisse.
08:00 Et on remarque sur tous ces pays qu'on a des baisses significatives
08:04 neuf mois après la campagne de vaccination des jeunes femmes.
08:07 Donc on n'a pas le résultat définitif,
08:11 on va dire, de où on saurait exactement ce qui est en train de se passer,
08:13 mais on a quand même un indice extrêmement net en termes de temporalité,
08:16 et puis sur un grand nombre de pays où ça arrive tous en même temps.
08:19 Et puis en plus, il y avait déjà eu un effondrement des naissances
08:22 neuf mois après le premier confinement sur les pays qui confinaient,
08:24 ce qui montre l'impact psychologique du confinement sur les gens,
08:27 contrairement à ce qui avait été annoncé à l'époque par certains médias en disant
08:30 "oui, les gens chez eux vont faire des enfants".
08:32 - Voilà, on avait vu l'inverse.
08:34 - Au contraire, vous allez avoir une multiplication des bébés,
08:36 comme à New York quand il y a eu la grande panne d'électricité,
08:39 effectivement neuf mois après il y a eu recrudescence de naissances.
08:42 Là c'est pas le cas du tout.
08:43 - Là c'était vraiment le cas inverse,
08:45 c'est-à-dire que psychologiquement il s'est passé quelque chose de grave sur la population,
08:48 et en revanche, on a vu les naissances remonter dans l'année 2021,
08:52 ce qui veut dire qu'après le confinement,
08:53 une fois que les gens se sont vus libérés d'une certaine manière,
08:56 ils se sont remis à faire des enfants, et même au-dessus de l'année 2020.
08:58 Et c'est ça, cette tendance-là, ensuite elle s'est ré-effondrée en 2022,
09:01 et ça, dans tout un tas de pays, ça se voit encore une fois sur ceux dans lesquels on a eu des données.
09:05 Donc ça c'est un signal statistique assez fort.
09:07 - Ah ça s'est ré-effondré en 2022 ?
09:09 - Oui c'est ça.
09:10 Et donc c'est ça qui est né neuf mois après la campagne de vaccination,
09:12 et c'est un signal statistique qui est fort et qu'il faut regarder,
09:15 et qui est à corréler sur le fait qu'en effet il y a des associations de femmes,
09:19 notamment au Hémencycle,
09:21 sur laquelle les droits d'auteur de mon livre servent à soutenir au Hémencycle,
09:24 qui vient en aide aux femmes qui ont des problèmes de menstruation suite à la vaccination,
09:27 et ça c'est colossal, il y a vraiment beaucoup de femmes à qui c'est arrivé,
09:31 et évidemment si on n'a plus de règles, ou des règles très abondantes après la vaccination,
09:34 c'est une période où on ne peut pas procréer, donc c'est que ça ne va pas.
09:36 Donc on a la totalité des indices qui sont concordants et qui vont tous au même sens.
09:40 - Et c'est très massif, vous dites colossal, c'est vraiment très important ?
09:43 - C'est vraiment très important, il suffit de faire des...
09:46 ou même faire du micro-trottoir autour de chez soi,
09:48 je le montre dans le livre, ça m'est arrivé de faire une soirée avec des jeunes femmes,
09:52 il y avait une dizaine de jeunes femmes, et il y en avait parmi elles,
09:55 il se trouve que dans la conversation, une m'a demandé ce que je faisais,
09:57 j'ai parlé d'où est mon cycle dans la conversation,
10:00 et elle a dit qu'elle avait des problèmes menstruels depuis sa vaccination,
10:03 et il y en a quatre autres qui ont dit "moi aussi dans la salle".
10:07 Alors vous allez me dire "oui, 5 sur les millions de Français, ce n'est pas significatif",
10:10 et bien si, ça l'est !
10:12 Parce que si ce problème-là n'arrivait qu'une fois sur un million,
10:14 il serait impossible pour moi de faire une soirée au hasard,
10:17 en invitant des gens, et puis d'en avoir 5 sur 10.
10:20 Donc, je ne sais pas combien il y en a,
10:21 mais vous pouvez faire l'exercice avec les personnes que vous connaissez,
10:24 c'est significatif, il s'est passé quelque chose.
10:26 Le temps que ça va, que ça durera, on n'en sait rien,
10:29 quels sont les hauteurs des dégâts, mais voilà, c'est massif.
10:32 Et puis il y a le nombre de déclarations et de femmes qui se plaint, ça c'est à prendre en compte.
10:35 Le fait qu'il existe, juste qu'il existe, des associations de victimes,
10:38 c'est un indice suffisant,
10:39 pour vous assurer que les femmes ont autre chose à faire de leur vie,
10:42 surtout à 35 ans, plutôt que de monter une association de victimes
10:44 pour se plaindre, d'essayer de se faire reconnaître,
10:46 surtout que ça demande un temps fou,
10:47 avec beaucoup de médias qui les ont décriées,
10:49 étaient contre elles, notamment Libé qui a fait un article
10:51 en traitant ces femmes vaccinées d'antivax.
10:53 - Ah oui ? - Oui, oui, c'était fabuleux,
10:55 c'est-à-dire que ce sont quand même des femmes vaccinées
10:56 qui se plaignent des faits indésirables,
10:57 qui sont traitées d'antivax par les médias.
10:59 - Sinon, des conspirationnistes, bien sûr !
11:01 - Oui, mais ça, maintenant, ça devient classique.
11:03 On relève plus que maintenant que ce qui est parfaitement paradoxal.
11:06 Mais voilà, donc il y a tous les indices qui sont concordants,
11:08 et voilà, celui-là qui est arrivé de manière supplémentaire.
11:10 Donc oui, la natalité baisse ces dernières années,
11:12 de manière structurelle,
11:14 mais on voit quand même des baisses supplémentaires
11:16 qui arrivent juste après la vaccination.
11:18 - Oui, en tout cas, c'est à suivre, effectivement,
11:20 et de voir qu'est-ce qui se passe exactement.
11:22 Alors, l'autre chose qui...
11:24 L'autre, et on va un peu passer en revue
11:28 un certain nombre de choses qui se passent et qui se sont passées,
11:31 mais quelque chose qui, je me rappelle,
11:33 avant de vous inviter, j'avais invité le professeur Toubianna,
11:37 l'épidémiologue,
11:38 et qui m'avait dit, et vous me l'avez répété aussi,
11:41 parce qu'il avait dit, écoutez, nous, on a demandé aux autorités,
11:45 toutes les autorités s'occupant de santé,
11:48 elles sont nombreuses,
11:50 en disant, voilà, ce qu'on voudrait avoir,
11:52 c'est le chiffre des morts depuis deux ans, trois ans,
11:55 et le chiffre des vaccinés.
11:56 Simplement pour corréler, et après tout, peut-être qu'on verra
11:59 que c'est les non-vaccinés qui ont beaucoup plus de morts que les vaccinés,
12:02 et ce qui est étonnant, il m'avait répété, il dit,
12:05 secret des France, secret de l'État,
12:07 personne ne vous répond là-dessus,
12:09 et certains lui ont dit, on ne fait pas ces statistiques,
12:12 comment on sait qu'on est obligé de répartorier
12:16 les morts et les vaccinés ?
12:18 Comment vous expliquez tout cela, Pierre Chaillot ?
12:20 - Oui, il y a une demande auxquelles j'ai participé avec Laurent Toubianna,
12:23 on a fait une demande auprès de la ministre de la Santé,
12:25 donc c'était en 2022, qui n'a pas répondu,
12:27 ce qui nous a permis de saisir la CADA,
12:28 la Commission d'accès aux documents administratifs,
12:30 qui permet normalement à tous citoyens
12:32 d'avoir accès aux documents administratifs sur lesquels s'appuient les lois.
12:34 - Ils sont obligés de le faire.
12:36 - Ils sont obligés de le faire,
12:37 et donc la CADA a redemandé au ministère de la Santé,
12:40 le ministère de la Santé qui a répondu,
12:41 non, on n'a pas ces chiffres, donc on ne vous donnera rien,
12:44 et la CADA nous a dit, bon, ben ils n'en ont pas, donc on s'arrête là.
12:46 Mais normalement, la CADA doit insister,
12:47 et vu qu'on a donné à la CADA tous les éléments
12:49 permettant de dire où étaient les chiffres,
12:51 comment est-ce qu'on faisait pour y accéder,
12:52 ils auraient dû insister, ce qu'ils n'ont pas fait.
12:54 - Et puis il y a eu une demande en session du Sénat de Mme la sénatrice Mueller-Brun,
12:58 qui a demandé à avoir accès à ces chiffres du statut vaccinal
13:01 de tous les décès, de façon à savoir.
13:03 - C'est ça.
13:03 - Et la ministre qui a répondu en séance, a répondu deux choses, elle a dit...
13:06 - Qui était la ministre de l'époque ?
13:08 - Alors je crois que c'est la ministre déléguée,
13:09 je ne sais plus son nom, mais c'était pas la ministre qui était là,
13:11 et elle a répondu deux choses, elle a dit,
13:13 première chose, de un, ces données n'existent pas,
13:16 et de deux, ces données sont publiques.
13:17 Voilà.
13:18 Donc c'était...
13:18 - En même temps, elle a dit ça ?
13:20 - En même temps, dans la même phrase.
13:21 - Ce qui n'existe pas est public comme chacun sait.
13:23 - Donc on a eu les deux, et les deux sont faux.
13:27 C'est-à-dire que ce n'est pas facile de créer un paradoxe dans la même phrase,
13:29 mais en plus quand les deux éléments sont faux.
13:31 Donc ces données existent, ils sont disponibles dans ce qu'on appelle le SNDS,
13:33 qui est le système national des données de santé,
13:36 donc qui s'appuie sur les données de la sécurité sociale,
13:38 qui a les dates de vaccination des gens et les dates de décès des gens,
13:40 donc on voudra exploiter ça, et ce n'est pas public,
13:43 il n'y a que les chercheurs habilités qui ont accès.
13:44 Donc nous ce qu'on demande en effet,
13:45 c'est que le ministre de la Santé fasse l'exercice,
13:47 dépêche des personnes, des chercheurs du ministère de la Santé pour faire l'exercice.
13:52 - Et vous le demandez toujours ça ?
13:53 - Bien sûr, on le demande toujours, c'est une des manières de se voir,
13:55 ce sera un indice supplémentaire qui permettrait de savoir.
13:58 Et a priori, il y aurait une réponse dernièrement du ministère de la Santé
14:01 qui dit "oui mais c'est difficile, ça demanderait plusieurs semaines de travail".
14:04 Bon alors pour une vaccination...
14:06 - C'est vrai qu'on a autre chose à faire, oui.
14:08 - Je vous explique, pour une vaccination qui a coûté plusieurs milliards d'euros,
14:10 dépêcher un ou deux chercheurs pendant une semaine de travail pour faire des extractions,
14:14 ça ne nous paraît pas non plus complètement déconnant en termes de budget.
14:17 - On va parler de tout ça après une petite pause, à tout de suite.
14:21 - On est toujours avec Pierre Chaillot sur Sud Radio jusqu'à 14h et puis avec vous aussi,
14:24 on vous donne la parole comme d'habitude 0826 300 300, à tout de suite.
14:28 15h18 sur Sud Radio, on parle toujours de ce que révèlent les chiffres officiels du Covid-19,
14:33 bien sûr avec Pierre Chaillot qui est notre invité aujourd'hui,
14:35 et puis avec vous au 0826 300 300.
14:38 - Et nous avons parlé effectivement de l'effondrement d'un certain nombre de narratifs
14:42 depuis un an, depuis la sortie du livre de Pierre Chaillot,
14:46 qui je le rappelle, je le dis, il l'a dit, mais il faut le dire,
14:49 les droits entièrement, les droits d'auteur de Pierre Chaillot
14:52 vont à la fondation Oumy-Monsique qui vient en aide aux femmes
14:54 qui ont subi de graves perturbations hormonales suite à la vaccination.
14:58 Donc Pierre Chaillot, alors je voudrais savoir par rapport à ce qu'on disait sur le chiffre,
15:04 non il n'y a pas de chiffre et en même temps ces chiffres sont publics,
15:07 donc chiffre des morts etc, comment ça se passe à l'international aujourd'hui ?
15:12 On sent, et je rappelle les procès en Floride contre Fauci, contre les laboratoires,
15:20 les enquêtes de Rand Paul et de Robert Kelly Jr.
15:25 En Allemagne, Reiner Fulgrich et les milliers d'avocats et de scientifiques,
15:31 mais est-ce qu'il se passe vraiment non seulement un éveil,
15:35 mais est-ce qu'on a des chiffres, on a des résultats tangibles de ce qui se passe ?
15:40 Des recherches un peu partout.
15:41 Oui, il y a deux niveaux sur lesquels il faut se placer,
15:44 il y a des niveaux individuels avec des gens qui font des prises de sang,
15:48 par exemple sur des personnes vaccinées qui ont des effets indésirables,
15:50 et on y trouve des choses intéressantes, donc là il y a des publications qui sont faites,
15:53 et des études qui sont faites aussi post mortem sur des personnes décédées,
15:57 on voit aussi des choses, donc tout ça il y a des choses qui sont faites de manière internationale.
16:01 Et puis il y a les statistiques, et en fait il faut les deux,
16:04 parce qu'en effet on voit des choses statistiquement,
16:07 donc moi j'ai montré que sur toute l'Europe il y a des problèmes,
16:10 on voit des hausses de décès pile pendant les campagnes de vaccination
16:13 pour quasiment toutes les tranches d'âge et tous les pays d'Europe.
16:15 - Des hausses notables ? - Oui, suffisamment significatives pour être vu statistiquement.
16:19 Alors même s'il n'y a pas d'hécatombe au sens où les gens ne sont pas tombés comme des mouches,
16:22 on voit des signaux statistiques,
16:24 et donc ça c'est extrêmement grave de voir des signaux statistiques partout en Europe.
16:28 Et puis il y a Denis Rancourt qui a fait le même travail,
16:29 qui a vu la même chose aux Etats-Unis et au Canada,
16:32 et il vient de sortir un papier, lui et son équipe, là sur toute l'Asie.
16:35 Donc en fait on a des traces partout, et il faut les deux niveaux,
16:38 parce que quand on arrive juste avec le fait de dire "ben voilà, on ne sait pas pourquoi",
16:41 mais on remarque qu'il y a des hausses de décès,
16:43 et bien on complète, il faut d'autres études qui complètent en disant "ben voilà pourquoi"
16:46 et "voilà ce qui peut se passer". Donc les deux niveaux sont extrêmement importants.
16:49 On a quand même des choses en Angleterre qui sont sorties,
16:53 puisque l'Angleterre diffuse ce qu'on demande avec le Rantoubiana pour la France,
16:56 c'est-à-dire des statistiques de décès selon le statut vaccinal.
16:59 - Ah, il le faut en Angleterre ? - Il le faut en Angleterre.
17:01 Ils ont quand même des problèmes ces données,
17:04 il y a Norman Fenton, un chercheur et son équipe,
17:06 qui ont montré que ces données avaient des problèmes,
17:08 et que l'efficacité vantée des vaccins a tenu au fait
17:11 qu'il y avait un décalage entre la date de vaccination et la date de décès.
17:14 En gros, si vous venez juste de vous faire vacciner et que vous décédez,
17:17 vous êtes considéré non-vacciné.
17:19 - Ce qui veut dire que le vaccin n'a pas fait son effet, quel qu'il soit.
17:22 - Voilà, mais du coup ils considèrent les gens non-vaccinés,
17:24 ça veut dire que tous les décès qu'on a juste après la vaccination,
17:27 ils sont mis chez les non-vaccinés,
17:28 et donc ça fait augmenter les décès des non-vaccinés de manière parfaitement artificielle.
17:31 Donc ça, il l'a prouvé, il n'y a aucun problème,
17:33 les autorités anglaises l'ont nié pendant des mois,
17:35 et là, dans le nouveau fichier qui est sorti, c'est écrit noir sur blanc,
17:37 on a remarqué qu'il y avait des décalages.
17:40 - C'est écrit officiellement.
17:40 - C'est écrit officiellement, et qu'ils en corrigent une partie,
17:42 donc on ne sait pas combien, mais bref.
17:44 Donc on avait déjà ça comme problème,
17:46 et là, il y a une étude anglaise qui est sortie,
17:48 qui prend d'un côté les taux de vaccination dans la population générale,
17:51 voilà, bon, il y a tant de pourcentages de vaccinés dans la population,
17:54 et qui regarde le taux de vaccinés parmi les décès.
17:57 Donc leur raisonnement étant, bon, bah voilà,
17:59 s'il y a 50-50, 50% de vaccinés et de non-vaccinés dans la population,
18:03 et qu'on garde les décès, et qu'on voit 50-50 sur les décès,
18:06 ça veut dire que le vaccin ne sert à rien,
18:08 puisque les gens décèdent tout pareil, vaccinés et non-vaccinés.
18:11 Si le vaccin sert à quelque chose,
18:12 on devrait voir beaucoup moins de vaccinés parmi les décédés,
18:15 on devrait voir une proportion de vaccinés inférieure.
18:17 - En tout cas, qu'on sent, oui, qu'il y a une baisse de la mortalité.
18:20 - Oui, c'est ça, chez les vaccinés.
18:22 Eh bien, on voit l'inverse.
18:23 - Chez les non-vaccinés.
18:24 - Enfin, on devrait voir les vaccinés mourir moins.
18:27 - C'est ça, on est bien d'accord.
18:28 - Et ils constatent que les vaccinés meurent plus,
18:30 c'est-à-dire que le pourcentage de vaccinés parmi les décès
18:35 est supérieur au pourcentage de vaccinés dans la population.
18:37 - Mais c'est important, on est sûr de ça, enfin on est sûr,
18:39 on a vraiment des données sûres là-dessus, Pierre Jaillot ?
18:43 - Ce sont les statistiques officielles du ministère de la Santé
18:46 et de l'ONS, de l'Institut Statistique Anglais,
18:48 donc si on prend leurs chiffres et qu'on fait la comparaison,
18:51 on voit que ça va dans ce sens-là.
18:53 Donc, alors, on peut dire, il reste des...
18:55 et c'est par tranche d'âge, c'est pas la population totale, etc.,
18:58 donc on a enlevé le biais lié à l'âge.
18:59 Donc on pourrait me dire, oui, mais du coup,
19:01 c'est juste parce que les vaccinés sont des gens très malades,
19:03 du coup c'est intéressant, parce que ça veut dire que du coup,
19:06 le vaccin sert à rien, ça veut dire qu'il y a d'autres effets
19:09 dans la population qui fait qu'on meurt,
19:10 et l'idée du vaccin ou même du Covid-19,
19:12 ça n'a absolument aucun impact, donc c'est autre chose,
19:14 donc ça veut dire qu'à minima, ça sert à rien.
19:16 On pourrait dire aussi, oui, peut-être que les chiffres
19:18 sont faux de population et sont mal calculés,
19:20 bah oui, mais dans ces cas-là,
19:21 toutes les politiques qui se sont basées sur ces chiffres
19:23 pour dire qu'il fallait nous enfermer, tout ça,
19:25 ça veut dire qu'ils se basent sur des chiffres faux,
19:26 donc on a un problème.
19:29 Donc quoi qu'il arrive, et quel que soit le sens
19:31 dans lequel on tourne le problème,
19:32 de toute façon, on a un énorme souci avec ces données
19:34 qui montrent que ce sont les vaccinés qui meurent trop.
19:37 Voilà, donc ça, ce sont les chiffres anglais qui le disent,
19:39 donc soit les chiffres sont faux,
19:41 et dans ces cas-là, le gouvernement se fiche de nous depuis le début,
19:43 soit les chiffres sont bons,
19:44 et le gouvernement se fiche de nous depuis le début.
19:46 - Est-ce qu'il y a eu, Pierre Chaillot, à votre connaissance,
19:48 des études pareilles aux États-Unis, en Allemagne, ou ailleurs ?
19:52 - Je n'ai pas connaissance d'autres pays
19:55 qui ont diffusé le statut vaccinal des personnes décédées.
19:58 Il y a l'Écosse qui l'a fait un tout petit peu,
20:00 de manière très rapide,
20:01 et dès qu'ils ont vu qu'ils publiaient des chiffres
20:03 montant que les vaccinés mouraient trop,
20:04 ils ont arrêté immédiatement,
20:06 et donc ils n'ont pas recommencé depuis.
20:08 Donc voilà, là pour l'instant,
20:09 je n'ai pas réussi à trouver d'autres exemples.
20:10 - Et alors, parmi, vous savez, cette définition,
20:13 ces chiffres aussi,
20:14 ceux qui ont dit "ceux qui meurent du Covid",
20:18 ou "ceux qui meurent avec le Covid".
20:20 Parce qu'il y a eu ça,
20:21 vous savez très très bien que...
20:22 D'ailleurs, c'est très simple,
20:23 à sur RTL, ce que disait le Dr J. Mohamed,
20:27 de toute façon, voilà,
20:28 en fait, vous avez un rhume,
20:32 ça peut être le Covid.
20:34 Donc, est-ce que ce côté,
20:37 sans retomber dans les chiffres qu'on n'a pas en France,
20:40 mais est-ce qu'il y a eu, on le sait,
20:42 on a étiqueté "morts du Covid",
20:44 des gens qui, au fait, mouraient de toute façon
20:46 par AVC, par autre chose.
20:49 - Mais ce que l'on appelle Covid,
20:50 ça n'est pas une réalité médicale,
20:52 c'est un codage,
20:54 c'est quelque chose de très différent.
20:56 Une réalité médicale,
20:57 ce serait un ensemble de symptômes parfaitement définis
20:59 qui nous permettrait de reconnaître ce que c'est.
21:01 Or, il n'y a absolument aucun symptôme spécifique
21:03 à ce qu'on appelle Covid-19.
21:04 Et donc, on est passé dans,
21:06 en effet, le tout bien portant est un malade qui s'ignore,
21:08 on a dit "bah, c'est le test qui va faire foi".
21:10 Mais donc, à l'hôpital, en effet,
21:11 on a des jambes cassées Covid,
21:12 des cancers Covid,
21:14 des gens qui viennent à l'hôpital pour tout autre chose
21:17 et qui vont être étiquetés Covid.
21:18 On a fait un exercice dans le livre que je montre,
21:21 c'est-à-dire qu'on s'est intéressé à savoir,
21:23 au cours de ces dernières années,
21:24 quel était le nombre de personnes souffrant d'infections respiratoires
21:27 qu'il y avait à l'hôpital,
21:28 ces dernières années.
21:30 Eh bien, il se trouve qu'il n'y a eu absolument aucune augmentation
21:34 des problèmes de difficultés respiratoires à l'hôpital,
21:37 d'insuffisance liée à des maladies,
21:39 ça n'existe pas.
21:40 Il y a eu une explosion du nombre de ce qu'on appelle Covid-19,
21:43 et pendant qu'on faisait exploser ce chiffre-là,
21:45 il y a un effondrement des statistiques de grippe,
21:48 de tuberculose,
21:49 de broncolite,
21:50 de bronchopneumopathie,
21:51 de pneumopathie, etc.
21:52 C'est-à-dire que ce qu'on appelle Covid-19,
21:54 c'est juste un codage qui regroupe la totalité,
21:57 ou une énorme partie des infections respiratoires
21:59 qui s'appelaient autrement avant.
22:01 Et c'est ce fichu test qui a fait les statistiques du Covid,
22:04 où on a mis tout et n'importe quoi.
22:06 Et on ne parle que des infections respiratoires,
22:07 mais on a vraiment mis n'importe quoi dans ce qu'était Covid-19,
22:10 d'ailleurs Jimmy Moëlle le confirme,
22:12 n'importe quoi c'est du Covid-19.
22:13 - C'est très intéressant.
22:15 En fait, il y a eu un problème de codage,
22:17 et on a engouffré quoi.
22:19 - On a engouffré absolument.
22:20 Si vraiment il y avait eu une nouveauté,
22:22 on devrait voir dans les statistiques hospitalières et de malades,
22:25 une augmentation sur la catégorie,
22:27 ça n'existe pas.
22:28 Il n'y a pas du tout plus de problèmes d'infection respiratoire
22:31 dans ce qu'on appelle Covid-19.
22:32 Il y a tout un réservoir de toutes les maladies respiratoires
22:36 qui alimentent ce nouveau codage qui s'appelle Covid-19,
22:38 et c'est ça qui fait les statistiques de Covid-19.
22:40 - Oui, très intéressant.
22:42 On va en continuer à en parler après cette petite pause,
22:44 et aussi avec nos auditeurs bien sûr.
22:46 - Oui, bien sûr, on va vous donner la parole,
22:48 vous en avez l'habitude,
22:49 d'Hembert Coff dans tous ses états, 0 826 300 300.
22:52 A tout de suite.
22:53 - Je ne suis pas le seul, Pierre Chaillot aussi,
22:55 après avoir écrit son livre,
22:56 ou même avant quand il commençait à chercher tout ça,
22:59 Covid-19, ce qui révèle les chiffres officiels,
23:01 chez l'artilleur.
23:03 Alors, Pierre Chaillot, on va rentrer dans le vif du sujet.
23:06 Un jour j'ai reçu un médecin, un médecin belge,
23:08 le docteur David Bouillon,
23:09 et il me disait, "mais attendez, moi je ne comprends pas,
23:11 pourquoi on ne fait pas quelque chose de très simple,
23:14 on veut savoir si effectivement
23:16 les structures immunitaires sont bonnes chez chacun,
23:18 faites une sérologie,
23:19 ça ne coûte pas plus cher que les milliards de dollars dépensés.
23:22 Pour ceux qui ont des anticorps en excès,
23:26 ou en tout cas en suffisance,
23:28 et bien pas la peine effectivement de se faire vacciner,
23:31 pour ceux qui n'ont pas,
23:32 alors à ce moment-là on voit la chose.
23:33 Et vous, vous me dites,
23:35 "attention, ce n'est pas du tout la stratégie
23:37 qui a été adoptée au départ."
23:39 Non, pas du tout, les vaccins,
23:41 très peu de gens le savent,
23:42 vu que j'ai fait un certain nombre de conférences
23:44 où je pose la question,
23:45 "savez-vous pourquoi vous avez été vaccinés?"
23:47 Et très peu de gens savent qu'ils n'ont jamais été vaccinés
23:49 pour être moins malades.
23:50 Les études de Pfizer et Moderna
23:52 ne promettent absolument pas aux personnes vaccinées
23:54 qu'elles seront moins malades.
23:56 Ils ne l'ont jamais dit ?
23:57 Non, jamais.
23:58 D'ailleurs, si on étudie,
24:00 j'invite chacun à lire aussi le livre de Christine Cotton,
24:02 "Tous vaccinés, tous protégés",
24:03 qui détaille le protocole de Pfizer
24:07 pour montrer qu'il y a énormément de problèmes à l'intérieur.
24:09 Ce que promet Pfizer, c'est juste,
24:12 vous aurez moins de tests positifs avec mon vaccin.
24:15 C'est lié au test, tout de suite ?
24:17 C'est lié au test tout de suite.
24:19 Et si vous regardez sur le fait d'être malade,
24:21 significativement, les personnes vaccinées chez Pfizer
24:24 sont plus malades que les personnes
24:25 qui ont reçu le placebo.
24:27 Ils ont appelé ça des effets indésirables,
24:28 mais c'est vraiment significatif.
24:30 Donc, vous vous faites vacciner,
24:30 vous serez plus malade de toute façon que les autres.
24:32 En revanche, ce qu'ils vous promettent,
24:33 c'est que vous aurez moins de tests positifs.
24:36 Et il y a eu une manière extrêmement simple de faire,
24:38 on va dire de propager cette escroquerie intellectuelle
24:42 dans la population et dans tous les pays,
24:43 ça a été de mettre en place le fameux pass sanitaire.
24:46 Pourquoi ? En quoi ça propage ce que vous dites,
24:49 ce que vous appelez l'escroquerie ?
24:50 Grâce au pass sanitaire,
24:52 les non-vaccinés sont obligés de se tester régulièrement,
24:55 à chaque fois qu'ils rentrent dans un lieu public
24:57 ou pour avoir des passes,
24:58 alors que les vaccinés ne sont plus obligés de se tester.
25:01 Ce qui fait qu'en permanence,
25:02 vous testez beaucoup plus souvent vos non-vaccinés
25:05 et que donc, même si le vaccin ne sert à rien,
25:07 vous avez plus de tests positifs chez eux.
25:09 - Parce que qui dit test dit cas,
25:10 et presque qui dit cas dit Covid.
25:12 - Surtout maintenant qu'on sait que même si votre test est négatif,
25:14 vous avez quand même le Covid.
25:15 Donc oui, c'est ça.
25:17 C'est grâce à ce stratagème qu'on a réussi à faire croire
25:21 que le vaccin protégeait de quelque chose,
25:23 qu'il protégeait du test,
25:24 juste en faisant que les vaccinés ne se testaient pas.
25:26 Et vous allez sur le site de Guillaume Rosier,
25:28 qui s'appelle CovidTracker,
25:29 et notamment sur la partie qui s'appelle VaxImpact.
25:31 Il vous détaille les taux de positivité
25:33 selon le statut vaccinal.
25:34 Vous allez pouvoir voir que le jour même
25:37 où s'arrête le pass sanitaire,
25:38 le vaccin n'est plus efficace,
25:40 et ce sont les vaccinés qui passent au-dessus des autres
25:42 en termes de positivité.
25:43 Pourquoi ? Parce que le jour même de la fin du pass sanitaire,
25:47 les non-vaccinés ne sont plus obligés de se tester.
25:49 C'est tout.
25:49 Donc on voit très clairement la prétendue efficacité vaccinale
25:52 qui ne dure que pendant la période du pass sanitaire.
25:55 - Et mesurez statistiquement ça.
25:56 - C'est public, vous allez voir sa courbe en ligne,
25:58 et vous voyez en effet que les courbes des vaccinés
26:00 passent au-dessus de celles des non-vaccinés
26:02 le jour même de la fin du pass sanitaire.
26:03 - Intéressant.
26:05 C'est pour ça qu'ils veulent rétablir le pass sanitaire peut-être.
26:07 - Si on veut un vaccin qui marche, il faut un pass sanitaire.
26:09 Sinon le vaccin ne marche pas.
26:10 - C'est très embêtant.
26:12 Je crois que nous avons déjà des auditeurs.
26:16 - Oui, ça rappelle beaucoup.
26:17 Nous avons Eric qui nous appelle depuis Paris.
26:19 Bonjour Eric.
26:19 - Bonjour Eric.
26:20 - Bonjour André Mercov.
26:22 Toujours bravo pour vos émissions,
26:24 mais je serai rapide pour ne pas encombrer la ligne.
26:27 J'étais très sceptique à la vaccination,
26:31 mais j'étais retraité,
26:33 donc j'ai pu m'exclure du monde de la société
26:35 le temps des obligations.
26:38 Mais en revanche, ma belle-fille qui est médecin
26:41 a été contrainte de se faire vacciner.
26:43 Elle était enceinte, ou elle a été enceinte peu après,
26:46 enfin je n'en sais rien, à peu près.
26:48 Et dans sa famille, il n'y a pas du tout de diabète de type 1.
26:52 Et après l'accouchement,
26:54 on lui a décelé un diabète de type 1.
26:56 J'en ai parlé à mon médecin généraliste,
26:58 qui m'a dit qu'il n'y a pas d'études là-dessus.
27:00 Je voulais savoir, auprès de votre invité,
27:02 s'il y a des études sur ce type-là.
27:06 Voilà, c'est tout, ma question s'arrête là.
27:08 Merci Eric, merci Pierre Chaillot.
27:10 En effet, pour les questions particulières
27:12 de diabète de type 1, je ne peux pas répondre,
27:14 mais ce que je peux vous dire, c'est qu'en effet,
27:16 il y a un certain nombre de pathologies
27:18 qui sont arrivées à des moments où on ne s'y attendait pas
27:20 après la vaccination.
27:22 On a parlé de différentes choses, des cancers,
27:24 des myocardies, tout ça.
27:26 Mais il y a en effet des signaux qui montrent
27:28 juste que les gens ont été rendus malades
27:30 d'une certaine manière, à quelque chose qui ne va pas bien.
27:32 Voilà, donc il y a beaucoup de remontées de ça.
27:34 Sur la particularité du diabète de type 1,
27:36 ça je ne saurais pas vous répondre.
27:38 Bon, écoutez, il suffit peut-être d'attendre un petit peu.
27:40 C'était pour les femmes en 5 qui ont venu l'accoucher.
27:42 Mais bon, on aura des études.
27:44 Merci Eric.
27:46 A bientôt André Bercoff.
27:48 Merci Eric. Nous avons Angèle depuis Marseille.
27:50 Bonjour Angèle.
27:52 Oui, bonjour M. Bercoff, bonjour à tout le monde.
27:54 Moi, je voulais simplement
27:56 faire deux commentaires.
27:58 Un premier commentaire
28:00 que j'étais étonnée
28:02 que les féministes
28:04 ne s'emparent pas du sujet
28:06 des jeunes filles
28:08 qui sont atteintes
28:10 par ces problèmes d'effet secondaire.
28:12 D'autant que, moi,
28:14 une période,
28:16 je me suis amusée à
28:18 regarder les rapports
28:20 de l'ANSM.
28:22 Sur 5-6 mois,
28:24 je notais tout sur un cahier.
28:26 Et donc,
28:28 j'ai constaté la stabilité
28:30 concernant
28:32 les effets secondaires
28:34 qui touchaient les femmes à 75%.
28:36 Par rapport aux hommes.
28:38 Donc,
28:40 c'est pas pour faire une séparation
28:42 homme-femme.
28:44 Mais quelque part, je me suis dit
28:46 bon, peut-être que si c'était
28:48 les hommes qui étaient touchés à 75%,
28:50 peut-être que ça aurait changé quelque chose.
28:52 Ça, c'est un autre problème.
28:54 Non, mais je comprends, Angèle.
28:56 Pierre Chaillot, c'est vrai que
28:58 les femmes à 75%...
29:00 - Alors,
29:02 il n'y a aucun suivi des effets
29:04 indésirables de la part d'aucune entité.
29:06 Je veux dire de suivi actif.
29:08 La pharmaco-vigilance, ce sont les victimes
29:10 qui doivent se prendre par la main
29:12 et aller faire une déclaration d'effet indésirable.
29:14 Une déclaration qui est très longue et très compliquée.
29:16 - Vous voulez dire, vous avez des effets, vous avez quelque chose,
29:18 vous, vous allez à la pharmaco-vigilance.
29:20 - Vous êtes obligé d'y aller si vous voulez
29:22 que ça remonte. Et donc, ce qui fait
29:24 qu'il y a un certain effet d'hymorphisme,
29:26 tout ne remonte pas. Et notamment,
29:28 on voit plus de jeunes qui remontent
29:30 les effets indésirables, notamment graves. Pourquoi ?
29:32 Parce que les familles se disent que quand un jeune ne va pas bien,
29:34 ce n'est pas normal. Alors que quand ça arrive à une personne âgée,
29:36 on a tendance à dire "oui, ça devait arriver, c'est lié à..."
29:38 - Il y a des jeunes, bien sûr. - Donc, il y a des différences.
29:40 Et ce qui se passe, en particulier chez les femmes,
29:42 c'est que notamment, quand une femme est malade
29:44 à la suite de n'importe quoi,
29:46 ici, d'une vaccination,
29:48 le temps de gérer sa maladie, ça va peu jouer
29:50 sur ses cycles menstruels, elle ne va plus avoir
29:52 de cycle ou des cycles très abondants, de façon à ne pas
29:54 tomber enceinte tant qu'elle est malade.
29:56 Ce qui veut dire que pour les femmes, on a
29:58 un révélateur, qui est ça,
30:00 où les femmes se rendent compte qu'elles sont malades
30:02 avec la perturbation du cycle menstruel,
30:04 alors que les hommes ne s'en rendent pas compte. Il est possible
30:06 que les hommes soient tout le temps sans malades, mais ne le sachent pas.
30:08 - Une chose qui me frappe, vous dit qu'il n'y a aucun
30:10 suivi depuis deux ans
30:12 de ce qui s'est passé, des effets, etc.
30:14 Rien. Nulle part. - Rien, nulle part.
30:16 C'est aux patients d'aller se déclarer
30:18 eux-mêmes. - Je me mets au défi qui compte
30:20 de me dire que, c'est arrivé dans très
30:22 rares cas, mais que les médecins les appellent pour
30:24 savoir comment ça va, ou bien l'assurance
30:26 maladie, ou bien que sais-je, un numéro
30:28 qui aurait été mis en place avec des gens qui travaillent pour vous
30:30 appeler et être sûr que ça se passe bien.
30:32 La pharmacovigilance sur tous les produits pharmaceutiques,
30:34 c'est quelque chose de parfaitement passif,
30:36 une fois qu'on est passé, qu'il y a eu les autorisations,
30:38 donc c'est à vous de vous plaindre.
30:40 Si vous ne plaignez pas et que vous ne faites pas l'effort de faire des déclarations,
30:42 il n'y aura rien. C'est aussi pour ça que je soutiens une
30:44 association, c'est pour libérer la parole des femmes,
30:46 qu'elles puissent dire et exprimer
30:48 le fait de ce qu'elles ont été malades, ce qu'elles sentent,
30:50 pour qu'elles se fassent soigner,
30:52 puis dans un monde idéal aussi, pour commencer à
30:54 attaquer les responsables de ce qui leur est arrivé,
30:56 pour absolument rien, et puis pour
30:58 tenter de trouver une solution. Mais voilà,
31:00 il faut y aller, se déclarer.
31:02 - Eh bien voilà, il faut se faire...
31:04 Sauve-toi, Dieu te sauvera, mais sauve-toi
31:06 toi-même. Esteban.
31:08 - On accueille Julien, qui nous appelle depuis
31:10 la zone. Bonjour Julien. - Bonjour Julien.
31:12 - Bonjour André, bonjour Pierre Chaillot.
31:14 Débat très intéressant,
31:16 c'est vrai que c'est un sujet qui a déjà été
31:18 fouillé de nombreuses fois, et il a raison, mais moi
31:20 je me pose la question, comment des journalistes
31:22 peuvent-ils encore faire la promotion
31:24 directe, via des médecins de plateau qui ne
31:26 déclarent toujours pas leur
31:28 conflit d'intérêt, d'un produit qui est toujours expérimental
31:30 et qui, je rappelle, il faut quand même le redire,
31:32 on sait qu'il ne protège pas
31:34 des formes graves, c'est écrit dans le Vidal,
31:36 la Bible de la médecine, c'est pas moi qui le
31:38 dis, et puis également,
31:40 comment un ministre de la santé peut-il encore
31:42 affirmer qu'il n'y a pas d'effet secondaire ?
31:44 Je suis désolé de le dire, mais c'est vraiment un doigt d'honneur
31:46 qui est envoyé aux Français qui sont touchés,
31:48 alors que dans le même temps, vous avez le ministre
31:50 allemand de la santé qui s'excuse
31:52 publiquement, et qui dit qu'effectivement
31:54 il y aura des indemnisations,
31:56 des enquêtes seront faites, etc.
31:58 Moi je vais souvenir, André,
32:00 que par exemple, pour un produit, notamment
32:02 des pizzas buitoni, alors c'est pas du médical,
32:04 le produit buitoni
32:06 de Nestlé avait été retiré pour
32:08 des morts d'enfants en 2022.
32:10 Or là, on a affaire à un produit de santé
32:12 qu'on injecte à des milliards de
32:14 personnes sans même avoir terminé la phase 3,
32:16 et alors, c'est circulé,
32:18 il n'y a rien à voir, comme vous le dites très souvent.
32:20 Et alors dans le même temps, je suis désolé de le dire,
32:22 mais ça c'est quand même le nœud du problème, qu'est-ce qui tient
32:24 l'opposition ? Vous ne les entendez pas,
32:26 moi je suis désolé à part
32:28 quelques-uns, à part M. Asselineau,
32:30 Philippot, Dupont et Niant, à l'Assemblée nationale,
32:32 vous ne les entendez pas. Qu'est-ce qui,
32:34 hormis les questions financières, les retient ?
32:36 Moi j'aimerais comprendre ce qui les tient,
32:38 parce que là, on a quand même
32:40 affaire à un sujet qui est très clair.
32:42 - C'est le moins que l'on puisse dire, Julien. Non, non, mais vous posez
32:44 les questions,
32:46 effectivement.
32:48 Ah, le silence, le silence
32:50 politico-médiatique, vous savez,
32:52 ça existe. Alors, est-ce que ce sont les intérêts
32:54 de chez certains ? Il y en a qui parlent,
32:56 heureusement, il y en a qui disent, et puis d'autres
32:58 qui se taisent. Vous savez,
33:00 ça n'excuse rien, ça explique,
33:02 malheureusement, c'est pas nouveau,
33:04 dans les affaires un peu qui touchent,
33:06 et qui sont délicates, c'est bien ça,
33:08 Pierre Chaillot. Il y a quand même le grand silence,
33:10 il y a des statisticiens,
33:12 des médecins, des épidémiologues
33:14 qui l'ouvrent, si je peux permettre
33:16 cette parole un peu
33:18 vulgaire, enfin, même pas, mais
33:20 voilà, c'est vrai
33:22 qu'il y a un silence assez
33:24 assourdissant. - Oui, et puis il y a des pressions
33:26 qui sont faites de manière extrêmement forte chez les chercheurs,
33:28 ou même chez les personnalités publiques,
33:30 qui en effet se plaignent et disent des choses,
33:32 mais c'est intéressant parce que vous avez des documentaires
33:34 ou même des fictions, il y a
33:36 "Painkiller" qui est sorti, qui parle du
33:38 scandale de Purdue sur
33:40 les opioïdes, il y a aussi
33:42 un documentaire arté qui est sorti sur
33:44 les néonicotinoïdes,
33:46 et on voit que dans tous les cas, c'est le même scénario
33:48 avec des pressions colossales qui sont mises du point de vue
33:50 des finances, des énormes pressions
33:52 qui sont mises sur les chercheurs, ceux qui osent l'ouvrir
33:54 au début, qui osent s'exprimer, enfin, il y a un rôle
33:56 médiatique à chaque fois, donc c'est intéressant
33:58 puisqu'on l'admet sur
34:00 les pesticides, on l'admet sur les
34:02 opioïdes, ce genre de scandale, mais
34:04 sur la vaccination, non, il ne circule rien à voir.
34:06 Il y a peut-être une des réponses de "Pourquoi on
34:08 voit rien ?" qui a été en effet une partie de l'opposition
34:10 qui s'est engouffrée au début de cette
34:12 crise en disant que la crise Covid c'était
34:14 extrêmement grave, que le virus allait tous nous tuer,
34:16 qu'il fallait protéger les Français, etc.
34:18 Ils sont tellement rentrés dans ce discours-là,
34:20 notamment à gauche, que
34:22 c'est un peu difficile aujourd'hui de revenir en arrière
34:24 et d'avouer le
34:26 niveau de paranoïa dans lequel on était. - Et pourtant,
34:28 un des plus grands journaux allemands, le Bild,
34:30 en couverture, le journaliste
34:32 s'est excusé en disant
34:34 "Bild, c'est vraiment
34:36 le plus grand journal allemand,
34:38 la plus grande circulation", il s'est excusé en disant
34:40 "Oui, on a raconté des cracks et voilà, on s'excuse
34:42 auprès de notre public", ce qui me paraît très
34:44 sain, en tout cas. - Ce qui nous manque, c'est-à-dire du courage.
34:46 - Voilà, toujours. - On va se retrouver
34:48 dans un instant, on aura Catherine, qui nous appellera
34:50 depuis Paris, à tout de suite, sur Sud Radio.
34:52 Dernière ligne droite sur Sud Radio, on est
34:54 ensemble jusqu'à 14h avec Pierre Chaillot
34:56 et avec Catherine, qui nous appelle de Paris.
34:58 Bonjour Catherine. - Bonjour Catherine.
35:00 - Oui, bonjour, je vous remercie pour
35:02 notre émission. Voilà, je voulais
35:04 poser une question à monsieur Chaillot.
35:06 Il a dit que
35:08 les laboratoires Pfizer et un autre
35:10 laboratoire dont j'ai oublié le nom,
35:12 un, voilà, en rejointraient, avait
35:14 dit que la vaccination,
35:16 enfin, voilà, je répète
35:18 ce que monsieur... - Oui, Chaillot a dit,
35:20 oui. - Ne protégeait pas contre les maladies.
35:22 Alors la première question,
35:24 qu'est-ce qu'il entend par maladie ? Moi, ce que
35:26 j'ai toujours entendu dire, c'est que le
35:28 vaccin ne protégeait pas,
35:30 c'est-à-dire, n'empêchait pas
35:32 d'avoir le Covid,
35:34 mais protégeait contre les formes
35:36 graves. - Les formes graves, voilà, les fameuses formes graves.
35:38 Il faut en parler, oui, exactement.
35:40 C'est ça Catherine, il voulait dire, au fond,
35:42 oui, qu'est-ce qu'on dit à propos
35:44 du vaccin, qu'est-ce qui est dit,
35:46 même par les laboratoires eux-mêmes, quoi,
35:48 et puis les gouvernants. - D'accord, il dit,
35:50 les vaccins n'ont pas dit que
35:52 le vaccin... Les vaccins ont dit
35:54 "les vaccins ne protègent pas contre la maladie",
35:56 mais qu'est-ce que ça veut dire, maladie ?
35:58 Est-ce que ça englobe les formes graves ?
36:00 - Ce qu'on appelle une maladie, normalement,
36:02 enfin, avant cette histoire de Covid,
36:04 normalement une maladie, c'était des symptômes,
36:06 c'est-à-dire, on se disait "là, je suis malade parce que j'ai des symptômes".
36:08 On a complètement dérivé, avec
36:10 maintenant les tests, où on a des prétendus
36:12 malades asymptomatiques. Ça, ça n'existe pas,
36:14 sauf dans la tête des paranoïaques.
36:16 Donc, une maladie, c'est des symptômes.
36:18 Donc, vous avez des symptômes.
36:20 Pfizer ou Moderna,
36:22 quand ils font leurs essais, ils ne comptent pas
36:24 "je vaccine des gens et ensuite
36:26 je vérifie qu'il y a moins de personnes
36:28 qui ont des symptômes, même particuliers,
36:30 à la suite de la vaccination".
36:32 Ça n'est pas ça qu'ils font. Ils font le comptage
36:34 des tests positifs qu'ils vont avoir
36:36 parmi les personnes
36:38 qui ont n'importe quel symptôme existant.
36:40 Mais c'est bien les tests positifs qui vont faire foi.
36:42 - D'accord.
36:44 - C'est-à-dire qu'ils prétendent que leurs vaccins
36:46 protègent d'avoir un test positif.
36:48 C'est ça que ça veut dire.
36:50 Si vous prenez les études.
36:52 Concernant les formes graves, ni Pfizer, ni Moderna
36:54 ne promettent quoi que ce soit sur les formes graves
36:56 parce que dans leurs études, ils n'ont pas assez
36:58 de cas de personnes qui sont à l'hôpital
37:00 malades avec des tests positifs
37:02 pour affirmer quoi que ce soit.
37:04 L'idée des formes graves, ça a été quelque chose
37:06 qui a été rajoutée par les gouvernements
37:08 et les ministères de la Santé derrière
37:10 et les médias, qui n'existent pas
37:12 dans les études de Pfizer et Moderna.
37:14 - Attendez Pierre Chahut, vous dites quelque chose
37:16 très important parce qu'on entend du matin au soir
37:18 et du soir au matin, en tout cas,
37:20 il a encore dit le remis de la santé Rousseau
37:22 il dit "le vaccin, ce qu'on vous dit"
37:24 et d'ailleurs à la radio, à la télévision
37:26 "protège contre les formes graves".
37:28 Vous dites que l'expression "forme grave"
37:30 n'a jamais été employée par les laboratoires pharmaceutiques.
37:32 - Ça n'est pas possible.
37:34 Quand vous lisez l'étude de Pfizer
37:36 qui a été publiée, qui est en ligne
37:38 encore une fois, vous pouvez lire le livre de Christine Cotton
37:40 qui vulgarise tout ça,
37:42 regardez le nombre de personnes, pour être en forme grave
37:44 il faut quand même être malade suffisamment pour aller à l'hôpital.
37:46 Vous prenez l'étude de Pfizer,
37:48 à la fin de leur étude, ils ont réussi à comptabiliser
37:50 trois personnes à l'hôpital avec un test positif
37:52 qui est versu le placebo, contre une seule
37:54 qui avait reçu un vaccin. Trois contre un,
37:56 il n'y a aucun seuil de significativité
37:58 qui peut être donné.
38:00 D'ailleurs, fait intéressant, si vous lisez les études
38:02 de Pfizer comme de Moderna, ils ont suivi
38:04 40 000 personnes chacun pendant six mois
38:06 alors trois mois, ça élimine toutes les personnes de suivi
38:08 mais bon, quand même, six mois
38:10 ils ont trouvé un nombre ridiculement faible de tests positifs
38:12 et de personnes malades. Vous lisez Pfizer
38:14 et Moderna, le premier résultat que vous avez, c'est qu'il n'y a pas
38:16 d'épidémie mondiale, ils n'ont pas réussi à en trouver.
38:18 Donc il a fallu qu'ils réussissent à trouver
38:20 des tests positifs pour rien, un nombre tout petit
38:22 vu le nombre de personnes qui étaient suivies.
38:24 - Donc vous dites que c'est le politico-médiatique
38:26 qui a mis en forme
38:28 forme grave et pandémie ?
38:30 - Oui, c'était obligé, puisque encore une fois
38:32 les fabricants de vaccins ne pouvaient pas le dire
38:34 quand vous lisez leurs études et les chiffres qu'ils ont.
38:36 Donc encore une fois, eux, ils protègent contre les tests positifs
38:38 Ensuite, il y a des ministères de la santé
38:40 qui ont exploité leurs données pour dire
38:42 "Regardez, à l'hôpital, on a plus de
38:44 vaccinés dans nos chiffres,
38:46 de non-vaccinés, pardon, dans nos chiffres."
38:48 Mais ça, ça venait de quoi ? Ça venait de deux facteurs.
38:50 Le premier, c'est qu'on teste
38:52 beaucoup plus souvent les non-vaccinés,
38:54 donc ils ont plus de chances d'avoir un test positif.
38:56 Et la deuxième chose, c'est que toute personne
38:58 dont on n'arrive pas à trouver le statut vaccinal
39:00 dans les bases de données, ça arrive,
39:02 par exemple, il y a une étude qui a été faite de l'adresse
39:04 qui montre que les femmes mariées, quant à son enregistré,
39:06 des fois, c'est le nom marital,
39:08 des fois, c'est le nom de jeune fille qui apparaît,
39:10 ce qui fait qu'on n'arrive pas à faire se parler les données.
39:12 Et donc, on a jusqu'à 60% de pertes.
39:14 Et donc, toute personne dont on ne connaît pas
39:16 le statut vaccinal était déclarée non-vaccinée.
39:18 Donc, la pauvreté des données,
39:20 on va dire, leur insuffisance de qualité
39:22 et la stratégie du pass sanitaire
39:24 a créé de manière artificielle
39:26 des statistiques qui venaient vanter
39:28 l'efficacité du vaccin, alors que ce n'était même pas fait
39:30 par les fabricants. Donc non, tout ça,
39:32 ça a été créé a postériori.
39:34 - On remercie Catherine et on accueille Marc.
39:36 Bonjour Marc.
39:38 - Bonjour. Je vous appelle,
39:40 je l'ai déjà eu il y a deux jours,
39:42 mais là, je voulais finir,
39:44 l'autre fois, je n'ai pas pu. Je vais essayer d'être rapide.
39:46 J'accepte tout ce qui a été dit
39:48 par mon confrère
39:50 et je trouve qu'effectivement, les statistiques existent.
39:52 En revanche, je peux vous assurer
39:54 une chose, c'est que moi, je regarde
39:56 mes cas et les cas de mes collègues avec qui
39:58 on fait un petit groupe qui permet de voir
40:00 ce qui se passe. On s'est aperçu que les gens
40:02 qui n'ont pas été vaccinés depuis un an
40:04 repeuvent chuter. Leurs formes sont
40:06 à peu près correctes. En revanche,
40:08 tous les cas nouveaux que j'ai sont des gens qui n'ont pas été
40:10 vaccinés, sur lesquels il y avait
40:12 des formes assez graves. Ils disaient "non,
40:14 ce n'est pas ça, je me suis testé, c'était négatif".
40:16 Le lendemain, c'était très positif, sauf
40:18 qu'ils travaillaient dans des endroits où justement, ils peuvent
40:20 contaminer des personnes âgées fragiles.
40:22 Donc le vaccin, c'est un vaccin.
40:24 Après, je ne veux pas, je n'ai pas assez de compétences,
40:26 mais moi, je suis médecin et je ne
40:28 parle pas de la compétence des...
40:30 - Oui, les administratifs ont trop de poids à l'heure actuelle
40:32 pour donner... - Non, non, on ne va pas revenir là-dessus, on est d'accord.
40:34 - Attendez, je ne reviendrai pas. En revanche, il existe
40:36 un médicament qui s'appelle le Paxlovid dont personne
40:38 ne parle. Je peux vous assurer que tous les gens
40:40 à qui je l'ai mis, d'accord, ils ont des effets secondaires
40:42 de diarrhée, ça je reconnais. Mais au bout
40:44 de trois jours, ils se sentent quand même
40:46 mieux par rapport à la respiration. Ils se sentent
40:48 mieux par rapport aux
40:50 compressions qu'ils ont. Et ça,
40:52 personne n'en parle, c'est très étonnant. Et je peux vous assurer
40:54 que moi, je préfère le Paxlovid.
40:56 J'ai dit à mon frère et il m'a fait rire
40:58 parce que quand il m'appelait pour
41:00 me prier d'arrêter ce médicament,
41:02 il a pu partir en vacances
41:04 ce qu'il n'aurait pas pu faire s'il avait attrapé le coronavirus
41:06 en fonction des paramètres
41:08 sublimitaires que je n'avais pas développés.
41:10 Donc je tiens à dire quand même que le vaccin, même à fois,
41:12 moi, tous les gens que j'ai alors acquis qui sont malades
41:14 sont des gens qui ne sont pas vaccinés ou que leur vaccin
41:16 dure depuis plus d'un an.
41:18 - D'accord, mais c'est intéressant.
41:20 Vos témoignages sont intéressants.
41:22 Qu'est-ce que ça vous inspire,
41:24 Pierre Chaillot ? - Ecoutez, statistiquement,
41:26 ça se voit absolument pas.
41:28 Sur les effets des autres médicaments
41:30 là-dessus, j'avais une collègue qui me disait
41:32 "Rhum mal soigné
41:34 dure une semaine et Rhum bien soigné dure sept jours".
41:36 Voilà, je pense que ça résume assez bien.
41:38 - Oui, ça c'est sûr. Mais enfin moi, c'est les cas
41:40 dont je parle, c'est les cas que je connais.
41:42 - Je comprends.
41:44 Non, ça c'est la discussion.
41:46 La discussion est là. Ce qui est intéressant,
41:48 mais lisez le livre de Pierre Chaillot, c'est qu'il s'appuie
41:50 sur des statistiques, sur des dizaines
41:52 de milliers, et puis sur tous les rapports
41:54 qui sont là. Alors effectivement, vous avez raison,
41:56 chacun a son expérience.
41:58 - Et voilà, venez me voir chez moi, je vous montrerai
42:00 tous mes patients, sur lesquels j'ai fait des statistiques
42:02 car j'étais ingénieur informaticien avant.
42:04 Et j'ai essayé de le faire un petit peu avec mes collègues.
42:06 - Je comprends. - Voilà. - Je comprends, merci.
42:08 - Mais non, après, c'est pas une étude qu'il a fait.
42:10 - Non, non, mais c'est pas une question, c'est...
42:12 Ecoutez, la discussion est ouverte
42:14 et il faut garder la discussion, c'est très très bien.
42:16 - Tout à fait. Comme disait quelqu'un,
42:18 j'accepte qu'on ait pas le même
42:20 point de vue que moi, et j'accepte qu'on le développe
42:22 même si je suis pas d'accord. - Voilà, absolument.
42:24 Et c'est bien ce qu'on fait ici.
42:26 Pierre Chahut, je pourrais dire, on arrive
42:28 un peu en fin
42:30 d'émission.
42:32 Vous m'avez dit que vous allez faire une nouvelle
42:34 mouture de Covid-19
42:36 qui va apparaître en janvier prochain,
42:38 et notamment sur la fertilité et autres.
42:40 Mais au fond, aujourd'hui,
42:42 avec ce qui se passe,
42:44 on est, et on nous annonce,
42:46 vous voyez, des nouveaux variants, on nous annonce
42:48 peut-être un confinement, on nous annonce
42:50 je ne dirais pas une nouvelle pandémie,
42:52 mais enfin, vous avez vu, ça circule quand même,
42:54 depuis quelques temps, depuis quelques semaines,
42:56 et puis le nouveau vaccin
42:58 qui est très bien, qui va mêler
43:00 la grippe et le Covid, etc.
43:02 Et pour vous,
43:04 c'est quoi ?
43:06 C'est quelque chose qui a l'entretien ?
43:08 Parce que, voilà,
43:10 on va vous répéter, mais arrêtez, il y a eu
43:12 4 milliards de vaccinés, et puis il n'y a pas 4 milliards de morts,
43:14 alors voilà, il faut continuer.
43:16 Vous répondez quoi à ça ?
43:18 S'il y a quelque chose qui se diffuse extrêmement bien,
43:20 c'est en effet la peur.
43:22 Plutôt que de parler, encore une fois, des malades
43:24 où on verrait qu'il ne se passe rigoureusement rien,
43:26 on fait à chaque fois les choux grasses sur un nouveau variant.
43:28 Et donc, l'idée
43:30 dont il faut se méfier et bien comprendre,
43:32 c'est que normalement, un malade,
43:34 c'est quelqu'un qui a des symptômes, je me répète,
43:36 et puis normalement, l'idée de la médecine,
43:38 c'est d'avoir une personne qualifiée, un médecin
43:40 qui s'occupe du malade, et bien du malade,
43:42 et pas de la personne saine qui aurait un test positif.
43:44 Ce vers quoi on avance,
43:46 c'est une déshumanisation de la médecine
43:48 pour faire du scientisme, puisque c'est du scientisme,
43:50 en remplaçant la maladie
43:52 par le fameux résultat de test
43:54 et le médecin par un protocole automatique
43:56 qui est "j'ai tel test et je vais
43:58 donner tel médicament".
44:00 Ce qui fait évidemment le bonheur de l'industrie pharmaceutique
44:02 de vendre à la fois les tests et les médicaments
44:04 qui vont avec, et je pense qu'il est dramatique
44:06 que les médecins ne se rendent pas compte à quel point ils sont
44:08 pris pour des imbéciles, et à quel point ils sont
44:10 en train de scier leur propre branche.
44:12 - Pour donner une statistique sur les tests,
44:14 les tests anti-covid-19 n'ont absolument aucune cohérence.
44:16 C'est-à-dire que parmi les tests
44:18 positifs, on a plus de personnes
44:20 qui vont très bien, qui sont en parfaite santé,
44:22 et parmi les gens qui ont
44:24 les soi-disant symptômes du covid, comme dirait
44:26 El-Chimi Mohamed, on a une majorité de tests négatifs.
44:28 C'est-à-dire qu'on est en face
44:30 de, statistiquement, ce qu'on doit appeler une escroquerie.
44:32 Il n'y a aucun rapport
44:34 entre un test et une quelconque maladie.
44:36 - Vous l'avez dit Pierre Chaillot, voilà,
44:38 vous avez exprimé ce que vous aviez à dire,
44:40 j'en ai pris le temps de le faire.
44:42 À vous deux, non seulement
44:44 de juger, mais d'enquêter,
44:46 et de lire. C'est le plus important,
44:48 de lire les rapports, de lire tout. Merci.

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