Pierre Jovanovic, #2.

  • l’année dernière
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00:00:00 [Générique]
00:00:16 Bonjour à tous, bienvenue sur le plateau de politique et économie.
00:00:19 Aujourd'hui, c'est la revue de presse économique et financière internationale avec Pierre Jovanavik.
00:00:27 Bonjour mon cher Pierre.
00:00:28 Bonjour Olivier, merci à vous, merci à tous les spectateurs qui nous ont écrit pour réclamer la revue de presse.
00:00:34 – Votre retour.
00:00:35 – Ah oui, oui, ils insistaient, ils disaient "ça fait trop longtemps maintenant qu'on vous a pas vu", etc.
00:00:41 – Mais si je puis dire, vous allez…
00:00:43 – Regarde, non mais je précise quand même que la revue de presse est mise à jour tous les lundis, grosso modo.
00:00:48 – C'est un très bon travail.
00:00:49 – Et que tout ça, voilà, donc tous les lundis, quotidien.com ou jovanavik.com,
00:00:54 voilà, vous aurez les infos. N'attendez pas notre revue de presse si vous voulez vraiment être informé.
00:00:59 Et sur Twitter, bien entendu, abonnez-vous à notre compte Twitter Pierre Jovanavik.
00:01:04 – Et donc on s'arrête tout de suite là ?
00:01:05 – Voilà, exactement.
00:01:06 [Rires]
00:01:08 – Bon alors, par quoi on commence ? Par manger des insectes ? En apéritif ?
00:01:12 – Alors exactement, on a vu depuis 2-3 ans que M. Blofeld, alias Klaus Schwab à Davos,
00:01:21 veut changer le monde, veut dire "on mange trop de viande".
00:01:25 Vous avez vu toutes ces campagnes qui ont commencé il y a 3-4 ans déjà contre les bouchers, les charcutiers.
00:01:32 Vous avez des filles qui se sont attachées à une boucherie avec un cadenas,
00:01:37 enfin bon, c'est un peu n'importe quoi, mais…
00:01:39 Et en même temps, on a vu l'arrivée de plusieurs usines de fabrication d'insectes
00:01:45 parce que Davos estime que nous, les gueux, nous devons manger des insectes
00:01:51 et stopper de manger de la viande qui, selon eux, est la plus grande pollution
00:01:56 et c'est pour sauver la planète. Il y a toujours une bonne raison.
00:01:59 – Oui, bien sûr, soit le terrorisme, soit sauver la planète.
00:02:03 – Exactement, alors en ce jour où Guy Savoie a perdu sa troisième étoile au guide Michelin,
00:02:10 parce que personnellement je trouve ça absolument scandaleux,
00:02:13 parce que Guy Savoie…
00:02:15 Mais je donne une idée à Guy Savoie pour récupérer une troisième,
00:02:19 éventuellement une quatrième, je suis sûr que Davos…
00:02:21 – Ah non, je crains le pire.
00:02:24 – Je suis sûr que Klaus Schwab viendra à l'hôtel de la monnaie,
00:02:28 il est dans notre secteur finalement, Guy Savoie.
00:02:30 Alors le Washington Post l'avait mis à la une,
00:02:34 franchement j'ai cru que c'était une blague,
00:02:36 à la une au moment de Noël, c'est-à-dire quelques jours avant Noël,
00:02:40 "mangez des insectes si vous ne pouvez plus vous offrir des repas à Noël".
00:02:45 Voilà, il fallait oser et c'est le Washington Post.
00:02:48 Donc autrement dit, le Washington Post,
00:02:50 qui est le journal de tous les démocrates et de la CIA aussi,
00:02:53 à chaque fois que la CIA a un message à faire passer,
00:02:55 c'est dans le Washington Post,
00:02:57 donc là c'est "encourager tous les gueux à manger des insectes",
00:03:02 c'est-à-dire que vous ne pouvez plus vous acheter de la viande,
00:03:03 c'est pas grave, faites un élevage de cafards,
00:03:06 à manger des sauterelles de billets.
00:03:08 – Des verres de farine.
00:03:09 – Exactement, et en même temps,
00:03:11 concomitants, sont arrivés des nouveaux règlements,
00:03:15 alors j'ai vu passer ça, bon je n'ai pas eu le temps d'examiner,
00:03:17 je pense que vous l'avez vu aussi, nos spectateurs également,
00:03:20 c'est-à-dire que l'autorisation de donner ce genre d'insectes,
00:03:24 effectivement, ou de verres,
00:03:26 ne seulement aux animaux,
00:03:28 mais également en vente libre dans les supermarchés,
00:03:30 c'est-à-dire pour… – Et ça y est, ça vient nous, ça arrive.
00:03:32 – Voilà, donc ça arrive.
00:03:34 Alors moi je trouve ça complètement dingue.
00:03:35 – Vous savez que l'insecte contient de la chitine,
00:03:39 et la chitine n'est pas digeste.
00:03:41 – On en a parlé dans notre dernière émission déjà.
00:03:43 – Par organisme.
00:03:44 – Bien sûr, alors un camp à camp, un Deliveroo spécial cafard.
00:03:50 Et je le rappelle, manger des insectes, c'est pour sauver la planète,
00:03:53 tandis que les mêmes font venir les grands chefs français à domicile,
00:03:57 parce que vous le savez, Bill Gates, Klaus Schwab, etc.
00:04:00 tous ces gens, font venir, Guy Savoie a des demandes régulières
00:04:04 de ce genre par des milliardaires,
00:04:07 "Venez cuisiner, je donne un petit repas de famille",
00:04:10 ils sont prêts à payer 300 000 euros, juste avec le voyage et tout,
00:04:15 pour le faire venir.
00:04:16 Bref, donc si M. Guy Savoie veut vraiment faire une révolution,
00:04:20 effectivement il faudrait qu'il monte au créneau avec ces histoires,
00:04:24 parce que moi je trouve que les gens du Michelin
00:04:26 sont parfois complètement à côté de la plaque.
00:04:28 Mais je pense que très prochainement dans les Michelins,
00:04:32 on aura des restaurants avec des insectes,
00:04:34 c'est-à-dire qu'entrée, plat, dessert.
00:04:37 [Rires]
00:04:39 – Oh non, non, non, non, non, non, non.
00:04:42 – Asticots grillés, sauterelles confites,
00:04:45 les sauterelles confites sont vendues au Japon,
00:04:48 ça croque sous les dents, c'est très intéressant.
00:04:50 – Et verre de farine au miel.
00:04:52 – Exactement, verre de farine, donc voilà, il y a toute une…
00:04:56 Mais le problème de tout ça, c'est qu'avec les insecticides
00:05:01 qu'ils utilisent depuis 40 ans, 50 ans, il n'y a plus d'insectes.
00:05:05 – Donc là aussi on va avoir un problème.
00:05:07 – Oui, on va avoir un petit souci.
00:05:09 – Non mais on va les élever.
00:05:12 – Non mais déjà si vous avez des cafards chez vous,
00:05:13 profitez-en, faites un petit élevage, votre cafard parque.
00:05:17 [Rires]
00:05:21 Ça remplace le potager, selon M. Davos, M. Clachois.
00:05:27 – Mais voyez, ce que révèle ce que vous venez de nous dire,
00:05:30 des très bons repas de grande qualité pour la davocratie
00:05:34 et les insectes pour les gueux, c'est exactement tout ce qui se passe
00:05:38 dans toutes vos dépêches, analysées par vous, témoignent de ce dualisme.
00:05:43 – Oui tout à fait.
00:05:44 – C'est-à-dire qu'on voit les Rolls,
00:05:47 il n'y a jamais eu autant de Rolls vendus cette année.
00:05:49 – Ils ont battu, le Rolls-Royce a battu le Rolls en plus de 6 000 unités en 2022.
00:05:54 – 6 021 unités exactement.
00:05:56 – Non mais c'est incroyable.
00:05:56 – Et le directeur a dit, jamais depuis 118 ans,
00:05:59 nous n'avons vendu autant de Rolls.
00:06:01 – Voilà.
00:06:02 – Et avec ce mythe du ruissellement.
00:06:04 – Le mythe, ah excellent.
00:06:06 – Oui, le mythe, non on ne les bouffe pas encore.
00:06:08 – Oh mon ami, avec Davos, ça ne va pas tarder.
00:06:10 – Bref, le mythe du ruissellement,
00:06:13 à savoir que plus les ruissons rissent, plus ça nous dégouline dessus.
00:06:16 – Pas vrai.
00:06:17 – Non mais bien sûr que c'est…
00:06:18 – Ça ne se vérifie pas.
00:06:19 – Non, je vais compléter votre remarque par le fait que,
00:06:24 j'ai vu arriver, alors toujours c'est des députés,
00:06:28 oui nous devons, pour économiser, pour empêcher le réchauffement de la planète,
00:06:32 il faudrait permettre aux gens de ne voyager qu'une seule fois par an.
00:06:36 C'est-à-dire que vous, par exemple, ne pouvez pas prendre l'avion plus d'une fois par an.
00:06:40 – Oui.
00:06:40 – Voilà.
00:06:41 Alors que Bill Gates a 6 avions, ou 7 même, je ne sais plus,
00:06:45 des bombardiers entre autres, alors il y a deux bombardiers.
00:06:47 – Alors bombardiers c'est une marque, attention.
00:06:48 – Oui, oui, c'est une marque canadienne.
00:06:50 C'est une marque canadienne, voilà.
00:06:52 Non mais c'est intéressant.
00:06:54 Et en même temps, on voit dans toutes ces dépêches,
00:06:57 alors vous en aurez relevé quelques-unes,
00:06:59 c'est-à-dire que le déclassement permanent, mais ça on le voit dans…
00:07:02 – Oui, déclasse moyenne.
00:07:03 Déclasse moyenne et la classe…
00:07:05 – Non, j'ai vu pire que ça, j'ai vu que même ceux qui gagnaient 100 000 €…
00:07:09 – Ah oui, 100 000 € se plaignent que l'inflation ne leur permet plus de vivre.
00:07:12 – Alors je ne sais pas si vous l'avez.
00:07:13 – Je l'ai en effet, je l'ai, les plus de 100 000 € se plaignent en effet.
00:07:19 – Exactement.
00:07:19 – Parce qu'ils n'y arrivent plus à cause de l'inflation.
00:07:22 Alors on ne va quand même pas les plaindre, mais je continue dans le dualisme.
00:07:27 Vous évoquez… Bon, regardez par exemple.
00:07:32 Au mois de février, on nous a annoncé que la bourse, le CAC 40, avait atteint son record.
00:07:38 Jamais le CAC 40 n'avait atteint un tel niveau.
00:07:42 – Ah oui, avec la planche à billets de madame Christine Lagarde et de Wall Street.
00:07:46 – De même, on nous dit que le chômage est en baisse.
00:07:48 Oui, mais il est en baisse pour la catégorie A.
00:07:51 Mais dans la nébuleuse du chômage, tous ceux qui sont B et C,
00:07:55 c'est-à-dire les précaires, etc., au contraire, ça augmente.
00:07:58 Donc c'est toujours ce dualisme.
00:08:00 C'est-à-dire que la mondialisation a créé une société à deux vitesses.
00:08:04 – Ah mais c'est "Soleil vert", je ne sais pas si vous vous souvenez de ce roman.
00:08:07 – Oui, bien sûr, c'est magnifique.
00:08:10 – C'est "Soleil vert", c'est littéralement ça.
00:08:12 Mais attendez, c'est extraordinaire,
00:08:14 parce qu'il y a eu une projection de "Soleil vert" il y a à peu près,
00:08:19 je pense un an et demi.
00:08:20 – Mais il a 30 ans ce fiable.
00:08:21 – Oui, 40 même.
00:08:22 Et la personne qui a organisé ça, j'ai vu une émission récemment là-dessus,
00:08:27 elle disait "mais c'est absolument troublant parce que cet écrivain a tout annoncé".
00:08:31 J'ai souvent dit que les musiciens et les écrivains sont des médiums.
00:08:35 – Les artistes, toujours.
00:08:36 – Ils annoncent le futur.
00:08:38 Et dans le film, les gens étaient masqués.
00:08:40 Et dans la salle, les gens étaient masqués.
00:08:42 Parce que c'était l'époque où vous ne pouviez pas aller au cinéma, etc.
00:08:46 Donc on est dans "Soleil vert", c'est-à-dire qu'il y a une caste
00:08:50 qui, elle, peut s'offrir à manger tranquillement,
00:08:52 qui peut faire venir les grands chefs et ainsi de suite,
00:08:54 mais qui dit à la population générale "mangez les cafards".
00:08:58 J'invente rien, regardez, c'est l'information…
00:09:01 – "Mangez les cafards", c'est bon pour le moral.
00:09:03 – Oui, c'est ça, c'est bon pour le moral.
00:09:08 Excellent.
00:09:08 – Non.
00:09:09 – Non, excellent, franchement, ça…
00:09:11 Bref, en tout cas, toujours est-il que…
00:09:16 D'ailleurs, tiens, pour illustrer vos propos et votre constatation,
00:09:21 j'ai toujours dit que les banquiers méprisaient totalement les gueux.
00:09:24 Figurez-vous qu'il y a eu un fait divers intéressant,
00:09:29 c'est enfin un banquier qui a pissé sur une personne normale, dans un avion.
00:09:35 – Il a pissé sur sa voisine.
00:09:38 – Je vous ai toujours expliqué que les banquiers,
00:09:39 perdus dans leur orgueil démesuré, nous méprisaient.
00:09:42 Eh bien, c'est ce qui s'est passé sur le vol New York-New Delhi,
00:09:46 où M. Shankar Mishra, banquier un peu alcoolisé de la Wells Fargo,
00:09:52 excédé par sa voisine de 72 ans, s'est levé et lui a uriné dessus.
00:09:58 – Alors, au sens propre, mais au sens figuré…
00:10:01 – Au sens propre ? Au sens propre ?
00:10:04 – Mais au sens figuré, ils le font.
00:10:05 – Pas vraiment, mais…
00:10:06 – Au sens figuré, ils le font aussi.
00:10:08 – Non mais, attends, je ne sais pas si vous imaginez,
00:10:11 vous levez dans un avion et pissez sur un passager.
00:10:13 Mais c'est quand même… Même si l'idée nous avait déjà…
00:10:16 Quoique, moi, ça ne m'a jamais traversé l'esprit,
00:10:19 mais quand même, il faut être sérieusement…
00:10:21 Il faut avoir un orgueil complètement démesuré, être le maître…
00:10:26 N'oubliez pas, ces gens s'appelaient "the masters of the world".
00:10:30 Isabelle Lorraine, "Bright Masters".
00:10:32 – "Bright Masters" !
00:10:33 – Oui, oui.
00:10:34 Et il a carrément fait pipi sur la mémé.
00:10:39 Non mais, c'est du 16 au 20 janvier 2023.
00:10:45 Et puis, on a une photo, là, Chancard-Michra,
00:10:48 on la retrouve là.
00:10:50 – Mais il y a d'autres…
00:10:51 Alors, à l'inverse, il y a cette anecdote extraordinaire
00:10:55 de ce malheureux qui ne peut plus retirer ses fonds de la banque,
00:10:59 et ils l'ont conclu qu'il est à poil,
00:11:02 et il se met tout nu devant le lichier de la banque.
00:11:05 Et il sort à poil.
00:11:07 – Alors, vous avez la date ?
00:11:09 Parce qu'on a les photos.
00:11:10 – Oui, oui, vous publiez les photos.
00:11:12 – Et c'était au Nigerien.
00:11:13 – Oui.
00:11:14 – Alors, juste, je termine là-dessus, parce que c'est très intéressant.
00:11:17 Alors, le banquier a déclaré qu'en fait, la dame s'est relâchée toute seule,
00:11:21 ce qui, pour ma part, trouble un peu les lois de la physique
00:11:24 et surtout de l'anatomie féminine,
00:11:26 puisque le chemisier de la dame était tout mouillé.
00:11:28 Mais notre Chancard parle désormais d'une fake news.
00:11:32 Alors, je suis le pape des fake news, je vous le rappelle.
00:11:34 Là, c'est les banquiers qui parlent de fake news,
00:11:37 alors qu'ils sont pris en flagrant délit de mensonge.
00:11:40 Tiens, c'est comme NewsGuard.
00:11:42 – Oui, justement.
00:11:43 Les mensonges sont aussi beaucoup plus gros que le fait du renier sur sa voisine.
00:11:47 Alors, vous avez une série dans votre presse de mensonges éhontés.
00:11:53 Alors, permettez-moi d'en citer…
00:11:54 – Non mais, c'est marrant de faire le parallèle avec le monsieur
00:11:58 qui voulait récupérer son argent dans la banque nigérienne.
00:12:02 – On lui a refusé.
00:12:04 – Parce que le Niger, là, c'est le Liban.
00:12:06 – Oui, c'est ce que vous dites.
00:12:08 – Et il s'est déshabillé, il s'est mis tout nu dans l'agence,
00:12:10 il a dit "je ne peux pas prendre mon argent, donnez-moi mon argent".
00:12:13 C'est "Nigeria = Liban",
00:12:15 parce que les deux pays sont complètement corrompus.
00:12:19 Et donc, on voit que les dominos commencent à tomber,
00:12:23 ça commence à tomber autour et ça va venir vers nous.
00:12:27 Alors, qu'est-ce que j'en ai fait de celui-là ?
00:12:32 – Alors, il y a tellement de dépêches que vous avez du mal à les retrouver.
00:12:35 – Oui, tiens, il y a tellement de dépêches,
00:12:38 parce qu'il y en a eu énormément.
00:12:41 Et surtout, au Liban, les gens, là, c'est beaucoup plus grave,
00:12:52 il y a des gens qui sont rentrés avec des bidons d'essence dans la banque,
00:12:56 ils ont arrosé le directeur de la banque d'essence,
00:12:59 ils ont menacé de mettre le feu si le directeur de la banque
00:13:02 ne lui rendait pas son propre argent.
00:13:05 Je ne sais pas si vous imaginez, on est arrivé et…
00:13:09 – Mais l'argent, il a été sorti déjà, par les oligarques libanais
00:13:14 qui l'ont placé aux États-Unis, en France, à Londres ou ailleurs encore.
00:13:18 – Oui, alors tiens, justement, là, sur le Liban, on a quand même…
00:13:23 Alors, voilà, ça c'est du 6 au 10 février 2023, là on a des photos.
00:13:28 Alors, le banquier central, c'est le seul banquier central recherché par Interpol.
00:13:34 – Oui, le seul banquier central…
00:13:38 – Si un jour, j'aurais imaginé pouvoir dire un truc pareil,
00:13:42 le grand banquier du Liban recherché par toutes les polices,
00:13:46 le mec qui se planque dans un coffre dans sa banque,
00:13:49 rappelez-vous la juge qui avait essayé de…
00:13:51 – Mais de fait, Interpol mériterait d'en aller rechercher plus qu'un seul.
00:13:56 – Oui, c'est clair, alors, juste, je vous donne ça parce que…
00:14:03 – Il s'appelle Salamé.
00:14:04 – Oui, alors, selon Alain Bifani,
00:14:07 donc c'est l'ancien directeur du ministère des Finances du Liban,
00:14:10 ils ont fait le constat que 6 milliards de dollars américains,
00:14:14 ont été exfiltrés du Liban en 2019 et 2020, en secret, par l'élite,
00:14:22 l'élite dont on parle, puisqu'elle existe au Liban,
00:14:25 mais elle existe bien sûr partout ailleurs,
00:14:26 avant d'interdire aux gens ordinaires,
00:14:30 de retirer leur argent en dollars, leur épargne en dollars,
00:14:34 c'est-à-dire que eux, les élus très riches,
00:14:36 ont volé les pauvres et les classes moyennes de tous leurs dollars,
00:14:39 et ensuite, on leur dit, démerdez-vous, vous retirez tout ça en cafards.
00:14:44 – Voilà, oui, cafards, en revêt de sa rime.
00:14:49 À la limite, un cafard a plus de valeur qu'une livre libanaise.
00:14:52 – Oui, c'est un problème.
00:14:54 – Parce qu'un billet de banque, ce n'est pas nutritif,
00:14:56 à la limite, un cafard, vous le mangez,
00:14:58 vous pouvez tenir une journée de plus, éventuellement.
00:15:00 – Alors qu'il y a quelques années, quand on allait sur un dab libanais,
00:15:05 on pouvait obtenir, ils vous proposaient,
00:15:06 soit des dollars, soit de la livre libanaise.
00:15:09 – Oui, oui, tout à fait, c'était la faïence, leur truc, de toute façon.
00:15:13 – C'est fini.
00:15:13 – Alors, la police française, elle aimerait bien récupérer monsieur…
00:15:20 et donc sa fiancée, qui est ukrainienne, c'est intéressant.
00:15:26 Enfin bon, bref, c'est tout de suite ma gouille,
00:15:28 vous retrouverez ça sur les différents papiers.
00:15:31 "Picsou pose avec les lingots d'or du Liban",
00:15:33 parce que bien entendu, il s'est fait une photo,
00:15:35 et alors ça, ça date du 28 au 30 novembre 2020.
00:15:38 Donc on a Picsou dans sa piscine avec les lingots au Liban.
00:15:40 – Oui, mais il y a même, ce qui est extraordinaire,
00:15:43 c'est que les prévaricateurs de toutes sortes
00:15:46 sont d'une impudicité totale par rapport à leur forfait.
00:15:49 – Tout à fait, tout à fait.
00:15:51 Ils nous crachent dessus, ils nous pissent dessus.
00:15:54 Non mais, on le voit, et je trouve l'histoire du banquier de la Valsuargo hindoue,
00:16:02 qui a pissé sur la passagère de 747, c'est quand même incroyable, c'est surréaliste.
00:16:07 Alors, puisque les gueux, on les encourage, on vous encourage,
00:16:16 on nous encourage à tout mettre dans les assurances vie, vous vous souvenez ?
00:16:20 – Oui, alors ça…
00:16:21 – C'est le placement garanti, vous serez sauvé,
00:16:25 vous avez ceinture et bretelles et parachute.
00:16:29 – Voilà, tout à fait.
00:16:30 – Voilà, écoutez, j'ai le grand regret,
00:16:34 très cher spectateur, auditeur, lecteur, électrice,
00:16:37 de vous annoncer que l'un des plus grands assureurs vie
00:16:42 n'est plus assuré du tout, puisqu'il avait faillite.
00:16:46 – Il n'avait pas d'assurance.
00:16:47 – Non, non, non.
00:16:48 – C'est incroyable.
00:16:49 – C'est pas un assureur vie, c'est Eurovita.
00:16:52 – Un vrai semblable.
00:16:53 – Pour nos amis, nos téléspectateurs, c'est Eurovita.
00:16:56 Et alors, extraordinaire, son nouveau patron s'appelle Santo Liquido.
00:17:02 – Santo Liquido, oui, on panne de liquidité,
00:17:04 le mec s'appelle Santo Liquido.
00:17:07 – Oui.
00:17:07 – Ils vont être liquidés, je pense.
00:17:10 – Il vaut mieux en gagner, mon cher, mais c'est tragique.
00:17:14 – Non mais attends, vous savez combien il y a de gens ?
00:17:16 353 000 clients italiens, parmi eux certainement des français
00:17:20 qui travaillent là-bas, bien sûr,
00:17:22 qui ont placé leurs économies de toute une vie,
00:17:24 soit 15 milliards d'euros, ainsi que celles de leurs enfants
00:17:29 et de leurs petits-enfants,
00:17:31 risquent de ne plus jamais les revoir si Rome n'y met pas très vite de l'ordre,
00:17:37 si Rome ne tend pas sa main.
00:17:40 – Oui, attention.
00:17:41 – Vous vous souvenez de ça ?
00:17:42 – Oui, oui, si.
00:17:43 – C'est quoi déjà ça ?
00:17:44 – Que c'est Madame Giorgia Meloni ?
00:17:48 – Bah, Giorgia Meloni, à mon avis, c'est pas son secteur, elle économe bien.
00:17:53 C'est comme tous ses politiques, en fait, ils sont complètement dépassés
00:17:55 dès qu'ils sont dans les histoires de banque, ils sont à l'ouest.
00:17:58 – Oui, parce que pendant ce temps-là, notre chère banque,
00:18:01 celle qui avait inauguré nos premières émissions ensemble,
00:18:05 la Montepaschie d'Ischia, elle est…
00:18:08 – Non mais les banques italiennes sont maintenues à bout de bras,
00:18:14 la Montepaschie est toujours… d'ailleurs, je vais vous donner des infos.
00:18:17 Mais attendez, l'Ivace, le gendarme italien des assurances-vie
00:18:25 a décidé, à son cœur défendant, de mettre Orovita Italia,
00:18:30 l'un des leaders de la spécialité qui travaille également avec des banques,
00:18:33 elle travaille surtout avec des banques,
00:18:34 parce que c'est les banques qui vendent les assurances-vie,
00:18:37 c'est ça qu'il faut voir, en redressement judiciaire,
00:18:39 ça veut dire qu'ils sont proches de la faillite.
00:18:42 Alors, moi, ça me rappelle l'histoire de ce qu'il nomme M. Santolichido,
00:18:51 à Chypre, le banquier central s'appelait Panico,
00:18:54 ça on en a déjà parlé, ça s'invente pas, tu parles.
00:18:57 Mais comment une entreprise financière, non mais ma question elle est là,
00:19:00 comment une entreprise financière, contrôlée par des comptables,
00:19:05 et des experts comptables, et des commissaires aux comptes,
00:19:07 – Surtout le commissaire aux comptes.
00:19:08 – Chaque année, et qui ramasse des cotisations mensuelles
00:19:10 de centaines de milliers de clients, a-t-elle réussi à faire faillite,
00:19:14 d'autant que la compagnie, écoutez bien, a en plus un tronc de 400 millions.
00:19:19 – 400 millions, oui.
00:19:20 – Waouh, alors là, c'est la combination italienne, là ça pue, c'est clair que…
00:19:27 – Oui mais permettez-moi de vous dire que je ne suis pas sûr
00:19:29 que ce soit seulement un phénomène italien.
00:19:32 – Non mais on est d'accord, mais là, c'est quand même quelque chose de gravissime,
00:19:37 enfin comment est-ce possible ? Ils ont un trou de 400 millions ?
00:19:40 – Oui.
00:19:41 – Je veux dire, ils ramassent les cotisations ?
00:19:45 – Oui.
00:19:45 – Mais la même chose en France, enfin bon.
00:19:47 – Mais c'est pour ça que je…
00:19:50 – Alors donc, encore une super victime entre autres des taux négatifs,
00:19:52 dont on ne parle pas trop, alors que nous sommes toujours en taux négatifs
00:19:55 dès qu'on met en face des taux officiels, les taux officiels,
00:20:01 le chiffre de la véritable inflation, voilà.
00:20:03 Et cette année, elle va être de 25 à 30%.
00:20:06 – Sur l'alimentaire, c'est sûr.
00:20:08 – Et le livret A, on va dire, tiens, on vous donne 3%,
00:20:10 le taux de cotisation, c'est 30, ben bam.
00:20:13 C'est un disque niqué, 27%, -27%.
00:20:16 Vous vous rendez compte ?
00:20:17 Non mais là, on voit l'écart, c'est ce que vous avez constaté,
00:20:20 parce que forcément, vous, vous avez regardé ça d'un coup,
00:20:24 moi j'ai un fil comme ça dans la tête chronologique,
00:20:28 mais le fait de tout voir d'un coup,
00:20:30 effectivement, ça vous donne une photo de la situation.
00:20:33 Et là, c'est clairement l'appauvrissement total de toute la population européenne
00:20:38 et mondiale, que ce soit aux États-Unis, en Angleterre, tiens, regardez.
00:20:43 – En Angleterre, c'est frappant.
00:20:45 – Regardez celui-là, la classe moyenne anglaise détruite par les impôts post-Covid.
00:20:48 – Oui, alors, qu'est-ce que c'est que ces impôts post-Covid ?
00:20:50 Qu'est-ce qu'il leur a pris ?
00:20:51 – La presse locale rapporte que les ménages britanniques ont payé en moyenne 821 livres,
00:20:56 soit grosso modo 800 ou 900 euros, de plus en impôts et taxes,
00:21:00 et cela juste au cours des 9 derniers mois.
00:21:02 Ceci est à ajouter, écoutez bien, aux 900 livres en moyenne de plus
00:21:05 que les Anglais ont payés de plus à cause de l'inflation,
00:21:09 qui a frappé la totalité des produits vendus dans le Royaume,
00:21:12 800 euros de plus à cause des hausses de prix, des taux d'intérêt,
00:21:18 et 600 euros de plus de hausse de l'énergie,
00:21:21 ce qui met à 3100 livres de plus à sortir.
00:21:25 – Oui, 3100 livres…
00:21:27 – Du coup, qu'est-ce que vous voyez ?
00:21:29 La presse anglaise a constaté qu'il y a de plus en plus de gens
00:21:34 qui dorment dans la rue, dans les métros à Londres.
00:21:37 – Oui.
00:21:38 – C'est-à-dire qu'il y a de plus en plus de gens qui perdent.
00:21:40 C'est-à-dire que les classes qui arrivaient encore là,
00:21:44 elles ont coulé littéralement, et donc ça tombe dans le ravin.
00:21:47 – Oui.
00:21:48 – Voilà, c'est absolument terrifiant, mais je ne suis pas surpris,
00:21:51 parce que nous on le chronique depuis des années,
00:21:53 et on a toujours dit que ça allait se passer comme ça,
00:21:55 c'est-à-dire que la destruction de toute la classe moyenne,
00:21:58 et chaque classe descend d'un cran.
00:21:59 – Voilà, absolument, et c'est une des caractéristiques de la mondialisation,
00:22:02 c'est-à-dire que la classe upper, upper class,
00:22:05 comme disent les Américains, progresse, et la middle class régresse.
00:22:10 C'est très frappant, dans les pays occidentaux,
00:22:13 c'est très frappant, et en France aussi.
00:22:16 Dans une certaine mesure, même la crise des Gilets jaunes en France,
00:22:19 c'est un petit peu le bas de la classe moyenne qui bascule dans la classe d'en bas,
00:22:24 et qui proteste, et qui se révolte contre cet état de fait,
00:22:28 c'est cela qu'il faut voir.
00:22:29 – Non mais attends, puisque vous parlez des Gilets jaunes,
00:22:31 regardez, là on a cette info-là, alors ça c'est du 6 au 10 février,
00:22:35 donc là il y a une photo, inflation,
00:22:38 article intéressant, surréaliste même, du New York Post,
00:22:41 qui rapporte les résultats d'un sondage auprès des cadres
00:22:44 qui gagnent 100 000 dollars par an,
00:22:46 donc grosso modo, c'est environ 8 000 euros par mois.
00:22:49 8 000 euros, bon c'est pas trop mal,
00:22:51 attention, eux ils n'ont pas autant de cotisations,
00:22:54 ils n'ont pas autant de ponctions que nous, attention.
00:22:59 Eh bien surprise, 50% de ces Américains à 100 000,
00:23:03 ont avoué qu'ils vivaient de paye en paye,
00:23:05 tant ils étaient juste à cause de la violente inflation
00:23:09 ou hyperinflation qui les frappe depuis maintenant 2 ans.
00:23:12 – Bon, alors c'est pas les plus à plat, c'est vrai.
00:23:16 – Oui, ça illustre le phénomène de dilution, on va dire.
00:23:22 Et en même temps, les riches deviennent de plus en plus riches,
00:23:25 témoins, Rolls-Royce qui bat le record de vente,
00:23:28 qui aurait imaginé un truc pareil ?
00:23:31 Mais attends, Rolls n'est pas le seul,
00:23:32 on avait donné nous Jaguar, Lamborghini,
00:23:36 enfin bon bref, toutes les marques un peu exotiques quoi.
00:23:43 – Mais alors, est-ce que pour autant,
00:23:46 vous nous dites qu'il y a de l'inflation,
00:23:47 et nous nous constatons cette forte inflation,
00:23:51 est-ce que cela profite aux banques et les taux d'intérêt remontent ?
00:23:55 Alors moi j'ai entendu le directeur de la BNP nous dire sur…
00:23:58 – BNP de l'Institut Général.
00:23:59 – Non, BNP, et ensuite, monsieur de la Société Générale,
00:24:03 monsieur Frédéric Ouvéa, qui est lui-même…
00:24:07 – Ouvéa non, c'est pas Ouvéa.
00:24:08 – Ouvéa, j'ai dit Ouvéa, pardon, excusez-moi.
00:24:10 – Oui, c'est un club de vacances Ouvéa, je crois.
00:24:11 – Ah bon, pardon. [Rires]
00:24:14 – Bon, ce sont des gens en vacances, c'est sûr, ils sont en vacances.
00:24:18 – Ces messieurs nous disent, tout va bien, nous avons fait des profits.
00:24:22 – C'est ce que disait le patron de Burstein à la télévision,
00:24:24 en direct sur CNBC, tout va bien, vous pouvez acheter le cours de nos actions,
00:24:29 c'est ce que disait le patron de l'Alleman Brothers, tout va bien,
00:24:32 c'est ce que disait le patron de la Montepasqui, mais tout va bien.
00:24:36 – C'est l'intox.
00:24:38 – Mais ce sont des menteurs, ce sont des menteurs.
00:24:41 Aujourd'hui, les banquiers se sont refaits une santé,
00:24:43 c'est le cas de le dire, sur le dos du Covid.
00:24:46 – Oui.
00:24:47 – Alors pourquoi ? Vous avez l'explication.
00:24:50 – Bien sûr.
00:24:50 – Ils ont forcé les entreprises.
00:24:52 – Oui, exactement, les entreprises ont dû emprunter…
00:24:54 – Elles ont emprunté des milliards, des trilliards.
00:24:56 – Pour faire face au…
00:24:56 – Pour se sauver elles-mêmes.
00:24:57 – Mais voilà, exactement.
00:24:58 – C'est incroyable, on force les entreprises à emprunter de l'argent
00:25:02 pour se sauver la peau, alors que normalement c'est l'État qui aurait dû…
00:25:05 – Alors l'État l'a fait en partie avec…
00:25:07 – Oui.
00:25:08 – Oui, mais il faut rembourser l'État maintenant.
00:25:10 Et souvent on voit des chefs d'entreprise qui vont emprunter pour rembourser l'État.
00:25:14 – Il n'y a jamais eu autant de faillite, là, en janvier, février,
00:25:16 il n'y a jamais eu autant de faillite parce que justement,
00:25:18 les sociétés, les entreprises, les petits restaurants
00:25:20 ne peuvent pas rembourser cet emprunt bidon, voilà, tout simplement.
00:25:26 – Mais vous avez vu aussi que des géants comme la Galernerie Lafayette sont menacés,
00:25:30 que toute une série de grandes marques sont en liquidation judiciaire,
00:25:35 voire…
00:25:36 – Ah ben là, en outre, on va montrer la page, je dis au montage,
00:25:39 vous allez montrer la page des licenciements, parce que là,
00:25:42 attends, de ma vie sur ma vie, je n'ai jamais eu autant de licenciements…
00:25:50 – La vérité, si je mens.
00:25:51 – Exactement, je n'ai jamais eu autant de licenciements depuis 2008.
00:25:56 – Rappelez-vous, c'est 2008 à nouveau, les licenciements sont la preuve de ça.
00:26:04 – On nous dit que le chômage baisse, alors c'est chômage catégorie A,
00:26:07 c'est-à-dire cas de supérieur, gens de la finance,
00:26:11 parce qu'on a besoin de ces gens-là, malgré tout, et on embauche dans ce secteur.
00:26:14 – Bien sûr qu'on en a besoin, évidemment.
00:26:16 – Mais c'est toujours ce vieux dualisme dont je parlais tout à l'heure.
00:26:22 Vous avez vu aussi, chose incroyable, la semaine dernière,
00:26:26 l'État n'a jamais encaissé autant sur la taxe intérieure sur les produits pétroliers.
00:26:32 Évidemment ! – Bien sûr.
00:26:34 – Parce que la TVA est un impôt élastique, plus le prix augmente, plus la TVA augmente.
00:26:38 – Bien sûr.
00:26:38 – Donc évidemment, il a encaissé beaucoup, beaucoup, beaucoup.
00:26:42 – Alors, tiens, puisqu'on parlait des taux négatifs…
00:26:47 – Bon, il y a des banques qui vont mal quand même.
00:26:50 – Alors, on va parler d'une banque que très peu de gens connaissent,
00:26:56 mais qui était bien installée en province, en fait,
00:26:59 et que j'ai baptisée "Baltranc Bank".
00:27:02 – Baltranc !
00:27:03 – Baltranc Bank.
00:27:05 Alors, en 15 années de revue de presse, bancaire et financière,
00:27:08 nous en avons vu des Baltranc Bank.
00:27:12 Mais je dois avouer que les cadres de Arkea,
00:27:14 donc ça c'est une filiale du Crédit Mutuel, LOL,
00:27:18 "une fois", puis "terminé", puis on remet ça, etc.,
00:27:21 détiennent une des palmes des plus nuls témoins,
00:27:26 la banque en ligne Omax, qui a attendu le mois de décembre
00:27:30 pour annoncer à ses clients qu'elle mettait les clés sous la porte en catimini.
00:27:36 Voilà, c'est-à-dire comme ça.
00:27:37 Alors, des Baltranc, parce qu'ils se sont lancés dans l'aventure en 2017,
00:27:41 au plus profond du brouillard des taux négatifs,
00:27:44 donc il faut déjà être cinglé pour lancer ça, au plan taux négatif.
00:27:47 – Vendre de l'argent à taux négatif.
00:27:48 – Qui allait détruire la totalité de l'industrie bancaire.
00:27:52 Notre lectrice Muriel nous dit "je travaille en mission locale",
00:27:57 alors elle accompagne des enfants, des adultes, etc.,
00:28:00 "et en ce mois de décembre, je ne pourrais pas faire d'aide financière à un jeune
00:28:03 que ses parents ont mis d'or, sa banque en ligne Omax, Crédit Mutuel,
00:28:07 ayant décidé de mettre la clé, il doit rapatrier sur un autre compte,
00:28:12 la somme qui lui reste, la date limite pour enregistrer un éventuel nouveau RIB,
00:28:16 est dépassée", alors ils ont dit "vous avez exactement un mois,
00:28:19 si vous avez peur, après vous allez mettre 10 ans pour récupérer le truc".
00:28:23 10 ans, enfin j'exagère, mais c'est ce qui s'est passé pour les clients de ING France,
00:28:28 tous les clients qui ne nous écoutent pas, qui n'ont pas fait le changement,
00:28:32 ils sont dans l'incapacité aujourd'hui de récupérer leur argent,
00:28:35 ça va durer 3 ans, 4 ans.
00:28:36 Tiens, parce qu'on parle de ces escrocs d'ING, attends.
00:28:39 – Alors ING, Espagne.
00:28:41 – Alors attends, juste, je finis avec Baltrain Bank, Omax.
00:28:46 Omax avait trouvé plus de 100 000 pigeons quand il a commencé à faire de la publicité,
00:28:50 compte courant, carte bancaire, Mastercard, débit immédiat, service accessible,
00:28:54 uniquement par application, téléphone, il fait le café, machin, voilà.
00:29:00 "Propose du cashback en le reversant directement sur un compte courant des clients,
00:29:03 après achat dans une ancienne partenaire".
00:29:06 Voilà, donc Omax était présent à Brest, Rennes, Bordeaux, Lyon,
00:29:09 et comptait 33 collaborateurs.
00:29:11 Alors les 33 collaborateurs, ils ont perdu je ne sais pas combien de millions,
00:29:17 et donc Crédit Mutuel a dit "on arrête les frais".
00:29:20 Voilà, c'est Baltrain Bank.
00:29:22 Non mais Arkea, Crédit Mutuel, c'est…
00:29:25 – Crédit Mutuel possède d'autres banques, non ?
00:29:27 – C'est ici, enfin tout ça, ils se sont…
00:29:30 – Oui, vous savez…
00:29:31 – Alors il y a deux Crédit Mutuel, il y a Crédit Mutuel et Arkea,
00:29:33 parce qu'il y avait des régions, voilà.
00:29:35 Alors ça c'est du 30 décembre, parce qu'ils ont attendu le 30 décembre pour…
00:29:39 – Toujours. – Voilà, toujours.
00:29:41 – Mais pourtant Crédit Mutuel fait sa publicité sur le fait
00:29:43 qu'il appartient à ses clients, puisque…
00:29:46 – Mais t'as raison, mais t'as raison, mais t'as raison,
00:29:49 oui t'appartiens à tes clients, mais qu'on cause toujours,
00:29:52 mais c'est n'importe quoi, mais c'est n'importe quoi.
00:29:55 En revanche, ils aiment bien faire acheter des parts sociétaires,
00:29:58 et je rends dit, n'achetez pas des parts sociétaires, vendez-les, vendez-les.
00:30:03 Alors, tiens, puisqu'on est dans les Baltrain Bank,
00:30:06 une banque qu'on affectionne, nous, ici, Orange Bank.
00:30:09 – Ah Orange, alors là aussi, j'ai écouté son patron nous dire que tout allait bien.
00:30:14 C'est quand même extraordinaire.
00:30:16 Orange Bank a perdu combien ? 70 millions de…
00:30:20 – Ah ben, je ne sais plus, je vais dire ça.
00:30:22 – Autant que je me souviens.
00:30:23 Orange Bank a perdu beaucoup d'argent dans l'opération…
00:30:26 – Non, non, mais ça fait des années qu'ils perdent de l'argent.
00:30:28 – Et alors, est-ce qu'ils sont rachetés ?
00:30:30 – Alors, moi je vous ai toujours dit, et je vous ai toujours prédit,
00:30:34 qu'à propos de la Orange Bank, et c'est en train de se réaliser,
00:30:38 en effet, quand des ingénieurs télécoms se sont dit
00:30:42 qu'il n'y avait rien de mieux que d'avoir sa propre banque
00:30:45 pour maquiller ses pertes, ils n'avaient pas compris
00:30:48 qu'ils se lançaient dans un tout autre métier.
00:30:50 – Mais oui, c'est pas un métier.
00:30:51 – On en a déjà parlé ensemble, ici, il y a 2-3 ans.
00:30:52 – Bien sûr, chez un des télécoms, c'est…
00:30:54 – C'est un peu comme si votre plombier s'était dit,
00:30:55 tiens, demain, je serai dentiste,
00:30:57 puisqu'il faut savoir poser des gouttières et des bridges.
00:30:59 – Et puis mettre des plombes.
00:31:01 – Et puis mettre des plombes, ben, plombier, d'où le terme "plombier".
00:31:05 – Forcément.
00:31:06 Au vu de la manière dont nos lecteurs étaient traités
00:31:08 par les crétins de la Orange Banque, leur sort était scellé,
00:31:11 et les 800 personnes qui travaillent dans cette banque pourrie,
00:31:14 donc au même niveau que la N26 ou la Banque Postale,
00:31:17 peuvent déjà commencer leur prière,
00:31:19 puisque les pertes de la banque sont déjà à…
00:31:22 [Tousse]
00:31:23 – Remettez-vous, mon frère.
00:31:25 – 800 millions, c'est quasiment un milliard.
00:31:28 Un milliard, ils ont perdu un milliard d'euros.
00:31:32 Bravo Orange Banque.
00:31:34 – Attends, ils déclaraient sur quelle radio que sa banque se portait bien ?
00:31:39 – Radio Classique.
00:31:40 – Radio Classique ?
00:31:40 – Le matin, ouais.
00:31:42 – Ah ben, évidemment, Radio Classique,
00:31:44 le journaliste en face n'a pas eu l'idée de dire…
00:31:47 – Non, non, c'est un gentil point.
00:31:49 – Ah non, non, pas de…
00:31:51 – Mais surtout, ce qu'il faut dire, c'est que pendant ce temps-là…
00:31:55 – 100 millions, ça fait un milliard de pertes pour Orange.
00:31:56 – Oui, mais pendant ce temps-là,
00:31:57 Orange n'arrive pas à suivre dans les téléphones.
00:32:03 Je connais des communes, des commerces…
00:32:06 – Ah non, mais ils sont de très très mauvais.
00:32:08 – Qui sont sinistrés du point de vue…
00:32:09 – Free est beaucoup mieux.
00:32:10 – Et voilà.
00:32:11 – Free est beaucoup mieux.
00:32:11 – Écoutez, c'est très simple,
00:32:13 des communes qui n'arrivent pas à envoyer leur message
00:32:17 parce qu'elles sont chez Orange.
00:32:18 La même chose pour des commerçants.
00:32:20 Le plonger, on ne peut pas faire…
00:32:21 – Non mais attends, quand tu perds un milliard…
00:32:22 Ils perdent un milliard d'un côté,
00:32:24 alors ils passent leur temps à passer les bénéfices d'Orange.
00:32:27 – Ben oui.
00:32:28 – Parce que la nouvelle directrice d'Orange,
00:32:30 elle est bien gentille, elle fait beaucoup de relations presse,
00:32:33 elle est toute mignonne, etc.
00:32:35 Mais ça fait un milliard de pertes.
00:32:38 – Voilà.
00:32:39 – Ça fait un milliard de pertes,
00:32:40 comment elle va faire pour maquiller ça ?
00:32:42 – Ben oui.
00:32:43 – Alors, non, on va un peu plus loin.
00:32:46 Ils perdent quand même un million par employé.
00:32:48 [Rires]
00:32:51 Un million par employé, je sais pas, comment est-ce possible ?
00:32:54 – Ils vont les licencier, non ?
00:32:55 – Comment est-ce possible ?
00:32:56 Alors, qui a dit que les Français n'étaient pas productifs ?
00:33:00 Qui a dit ça ?
00:33:01 – Tiens, vous êtes méchants là.
00:33:03 – Et dans ce cas-là, contre-productifs.
00:33:05 Les échos, enfin les échos, nous, si l'on t'inscoupe,
00:33:09 ont enfin balancé l'information.
00:33:11 BNP, Société Générale, Acadie Agricole et Cerberus
00:33:13 se disputent déjà le corps ensanglanté,
00:33:16 la carcasse de Votre Banque, de Baltrung Bank,
00:33:20 repeinte sous les couleurs de l'opérateur télécom Orange.
00:33:23 À deux semaines de l'annonce de son plan stratégique,
00:33:26 les têtes changent au sein de l'état-major d'Orange,
00:33:28 mais l'opérateur continue d'avancer sur la vente de sa banque
00:33:31 aux 2,6 millions de clients.
00:33:33 Alors, sérieux, arrêtez avec ça, il n'y a pas deux millions.
00:33:36 – En fait, ce sont deux millions de clients à qui on a vendu…
00:33:40 En fait, vous voulez le dernier appel ?
00:33:43 On vous fait un prêt par Orange Banque et vous le payez sur 24 mois,
00:33:48 à raison de 15 euros par mois.
00:33:50 Ce n'est pas des clients ça ?
00:33:51 – Dans la liste, non, non, bien sûr.
00:33:52 – Ce n'est pas des clients, ils ne peuvent pas gagner d'argent avec ça ?
00:33:54 – Ils sont captifs. – Hein ?
00:33:55 – Ils sont captifs. – Oui, ils sont captifs.
00:33:57 – Mais ce n'est pas de la clientèle.
00:33:58 – Dans la liste des banques qui vont ramasser les dépouilles d'Orange Banque,
00:34:02 vous avez cité Cerberus.
00:34:03 Or Cerberus, c'est HSBC.
00:34:06 – Cerberus, c'est Saint-Vautour, ben oui.
00:34:07 – C'est HSBC.
00:34:08 – Non, ce n'est pas HSBC, HSBC a vendu à Cerberus.
00:34:10 – Voilà, c'est ça.
00:34:11 – Non, HSBC a payé Cerberus pour qu'il lui rachète HSBC France.
00:34:16 À euros, symbolique.
00:34:17 – Oui, mais HSBC ferme ses guichets de plus en plus.
00:34:22 Alors en Angleterre, en Belgique.
00:34:24 – Tiens, je vais racheter une agence, tiens, juste pour le fun.
00:34:28 – Non, mais il ferme les agences.
00:34:30 – Mais c'est incroyable.
00:34:31 Je ne sais pas si vous vous souvienez,
00:34:34 c'est juste une question de trésorerie et d'embellissement comptable.
00:34:37 Par exemple, la Société Générale a récupéré
00:34:39 quelques 300 000 clients de la banque en ligne ING France.
00:34:42 Rouguë, ce qui s'est traduit par l'arrivée d'un vrai ballon d'oxygène,
00:34:46 pour l'ASG, donc, de quelques 8 milliards d'euros.
00:34:50 Pour les comptables, c'est un rouge à lèvres Yves Saint Laurent,
00:34:53 permettant de ravaler la façade des comptes brinque-ballant
00:34:56 de la Société Générale, qui a vendu, entre-temps,
00:34:59 pratiquement tous ses bijoux de famille.
00:35:00 – Et qui a perdu ?
00:35:02 Rosebank, qui était en Russie.
00:35:05 – Ils ont tout perdu, mais alors…
00:35:07 – Rosebank, c'était quand même une…
00:35:08 – Ça fait depuis 5 ans qu'on a chroniqué toutes les ventes
00:35:10 des bijoux de famille de la Société Générale, de la BNP,
00:35:12 et du crédit agricole, rappelez-vous.
00:35:14 – Oui, mais elle est toujours là.
00:35:16 Tant mieux pour elle, enfin, pour ses employés, mais bon.
00:35:19 – Mais Orangebank, c'est une catastrophe.
00:35:21 – Alors, on va continuer sur les…
00:35:23 – Moi, j'en rappelle que, par exemple, B4 Bank,
00:35:26 vous savez, B4 Bank, je ne sais pas si on peut voir une pub,
00:35:31 pour le montage, c'est très intéressant, parce que c'est…
00:35:34 alors, la pub, c'était le mec toujours sur un voilier,
00:35:37 dans son avion privé, dans son jet, etc.
00:35:40 "Oui, je suis mon propre banquier", je me suis dit "t'as raison".
00:35:45 Et eux-mêmes perdent énormément d'argent.
00:35:48 – Ils sont pas édificiés.
00:35:49 – B4 Bank, crédit agricole, j'en ai parlé.
00:35:52 La BNP, qui est là, la traîne avec son bancal Hello Bank,
00:35:55 de 750 000 clients, voudrait mettre la main sur Orangebank et ses pertes.
00:35:59 Si c'est le cas, cela ne ferait que creuser les siennes.
00:36:02 En effet, à quoi ça sert de vendre, pour la BNP, Bank of the West,
00:36:06 qui était son trésor, son bijou de famille,
00:36:08 au Californie, pour racheter poubelle Orangebank ?
00:36:12 Je pose la question à la BNP, au patron de la BNP.
00:36:16 Vous êtes tous fous dans votre tête, quoi.
00:36:19 – Alors, nous allons faire une pause dans cette cavalcade…
00:36:23 – Non mais voilà, tout ce qu'on avait dit sur Orangebank, voilà, c'est là.
00:36:25 – Cette cavalcade d'informations bien tristes,
00:36:31 nous allons faire une petite pause, pour la route.
00:36:34 – Avant la pause, vous vous souvenez du champion olympique du 100 mètres,
00:36:39 l'homme le plus rapide du monde, Usain Bolt ?
00:36:42 – Usain Bolt.
00:36:43 – Usain, je crois qu'on comprend, Usain, voilà.
00:36:46 Eh bien, Usain Bolt a été l'homme le plus rapide,
00:36:50 donc c'est un court vite,
00:36:52 mais son gestionnaire de fortune a été encore plus rapide,
00:36:55 puisqu'il l'a dépouillé de sa fortune.
00:36:58 Ce qui ne manque pas de rappeler les mésaventures de ce pauvre Michel Polnareff,
00:37:02 dépouillé par son manager impréstario dans les années 70.
00:37:06 Alors, écoutez bien, quelqu'un s'est enfui, j'adore,
00:37:09 avec l'argent d'Usain Bolt, puisqu'il manque 12, voilà, 13 millions de dollars,
00:37:13 sur son compte, ne lui laissant qu'une balance positive de 12 000 dollars.
00:37:18 Stocks and Securities Ltd, la firme en charge de la gestion,
00:37:23 donc en Jamaïque, n'a pas trouvé de réponse à ce déséquilibre comptable.
00:37:28 – Oui, c'est énorme.
00:37:29 Oui, mais, il y a les…
00:37:31 – Ils ont tout voulu, ils sont partis.
00:37:34 – Mais regardez, même en France, vous citez le cas de la Banque Postale.
00:37:40 Il y a 4 employés qui ont volé 120 000 euros à des personnes âgées.
00:37:48 Or, ces gens-là n'étaient même pas titulaires,
00:37:52 c'était des intérimaires.
00:37:54 – Il y a quand même des organes de contrôle interne, non ?
00:37:58 – La BNP avait fait ça à un moment donné,
00:38:00 vous savez, dans le cadre de l'intégration,
00:38:01 ils avaient fait venir tout un tas de jeunes décités,
00:38:06 et qui avaient accès au compte.
00:38:08 – Ah oui ?
00:38:09 – Bon, ils n'ont pas gardé longtemps, vu le drame que ça avait causé.
00:38:12 – D'accord.
00:38:14 – Voilà, donc l'autorité financière de Kingston a pris le contrôle
00:38:18 en mettant à sa tête, voilà, en Jamaïque,
00:38:20 un ancien de la Bank of Jamaica,
00:38:22 sans pour autant expliquer ce qui s'est passé.
00:38:24 [Rires]
00:38:26 T'as vu, c'est plus là, c'est du manteau, tu vois, tac, tac, tac, y'a plus.
00:38:29 C'est comme au Liban, c'est comme au Nigérien,
00:38:32 on voit que la pression monte de tous les côtés des pays adjacents maintenant.
00:38:38 Ça a commencé avec le Liban, vous vous souvenez de mon reportage au Liban ?
00:38:40 – Ah oui, oui, oui.
00:38:41 – Ben voilà, maintenant ça se répand de plus en plus.
00:38:44 – Alors nous avons fait une pause.
00:38:45 – Le vol global, c'est un vol global.
00:38:47 – Voilà.
00:38:48 [Générique]
00:38:52 Alors chers dédéspectateurs, nous allons continuer avec Pierre-Jean Vanhoenick,
00:38:56 cette exploration de la presse économique et financière internationale.
00:39:02 Une petite anecdote, on a mis des antivols sur les bonbons,
00:39:06 et Pierre nous dit que c'est un des meilleurs indicateurs de la crise que nous vivons.
00:39:10 – Ah oui ?
00:39:10 – Et c'est dans le magasin Aldi.
00:39:13 – Voilà, c'est Aldi, ça a commencé en Angleterre, mais c'est un peu partout.
00:39:16 Maintenant j'ai des lecteurs qui m'envoient, alors moi j'invite des spectateurs,
00:39:20 si vous voyez des...
00:39:22 Alors maintenant c'est également sur la viande, enfin maintenant sur la viande c'est de partout.
00:39:26 – Mais je constate quand même qu'on ne met pas d'antivols sur les comptes et sur les banquiers.
00:39:31 – Et sur les banquiers.
00:39:32 – Parce qu'il faut que nous allions sur deux affaires que nous avions traitées,
00:39:35 mais qui ont des chiffres.
00:39:36 – Souvent un décompte un peu, mais des antivols sur les bonbons,
00:39:39 les cusculotes et le lait bébé, c'est ce que vous disiez tout à l'heure.
00:39:44 – La déchante.
00:39:48 – Avant d'aller sur FTX et ING.
00:39:51 – Oui, ING.
00:39:51 – ING Espagne.
00:39:52 – Exactement, alors cette fois-ci c'est ING, moi j'ai toujours dit que ING,
00:39:55 ça fait longtemps que j'ai toujours dit ING ne restait pas dans cette banque,
00:39:58 c'est une banque poubelle qui a fait faillite trois fois,
00:40:01 qui a été sauvée trois fois par le gouvernement.
00:40:04 Là c'est en Espagne, puisque tout à l'heure il y a un banquier
00:40:10 qui a fait pipi sur un passager,
00:40:12 eh bien c'est en Espagne qu'une banque urine, au sens figuré évidemment, sur ses clients.
00:40:17 Et c'est notre lectrice Pascale qu'on remercie,
00:40:20 qui dit que la presse explique que ING bloque des comptes de ses clients,
00:40:26 de ING, sous le prétexte de blanchiment,
00:40:29 bien que ceci apporte l'information demandée par la banque,
00:40:31 et toutes les preuves nécessaires, déclarations d'impôt, etc.
00:40:34 Et ING a même prétendu que l'impôt de 2021,
00:40:37 donc le dernier établi en Espagne comme en France,
00:40:40 était trop ancien pour justifier les ressources.
00:40:42 Voilà, donc en fait ça vous montre l'escroquerie de ces banques en ligne,
00:40:45 c'est pour ça que je dis, le spectateur, n'allez pas dans les banques en ligne,
00:40:50 vous vous exposez, je veux dire, dès que vous aurez un peu d'argent,
00:40:55 ils vont vous bloquer votre compte, c'est ainsi que N26 a fait son beurre,
00:40:58 c'est ce que fait ING également,
00:41:00 donc quittez ces banques, allez dans une agence, là où il y a encore quelqu'un,
00:41:05 tant que ça dure.
00:41:07 – Les conseillers en clientèle sont ubérisés, ils sont prolétarisés,
00:41:13 vous savez, la banque idéale c'est le directeur,
00:41:15 le service marketing, et puis ensuite tous les comptes numériques,
00:41:23 et puis il n'y a plus personne dans les chèques.
00:41:25 – Je pensais que vous parliez de la banque à l'ancienne,
00:41:27 avec le directeur d'agence qui était là depuis 10 ans,
00:41:29 qui connaissait tout le quartier,
00:41:31 qui connaissait tous les chefs d'entreprise de la petite ville.
00:41:33 – Et vous aviez un comptoir, comme un bar, avec au milieu une vitre,
00:41:38 et le type qui vous donnait du liquide, il était derrière une vitre quand même.
00:41:44 – Voilà, alors vous avez vu que maintenant ça y est,
00:41:46 ce que j'avais annoncé ici il y a un an, à peu près avec vous d'ailleurs,
00:41:50 dans la revue de presse, ça y est, les banques françaises
00:41:54 vont mutualiser leurs distributeurs, ce n'est pas au bonheur des dames,
00:41:59 c'est au malheur des dames, il n'y aura plus de dames,
00:42:04 et en plus tous les dames, si vous retirez de l'argent dans un autre dame,
00:42:07 ça va vous coûter encore plus cher,
00:42:09 et donc vous savez ce qu'elles font les banques maintenant ?
00:42:11 Elles vous proposent un abonnement, 12 euros par an,
00:42:15 pour que vous puissiez retirer de l'argent dans un dame étranger.
00:42:18 – Non mais vraiment, vous ne pouvez pas non plus retirer de l'argent
00:42:24 au-delà d'un certain chiffre.
00:42:25 – Non mais bientôt on va rapporter les bouteilles consignées dans les banques,
00:42:28 pour qu'elles puissent se les revendre, elles en sont là.
00:42:32 – Et puis surtout, vous devez justifier chaque fois que vous apportez du liquide.
00:42:37 – Ah mais j'en ai plein là, j'en ai trop, trop d'infos, tu l'as fausse.
00:42:44 – Oui, voilà.
00:42:45 – Là on est à la démonstration, je ne retrouve plus celle que je voulais vous donner.
00:42:50 Bref, l'ING, et en même temps, si vous voulez,
00:42:55 la presse espagnole dit que la banque Santander, espagnole,
00:42:58 – Oui, qui est en très mauvais état.
00:43:00 – Exactement, elle a payé une amende de 125 millions de livres
00:43:04 pour du blanchiment d'argent pour des clients fortunés.
00:43:08 Autrement dit, vous êtes pauvre, vous voulez retirer 2000 euros de votre épargne,
00:43:13 pour la donner aux petits-enfants à Noël, vous êtes terroriste,
00:43:16 on va appeler, comment on s'appelle l'espèce de truc…
00:43:20 – Trac fin.
00:43:21 – Trac fin, voilà, trac fin, pas fin du tout.
00:43:24 – Trac fin.
00:43:25 – Voilà, mais dès que vous avez plusieurs millions,
00:43:27 alors là, pour du blanchiment, dès qu'elles prennent leur commission,
00:43:31 c'est tapis rouge, sans problème.
00:43:34 – Sans problème, voilà, on a l'exemple,
00:43:36 attends, ça fait quand même des années que ça dure, cette histoire-là,
00:43:39 on est en 2023, vous vous rendez compte ?
00:43:41 Ils ont fait ça en 2022, blanchiment d'argent, Santander, c'est fou.
00:43:45 – Alors, maintenant, je pense que Pierre,
00:43:47 il serait bon de donner des nouvelles de banques que nous avions évoquées
00:43:50 la dernière fois, c'est-à-dire, enfin, FTX, bien sûr.
00:43:54 – Oui, ce n'est pas une banque, c'est plus une banque de…
00:43:57 – C'est un fonds de crypto.
00:44:00 – Oui, FTX, parce que les péripéties continuent,
00:44:04 et vous allez nous en parler, et puis, bien sûr, évidemment, Crédit Suisse.
00:44:08 Alors, commençons par FTX, si vous voulez bien.
00:44:10 – Ah non, mais dans le scandale…
00:44:13 – Le fiston.
00:44:15 – Le scandale FTX devient de plus en plus épais,
00:44:18 c'est un peu comme l'affaire Palman, en fait, c'est très curieux.
00:44:21 – C'est-à-dire le bondissement.
00:44:22 – Dans le sens où, on avait dit, rappelez-vous,
00:44:24 le petit banquier grillé, là, n'a pas été mis en prison,
00:44:29 parce que ses parents ont mis en garantie leur maison,
00:44:34 en Californie, d'une valeur de 200 millions de dollars.
00:44:38 – C'est ça, 250.
00:44:41 – Vous vous souvenez de ça ?
00:44:42 On l'a dit ici, lors de notre dernier revue de presse.
00:44:44 Mais figurez-vous que le Los Angeles Times,
00:44:47 donc, a fait sa petite enquête,
00:44:48 mais il est tombé par hasard si on informait ce gouvernement d'Inde,
00:44:50 c'est-à-dire que c'est une immense escroquerie,
00:44:53 qu'il a été protégé par le Parti démocrate,
00:44:55 dans le sens où les parents ont mis en garantie,
00:44:58 en hypothèque, une maison qui ne leur appartenait pas.
00:45:01 – Ah ah ah !
00:45:02 – Non mais, je ne sais pas si vous réalisez la mascarade,
00:45:07 la maison appartient à l'université de…
00:45:13 – À Los Angeles ?
00:45:14 – À Stanford.
00:45:14 – C'est pas Stanford.
00:45:15 – L'université de California.
00:45:17 Donc comment la justice américaine a-t-elle…
00:45:20 – University California Los Angeles.
00:45:23 – C'est pas UCLA.
00:45:24 – UCLA c'est autre chose.
00:45:25 Là c'est Stanford de mémoire.
00:45:28 Et comment le ministère de la justice a-t-il pu accepter…
00:45:32 c'est comme si vous mettiez en hypothèque la maison de vos voisins,
00:45:36 en fait, grosso modo c'est la même chose quoi.
00:45:38 – Oui c'est pas mal.
00:45:39 – C'est une escroquerie monumentale,
00:45:40 les parents devraient être en taule là, rien qu'à cause de ça.
00:45:43 – Oui.
00:45:44 – Vous réalisez un peu…
00:45:46 – FTX.
00:45:47 – FTX et le Parti démocrate et la corruption
00:45:50 à tous les niveaux du système politique américain ?
00:45:52 – Oui mais pas que le Parti démocrate.
00:45:54 – C'est comme ici.
00:45:55 – Citez-nous les gens qui sont allés placer leur argent chez FTX.
00:45:59 – Alors vous l'avez.
00:46:02 – Par exemple, il y a un fonds de pension qui s'appelle Genesis Crypto.
00:46:12 – Il y en a plein, il y a toutes les banques,
00:46:15 il y a même des banques françaises qui y sont.
00:46:18 – New Finance Income Fund, Global Asset Vendeec,
00:46:24 et tout ce petit monde avait investi chez FTX.
00:46:30 – Voilà, j'ai fait un accordéon de FTX,
00:46:34 parce que ça quand même on n'a pas fait de route presse
00:46:36 depuis le mois de novembre, donc on avait du temps.
00:46:39 Alors il y a plein d'infos, ce qui est absolument extraordinaire
00:46:47 c'est que le New York Times lui a voulu maquiller justement l'escroquerie,
00:46:50 c'est-à-dire protéger la totalité des gens.
00:46:54 Mais la liste des créditeurs de FTX reste toujours confidentielle.
00:46:58 – Toujours cachée.
00:46:59 – Oui, parce qu'elle est trop révoltante, parce que tout le monde y est.
00:47:02 Alors écoutez bien, je vous fais la liste.
00:47:05 Alors, ce qui est de révoltant là-dedans, en fait c'est encore autre chose.
00:47:10 C'est que tous ces médias qui ont fait la promotion de FTX,
00:47:16 qui l'ont mis à la une, comme fortune, on va voir les photos,
00:47:19 ça ça a l'air du 30 janvier,
00:47:21 et bien figurez-vous que tous ces gens avaient acheté des actions.
00:47:24 Donc en fait, alors c'est pas un délit d'initié, c'est autre chose.
00:47:27 C'est quand vous achetez des actions et que vous-même vous faites des articles
00:47:32 sur cette action pour la faire monter.
00:47:35 – Confi d'intérêt.
00:47:36 – Oui, c'est confi d'intérêt pour le coup.
00:47:42 Alors tiens, je vous fais la liste, regardez bien.
00:47:45 Alors, on y trouve…
00:47:47 – Des gens très honorables.
00:47:49 – Il y a les dirigeants de Google,
00:47:52 et les dirigeants de Microsoft,
00:47:54 donc il y a Genesis bien sûr,
00:47:57 mais surtout il y a les journalistes et les directeurs de Bloomberg,
00:48:01 l'agence de presse économique.
00:48:02 – Oui, et pourtant Bloomberg donne son.
00:48:03 – Le New York Times, le New York Times.
00:48:05 Et du coup, vous comprenez mon article, déjà à l'époque, au mois de novembre,
00:48:09 j'étais scandalisé que le New York Times défende FTX,
00:48:13 mais c'est normal, ils avaient acheté pour 10 millions d'actions,
00:48:15 ou je ne sais pas combien.
00:48:17 Non mais vous vous rendez compte un peu ?
00:48:18 – Oui mais alors Bloomberg, ça m'étonne,
00:48:20 parce que Bloomberg est généralement mieux informé.
00:48:21 – Mais ça ce n'est pas fini,
00:48:22 regardez, Looker, encore, c'est une nouvelle filiale de Google,
00:48:25 HubSpot, Sequoia Investments.
00:48:27 – Ah, Sequoia, Sofia…
00:48:30 – Sequoia, c'est un des plus grands, il est plus militaire.
00:48:32 – Société Générale, non ?
00:48:33 – Sequoia, non, il y a plein de trucs.
00:48:35 Dropbox, Dropbox tout le monde connaît,
00:48:37 GitHub, BNP, on salue la BNP.
00:48:40 Société Générale, ils sont toujours dans les bons coups là.
00:48:44 – C'est toujours.
00:48:45 – Société Générale, Apple, Godaddy, BPCE, Banque, Banque Populaire,
00:48:50 Caisse d'Épargne, on parlait de la Banque Populaire tout à l'heure,
00:48:53 HSBC, Silvergate, Twitter, Binance, Coinbase, China Capital,
00:48:58 Netflix, Amazon, Facebook, Binance, Crédit Agricole,
00:49:02 Yucca Labs, Goldman Sachs, Chain Analysis,
00:49:05 et le Wall Street Journal et le magazine Fortune.
00:49:08 Ils avaient acheté des actions et pas pour 5 euros.
00:49:13 Voilà, et c'est pour ça que tous ces journaux,
00:49:16 tous ces magazines et ces agences de presse ont fait la promotion de FTX.
00:49:19 C'est pour ça que l'action de FTX est montée.
00:49:22 Donc il a eu des milliards, donc il a tout…
00:49:24 Voilà, c'est une immense escroquerie à laquelle vous assistez.
00:49:29 Celle-là, vous pouvez aller voir cet article, ça date du 30 janvier.
00:49:32 Voilà, vous allez soit dans les archives, soit sur la route de presse.
00:49:36 – Il rappelle que FTX était un fonds de placement en crypto-monnaie.
00:49:41 – Oui, oui, mais attendez, il achetait des pubs.
00:49:43 Il finançait la Formule 1.
00:49:47 Je ne sais pas si vous imaginez le budget qu'il faut pour financer la Formule 1.
00:49:50 Ce n'est pas la fiche à la sortie de l'autoroute
00:49:55 pour aller manger à la patatas fritas.
00:49:59 – Chez Flunch. – Chez Flunch.
00:50:01 – Oui, sauf que Flunch est avancé par le dépôt de bilan.
00:50:06 – Je sais, on en a déjà parlé.
00:50:08 Tiens, je vous dis, le déchet FTX, déjà suffisamment nébuleux,
00:50:13 peut faire perdre la tête un astrophysicien de l'Agence spatiale européenne.
00:50:18 – À cause des caractères astronomiques des chiffres.
00:50:20 – Oui, c'est ça.
00:50:22 Il vient de révéler deux nouvelles galaxies
00:50:24 qui ont plongé les liquidateurs comptables dans des abîmes de réflexion.
00:50:28 Là, on est dans l'Agence spatiale européenne.
00:50:31 – Et le petit garçon qui dirige tout ça,
00:50:34 qui est enchanté en basket, qu'est-ce qu'il devient alors ?
00:50:37 Il est en tente chez ses parents, c'est ça ?
00:50:39 – C'est du 6 février.
00:50:41 – Le Los Angeles Times a découvert que la maison qui se trouve sur le terrain
00:50:45 appartient à l'université de Stanford, et la maison aussi.
00:50:48 – Ah ben, Stanford c'est en classe.
00:50:50 – Et que celle-ci est louée aux parents.
00:50:53 Et ils ont mis la maison en hypothèque.
00:50:55 – Ah c'est pas mal ça.
00:50:57 Alors Stanford c'est à côté de Los Angeles.
00:50:59 – Ah vous verrez jamais ces infos sur…
00:51:02 – Sur les échos.
00:51:03 – Jamais, même l'AFP, on n'a pas parlé.
00:51:06 – Surtout pas l'AFP.
00:51:08 – Donc bienvenue sur quotidien.com, jevenuil.com et TV3.
00:51:13 On vous informe véritablement sur les…
00:51:15 – Dites-moi, ce garçon en basket et en short là,
00:51:19 – En culotte courte.
00:51:21 – Qui mange du Kiri.
00:51:23 – Ah il mange du Kiri.
00:51:25 – Kiri vous vous souvenez ? Kiri, le fromage des gastronomes en culotte courte.
00:51:29 – Ah oui, juste.
00:51:30 Donc là vous êtes influencé par la publicité là.
00:51:32 – Ah ben attends, j'avais 10 ans quand j'ai vu ça.
00:51:34 – Qu'est-ce qu'il devient ce garçon ?
00:51:36 – Il est en taux chez ses parents.
00:51:38 – Il est comme Palmad, il est chez lui.
00:51:40 – Ah oui d'accord.
00:51:42 – Je crois qu'il a même une piscine.
00:51:44 Alors je ne sais pas si on peut nager dans une piscine…
00:51:46 – Avec un bracelet électronique.
00:51:48 [Rires]
00:51:50 – C'est les mecs qui surveillent le truc,
00:51:54 ils foient le dehors, bzzz bzzz bzzz.
00:51:56 – Ça fait un court-circuit.
00:51:58 – Oui ça fait un court-circuit.
00:52:00 – Alors sérieusement, on va passer à…
00:52:02 – Non mais il faut quitter FTX.
00:52:04 – Non mais on vient de vous donner la corruption
00:52:08 au plus haut niveau des médias américains.
00:52:10 – Oui.
00:52:12 – Et pas n'importe lequel, Bloomberg, New York, New York Times, Fortune, etc.
00:52:16 Et tous ces gens ont poussé,
00:52:18 Apple a fait la pub de FTX sur Yahoo News, etc.
00:52:26 Je veux dire, ils avaient tout intérêt à le faire.
00:52:28 – Oui.
00:52:30 – Vous me suivez ?
00:52:32 – Oui.
00:52:34 – Mais ce qui nous prouve d'ailleurs qu'il ne faut faire aucune confiance
00:52:36 dans les médias de grand chemin, dit "mainstream".
00:52:40 Dites-moi Pierre, à propos de médias,
00:52:44 vous avez fait passer une information très intéressante
00:52:46 sur la chaîne CNET.
00:52:50 – CNET, oui.
00:52:52 – C'est quand même incroyable cette histoire.
00:52:54 Ils ont fait faire des articles par l'intelligence artificielle.
00:53:00 – En ce moment, c'est très à la mode.
00:53:02 – Ah oui, c'est quand même incroyable.
00:53:04 – Oui, voilà, c'est-à-dire que c'est un peu comme une recette de cuisine,
00:53:06 vous prenez la poêle, la casserole,
00:53:10 vous mettez les ingrédients, vous appuyez sur le bouton,
00:53:12 c'est comme les cuiseurs, la Moulinex,
00:53:14 ou je ne sais pas comment ça s'appelle.
00:53:16 Et puis ça vous prépare l'article.
00:53:18 Sauf que le truc quand même sort un nombre incalculable de conneries,
00:53:22 et résultat des courses, il perd des lecteurs.
00:53:24 Parce que quelque part, les gens sentent bien qu'il y a quelque chose…
00:53:28 – Ils sentent trop la théorie.
00:53:30 – En le lisant, il y a quelque chose qui ne va pas.
00:53:32 – Ce n'est pas du vivant.
00:53:34 – Par exemple, en tant que directeur littéraire,
00:53:36 j'ai repéré, j'avais des auteurs qui m'ont donné des manuscrits qu'on devait publier,
00:53:40 et en lisant, j'ai tout de suite vu que ce n'était pas l'auteur.
00:53:44 Et quand j'ai poussé l'auteur dans ses retranchements,
00:53:48 "Ah oui, mais c'est ma maîtresse qui l'a écrit parce qu'elle rêvait d'être écrivain."
00:53:52 J'ai dit "Connard, je pense pas."
00:53:54 Non mais c'est nul, quoi.
00:53:56 Et c'est la même chose pour…
00:53:58 – Pour l'intelligence artificielle.
00:54:00 – Exactement. Mais, regardez bien.
00:54:02 Parce que c'est de la désinformation, quelque part.
00:54:04 – Bien sûr.
00:54:06 – Et quand un journal désinforme, quand un journal,
00:54:08 un grand journal, pas n'importe lequel,
00:54:10 attention, là, on parle du Washington Post,
00:54:14 ni plus ni moins, propriété de Jeff Bezos,
00:54:18 ex-patron d'Amazon, mais propriétaire d'Amazon,
00:54:22 et surtout courroie de transmission de la CIA,
00:54:26 le New York Times est le courroie de transmission
00:54:30 du ministère des Affaires étrangères du secrétaire d'État américain.
00:54:34 Bref, ils ont perdu, écoutez bien, 500 000 lecteurs, 500 000 abonnés.
00:54:40 – Bien sûr, bien sûr.
00:54:42 – Voilà ce qui se passe quand vous n'informez plus les lecteurs.
00:54:46 – C'est ce qui se passe pour Libération.
00:54:48 – VICE, il y avait VICE France, ils ont fermé.
00:54:52 Ils ne gagnaient pas d'argent.
00:54:54 Ils étaient 33 quand même chez VICE.
00:54:56 Je ne sais pas comment ils faisaient pour donner aussi peu d'infos.
00:54:58 – Pour payer tout seul.
00:55:00 – Non mais regardez tout ce que je fais tout seul,
00:55:02 je n'arrive pas à comprendre comment VICE faisait aussi peu avec 33 personnes.
00:55:06 – Oui, c'est tout à fait ça.
00:55:08 Bon, les gens, ils n'ont plus le sens du travail non plus, c'est ça.
00:55:12 – Non mais attendez, il y a autre chose.
00:55:14 Il y a le mouvement WOOK.
00:55:16 À force d'essayer de filer aux gens le côté WOOK, le côté transgenre,
00:55:20 le côté lesbienne… – Le fait fabriqué.
00:55:24 – On essaie de… comment dire, c'est comme une loi qu'on gave.
00:55:28 Moi j'ai l'impression qu'on me gave avec ces…
00:55:32 d'ailleurs il faudrait penser à inviter Charles Gave, tiens, pendant qu'on parle de ça.
00:55:34 – Il va revenir, j'avoue.
00:55:36 – Non, non, mais c'est intéressant, il dit des choses intéressantes.
00:55:40 On est gavé, si vous voulez, par tout ce mouvement LGBT et WOOK.
00:55:44 Et attention, le gouvernement français n'est pas du tout étranger.
00:55:48 La FPB balance en permanence ce genre de conneries WOOK.
00:55:52 – Alors dans le genre fabrication, vous savez aussi qu'il y a la source,
00:55:56 c'est le site Politico, qui est un bon site, sur lequel on a de bonnes informations.
00:56:02 La réunion de Munich qui s'est tenue pour discuter de la paix,
00:56:08 avec 30 chefs d'État, etc. – Oui, organisée par McKenzie ?
00:56:12 – McKenzie a tout préparé, y compris même la liste des invités.
00:56:18 – Mais c'est McKenzie, c'est la CIA. – McKenzie.
00:56:20 – McKenzie, on en a déjà parlé maintes fois. McKenzie c'est la CIA.
00:56:24 – Oui, mais c'est extraordinaire. – C'est le bras armé de la CIA.
00:56:26 – Mais où sont les politiques ?
00:56:28 – Il faut remonter à la source de McKenzie. Ce sont des anciens de la CIA.
00:56:34 Il n'y a pas que McKenzie, toutes les grandes agences d'organisation de marketing,
00:56:38 ce sont des anciens de la CIA.
00:56:42 – Je renvoie les lecteurs à un article que j'ai publié dans Politique magazine.
00:56:46 – Ah tiens, parce qu'on parle de la CIA. – J'ai beaucoup de choses sur la CIA.
00:56:52 – Vous avez notamment une information sur un certain M. Sarkozy qui m'intéresse.
00:56:58 – La première chose que Sarkozy a faite, il a fait deux choses.
00:57:04 Il nous a réintégrés dans l'Union Européenne alors que les Français ont voté contre.
00:57:08 Donc déjà c'est une trahison, c'est une première trahison.
00:57:12 Et surtout, lui qui se prétendait être gaulliste, il nous a réintégrés dans l'OTAN,
00:57:16 alors que de Gaulle, surtout, voulait qu'on soit indépendants.
00:57:20 Deuxième trahison. Donc maintenant on est à la merci des Américains,
00:57:24 puisque l'OTAN c'est les États-Unis.
00:57:26 – La vassalisation devient aveuglante aujourd'hui.
00:57:30 – Bien sûr, mais ça a commencé avec Sarkozy.
00:57:32 – Bien sûr.
00:57:34 – Je rappelle que c'est sa mère qui avait épousé un garçon
00:57:40 qui est devenu haut fonctionnaire de la CIA, de mémoire.
00:57:44 – C'est possible. – Qui est devenu même le numéro 2.
00:57:46 – C'est possible, ça je m'en souviens.
00:57:48 – Et l'un des enfants Sarkozy est à West Point.
00:57:52 – Donnez-nous la suite. C'est intéressant.
00:57:56 Parce que M. Sarkozy a touché 3,3 millions.
00:58:00 – C'est vous qui l'avez.
00:58:02 – C'est moi qui l'ai.
00:58:04 Il a touché 3,3 millions pour une transaction sur les chemins de fer italiens.
00:58:10 – C'est un scoop de Mediapart qu'on salue.
00:58:14 – Mediapart, en l'occurrence, il a fait son boulot.
00:58:18 Si c'est avéré, il a bien fait de le diffuser. C'est quand même énorme.
00:58:22 – Non, non, mais c'est avéré. La question n'est pas...
00:58:24 Je dis simplement, Sarkozy s'y connaît autant entre eux.
00:58:28 – Que vous et moi.
00:58:30 – Exactement, que je m'y connais en charcuterie ou en boucherie.
00:58:34 Peut-être a-t-il donné des conseils sur le train électrique,
00:58:37 comment acheter un train électrique aux enfants, mais je ne crois pas.
00:58:40 Combien il a touché déjà ? – 3,3 millions.
00:58:42 – Donc ça masque autre chose.
00:58:44 Ça masque une rémunération.
00:58:46 Et en plus, il l'a touché où ? Au Luxembourg, je crois.
00:58:48 – Oui, bien sûr. Au Luxembourg, oui, absolument.
00:58:52 – Comment ça s'appelle déjà ? De la blanchisseuse ?
00:58:56 – Non, mais... – Quelle blanchisseuse ?
00:58:59 – Non, il y a évidemment... – On va blanchir, Snif !
00:59:02 – Il vient conseiller l'Italie sur les questions de chemin de fer.
00:59:08 – Tu parles que les Italiens ont besoin de lui pour prendre leurs décisions
00:59:11 sur leurs achats de wagons ou de motrices.
00:59:14 – Donc, qu'est-ce qu'il y a derrière ? Qui y a-t-il d'autre ?
00:59:16 – Un bois plein, regardez, j'ai tout ça.
00:59:18 Mais je vous fais que l'équipe, parce que sinon...
00:59:20 Alors, Sylvie Goulard, agent des Américains, a été éjectée de la Banque de France.
00:59:23 Parce que moi, je l'ai toujours accusée de CIA.
00:59:26 Ça finit par payer, quand même, on a mis du temps.
00:59:30 Elle a été éjectée de la Banque de France.
00:59:32 Alors, je ne sais pas où ils l'ont parachutée.
00:59:36 L'organisme Anticor a finalement pris Goulard comme cible
00:59:40 et lui a demandé de s'expliquer sur la rémunération entre 2013 et 2016
00:59:44 de 10 000 dollars par mois, par mois, je ne sais pas si vous réalisez,
00:59:48 de l'association californienne de Nicolas Berggruen
00:59:52 et pour lequel elle aurait juste organisé des rendez-vous à Bruxelles.
00:59:56 Alors, Berggruen, il est quand même assez grand pour prendre une secrétaire,
01:00:00 il sait ce que c'est une secrétaire.
01:00:02 Ça ne coûte pas aussi cher juste pour prendre des rendez-vous.
01:00:04 Bref, de plus, M. Berggruen dispose d'assistantes très compétentes
01:00:09 qui auraient pu se charger de prendre deux ou trois rendez-vous par mois,
01:00:12 par-ci, par-là, à Bruxelles.
01:00:14 Ce qui veut bien dire que Sylvie Goulard était payée pour toute autre chose,
01:00:18 exactement comme Sarkozy est payée pour toute autre chose.
01:00:22 D'autant que le gentil Nicolas, donc là je parle de Berggruen,
01:00:26 il est vraiment très gentil, est un membre important du Council of Foreign Relations,
01:00:31 une extension de la CIA.
01:00:33 Le monde est petit dans ces trucs-là.
01:00:36 Sachant qu'il a refusé de toucher ou coucher, sur un verbe plus juste,
01:00:42 à une femme pour avoir des enfants et qu'il a obtenu des enfants
01:00:46 par mère porteuse sous contrat, comme le fait Michael Jackson.
01:00:49 Donc ça c'est M. Berggruen pour lequel Sylvie Goulard travaillait.
01:00:52 On est sûr que Sylvie n'a pas couché avec Berggruen.
01:00:56 Ce n'est pas une promotion canapé.
01:00:58 – On est rassuré.
01:00:59 – Non mais c'était ma démonstration. Vous comprenez ?
01:01:02 – Alors j'ai le détail de l'opération Sarkozy.
01:01:05 – Alors ça c'est, pardon, je l'ai juste pour le montage,
01:01:08 le 12 au 15 décembre, Sylvie Goulard, agent des Américains.
01:01:11 – Là pour Sarkozy, il a conseillé Peninsula Capital.
01:01:15 – Exactement, une société d'investissement américaine,
01:01:19 le même fonds qui a financé Sylvie Goulard, justement.
01:01:23 – Ah bon ? J'ai pas vu ça.
01:01:25 – Oui, et c'est un investissement dans l'entreprise ferroviaire italienne NTV.
01:01:30 – D'accord, ah oui, ça m'a échappé. Mais Peninsula Capital, vous êtes sûr ?
01:01:35 – Ah oui, Peninsula Capital, ben oui, la péninsule italienne.
01:01:38 – Oui, oui, oui, oui, d'accord, oula.
01:01:42 Bon, bref, alors la Banque de France, juste pour vous montrer
01:01:46 à quel point la Banque de France, le gouverneur, M. Gallo,
01:01:50 qui a été sauvé par son ange gardien en mois de décembre.
01:01:54 Il y a un type qui l'a agressé à coup de marteau à la gare,
01:01:58 et il n'a rien eu, c'est un miracle absolu.
01:02:02 Donc le gouverneur a pondu un communiqué très pincé sur son départ,
01:02:07 dans lequel Mme Goulard exprime son vœu de retourner au couvent,
01:02:13 dans son corps d'origine, qui est d'orsaie.
01:02:17 Mais regardez, juste trois lignes.
01:02:20 Attends, la Banque de France qui d'habitude te fait des tartines,
01:02:24 là, trois lignes, je précise que c'est du jamais vu en 40 ans de presse,
01:02:28 et sur la page d'accueil "presse" de la BDF, Banque de France,
01:02:32 c'est le seul communiqué qui n'a pas d'objet.
01:02:34 Donc là, pour le montage, vous avez toutes les photos ici.
01:02:37 – Un communiqué sans objet.
01:02:39 – Merci à Anticor, et merci donc au juge Éric Halpern,
01:02:43 qui a mis les pendules à l'heure pour Mme Goulard.
01:02:46 Il était temps.
01:02:47 Mais c'est trop tard, elle a signé des contrats avec la JPMorgan pour la gestion de l'or.
01:02:51 – Voilà.
01:02:52 – Tiens, juste une parenthèse.
01:02:54 – Il faudra revenir sur l'or.
01:02:55 – Oui, allez-y.
01:02:56 – Oui, on continue d'acheter de l'or, et on continue de bidonner les cours.
01:03:00 Alors, puisqu'on parle de la CIA, vite fait, regardez.
01:03:04 L'affaire Epstein continue à faire des victimes, et surtout,
01:03:09 il y a une juge des Iles Vierges qui a eu la mauvaise idée
01:03:15 de porter plainte contre la JPMorgan et la Deutsche Bank,
01:03:19 qui gérait les comptes personnels de Jeffrey Epstein
01:03:21 parce qu'elle les accuse de totale négligence.
01:03:23 Voilà, pas tort en même temps.
01:03:24 – Oui, c'est plus que de la négligence.
01:03:26 – Vous savez ce qu'il s'est… donc la CIA lui est tombée dessus,
01:03:29 ça n'a pas tardé, elle a été démissionnée trois jours après.
01:03:32 – Ah oui, ça c'est formidable, ça.
01:03:34 – À juge ?
01:03:35 – À juge, oui.
01:03:36 – Non mais vous en êtes bon.
01:03:37 – Mais vous savez, vous connaissez l'indépendance de la justice,
01:03:40 c'est bien connu, séparation des pouvoirs.
01:03:43 – C'est incroyable, c'est incroyable.
01:03:46 Et on a vu la censure de Twitter, la CIA demandait à la FBI,
01:03:50 disait à Twitter qu'il fallait censurer, et ils sont intervenus,
01:03:54 la CIA est intervenue directement dans nos élections.
01:03:57 – Dans la campagne de 22.
01:03:59 – Précision, exactement.
01:04:00 – Il y a eu des censures exercées par la CIA.
01:04:02 – Facebook, pareil.
01:04:03 – Voilà.
01:04:04 – Mais on dit que c'est les Russes qui interviennent dans nos élections.
01:04:06 – Pour favoriser M. Macron.
01:04:07 – C'est un scandale.
01:04:08 Alors, tous vos virements sont envoyés pour contrôle aux États-Unis,
01:04:11 alors ça aussi.
01:04:12 – Oui, on le savait déjà, parce que la carte Visa ou la carte…
01:04:15 – Non mais ça c'est encore une chose, c'est un programme qui s'appelle TRAC,
01:04:19 qui permet aux forces de l'ordre américaine, du FBI,
01:04:21 tous les services de police locaux, d'accéder sans autorisation de la justice
01:04:25 à une base de données recensant plus de 150 millions de transferts de fonds
01:04:29 vers une vingtaine de pays, dont la France.
01:04:31 Vous vous rendez compte un peu ?
01:04:33 – Oui.
01:04:34 – Ensuite, bon, la CIA a réinstallé Lula, cette espèce d'enfoiré.
01:04:39 – Lula, Lula.
01:04:40 – Lula à la tête du Brésil, maintenant il a décidé de vacciner tout le monde.
01:04:44 – Oui, et puis alors, surtout, il veut fusionner le PESO argentin
01:04:48 avec le, quoi, c'est le réel…
01:04:51 – Le brésilien, voilà.
01:04:52 – Le brésilien.
01:04:53 – Ce qui est une arnaque totale, quoi.
01:04:54 – Vous faites une comparaison, c'est comme si le Deutschmark avait fusionné
01:04:58 avec la Drakmo…
01:04:59 – Avec la Drakmo…
01:05:00 – Avec la Drakmo grecque.
01:05:01 – Avec la Drakmo grecque, c'est du grand n'importe quoi.
01:05:03 – Mais vous dites dans votre dépêche que c'est voulu par la CIA,
01:05:07 donc quel est l'intérêt des Américains à faire une monnaie commune entre ces deux ?
01:05:11 – Parce qu'ils veulent faire la même chose qu'en Europe.
01:05:13 – Ah oui, d'accord.
01:05:14 – Pour l'Amérique latine, ils veulent faire la même chose,
01:05:16 parce que pour eux c'est beaucoup plus pratique.
01:05:18 – D'accord.
01:05:19 – Je veux dire, les Américains s'enrichissent dix fois plus depuis qu'il y a l'Europe.
01:05:24 – D'accord.
01:05:25 – Je parlais des privés.
01:05:26 – Non, je ne parle pas de leur dette planchère.
01:05:28 – Alors, mon cher Pierre, nous arrivons à la fin de cet entretien,
01:05:30 malheureusement parce que nous aurions eu beaucoup de choses à dire.
01:05:33 J'aimerais que vous nous disiez un dernier mot sur le crédit suisse.
01:05:37 – Alors, le crédit suisse, c'est très intéressant.
01:05:42 Alors, depuis notre dernière revue de presse,
01:05:44 je vous encourage à regarder, parce que je rappelle que le crédit suisse
01:05:47 était tellement dans la mouise qu'elle a appelé ses 22 plus grands concurrents à la Roscosse.
01:05:52 – Oui, absolument, à l'idée.
01:05:53 – Parce que là, le crédit suisse saute, ils sautent tous.
01:05:57 – Ah oui, ils s'en sautent.
01:05:59 – Voilà, et là, maintenant, nous on en a parlé tous les deux,
01:06:03 ça fait des années qu'on en parle, enfin, c'est pas nous qui en parlons,
01:06:06 c'est la fusion crédit suisse UBS, mais UBS, le problème,
01:06:11 c'est qu'ils ne veulent pas spécialement fusionner avec le crédit suisse,
01:06:14 parce qu'en fait, c'est pour les appauvrir, et du coup,
01:06:17 c'est comme quand vous essayez de sauver un noyé qui est trop lourd,
01:06:21 qui vous entraîne par le fond.
01:06:23 – Et la BNS, la Banque Nationale Suisse, elle ne peut pas faire quelque chose ?
01:06:26 – À mon avis, la BNS, elle attend le truc final, quoi.
01:06:31 Parce que d'un coup de baguette magique, elle va nationaliser,
01:06:36 et puis elle va séparer, elle va faire une bad bank, voilà.
01:06:39 Je pense que c'est ça, en tout cas, le crédit suisse est en faillite.
01:06:49 C'est quand vous avez, quand on vous parle de deux banques qui ont fusionné,
01:06:52 il y en a forcément une qui est en faillite, c'est toujours comme ça.
01:06:55 C'est pour ça que Banque Populaire a fusionné avec Caisse Départ,
01:06:58 ou l'inverse, et que CIC, Crédit Mutuel, etc.
01:07:02 En 2008, je présente.
01:07:04 Et l'autre rumeur en ce moment, c'est qu'Alex Axel Lehman,
01:07:09 tout à l'heure on parlait de M. Panikos et de M. Santo Liquido,
01:07:13 – Oui, mais Lehman, ça me fait penser à Lehman Brothers.
01:07:16 – Mais c'est le PDG du Crédit Suisse, il a menti comme un dentiste du 19ème siècle,
01:07:20 ou comme le PDG de la Lehman en 2008,
01:07:23 sur l'argent qui a été récupéré, sorti par les clients.
01:07:26 En fait, il a minimisé les fonds, les clients ont continué à sortir de l'argent,
01:07:30 ce qui fait que jusqu'à présent, et donc Reuters, l'agence de presse,
01:07:34 Reuters a accusé Lehman de mensonge,
01:07:38 puisqu'en réalité les sorties n'ont fait qu'accélérer.
01:07:41 Et je pense que notre émission, elle n'a pas aidé.
01:07:44 – Merci infiniment Pierre pour cette revue de presse.
01:07:48 – Vous retrouvez tous les lundis, je précise,
01:07:51 – PetitDien.com
01:07:53 – Et si vous avez des infos à m'envoyer sur LinkedIn,
01:07:55 – N'hésitez pas.
01:07:56 – Voilà, n'hésitez pas, merci à vous.
01:07:58 – Chers spectateurs, donc à très bientôt.
01:08:00 [Générique]