QCM CYTO
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ÉducationTranscription
00:00 Bon, on ne tarde pas, on commence. C'est parti du coup pour les QCM concernant SITO.
00:07 Alors, dans les QCM, on reçoit les trois premiers cours, c'est-à-dire l'organisation générale de la cellule, donc le premier cours, l'intro de SITO,
00:17 le deuxième cours qui est les méthodes d'études, et le troisième cours qui concerne du coup la structure de la membrane plasmique.
00:27 On ne perd pas de temps, on commence avec la première question.
00:30 Alors, la membrane plasmique observée en microscopie électronique à transmission, le MET, apparaît formée d'un feuillet clair médian qui est ?
00:39 Cocher la réponse fausse. Donc c'est un QCS, on demande de cocher la réponse fausse.
00:43 Alors on est proposé ceci. Osmiophobe de nature lipidique, situé entre les deux feuillets sombres,
00:50 peut danser aux électrons de 20 à 25 Å d'épaisseur, disposés en une bicouche moléculaire.
00:58 Alors, est-ce que le feuillet clair médian, cette tabacle noire, cette feuille fausse, est-ce qu'il est osmiophobe ?
01:07 Oui, mais il n'y a pas d'oxyde d'osmium. Il est de nature lipidique ? Oui, c'est ça.
01:12 Situé entre les deux feuillets sombres, peu dansent aux électrons, et c'est pour ça qu'on a choisi de mettre de la clair.
01:20 C'est une erreur. De 20 à 25 Å d'épaisseur. Le feuillet clair fait 30 à 40 Å. Disposé en une bicouche moléculaire.
01:32 Vous aurez remarqué que les chefs de la vidéo, qui ont fait un Discord, ont dit que c'était la membrane plasmique.
01:42 Je trouve que les questions étaient à eux d'eux. Donc voilà. Les chefs de la vidéo, kiff kiff.
01:48 Donc l'explication, on la connaît bien. Deux feuillets sombres, 20 à 25 Å, un feuillet clair, 30 à 40 Å.
01:56 D'où l'aspect tristratifié. Question numéro 2.
02:03 Les protéines transmembranaires de la membrane plasmique. Cochez la réponse juste. Donc c'est un QCS, réponse juste.
02:10 Une partie NH2 terminale organisée en plusieurs hélices, alpha, donc à DmcA, c'est alpha normalement, donnant la forme globulaire de la protéine.
02:20 B. Une partie intramembranaire hydrophobe formée d'acides aminés, hydrophobe.
02:27 C. Une partie COOH terminale donnant la forme bâtonnée à la protéine.
02:33 Une partie NH2 terminale hydrophile qui permet l'ancrage du glycoside phosphatidyl inositol.
02:41 Une partie COOH terminale qui interagit avec l'éque des molécules lipidiques.
02:46 Alors, on a un autre problème. Est-ce que c'est la partie NH2 terminale qui donne les hélices alpha ou qui donne la forme globulaire ? Non.
02:55 C'est la partie intramembranaire qui interagit avec les domaines, les uniformes des hélices alpha, donc BnHα, où elle peut donner soit la forme globulaire, soit la forme bâtonnée.
03:08 Une partie intramembranaire hydrophobe formée d'acides aminés, hydrophobe.
03:12 C'est vrai. La partie intramembranaire qui est dans l'ombre plasmique n'est pas seulement hydrophobe.
03:19 Du coup, elle est bien composée d'acides aminés qui sont hydrophobes.
03:23 Du coup, logiquement, vous avez deux erreurs.
03:25 Surtout qu'on va expliquer pourquoi deux erreurs.
03:27 La partie COOH terminale donnant la forme bâtonnée.
03:31 C'est la partie intramembranaire qui donne la forme à la protéine.
03:35 La partie NH2 terminale hydrophile qui permet l'ancrage de la rone. Non.
03:40 C'est le GPI, le glycosylphosphatidyl inositone, qui permet l'ancrage des protéines membranaires.
03:50 Donc, une partie COOH terminale qui interagit avec les queues des molécules lipidiques. Non.
03:56 C'est la partie intramembranaire qui permet d'interagir avec les queues hydrophobes des molécules des phospholipides.
04:03 Ou même ta cholestérol. Enfin, tes molécules lipidiques en général.
04:07 Donc, voilà.
04:08 Bon, je vais lâcher cette explication.
04:11 Parce que K9 le court, ou je viens de l'expliquer à l'horreur.
04:14 Pour ne pas perdre de temps.
04:17 Alors, le cholestérol de la membrane plasmide. Cochez la réponse fausse.
04:22 OK.
04:24 La première proposition est constituée d'une tête polaire, d'un groupement stéroïde solide et d'une queue hydrophobe.
04:29 Augmente la stabilité mécanique de la membrane.
04:33 Diminue la fluidité membranaire.
04:37 Diminue la permeabilité de la membrane aux petites molécules.
04:42 Il se présente uniquement au niveau de la couche externe d'une membrane plasmique.
04:45 Alors, le cholestérol, oui, fait une tête polaire.
04:49 Fait un groupement stéroïde solide mêle-bien au milieu.
04:52 Et a une queue hydrophobe.
04:59 Il aide la stabilité, oui, il aide la stabilité de la membrane.
05:03 Qui aide la stabilité ? Il diminue la fluidité.
05:06 Et il diminue la permeabilité de la tête.
05:09 Donc, la réponse fausse est la dernière.
05:12 Le cholestérol ne se trouve pas dans la membrane externe.
05:15 Il se trouve dans les deux membranes. Ce sont les deux monocouches.
05:21 La monocouche externe ou la monocouche interne.
05:24 Donc, elle dit, il y a des ralentins.
05:27 Bon, le schéma, qu'est-ce que le cours ?
05:31 Ce n'est pas la peine de nous le montrer.
05:34 Sachant que j'ai expliqué ce qu'il y avait à expliquer.
05:37 Question numéro 4.
05:39 Tous ces éléments caractérisent les cellules eucaryotes, sauf un.
05:43 Ça, c'est un cours. Donc, ça, c'est une question d'un premier cours.
05:46 Alors, on a quand même chaque proposition.
05:49 La membrane plasmique peut avoir des différenciations.
05:52 B) Le noyau contient la totalité du matériel génétique cellulaire.
05:58 Le hyaloplasme contient des éléments du cytosquelette.
06:02 La division cellulaire peut se faire par mitose ou méiose.
06:06 La quantité d'ADN doit être doublée avant la mitose.
06:09 Alors, la membrane plasmique peut avoir des différenciations.
06:13 Et on verra ça dans le cours des différenciations membranelles.
06:17 Est-ce que le noyau contient la totalité du matériel génétique cellulaire ?
06:23 Le noyau fait le matériel génétique cellulaire, mais ça n'a pas de sens.
06:29 Dans la mitochondrie, il y a des ADN mitochondriaux.
06:34 C'est-à-dire qu'il y a du matériel génétique spécialement dans la mitochondrie.
06:39 Cette proposition est une erreur.
06:43 Le hyaloplasme contient des éléments du cytosquelette, oui.
06:47 La division cellulaire, oui, se fait par mitose ou méiose.
06:51 On a vu ça dans l'embryo.
06:53 La quantité d'ADN doit être doublée avant la mitose.
06:56 Oui.
06:58 Donc, c'est bien. C'est une erreur.
07:00 Le noyau ne contient pas la totalité.
07:04 C'est ça, le mot-clé. La totalité du matériel génétique.
07:08 Chez les eucaryotes, le matériel génétique est réparti entre le noyau et les mitochondries.
07:12 Donc, l'ADN mitochondrial.
07:14 Chez les eucaryotes, les ADN sont répartis entre le noyau et les organites semi-autonomes,
07:18 tels que les mitochondries ou les chloroplastes,
07:22 en fonction des besoins spécifiques de chaque composante cellulaire.
07:25 On a vu ça dans le schéma.
07:30 Donc, on a fait le cours.
07:32 Question suivante.
07:34 Question numéro 5.
07:36 Là aussi, c'est une question.
07:38 Tous ces éléments permettent de classer les bactéries sauf un.
07:42 Lequel ?
07:43 Ça, c'est une question qui a été posée dans le premier cours.
07:46 Alors, on va voir les propositions.
07:48 C'est un QCAS.
07:51 Le caractère gramme positif ou négatif.
07:54 La présence d'éléments facultatifs.
07:57 La présence d'éléments essentiels.
07:59 La forme de la bactérie.
08:01 Le mode de division.
08:03 Alors, un autre exemple.
08:06 Le caractère gramme positif ou négatif.
08:10 Oui, donc on peut classifier les bactéries entre les bactéries gramme plus et les bactéries gramme moins.
08:17 Donc, c'est un exemple.
08:18 La présence d'éléments facultatifs.
08:20 Oui, par exemple, les bactéries ont des éléments zéros.
08:24 Comme le pilier, comme la capsule des bactéries.
08:29 Donc, on peut classer les bactéries entre les éléments facultatifs.
08:35 La présence d'éléments essentiels.
08:39 Ça, c'est un QCAS.
08:42 Parce que la définition même des éléments essentiels, c'est le fait que les bactéries sont des éléments.
08:51 Donc, on ne peut pas proprement classer les bactéries à l'échelle des éléments qu'elles ont.
08:56 Je ne peux pas classer les bactéries, alors qu'elles ont les mêmes caractéristiques.
09:05 Je ne pourrais pas les différencier.
09:07 Donc, qui te carrera quelqu'un, tu te dis que c'est une erreur.
09:10 Mais on peut les classer pour ne pas se tromper dans le langage, parce que c'est un QCAS.
09:15 La forme de la bactérie.
09:17 Oui, c'est vrai. On peut classer les bactéries entre leurs formes.
09:23 Il y a les coques, les bacilles, etc.
09:28 C'est un peu plus court que l'organisation de l'intro de la citron.
09:32 Le mode de division.
09:34 Cette année, le mode de division est commun avec les bactéries.
09:37 Les bactéries se divisent par 6 séparités.
09:40 C'est ce que je veux dire par le problème.
09:42 J'ai deux réponses dans un QCAS qui peuvent être bonnes.
09:48 Enfin, les propositions sont trop fausses, mais les réponses peuvent être bonnes.
09:53 Qui va dans un QCAS, je vais le faire.
09:57 Tu prends la proposition qui est plus fausse.
10:00 Je sais, ce n'est pas logique, mais pour que tu ne te trouves pas avec des questions comme ça,
10:04 tu es obligé de te faire des erreurs.
10:08 C'est la présence d'éléments essentiels dans chaque état.
10:11 Par contre, le mode de division est commun avec les bactéries.
10:18 C'est la priorité.
10:20 Si tu as des questions, tu peux juste répondre au corrigé type.
10:26 Dans le corrigé type, les bactéries se divisent par une précision commune appelée séparité.
10:31 C'est ce qu'on va faire.
10:33 Si tu as un pourcentage de réponses, 49% ont pris la réponse à ce sujet.
10:38 27% ont pris la réponse à ce sujet des éléments essentiels.
10:41 Pourquoi ? Parce que même ce sujet peut être considéré comme étant une réponse juste et une proposition fausse.
10:48 Mais si tu es dans un QCAS, prends la proposition la plus fausse.
10:54 C'est-à-dire, tu as une réponse fausse, mais tu n'es pas en danger.
10:58 Question suivante.
11:01 Concernant les bactéries gram-positifs.
11:04 On va commencer par la première courte.
11:08 On va voir ce que ça peut nous donner.
11:10 On va voir les propositions.
11:12 Elles apparaissent en violet à la fin de la coloration.
11:16 La paroi est rigide et plus épaisse.
11:19 L'espace périplasmique est plus réduit.
11:22 La forme de la paroi dépend des acides théicoïques et hypothéicoïques.
11:30 La coloration de gramme ne permet pas de les observer en microscopie électronique.
11:37 Alors, on peut donc les trouver en une seule fois ou on peut trouver la réponse fausse.
11:45 Elles apparaissent en violet à la fin de la coloration.
11:48 Oui, c'est vrai. Le gramme positif, le bactérie gram-plus, est donc violet.
11:53 Qu'est-ce qu'il y a ? Gramme plus violet.
11:56 Gramme négative, c'est un gramme moins de bellrose.
12:00 La paroi est rigide et plus épaisse.
12:03 Gramme positif.
12:05 C'est vrai.
12:07 Qu'est-ce qu'il y a avec le positif ?
12:10 La paroi est plus rigide, plus épaisse.
12:13 C'est vrai.
12:15 L'espace périplasmique est plus réduit.
12:19 Étant donné que la paroi est plus rigide, elle n'indique pas une membrane externe.
12:27 Du coup, vu qu'elle n'indique pas une membrane externe, elle est très loin de la membrane plasmique.
12:32 L'espace périplasmique est réduit.
12:35 Donc, elle est un étoile.
12:37 La forme de la paroi dépend des acides théicoïques et hypothéicoïques.
12:42 C'est sur le plan moléculaire.
12:45 Mais normalement, c'est vrai.
12:47 La coloration de gramme ne permet pas de les observer en microscopie électronique.
12:51 La coloration de gramme, de base, est observée par le microscope optique.
12:58 On est d'accord.
13:00 Mais ça ne veut pas dire que quand une bactérie chauffe la coloration, chauffe les couleurs,
13:07 elle ne le fait pas par le microscope optique.
13:10 Ça ne veut pas dire que par microscopie électronique, on ne peut pas voir la coloration de gramme.
13:21 Donc, normalement, c'est la réponse de la proposition de Ralta.
13:28 Qu'est-ce que je vais dire ? Je vais lire et je vais donner l'explication.
13:31 La coloration de gramme permet de différencier les bactéries selon deux critères principaux.
13:35 Leur forme et leur affinité pour les couleurs.
13:39 Ainsi, on distingue deux grandes classes de bactéries après observation en microscopie photonique.
13:44 On observe du coup les bactéries de la coloration de gramme par microscopie optique.
13:50 Les bactéries de gramme positive sont violettes,
13:53 de manière positive violets, positive violets, et je fais un erreur,
13:55 négatives sont roses.
13:57 En revanche, c'est grâce à la microscopie électronique qu'on peut avoir plus de détails
14:02 sur la composition géoscimique des parois des deux bactéries.
14:05 La coloration de gramme en tant que telle, on la voit par microscopie optique.
14:09 On voit les couleurs et tout.
14:11 Mais ça, ça n'empêche pas d'observer les bactéries en tant que telles par microscopie électronique.
14:21 C'est ce que je voulais dire.
14:23 Donc, on voit le schéma de ces membranes.
14:28 On va les voir.
14:30 Je vous montre. Dans le A, vous avez le gramme plus. Dans le B, vous avez le gramme moins.
14:36 À gauche, vous avez le gramme plus. À droite, vous avez le gramme moins.
14:40 On voit la différence entre ces deux membres.
14:43 On a déjà le milieu extracellulaire, le milieu cytosolique, pour la gauche.
14:49 Et ici, on a le milieu extracellulaire, le milieu cytosolique.
14:53 On va commencer par le gramme plus.
14:55 On a le gramme plus qui, pour faire un schéma positif, est une paroi épaisse.
15:00 On va dire que c'est une mureine épaisse.
15:04 C'est ce qui la caractérise le plus.
15:07 On voit bien le schéma. On a les membranes plasmiques comme normal.
15:10 Et on a ici une paroi épaisse qui va couvrir les membranes plasmiques.
15:15 On a ici la paroi épaisse.
15:18 L'espace périplasmique n'est pas très grand.
15:22 Le gramme moins, c'est l'inverse.
15:25 On a ici une paroi négative, c'est-à-dire une paroi mince, la paroi épaisse.
15:30 Vu que la paroi n'est pas épaisse, la bactérie, pour se protéger, a une membrane externe.
15:35 C'est ici la membrane externe en bleu.
15:38 Cette membrane externe donne un espace grand entre la membrane plasmique et la membrane.
15:45 C'est pour ça qu'on dit qu'on a un espace périplasmique.
15:49 Le gramme plus positif, c'est la membrane rigide, la paroi épaisse.
15:57 Le gramme négatif, c'est la paroi fine, la paroi négative est fine.
16:05 Et tant qu'elle est fine, pour se renforcer, elle a une membrane externe.
16:09 Et qui a une membrane externe, il a un espace périplasmique grand.
16:17 Donc, ce que je fais, c'est de faire un petit révision des éléments.
16:22 Parce que le but de la QCM, ce n'est pas juste de vous donner les 300 QCM.
16:31 Il y en a, il y en a 300 à Caca.
16:36 Donc, si vous avez des QCM, ce serait facile de vous donner les réponses à Caca.
16:42 Du coup, on vous explique à chaque fois les notions de la découpe, je fais un peu de ruban et je vous en dis.
16:47 Concernant les virus, quelle est la réponse fausse ?
16:50 Alors, on a un QIFQCS pour la réponse fausse.
16:53 A, B, C, D, E.
16:55 Donc A, ils possèdent toujours un acide nucléique, une capsite.
16:59 B, leur forme varie selon les espèces.
17:03 C, la forme des capsomères définit la symétrie de la capsite.
17:07 D, ils ont une taille très réduite observable en microscopie optique.
17:12 E, l'acide nucléique peut être un ADN ou un ARN.
17:16 Alors, on va reprendre la question.
17:18 Ils possèdent toujours un acide nucléique et une capsite.
17:20 Oui, les deux éléments essentiels d'un virus sont l'acide nucléique, soit ADN, soit ARN, ou la capsite.
17:29 L'enveloppe, c'est un enveloppe de la faculté de la différenciation.
17:35 Tardetcon, tardetmalkonch, c'est un des virus qui sont enveloppés.
17:38 Leur forme varie selon les espèces.
17:41 Oui, logique, chaque virus a d'autres formes.
17:44 C, la forme des capsomères définit la symétrie de la capsite.
17:47 D, ils ont une taille très réduite observable en microscopie optique.
17:53 A, la réponse fausse.
17:55 La taille réduite des virus ne se forme pas en microscopie optique.
18:00 Elles se forment réellement par microscopie électronique.
18:03 L'acide nucléique peut être ADN ou ARN, mais on ne va pas en parler.
18:07 Oui.
18:08 Les virus sont des organismes pathogènes d'une taille inférieure à celle des bactéries, 15 à 300 nanomètres.
18:14 Ils sont mis en évidence en microscopie électronique à transmission.
18:18 Oui.
18:20 Question numéro 8.
18:22 Concernant l'infection virale, l'infection virale.
18:26 Mais maintenant, vous avez remarqué que je vous ai posé des questions dès le premier cours, dès l'intro, dès le site.
18:32 C'est l'un des cours les plus importants.
18:34 Je vais vous les utiliser de A à Z.
18:37 OK.
18:38 C'est bizarre apparemment.
18:39 Je vais vous les expliquer.
18:41 Alors.
18:43 L'entrée dans la cellule haute se fait toujours via des récepteurs spécifiques.
18:52 Un cycle viral peut être lithique ou lysogénique.
18:56 L'objectif du cycle viral est la réplication du génome viral dans la cellule haute.
19:01 Un virus oncogène a la capacité de causer des tumeurs.
19:04 Tumeurs, c'est-à-dire des cancers.
19:07 La capside et l'enveloppe virale possèdent un rôle antigénique.
19:10 C'est le magnum des antigènes.
19:13 C'est le magnum des antigènes.
19:15 Donc.
19:16 Nous allons commencer par lire les propositions en un seul temps.
19:21 L'entrée dans la cellule haute se fait toujours via des récepteurs spécifiques.
19:24 Toujours à dire.
19:25 Oui, il pose problème.
19:27 L'entrée dans la cellule, c'est-à-dire l'endocytose ou l'infection de manière générale.
19:33 Elle ne se fait pas toujours par des récepteurs spécifiques.
19:36 Il se fait toujours par des récepteurs spécifiques.
19:40 Donc toujours à dire.
19:41 Oui, il pose problème.
19:42 Normalement, à dire la réponse fausse.
19:44 Le cycle viral peut être lithique ou lysogénique.
19:46 À dire.
19:47 Oui, je fais un fleu court.
19:48 Le cycle viral soit lithique soit lysogénique.
19:50 Ou le lithique peut se transformer en lysogénique.
19:52 Ou l'inverse.
19:53 C'est une cette.
19:54 Elle m'en vient.
19:55 L'objectif du cycle viral est la réplication du génome viral dans la cellule haute.
19:59 C'est logique.
20:00 L'objectif c'est quoi?
20:01 C'est-à-dire le virus quand il va infecter la cellule haute.
20:04 C'est que justement, il se reproduit.
20:07 Il catère.
20:08 L'objectif de ce virus c'est qu'il catère.
20:09 Il donne des virions.
20:10 Et donc les virions qui sortent de la cellule.
20:11 Et puis ils vont s'infecter encore et encore et encore.
20:13 Un virus encore généreux qui donne des tumeurs.
20:15 Oui, c'est vrai.
20:16 La capsule est en rôle antigénique.
20:18 Oui, il a des antigènes.
20:19 La réponse qui est la plus fausse, c'est celle-ci.
20:25 Alors, c'est intéressant.
20:29 Le corrigé type a mis la réponse C comme fausse.
20:33 La réponse C, c'est celle-ci.
20:35 L'objectif du cycle viral est la réplication du génome viral dans la cellule haute.
20:40 Mais on pense, donc l'équipe de MyStudio a dit que ce type de question a été vérifiée par notre équipe.
20:46 Mais on pense que la réponse A est la réponse fausse.
20:49 L'entrée dans la cellule haute ne se fait pas toujours vers des récepteurs spécifiques.
20:53 L'entrée virale dans une cellule haute peut se produire de différentes manières.
20:57 En fonction du virus de la cellule haute.
21:00 Soit c'est une entrée par fusion.
21:03 Soit c'est une entrée selon l'endocytose par récepteur.
21:07 Donc, la réponse qui est la plus commune est la ralphie.
21:13 La réponse qui est la plus commune est la ralphie.
21:16 L'entrée dans la cellule haute, c'est-à-dire l'infection dans la cellule haute,
21:20 soit elle se produit par l'endocytose, soit par la fusion.
21:26 Comme, par exemple, le VIH.
21:29 On a parlé de la réplique de terminale.
21:32 La réponse de la corrigé type est normalement la bonne.
21:36 Pourquoi ? Parce que l'objectif principal du cycle viral est la réplication du génome viral dans la cellule haute.
21:41 Mais il y a un autre objectif.
21:44 Il ne va pas infecter juste pour le plaisir. Il va infecter juste pour se reproduire.
21:48 Parce que le virus qui m'a gagné les autres cellules vivantes,
21:53 l'objectif c'est de se reproduire.
21:55 Donc, pour se reproduire, il est obligé d'infecter. Donc c'est son objectif.
21:59 Le processus par lequel un virus infecte une cellule haute,
22:01 utilise la machinerie cellulaire de la cellule haute pour répliquer son propre génome.
22:06 Et produire de nouvelles particules virales et interne des virus.
22:09 Donc voilà.
22:11 Vous avez remarqué que même dans les examens, il est possible de faire des erreurs dans les corrigés type.
22:20 Soit ils font ça exprès, soit ils font ça par erreur.
22:22 Donc, c'est une bonne nouvelle.
22:24 Donc, prochaine question.
22:26 Indiquez la réponse fausse concernant la technique de géographie.
22:30 C'est la première fois que je me retrouve avec une question sur le cours de méthode d'études.
22:34 Je ne sais pas trop.
22:35 Quand on dit "il a fallu", il faut se concentrer.
22:38 Donc bon, là, l'audiographe.
22:40 L'audioradiographe.
22:42 Donc, nous avons les propositions.
22:45 Elle s'applique au microscope électronique à balayage.
22:48 Elle permet le marquage des précurseurs métaboliques.
22:55 Elle s'applique au microscope à fluorescence.
22:58 Elle étudie la cinétique et la localisation des molécules organiques.
23:02 Elle utilise les isotopes radioactifs comme marqueurs.
23:06 On en a encore une.
23:08 L'audioradiographie, déjà, un petit rappel.
23:11 L'audioradiographie, est-ce qu'elle s'applique au microscope électronique à balayage ?
23:17 Oui.
23:18 C'est vrai.
23:20 Vous avez remarqué que si c'est vrai, logiquement, le microscope à fluorescence est faux.
23:26 Mais je vais vous donner les autres propositions pour vérifier si c'est vrai.
23:29 Elle permet le marquage des précurseurs métaboliques.
23:32 Les précurseurs métaboliques sont comme par exemple, Ahmad Amini.
23:37 Les bases azotéliques comme par exemple, thymidine, uracil, sont des précurseurs métaboliques.
23:44 Donc, si vous mettez du thymidine, du thymidine ou du uracil dans les molécules pour les sécher,
23:53 là, on dit que vous avez marqué ce précurseur métabolique.
23:58 Donc, il y a des éléments chimiques comme par exemple, thymidine, acidamine, etc.
24:02 qui vont utiliser la cellule dans son métabolisme.
24:06 Donc, tu l'as marqué avec des radiations, c'est-à-dire avec des échauffements, des isotopes radioactifs.
24:12 Pourquoi tu marques les précurseurs métaboliques ?
24:16 Parce que justement, tu as de la localisation des molécules organiques.
24:19 Les molécules organiques sont utilisées dans l'ordi, comme par exemple, l'ADN, l'ARN, les protéines, etc.
24:25 Donc, si tu as des molécules organiques, tu peux les marquer avec un précurseur.
24:30 Par exemple, si tu marques les protéines, on te donne un précurseur.
24:34 Tu peux aussi marquer les protéines, la signature, le mouvement, la localisation, etc.
24:43 Donc, on le voit par microscopie électronique, par balayage, mais pas par fluorescence.
24:50 Ici, tu vois une image marquée sur le timing H3 radioactif et la localisation de l'ADN dans le noyau.
24:57 Donc, c'est une expérience que nous avons faite à la terminale de la science.
25:00 Nous avons dit que si on met un timing de rayonnement sur les cellules, nous voyons que l'on voit l'échantillon dans les cellules.
25:08 Et par conséquent, cela indique que l'ADN est dans les cellules.
25:15 Ici, tu vois une image à microscopie électronique, à balayage.
25:21 Pourquoi balayage ? Parce que nous, on voit les détails.
25:23 Les détails, c'est les reliefs.
25:25 Qui voit les détails, c'est les reliefs, c'est quelqu'un qui a fait le balayage.
25:27 Qui voit le noir et le blanc, c'est quelqu'un qui a fait le balayage.
25:31 Donc, qui voit les détails, c'est l'électronique.
25:34 Qui voit les reliefs, c'est la surface.
25:36 Qui voit les reliefs, c'est le balayage.
25:38 Et puis voilà. Le fluorescence, le microscope à fluorescence, est utilisé pour la technique d'immunofluorescence.
25:47 Nous utilisons des objets qui sont en contact avec les yeux et nous pouvons voir les cellules de l'autre avec le microscope à fluorescence.
25:58 Je vous ai montré la radiographie et l'immunofluorescence.
26:05 Question numéro 10. Encore une question.
26:08 Alors, comment ça s'appelle ?
26:10 Les méthodes d'études.
26:12 L'ultra-centrification sur gradient de densité de saccharose UGD, donnée la réponse fausse.
26:18 Gravide composition.
26:20 C'est un procédé de séparation des composés cellulaires.
26:24 Elle utilise des tubes comportant un gradie de densité de saccharose.
26:28 Elle assure la purification de chaque culot offri par UCD.
26:31 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
26:35 Elle permet l'obtention d'un homogène.
26:37 Nous allons en parler une fois.
26:39 Je vais vous expliquer une fois.
26:42 C'est un procédé de séparation des composés cellulaires.
26:46 Est-ce que l'UGD permet de séparer les composés de la cellule ?
26:49 Oui, elle le permet.
26:51 Est-ce qu'elle utilise des tubes dont le gradient de densité de saccharose ?
26:56 Oui, elle utilise des tubes dont le gradient de densité de saccharose.
27:01 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:05 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:09 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:13 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:17 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:21 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:26 Elle est nécessaire pour l'étude de la composition chimique des structures cellulaires.
27:30 Elle permet l'obtention d'un homogène.
27:33 Elle permet l'obtention d'un homogène.
27:36 Elle permet l'obtention de bandes.
27:39 Elle permet l'obtention de bandes.
27:42 Elle permet l'obtention de bandes.
27:45 Elle permet l'obtention de bandes.
27:51 Ce schéma est une méthode de dissonance.
27:59 Ce schéma est une méthode de dissonance.
28:02 L'homogénéisation du tissu.
28:05 L'homogénéisation du tissu.
28:08 L'homogénéisation du tissu.
28:11 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:16 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:21 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:25 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:28 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:33 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:36 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:41 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:44 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:47 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:50 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:53 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:56 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
28:59 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
29:02 C'est le fait de casser la membrane plasmique.
29:05 Bon, on va aller à la question 15.
29:09 Au niveau de la monocouche interne de la membrane plasmique,
29:13 le phosphatidyl inositol.
29:15 Donc, on va voir le cours de la structure de la membrane.
29:19 Cochez le groupe de réponse juste.
29:22 Ce qu'on a appris au QCM de hier,
29:25 c'est un site où on a parlé de cette question qu'on a déjà posé.
29:29 J'espère que vous avez bien compris les réponses.
29:32 Activé par la phospholipase C.
29:36 Activé par la protéine G trimérique.
29:39 3. Phosphorylée.
29:41 4. Clivé en diacylglycérol et en inositol biphosphate.
29:46 Alors, est-ce que le phosphatidyl inositol qui coïnfe la monocouche interne
29:54 est clivé par la phospholipase?
29:57 Oui, c'est juste.
29:59 Est-ce qu'elle est activée par la protéine G trimérique?
30:01 La protéine G trimérique, elle va stimuler,
30:04 mais pas le phosphatidyl inositol.
30:07 Elle va stimuler la phospholipase.
30:10 C'est ma faute.
30:11 Est-ce qu'il est phosphorylé? Est-ce qu'il est lié au phosphore?
30:14 Oui.
30:15 Est-ce qu'il est clivé en DAG et en IP2?
30:19 Faute.
30:20 Diacylglycérol, c'est le DAG.
30:23 Inositol biphosphate.
30:26 Bip.
30:27 Mais IP2, c'est la faute. Il est clivé en inositol triphosphate, IP3.
30:33 Donc, je ne connais pas le 1 et le 3, c'est ça?
30:37 Donc 1, 3.
30:39 C'est au moins la réponse juste.
30:43 Bon, je vais vous parler de l'autre car voilà.
30:50 Je vous l'ai expliqué hier dans la vidéo sur les QCM de la membrane plasmique.
30:57 Si vous voulez la voir, vous pouvez aller regarder la vidéo sur les QCM de la membrane plasmique.
31:03 Voilà, question numéro 12.
31:05 Le cholestérol de la membrane plasmique,
31:08 il est toujours dans le cours de la membrane plasmique.
31:10 Cochez le groupe de réponse juste.
31:12 Il est constitué par un groupe polaire stéroïde.
31:17 Augmente la stabilité mécanique de la membrane plasmique.
31:20 Diminue la fluidité membrane.
31:24 Augmente la permeabilité membrane.
31:27 Donc,
31:29 je vais vous répondre à cette question.
31:31 Est-ce qu'il est constitué d'un groupe polaire stéroïde?
31:34 Qui dit oui, non.
31:39 Qui dit oui, parce qu'il y en a qui vont penser que oui.
31:44 Pourquoi non?
31:46 Le cholestérol est constitué d'un groupe polaire,
31:49 d'un noyau stéroïde solide,
31:52 et d'une queue hydrophobe d'acide gras.
31:57 Le groupe polaire, ce n'est pas le noyau stéroïde,
32:00 ce sont deux structures différentes.
32:01 Le groupe polaire, c'est le groupe hydroxyl.
32:04 Hydroxyl fait des groupements OH.
32:07 Donc, on va dire que ça augmente la stabilité mécanique.
32:11 Oui, le cholestérol a de la stabilité.
32:13 Oui, le cholestérol est en faible stabilité.
32:16 Est-ce qu'il augmente la permeabilité?
32:20 Non, il diminue la permeabilité.
32:23 Donc, les réponses qui sont bonnes,
32:27 ce sont deux ou trois.
32:29 Si je ne me trompe pas, c'est faux.
32:31 Effectivement, c'est bien deux ou trois.
32:33 Faux.
32:35 Il est constitué d'un groupe polaire.
32:36 Je vais vous montrer le schéma,
32:37 pour que vous ne vous en souviennez pas.
32:39 Tête polaire hydroxyl, noyau stéroïde solide.
32:43 On a la queue apolaire.
32:45 C'est une queue hydrophobe constituée d'acide gras.
32:51 Parce que c'est un lipide.
32:52 Logiquement, à chaque fois que vous entendez "lipide",
32:54 il y a un acide gras.
32:55 Et si vous ne le voyez pas, il y en a un en dessous.
32:57 Voilà.
32:59 Donc, c'était pour la question numéro 12.
33:04 Numéro 13.
33:06 Le cryodégapage.
33:08 C'est un effet courte à la méthode d'étude.
33:10 Alors, l'acné de cryodégapage révèle la présence,
33:12 au niveau de la membrane plasmique,
33:15 à la maladie, c'est un effet courte à la méthode d'étude,
33:17 un effet courte à la membrane,
33:21 des particules globulaires sous forme de relief,
33:23 qui, avec le QCM de Schoenberg,
33:26 1. déterminent la forme et la structure de la membrane plasmique.
33:30 2. permettent l'ancrage des protéines hygiétrimériques.
33:35 3. possèdent une répartition et une densité propre à chaque type de membrane.
33:39 4. présentent une partie intramembrane hydrophobe en forme d'hélice alpha.
33:43 Nous allons maintenant parler de la première.
33:46 Déterminent la forme et la structure de la membrane plasmique.
33:50 On va donc appeler les... Non, c'est faux.
33:56 Ce qui détermine la forme et la structure de la membrane,
33:59 ce ne sont pas les protéines.
34:01 Ce sont les glycéléosme.
34:03 Les phospholipides.
34:05 Je ne vous ai pas parlé de ce que sont les phospholipides.
34:07 Je vous ai parlé de la forme et la structure, mais ce ne sont pas les protéines.
34:10 Permettent l'ancrage des protéines hygiétrimériques.
34:12 Les protéines hygiétrimériques, ce sont des protéines,
34:14 qui sont ancrées,
34:16 des protéines ancrées, donc intrinsèques,
34:18 du côté cytosolique, du côté intracellulaire.
34:24 Est-ce qu'ils permettent...
34:26 Je vais vous parler des protéines ancrées du côté cytosolique.
34:31 Ils sont ancrés, ils sont traptés par la membrane plasmique,
34:34 avec des acides gras, mais pas avec d'autres protéines.
34:38 Ok, donc on a des ralentis.
34:40 Possède une répartition et d'ensité propre à chaque type de membrane.
34:43 Oui, c'est vrai.
34:45 Présente une partie intramembranaire hydrophobe en forme d'hélice alpha.
34:50 C'est vrai.
34:51 Je crois que c'est vrai.
34:53 Effectivement.
34:55 Donc, voici le schéma qui est écrit au décalpage.
34:59 Une hémimembrane a des dépressions,
35:01 elles sont creuses,
35:02 et une autre hémimembrane a des reliefs,
35:05 qui sont les molécules globules actuellement,
35:07 qui sont les excroissances,
35:09 qui sont les protéines membranaires.
35:12 Ok ?
35:14 Question numéro 14, l'avant-dernière.
35:16 Donnez la réponse juste qui définit un virus.
35:20 Alors, est-ce que le virus est une...
35:24 Alors, je vais vous parler des propositions.
35:26 C'est une cellule.
35:28 Il n'est pas spécifique de l'espèce hôte.
35:31 Il peut être mis en évidence en MO, microscopie optique.
35:36 Il n'est jamais oncogène.
35:38 C'est un agent pathogène.
35:40 Alors, la question c'est à là.
35:43 Une seule réponse juste, que c'est assez.
35:45 On en repassera en 2022.
35:47 Le virus, est-ce que c'est une cellule ?
35:49 C'est pas une cellule.
35:51 C'est un acariote.
35:53 Il est acellulaire.
35:55 Ok.
35:57 Il n'est pas spécifique de l'espèce hôte.
36:00 C'est une réponse qui est fausse.
36:06 Il est spécifique à l'espèce hôte, justement.
36:10 Parce que chaque cellule, il dirait un virus spécifique à elle.
36:17 Par exemple, le VIH est d'accouchement terminal.
36:20 VIH, il infecte quoi ?
36:22 Il infecte quoi ?
36:24 LT4.
36:25 Ce n'est pas un virus spécifique.
36:27 C'est un LT4.
36:29 Donc, il peut être mis en évidence en microscopie optique.
36:31 Et d'ailleurs, la réponse...
36:33 Fausse.
36:35 Voilà.
36:36 Pour l'en abler, le virus est très très très très très très très très petit.
36:40 C'est un peu bizarre.
36:41 Mais je ne parle pas en microscopie optique.
36:43 Je parle en microscopie électronique.
36:45 Il n'est jamais oncogène.
36:47 Fausse.
36:48 Oncogène, c'est quand il donne des cancers.
36:50 Il donne des tumeurs, il donne des cancers.
36:52 Il est cancérigène.
36:53 Ici, les virus peuvent être oncogénés.
36:56 Ils donnent des tumeurs.
36:57 C'est un agent pathogène.
36:58 C'est vrai.
36:59 Les virus, ils dévoquent les pathologies.
37:01 Ils ont...
37:02 Comment dire ?
37:03 Ils ont...
37:05 Attends.
37:09 Ils ont des maladies.
37:11 Alors, les virus sont des structures cellulaires.
37:16 Infectieux.
37:17 Ils sont pathogènes.
37:18 Ils sont capables de donner des cancers.
37:21 De toute façon, ils ont des capacités oncogéniques.
37:24 Ils sont formés par microscopie électronique.
37:27 Et du coup, pour se reproduire, ils sont obligés d'infecter une cellule hôte spécifique.
37:32 Comme l'exemple de VIH.
37:35 Donc, on va en faire une question numéro 15.
37:39 Alors, question à la bactérie Gram+.
37:45 Alors, la parole de la bactérie Gram+ est caractérisée par...
37:50 On va lire les propositions.
37:52 Une épaisseur de 20 à 80 nanomètres.
37:55 Muréine fine et lâche.
37:58 Espèce périplasmique réduite.
38:01 Couche épaisse de peptido glycane.
38:04 Prend la coloration rose.
38:07 On va lire, au moins, chaque proposition.
38:12 Comme d'habitude.
38:14 Alors, pour l'épaisseur, est-ce qu'elle est de 20 à 80 nanomètres ?
38:19 Oui, elle est de 20 à 80 nanomètres.
38:21 Les chiffres, tu les as gardés.
38:23 Tu n'as pas gardé les chiffres.
38:25 Rentre dans le cours, garde les chiffres.
38:27 Pour que tu puisses voir les chiffres tout de suite, tu dois les garder.
38:30 Moi, au début, je n'avais pas gardé...
38:33 ...ce chiffre de l'épaisseur de la paroi.
38:36 J'ai regardé tellement dans les QCM, que j'ai regardé 3 ou 4 fois dans les QCM ces deux mois.
38:40 Donc, je l'ai gardé à force.
38:42 Donc, c'est vrai, c'est bien.
38:44 Muréine fine et lâche.
38:46 La muréine, c'est du coup la paroi.
38:49 Paroi, la muréine, tu as aimé.
38:51 On a dit, quand on va regarder le grand plus.
38:54 Le grand plus, c'est un positif.
38:56 La paroi qui fèche, qui fèche, qui fèche, elle est épaisse.
38:59 Épaisse, chez nous, rigide.
39:01 Donc, elle n'est pas fine.
39:03 Espaces périplasmiques réduits.
39:05 Étant donné que la paroi est déjà rigide.
39:09 Est-ce que tu as une membrane externe qui te donne l'espace périplasmique ?
39:12 Tu n'en as pas.
39:13 C'est un grand moins.
39:15 Espaces périplasmiques réduits.
39:17 On n'a pas un grand espace périplasmique.
39:20 Parce que la membrane, parce que la paroi interne, elle est déjà épaisse.
39:24 Ma grand plus.
39:25 Couche épaisse de peptidoglycane.
39:27 Les peptidoglycane, normalement, ils vont composer avec la muréine.
39:30 Ils vont les composer avec les lipides théicoïques et lipothéicoïques.
39:35 Il est très important, il est très important,
39:37 de faire une recouche.
39:39 Tu as le premier cours, tu as le second.
39:41 Tu as le premier cours, tu as le second.
39:43 Donc, disons que le peptidoglycane,
39:45 il compose la muréine et la paroi.
39:49 Oui, tu as une couche épaisse parce que ta grand plus,
39:52 tu as une paroi ou une muréine qui est épaisse.
39:56 Prends la coloration rose.
39:57 Non.
39:58 Disons que plus, c'est violet.
40:00 Moins, c'est rose.
40:02 C'est majeurement les propositions des Saha.
40:04 Tu as le 1.
40:06 1, Saha.
40:07 Tu as 3 espaces périplasmiques réduits.
40:10 Tu as 4.
40:12 1, 3, 4.
40:13 1, 3, 4.
40:14 Tu as 1, 3, 4.
40:15 Oui.
40:18 La paroi de la bactérie grand plus est caractérisée par
40:21 une couche épaisse du peptidoglycane,
40:23 ce qui va donner une paroi ou une muréine qui est épaisse.
40:25 Et ce colorant violet.
40:27 Tu as un petit, un tout petit espace périplasmique.
40:31 Il est réduit.
40:32 Mais il n'est pas large comme un gramme négatif.
40:36 OK.
40:37 C'est la question numéro 15.
40:39 Je vais vous donner un bonus.
40:41 Vu que vous êtes fidèles à Aaliyah,
40:42 je vais vous donner un bonus.
40:43 Je vais vous poser quelques questions.
40:45 Je vais vous donner 20.
40:46 Oui, je vais vous donner 20.
40:48 Je vais vous en donner quelques-uns.
40:49 Parce que c'est pas faire Aaliyah,
40:52 il y a 300 QCM.
40:53 Il y a 300 QCM, je vais vous donner 10.
40:55 Donc, question numéro 16.
41:00 Enfin, je vais vous donner 15,
41:01 je vais vous donner 10 plutôt.
41:02 Question numéro 16.
41:03 Les phospholipides de la membre plasmique
41:05 présentent les caractères structurels suivants.
41:08 OK.
41:09 Grâce à la propriété d'autofermeture,
41:11 les phospholipides interviennent dans l'endocytose et l'exocytose.
41:14 Les phospholipides à acides gras insaturés
41:16 diminuent la fluidité.
41:17 Les phospholipides saturés
41:19 augmentent la fluidité.
41:20 Les phospholipides stables
41:22 ne présentent pas de double liaison
41:24 donnant une membrane visqueuse.
41:26 Alors, regardez,
41:27 j'ai donné le bas de la carte de QCM
41:28 de la membrane plasmique.
41:29 Je vais vous donner 20.
41:30 J'espère que vous avez compris.
41:32 Alors,
41:34 nous avons les phospholipides.
41:36 Grâce à la propriété d'autofermeture,
41:38 les phospholipides interviennent dans l'endocytose,
41:41 l'exocytose et l'acide diéresse.
41:43 C'est vrai.
41:44 C'est une vérité.
41:45 Les phospholipides à acides gras insaturés
41:48 diminuent la fluidité.
41:50 Ecoutez, je vais vous parler de deux types de questions.
41:52 Je ne vais pas vous en parler.
41:53 Je ne vais pas vous donner des points bêtes.
41:55 J'ai des phospholipides.
41:56 Ils sont insaturés.
41:57 Pourquoi sont-ils insaturés ?
41:58 Parce qu'ils n'ont pas d'espace.
41:59 Parce que l'espace ne s'insature pas.
42:01 Pourquoi sont-ils insaturés ?
42:03 Parce que,
42:04 les queues d'eau ont des curvations.
42:06 Elles se déplacent.
42:08 Et du coup, elles prennent de l'espace.
42:10 Elles prennent de l'espace,
42:12 mais elles ne font pas que notre phospholipide se déplace.
42:15 Alors, vous avez de l'espace.
42:16 Le phospholipide est insaturé.
42:19 Pourquoi avez-vous de l'espace dans la membrane ?
42:21 Pourquoi ?
42:22 Pourquoi avez-vous de l'espace ?
42:23 Pour plus de fluidité.
42:25 Parce que vous avez justement l'espace
42:28 pour que les phospholipides d'eau se déplacent et bougent.
42:30 Du coup, la membrane devient fluide.
42:33 A l'inverse,
42:34 quand le phospholipide est saturé,
42:36 quand l'un des acides est saturé,
42:38 quand il se déplace,
42:40 vous n'avez pas d'espace.
42:42 Vous n'avez pas d'espace,
42:43 donc vous êtes pas l'espèce, vous n'êtes pas stable.
42:45 Vous ne pouvez pas bouger.
42:47 Vous ne pouvez pas bouger.
42:48 Alors, la fluidité va diminuer.
42:50 Qu'est-ce que je vous dis ici ?
42:51 Un saturé diminue la fluidité ?
42:52 Pas vrai.
42:53 Saturé augmente la fluidité ?
42:55 Pas vrai.
42:56 Qu'est-ce que vous dites ici ?
42:57 Les phospholipides stables
43:02 ne présentent pas de double liaison.
43:04 Les phospholipides stables
43:05 sont les phospholipides qui sont saturés.
43:07 Quand je déplace,
43:08 quand je déplace les liaisons,
43:10 du coup, je suis stable, je ne fais pas de double liaison.
43:12 Ils ne présentent pas de double liaison.
43:14 Ils donnent une membrane visqueuse.
43:16 Donc, la 4 est correcte.
43:18 La 4 est correcte,
43:19 mais c'est un 4.
43:21 Voilà.
43:22 Bon, allez voir
43:26 l'explication.
43:28 Je vais vous raconter la loi,
43:29 donc ce n'est pas la peine de me déranger.
43:32 Donc, on a la question numéro 17.
43:35 Tous les lipides membraneurs
43:37 partagent les caractéristiques suivantes sauf une.
43:39 Laquelle ?
43:40 Alors,
43:42 nous avons les propositions.
43:44 Autofermeture,
43:45 amphiphile,
43:47 bipolarité,
43:48 autoassemblage,
43:50 réponse A et D.
43:52 Les lipides membraneurs,
43:55 est-ce que gagner les lipides membraneurs
43:59 grâce à l'autofermeture ?
44:01 On a vu que les phospholipides,
44:03 ce n'est pas le cas.
44:06 Est-ce que les amphiphiles,
44:08 les amphiphiles, ils ont une partie hydrophile,
44:12 une autre hydrophobe.
44:14 Oui, ils sont amphiphiles.
44:15 Est-ce qu'ils sont bipolaires ?
44:17 C'est-à-dire, est-ce qu'ils ont une tête polaire ?
44:20 Ils ont deux pôles,
44:21 une tête polaire et une queue apolaire.
44:24 Oui, on a les lipides.
44:27 Est-ce qu'ils peuvent avoir un autoassemblage ?
44:29 Non, on ne peut pas avoir ça avec les phospholipides.
44:31 Ce sont les deux réponses,
44:32 c'est-à-dire A et D.
44:33 Voilà.
44:38 Question numéro 18.
44:41 Quel est la question sur les membranes plasmiques ?
44:45 Répondez-moi un peu.
44:46 Les lipides membraneurs
44:48 présentent les caractéristiques suivantes sauf une.
44:51 Je ne sais pas la question, je l'ai fait tout le temps.
44:54 Les phospholipides sont de deux types.
44:57 Glycérophospholipides et sphingophospholipides.
44:59 Le cholestérol favorise la rigidité.
45:01 Les glycérophospholipides ont une structure commune
45:04 faite de phosphate, glycérol et acide gras insaturé.
45:07 Les glycolipides sont toujours du côté extracellulaire.
45:10 Les lipides favorisent la similitude membraneur.
45:13 Alors, qu'allez-vous dire ?
45:17 Les lipides membraneurs présentent quelques différences
45:19 sauf une.
45:20 Qu'allez-vous dire ? Je ne sais pas la réponse fausse.
45:21 Q.C.S.
45:24 Est-ce que les phospholipides sont glycérophospholipides
45:28 ou sphingophospholipides ?
45:30 Oui, c'est vrai.
45:31 Q.C.S.
45:33 Oui, c'est juste.
45:35 Est-ce que les glycérophospholipides ont une structure
45:39 faite de phosphate, glycérol et acide gras insaturé ?
45:47 C'est pas possible.
45:49 Les glycérophospholipides sont toujours du côté extracellulaire.
45:57 Le glycocalyx, l'effet du glycolipide qui coupe protéines,
46:02 c'est toujours du côté extracellulaire.
46:05 Les lipides favorisent la similitude membraneur.
46:08 La similitude biochimique.
46:10 Parce qu'il y a différents types de molécules,
46:16 il y a la membrane.
46:18 Pour eux, c'est la similitude biochimique.
46:20 Là, c'est gras peut-être insaturé.
46:22 Q.19
46:24 Q.1, le premier cours.
46:28 Parmi ces virus, lesquels sont des virus à Airen ?
46:33 C'est une question de réserve.
46:35 Il faut préserver les virus qui forment l'Airen
46:41 et les virus qui forment l'ADN.
46:43 Au minimum, il faut préserver 3 ou 4 exemples pour chaque catégorie.
46:48 Il y a un tableau sur le cours d'organisation.
46:52 Le premier cours est là-dessus.
46:54 Il y a un tableau qui présente les virus à Airen et les virus à ADN.
46:57 Il y a des exemples. Il faut les préserver.
46:59 Je vais vous parler des virus à Airen.
47:03 Hépatite, vaccine, papillomes, grippe, VIH.
47:09 Je vais vous présenter un exemple.
47:13 Les virus à Airen, VIH Airen,
47:16 parce que nous l'avons vu en terminaison,
47:18 nous avons commencé à les utiliser envers vous,
47:20 ce n'est pas l'Airen, c'est un exemple.
47:22 Par exemple, le coronavirus, le corona de la Gézalena,
47:26 et la grippe, ce sont des virus à Airen.
47:29 Ils ne forment pas l'Airen.
47:31 L'hépatite, vous avez le A, le B et le C.
47:37 Nous avons créé le virus de l'hépatite.
47:39 Nous avons une capacité de pillage.
47:41 Ce n'est pas seulement un pillage, c'est un flou, un ambigu.
47:44 Parce que vous avez deux types d'hépatite à Airen.
47:49 Et vous avez une autre qui ne fonctionne pas mal.
47:54 Normalement, c'est l'hépatite B qui est à l'ADN.
48:00 Je vais vérifier.
48:02 L'hépatite B est à l'ADN.
48:04 Et l'hépatite A et C sont à l'Airen.
48:07 La vaccine est à l'Airen.
48:11 Je vais vérifier.
48:15 Je vais chercher sur internet.
48:17 Je vais y aller.
48:19 La vaccine est un virus qui est à l'ADN.
48:23 Donc, je vais le faire.
48:25 Le papillon, il est à l'ADN.
48:28 Nous avons un moyen mémotique pour le faire.
48:31 Le papillon, il a deux ailes.
48:35 Il a deux ailes, donc il a deux brins.
48:38 Deux brins sont à l'ADN.
48:40 C'est la méthode que je vais utiliser.
48:43 Je vais chercher sur internet.
48:45 Le papillon, il a deux ailes, deux brins, donc il a deux ailes.
48:48 C'est un moyen mémotique que je vais utiliser.
48:50 Je vais chercher sur le VIH.
48:52 La grippe, ou la corona.
48:54 Ou l'hépatite A ou C qui est à l'Airen.
48:57 Nous avons deux types d'hépatite A ou C.
49:01 Nous allons dire que l'hépatite A est un virus à l'AIREN.
49:04 Je vais en choisir un.
49:06 1, 4, 5.
49:08 1, 4, 5.
49:10 C'est bon.
49:12 Le virus du papillon est un virus à l'ADN.
49:15 La vaccine est à l'ADN.
49:18 Si vous ne vous en souvenez pas, vous pouvez aller voir le cours de l'assisté.
49:30 Je vous ai dit que l'AIREN a la grippe, le VIH, le coronavirus et l'hépatite A ou C.
49:37 Je vous ai dit que l'AIREN a la grippe, l'hépatite A ou C et le VIH.
49:44 L'ADN, c'est comme l'assisté, c'est un papillon.
49:48 Papillon, c'est un virus à l'ADN.
49:50 Ou la vaccine, je ferai bien la vaccine, c'est un virus à l'ADN.
49:53 La dernière question, la question numéro 20.
49:57 Donnez la réponse juste qui définit une bactérie.
50:02 Est-ce que... donc, ta vraie proposition.
50:05 Elle est dépourvue de vrais noyaux.
50:07 Sa taille est supérieure à 10 nanomètres.
50:09 Il existe une seule forme de bactérie.
50:12 Elle n'a aucun pouvoir pathogène.
50:14 Les piles sont des structures constantes.
50:18 Alors, la seule réponse juste, il y a l'eau là, il y a peine.
50:25 Elle est dépourvue de vrais noyaux.
50:27 On peut donc dire que les bactéries sont des cellules prokaryotes qui n'ont pas de vrais noyaux.
50:31 Si on a une taille supérieure à 10 nanomètres, même 0,3, on peut dire un micromètre.
50:40 Je fais voilà les chiffres, mais il faut que je vous le dise.
50:43 Il existe plusieurs formes de bactéries.
50:45 Il y a les spérides qui ont les coques, il y a les bacilliades, les formes de bâtonnets.
50:49 Ou des formes de spirale blédélisse qui ont les spirochettes.
50:55 Elles n'ont aucun pouvoir pathogène, c'est-à-dire qu'elles ne sont pas pathologiques, elles ne sont pas malades.
50:59 Ce qui paraît logique.
51:00 Ou les piles sont des structures facultatives, mais elles sont constantes.
51:03 Les bactéries n'ont pas de piles.
51:07 On a terminé, on a 20 questions dans la série.
51:10 On a 20 questions dans la série.
51:13 Voulez-vous quitter cette série ? Oui.
51:16 Merci d'avoir suivi cette vidéo, cet enregistrement.
51:24 On se retrouve une prochaine fois pour un autre cours de discussion de l'identité.
51:30 Portez-vous bien, restez en sécurité, revisez vos liens.
51:34 Au revoir.