Un mois dans les médias - 01/02/2024 - Partie 1

  • il y a 7 mois

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00:00 (Générique)
00:19 Bonjour, bienvenue dans ce nouveau numéro d'Un mois dans les médias.
00:22 Chaque mois, on jette un coup d'œil dans le rétroviseur de l'actualité.
00:25 On vous explique aussi, avec mes invités, comment se fabrique l'information
00:29 qui vous est livrée chaque jour.
00:31 Avec moi en plateau Delphine Noyon, rédactrice en chef adjointe de La Nouvelle République.
00:34 Bonjour Delphine, bienvenue à toi.
00:36 Bonjour.
00:36 Mathieu Djuard, rédacteur en chef d'Infotour et 37°.
00:39 Bonjour Mathieu, bienvenue à toi également.
00:42 Ravi de vous accueillir à nouveau pour ce numéro d'Un mois dans les médias.
00:47 Nous recevrons en deuxième partie d'émission Fabienne Colboc,
00:50 députée Renaissance de la 4e circonscription d'Indre-et-Loire,
00:53 entre Joué-Létour, Chinon, Sainte-Mort de Touraine et Richelieu.
00:57 Fabienne Colboc, une proche du Premier ministre Gabriel Attal,
01:00 elle incarne une tendance plutôt à gauche dans la majorité.
01:03 Elle est par ailleurs vice-présidente de la Commission des affaires culturelles
01:05 et de l'éducation de l'Assemblée nationale.
01:08 On l'entendra en ce jour de manifestation des enseignants.
01:10 Mais tout de suite, vous en avez l'habitude,
01:12 c'est l'info dans le rétro avec un premier récap des événements marquants du mois passé.
01:16 Échauffement en douceur avant de faire les acrobates,
01:24 pour ces résidents des Ehpad de Saint-Blancet et de la Mambreole.
01:28 Et c'est parti pour la danse voltige.
01:30 Le Malinois de 11 ans vient de prendre sa retraite.
01:37 La fin d'une belle carrière puisque Iago a participé à près d'une centaine d'interventions.
01:42 Son rôle ? Localiser des personnes égarées, des victimes soudées des combres ou tombées dans l'eau.
01:47 Les bénéficiaires de plusieurs associations se voient distribuer des tickets.
01:52 En échange, ils pourront goûter la spécialité de leur choix et profiter des attractions du marché de Noël.
01:57 L'ambiance était bien, tout le monde a répondu présent.
02:02 Après, niveau athlétique et physiquement, Strasbourg était meilleur et au-dessus d'Avoine.
02:07 Branle-bas de combat au gymnase des Fontaines.
02:10 Ce matin, des agents de la ville de Tours, des bénévoles et des membres d'associations
02:14 ont préparé les lieux pour accueillir une trentaine de sans-abris envoyés par le 115.
02:18 À la galère !
02:20 Matineau et pile à l'heure, les salariés de Récifarmes se sont élancés en cortège
02:25 depuis l'usine à 9h en direction de la mairie.
02:28 À leur côté, une dizaine d'élus sont présents.
02:30 Pendant de nombreuses heures, les près de 600 élèves du lycée Notre-Dame-des-Aîtes de Blois
02:34 ont bu les paroles de Ginette Collin-Ka.
02:37 De son séjour à Drancy, puis à Birkenau et Bergen-Belsen,
02:41 elle n'élude aucun détail de la barbarie des nazis,
02:43 la violence physique comme la violence morale dès l'arrivée dans le camp de concentration.
02:48 C'est dans ce champ que pourraient être érigées 4 éoliennes.
02:52 Aujourd'hui, on y gonfle des ballons.
02:54 15 km plus loin, le préfet qui a diligenté cette simulation
02:58 se rend sur le promontoire du château royal.
03:01 - Il y a des inquiétudes, mais moi je ne vois pas les ballons.
03:06 Opération tractage et défilé dans les rues de Lund ce lundi après-midi.
03:10 Une trentaine de soignants manifestés et pointés du doigt le manque d'effectifs,
03:14 mobilisés depuis maintenant 3 mois, et demandent des solutions à court terme.
03:18 - Autre mouvement de grogne depuis la semaine dernière.
03:22 Les agriculteurs multiplient les actions en France et en Val-de-Loire.
03:25 Barrage filtrant, opération escargot, blocage de péage,
03:30 blocage de supermarché, du fumier déversé devant la grille de la préfecture de Tours.
03:33 Après les annonces du Premier ministre Gabriel Attal la semaine dernière,
03:37 il en a fait d'autres aujourd'hui.
03:38 La tension ne baisse pas.
03:39 Le Premier ministre était présent en Touraine dimanche 28 février pour les rencontrer.
03:43 On évoquera évidemment cette question.
03:46 Première question, premier sujet d'interrogation pour moi.
03:49 Les amis, pourquoi aujourd'hui cette grogne des agriculteurs, Delphine ?
03:53 - Aujourd'hui c'est que la crise couvre déjà depuis longtemps.
03:55 Je ne sais pas si vous vous souvenez, il y a quelques semaines,
03:57 les panneaux d'entrée de ville qui étaient retournés,
03:59 c'était déjà une expression de la colère des agriculteurs.
04:02 C'était plus calme, c'était plus passif.
04:04 Là on est rentré dans une phase active.
04:06 Et c'est vrai que c'est plutôt dans le sud-ouest de la France que ça a démarré.
04:09 Et puis voilà, la contagion a gagné le reste des départements.
04:12 - Oui, Mathieu ?
04:13 - Le reste des départements, le reste de l'Europe,
04:15 il y a aussi les négociations autour de la PAC qui sont au cœur de l'actualité.
04:18 C'est aussi pour ça que les agriculteurs se mobilisent.
04:20 Après en effet, la grogne, la colère des agriculteurs, elle n'est pas récente.
04:24 Quelques semaines, quelques mois, quelques années,
04:25 on les a déjà vues manifester dans Tours il y a deux ans,
04:28 déverser du fumier devant la préfecture.
04:31 Le malaise en tout cas agricole n'est pas nouveau.
04:33 - Mais c'est aujourd'hui qu'il s'exprime de manière la plus aiguë.
04:38 C'est une mobilisation qui se passe chez nous, du moins sans aucun débordement.
04:42 Je parlais juste un peu de fumier sur les grilles de la préfecture,
04:45 mais ce n'est pas bien méchant parce que c'est un syndicalisme,
04:49 enfin c'est une manifestation qui est vraiment encadrée par le syndicat majoritaire, la FNSEA.
04:53 - Oui, oui, c'est beaucoup la FNSEA, les jeunes agriculteurs,
04:56 un peu de coordination rurale.
04:58 Ils sont ensemble quand même depuis le départ,
05:01 surtout FNSEA, les jeunes agriculteurs, qui ont vraiment les mêmes approches.
05:07 On n'a pas trop de fortes tensions en effet en Touraine.
05:10 Je voyais dans les colonnes de la NR, Sébastien Proutot, vice-président de la FNSEA,
05:15 qui disait que l'Indre-et-Loire n'est culturellement pas un département
05:18 qui se mobilise comme le Sud.
05:19 Donc voilà, là il est plutôt en phase avec la réalité,
05:23 peut-être plus que la présidente de la FDSEA qui recevait Gabriel Attal dimanche
05:29 et qui lui disait que s'il n'était pas venu, le département aurait été à feu et à sang.
05:33 C'est peut-être un peu exagéré, mais il fallait mettre la pression.
05:36 - On l'écoutera tout à l'heure.
05:37 Mathieu, on parle à la FNSEA, on parle aussi coordination rurale.
05:40 La Confédération paysanne, elle est absente ou presque ?
05:43 - Elle est quasiment absente.
05:44 Ce n'est pas la même orientation politique, on va dire.
05:47 Il faut rappeler aussi que les syndicats agricoles ou non, d'ailleurs,
05:50 ont des orientations politiques qui y sont avec aussi.
05:53 Et là, on est sur une lutte d'influence un peu entre les syndicats.
05:56 Donc chacun essaie d'exister.
05:57 La Confédération paysanne est un peu en retrait parce que ce n'est pas son mouvement, elle.
06:00 Malgré tout, elle a manifesté à Tours ce jeudi.
06:04 Donc c'est aussi ça qui joue.
06:06 - Gabriel Attal avait fait des annonces la semaine dernière.
06:09 Il en a fait d'autres aujourd'hui, on ne va pas pouvoir les détailler.
06:11 Mais ce qui ressort, malgré tout, des annonces d'aujourd'hui,
06:14 c'est que les agriculteurs vont observer, mais ils se disent plutôt mécontents.
06:18 La semaine dernière, il l'était aussi.
06:19 Ça n'a aucune conséquence, en fait, sa parole politique.
06:22 - Ça ne prend pas trop.
06:23 J'entendais encore des réactions, en effet, aujourd'hui avec des agriculteurs.
06:26 Ils disaient "mais bon, tout ça, c'est des grandes idées,
06:28 mais concrètement, qu'est-ce que vous allez faire ?"
06:30 Donc ils n'arrivent pas à saisir exactement ce que Gabriel Attal veut leur donner.
06:34 - Il faut dire que la FNSEA, ils ont quand même listé 120 revendications à peu près.
06:39 Donc ça va être quand même difficile de répondre à toutes.
06:43 La principale, c'était le gazole non routier.
06:46 Donc ça, l'augmentation des taxes progressives a été stoppée pour les agriculteurs.
06:50 Mais ça ne va pas suffire, évidemment.
06:52 Il va falloir d'autres choses et peut-être trouver un autre moyen de les exprimer,
06:56 parce que visiblement, ce n'est pas compris par la base.
06:59 - Alors Gabriel Attal parle, il y en a un qui parle moins, c'est Marc Fenault.
07:02 Pourtant, j'allais dire le local de l'Étape, ex-député du Loire-et-Cher.
07:06 Un ministre de l'Agriculture n'est pas entendable dans une crise agricole ?
07:09 - Il devrait être entendable.
07:10 Après, Gabriel Attal, c'est un nouveau Premier ministre,
07:12 donc il prend aussi toute sa place médiatique afin de se mettre en avant,
07:17 de protéger quelque part son gouvernement aussi, qui est tout récent.
07:20 Donc c'est une forme, je pense, de protection et de bouclier envers ces ministres.
07:25 - Oui, c'est aussi une façon d'exprimer, c'est aussi de la communication,
07:30 une façon d'exprimer l'intérêt pour les agriculteurs.
07:32 Vous voyez, on vous envoie le Premier ministre.
07:35 - Alors justement, on a envoyé le Premier ministre.
07:38 Il est venu dimanche dernier sur les terres de la députée Fabienne Colboc,
07:43 qu'on recevra tout à l'heure.
07:45 Alors au début, sans vouloir rencontrer la FDSEA,
07:49 puis il y a eu, vous allez peut-être nous raconter ces coulisses-là.
07:53 En tous les cas, je vous propose d'écouter juste un petit échange
07:55 qu'il y a eu entre la présidente de la FDSEA, Dindré Loir, et Gabriel Attal.
08:01 - Vous vous avoir ce matin, ça a été très, très compliqué.
08:04 Le préfet a fait un travail remarquable d'échange.
08:08 Et on a tous fait un travail remarquable pour vous recevoir.
08:12 Mais sachez que si vous n'étiez pas venu,
08:16 je pense que le département était à feu et à sang dans la matinée.
08:19 Vous auriez été très bien accueilli.
08:21 - Bon, ben c'est bien que je sois là.
08:22 - Donc, je ne suis pas sûre que ça ne me fasse rien, monsieur Attal.
08:26 - J'entends ce que vous dites.
08:28 - On a une pression avec nos agriculteurs et moi, je suis agricultrice.
08:34 Ça fait 25 ans que je suis agricultrice.
08:36 Je n'ai jamais rencontré les problèmes que j'ai aujourd'hui.
08:39 - Vous avez parlé tout à l'heure de l'exagération de ses propos.
08:43 Peut-être, moi, ce qui m'intéresse, c'est plutôt un peu les coulisses.
08:45 C'est-à-dire que Gabriel Attal, au début,
08:47 il ne souhaitait pas rencontrer les responsables syndicaux.
08:49 L'idée, c'était une visite un peu discrète dans un coin
08:52 où il semblait être assez tranquille, en fait, non ?
08:55 - Oui, ça rejoint un peu ce qu'on disait sur la Touraine.
08:57 Les tensions ne sont pas trop fortes.
08:59 C'était sans doute plus simple de venir ici que d'aller en Lotte-et-Garonne ou ailleurs.
09:04 Mais c'est vrai que l'idée aussi, quand il y a des visites comme ça sur une actu chaude,
09:11 la crainte de l'entourage du Premier ministre,
09:12 c'est toujours qu'il y ait une manifestation qui s'organise.
09:16 Vous vous souvenez des casserolades il y a quelques temps.
09:18 Enfin voilà.
09:19 Donc, tout se fait comme ça au dernier moment
09:21 et essayer d'éviter au maximum les confrontations.
09:23 - Oui, d'ailleurs, le programme a été changé au dernier moment.
09:25 On ne savait pas jusqu'à la dernière minute où il allait précisément, Gabriel Attal.
09:29 On l'a annoncé à Chansons sur Choisy, finalement, par Cébélé.
09:31 Enfin, ça a été un petit peu le bras de bât de combat.
09:34 - Allez, mais on va enchaîner avec la séquence des plus,
09:37 notamment les podiums de vos rédactions respectives.
09:41 Delphine, on commence par vous.
09:43 Ce qui a été le plus remarqué par vos lecteurs,
09:45 c'est un article sur un homme qui espère tirer 20 000 euros de sa pièce de 2 euros.
09:49 - Oui, alors ça, on adore.
09:51 On adore tous croire qu'on va trouver un trésor au fond de son armoire
09:53 ou sous les lattes du parquet de sa maison.
09:55 Donc, évidemment, le titre, l'article, tout ça, ça donne envie de le lire.
10:00 Ce qui est intéressant, quand même, c'est qu'on y apprend comment se renseigner
10:03 pour savoir justement si on va devenir immensément riche ou pas,
10:07 qu'il ne faut pas nettoyer les pièces, par exemple, parce qu'on les abîme,
10:10 que ce n'est pas parce que c'est ancien que ça vaut de l'argent, etc.
10:12 Voilà, ça ne m'étonne pas, finalement, que ce soit l'article le plus lu en Indre-et-Loire.
10:16 - Et puis, en Loire-et-Cher, c'est plutôt le choix de la personnalité de l'année pour 2023.
10:22 C'est un concours que vous lancez.
10:23 - Oui, exactement.
10:24 Alors, c'est marrant que ce soit justement l'article le plus consulté sur Internet.
10:30 Ça s'arrêta hier soir.
10:32 Donc, je peux vous dire que la gagnante, c'est Loéline Grimaud,
10:35 une jeune femme porteuse de Trisomie 21 et qui veut cuisiner,
10:40 qui veut avoir une vie en milieu ordinaire et qui vraiment change le regard sur le handicap.
10:46 - Elle est rayonnante.
10:46 On lui a consacré un reportage, d'ailleurs, il n'y a pas longtemps.
10:49 Mathieu, 37 degrés, un nouveau festival de musique électro vous ravit et ravit vos lecteurs.
10:56 - Oui, nous, ravit, parce que nous, on aime bien qu'il y ait des nouveaux événements culturels sur le territoire.
10:59 Et en effet, c'est Mouréa Festival.
11:00 C'est un festival qui aura lieu au mois de juin sur la commune de la Chapelle Blanche-Saint-Martin,
11:04 au château de Grimaud.
11:06 C'est porté par des jeunes de 20 ans.
11:07 Ils ont une vraie ambition puisqu'ils font venir des artistes pour une première édition,
11:10 comme Kavinsky, Marnix, Lumix, Morgan Nagoya, Son of Legends.
11:14 Donc, des grosses affiches de l'électro.
11:17 Nous, on a envie de dire bravo.
11:19 Et les lecteurs ont beaucoup apprécié cet article par curiosité.
11:24 - Et dans Infotour, c'est un autre type de musique qui n'aura pas lieu, d'ailleurs.
11:28 Un concert annulé d'Enrico Macias.
11:29 - Exactement, c'est l'article sur l'appel d'un collectif à faire annuler le concert d'Enrico Macias
11:33 qui devait se produire à l'espace Malraux.
11:36 Cet article a été vu plus de 59 000 fois, donc il a intéressé.
11:39 Et la polémique ayant pris, derrière, Malraux a décommandé la venue d'Enrico Macias.
11:43 Même si officiellement, il n'y a pas de raison,
11:45 on peut penser qu'il y a un lien de cause et d'effet.
11:47 - Oui, d'autant qu'il y a eu d'autres concerts annulés dans d'autres villes.
11:50 - Et puis, vous aviez un coup de gueule, Mathieu.
11:52 Un coup de gueule lié à la com, en fait.
11:55 La privatisation de la com et donc les médias un peu squeezés par les collectivités.
11:58 - Un coup de gueule un peu taquin, en effet, sur la communication des institutions
12:01 et à travers le prisme de la ville de Tours, en exemple.
12:06 Aujourd'hui, les canaux de diffusion sont multiples, les réseaux sociaux, etc.
12:10 Et les villes, les collectivités, les intercommunalités ont tendance, en effet,
12:14 à faire de la communication un petit peu en leur nom propre,
12:16 une sorte de marketing territorial, de branding propre,
12:19 en squeezant un petit peu de temps en temps les médias.
12:21 On l'a vu à travers la ville de Tours, il y a eu des images,
12:24 des projets annoncés sur les réseaux sociaux,
12:25 sans conférences de presse, sans choses comme ça.
12:27 Bon, c'est leur droit, tout à fait.
12:29 Mais en effet, on se demande si les tendances actuelles,
12:31 et c'est une tendance un peu générale qui se décuple un peu en France,
12:35 font que les collectivités se passent un peu plus des médias traditionnels
12:40 pour aller vers les médias sociaux.
12:41 – Quelque chose d'un peu inquiétant, Delphine,
12:43 quelque chose que vous relevez aussi ?
12:44 – Oui, oui, on le relève aussi et sur d'autres communes
12:47 ou d'autres collectivités parfois, ou des institutions aussi.
12:51 Enfin voilà, on sent bien quand même qu'il y a une envie comme ça
12:54 de communiquer en direct, cela dit, pourquoi pas ?
12:56 Sauf qu'il faut quand même faire attention,
12:58 les médias c'est aussi une expression de la démocratie
13:01 et il faut aussi les prendre en compte.
13:04 – Et puis, pas un coup de gueule, mais un coup de cœur de votre côté.
13:07 On parle des JO à 6 mois des JO.
13:09 – Oui, parce que je trouve que les gens sont plutôt malins en fait,
13:11 et on a eu l'occasion de le constater dans la NRS,
13:14 en Indre-et-Loire et en Loire-et-Cher.
13:17 Les JO, vous avez tous entendu que les logements sur Paris et La Coronne
13:21 ont augmenté les logements à louer en fait, pour pouvoir aller assister aux Jeux.
13:25 Donc les gens sont malins, ils se disent que finalement,
13:27 ils seront très bien chez nous, en Touraine ou en Loire-et-Cher,
13:30 ils peuvent loger ici, prendre le TGV, on est quand même très proche de Paris,
13:34 on y arrive tout de suite, et suivre les Jeux.
13:36 Et je trouvais que c'était plutôt chouette.
13:37 – C'était effectivement notable.
13:38 Alors on avait prévu d'aborder un autre thème dans cette partie,
13:41 sur les difficultés commerciales ou d'aménagement,
13:44 on ne sait pas, du haut de la rue nationale.
13:46 Eh bien, ce sera pour le mois prochain,
13:48 puisque la grande horloge de TV2 retourne beaucoup, mais beaucoup trop vite.
13:53 Merci à vous deux, merci à vous Mathieu,
13:55 vous allez laisser votre place à notre invité,
13:57 une députée qui incarne la tendance plutôt gauche de la majorité présidentielle,
14:01 proche du nouveau Premier ministre Gabriel Attal.
14:04 Dans un instant, nous recevons Fabienne Colbocq,
14:07 députée de la 4ème circonscription d'Indre-et-Loire.
14:09 À tout de suite.

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