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00:00 [Musique]
00:08 Bonjour, bienvenue sur L'Institut Art TV.
00:10 Nous assistions il y a quelques jours à un bootcamp pour les startups organisé par la Chambre de Commerce et Industrie de Paris.
00:16 Nous y avons découvert des projets à un stade certes précoce, très early, mais certains méritent que nous les suivions de près.
00:26 Je vous laisse en juger par vous-même.
00:28 M. Nauleau, bonjour. Vous êtes la responsable du pôle startup à la Chambre de Commerce et Industrie de Paris.
00:34 Nous étions passés vous voir au mois de décembre à l'occasion de la DEMODAY.
00:37 Nous sommes de retour aujourd'hui à la Place de la Bourse pour un bootcamp.
00:41 Pour vous, nous rappelez comment la CCI de Paris accompagne les jeunes entrepreneurs.
00:47 Tout à fait. Alors aujourd'hui, effectivement, on a des programmes d'accompagnement pour les entrepreneurs de l'early stage jusqu'à l'accélération.
00:54 L'objectif, c'est de pouvoir assurer du suivi sur le long terme, de pouvoir les accompagner par le biais d'entretien, de coaching, de mise en relation et de préparation.
01:03 Ça peut être du développement personnel, de la stratégie commerciale. On couvre toutes les thématiques.
01:08 D'accord. Alors aujourd'hui, particulièrement, on est sur un bootcamp qui a duré trois jours. Comment ça s'est déroulé ?
01:13 Le bootcamp, c'est un peu spécifique. C'est trois jours intensifs où on va aborder tous les sujets qui sont nécessaires au lancement d'une startup.
01:20 Donc l'idée, c'est de pouvoir leur donner les bases, les fondamentaux pour ensuite leur donner une impulsion, un élan et qu'ils puissent sortir de là, grandis à l'issue des trois journées.
01:30 D'accord. Qui peut entrer dans vos différents programmes ?
01:33 Alors, toutes les startups qui portent une solution innovante, bien sûr, par le biais d'un appel à candidature. Donc nous, on va les sélectionner.
01:40 Le dénominateur commun, c'est qu'elles sont souvent au tout début, donc elles ont un tout petit peu de chiffre d'affaires, ou alors elles sont avant le produit.
01:47 C'est-à-dire qu'elles sont sur le point de lancer le produit. Donc on va bâtir avec eux toute la stratégie go-to-market d'accès au marché.
01:53 Comment les entrepreneurs peuvent candidater ?
01:55 Par le biais d'un appel à candidature, donc qui se situe en ligne sur le site de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
02:01 De Paris. Prochain événement ?
02:03 Le prochain événement, ce sera au mois d'avril. Pareil, sur le même format, bootcamp en trois jours.
02:07 Eh bien, nous viendrons vous voir.
02:08 Merci beaucoup.
02:09 À bientôt.
02:10 À bientôt.
02:11 Bonjour, vous êtes le fondateur d'Antiope. Nous sommes ici à l'occasion d'un bootcamp organisé par la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris.
02:19 Vous avez accepté de nous faire le pitch d'Antiope pour Investor TV. Nous vous écoutons.
02:24 Absolument. Donc, Antiope a pour ambition de devenir le premier acteur d'estimation automatisé, fiable et efficace d'objets d'art.
02:36 D'accord. Alors, qu'est-ce que vous apportez ?
02:40 L'idée est assez simple et ne concerne pas simplement les spécialistes, c'est-à-dire les marchands d'art, les notaires ou les experts.
02:48 Il y aura une question d'efficacité, de fiabilité et de rapidité.
02:51 L'idée, c'est de pouvoir proposer à n'importe quel collectionneur ou amateur d'art, en prenant une photo, d'avoir une description de l'objet
02:59 et d'avoir une estimation basée sur les prix d'adjudication de ces mêmes objets d'art.
03:05 C'est une super idée. Ça évite de se déplacer soit en maison de vente ou de faire venir un expert.
03:10 Absolument. Ce n'est pas incompatible. Vous pourrez, si vous découvrez que vous avez un objet précieux chez vous,
03:15 aller chez un commissaire priseur, voir un expert qui confirmera ou qui donnera des détails plus précis sur l'objet d'art.
03:23 Mais surtout, ça répond aux amateurs que nous sommes tous. Et on a vu avec le développement de la télévision, où chacun cherche le petit...
03:31 Avec l'émission, mon trésor dans la maison.
03:33 Exactement. C'est-à-dire que vous avez les vides greniers, vous avez des pièces précieuses chez vous.
03:38 Et c'est toujours bien, d'un point de vue personnel, de découvrir que ce sont des objets qui ont une histoire.
03:42 Et si vous souhaitez les mettre à disposition sur le marché, cette application sera un outil précieux.
03:49 D'accord. Ça adresse surtout aux particuliers, j'imagine. Et les prix seront accessibles ?
03:53 Alors, il y aura une offre basique, une offre premium et une offre professionnelle.
04:00 Et cette offre basique vous permettra, en échange d'un certain montant, d'accéder à la journée en prenant N photos et en ayant ces descriptions d'objets.
04:08 Alors, bien évidemment, il y aura à chaque estimation un indice de confiance qui sera lié en fonction de la qualité de photo que vous allez envoyer.
04:16 Mais vous pourrez préciser tous ces points en cochant, décochant un certain nombre de critères.
04:21 Super idée. Alors, à quel stade d'avancement êtes-vous de cet enjeu ?
04:25 Alors, là, je suis sur la phase étude-analyse et cette phase, donc, a nécessité d'évaluer le marché, d'évaluer les concurrents et de préciser l'offre.
04:34 Le bootcamp et d'intégrer le programme Néo Startup soutenu par la CCI de Paris et en intégrant le label French Tech me donnent de la crédibilité
04:44 et vont me permettre d'être accompagné, notamment pour collaborer avec des CTO, des développeurs, des personnes qui sont complètement impliquées dans ce domaine numérique.
04:56 Et puis, par la même occasion, trouver des associés et à terme trouver des financements qui nous permettra, là, cette fois-ci, de mettre en œuvre ce projet.
05:04 Et pour cela, vous viendrez nous en dire plus, donc, dans notre émission Levé de fonds sur Investisseur TV.
05:09 Avec plaisir.
05:10 Merci, Zoran.
05:11 Merci, Stéphane.
05:12 Julie Blanc, bonjour. Vous êtes la fondatrice de MaGestionPro. Vous participez à un bootcamp organisé par la CCI Paris.
05:18 Vous avez accepté, pour Investisseur TV, de faire le pitch de MaGestionPro. Nous vous écoutons.
05:23 Merci. Merci de me recevoir. Donc, effectivement, j'étais directrice financière pendant 15 ans dans la production de films, cinéma, télévision, publicité.
05:32 Et j'ai constaté que c'est un secteur dans lequel on manque cruellement d'outils de gestion, de suivi des dépenses.
05:40 Et tout est fait de manière manuelle, en impliquant énormément de personnes. Et donc, des délais de retour d'informations sont très longs.
05:49 L'idée est de proposer un outil qui réduit tous ces délais, automatise toutes les tâches qui sont chronophages et qui alourdissent la vie autant des techniciens qui participent,
06:00 qui contribuent à la production de films, que des financiers qui doivent en suivre les aspects budgétaires, de cohésion entre le budget et le réel.
06:09 Et donc là, l'idée, c'est que la première personne qui détient l'information financière, la personne qui va aller chercher de l'essence et qui va avoir un ticket de l'essence,
06:16 va pouvoir le mettre directement dans l'application. Et ça va être automatiquement utilisé par l'ensemble des personnes qui sont concernées par cette information.
06:24 Parfait. À quel stade, en ce moment, êtes-vous ?
06:26 Alors, j'ai développé déjà une partie des modules. Ils sont actuellement en bêta-test chez deux clients, un producteur de films de cinéma et un producteur de films de publicité. Voilà.
06:37 D'accord. Et pour développer tout ça, vous aurez besoin un petit peu de fonds. Et vous viendrez donc nous en parler plus en détail dans notre émission Levé de fonds sur Investisseur TV.
06:47 Absolument. Merci beaucoup.
06:48 Merci, Marguerite. Mohamed El Mastri, bonjour. Vous êtes le fondateur d'IVEA. Nous sommes ici à la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, place de la Bourse, à l'occasion d'un bootcamp pour les startups.
06:58 Vous allez nous pitcher un condensé de votre société. Et vous reviendrez donc prochainement sur Investisseur TV pour nous en dire un peu plus. Alors, IVEA, c'est quoi exactement ?
07:10 Alors, IVEA, c'est la première plateforme qui va permettre l'externalisation totale de la gestion administrative de la supply chain. Notre objectif d'ici 3 à 5 ans, c'est de permettre à toute entreprise de dire j'ai fait ma vente et que nous, derrière, on s'occupe de toute la partie administrative jusqu'à ce que la marchandise arrive chez le client.
07:29 On intègre de l'automatisation, de l'IA, un support hybride et de l'autocomplition pour permettre toujours d'aller un peu plus vite dans toute la partie administrative.
07:41 À quel stade d'avancement êtes-vous dans ce projet ?
07:43 On a déjà une V1 qui est lancée depuis quelques mois aujourd'hui. On a déjà des clients récurrents qui reviennent. On a une conversion, 2 clients sur 3 reviennent constamment.
07:55 Là, aujourd'hui, le seul blocage, c'est que, étant donné que c'est des expéditions et que ce n'est pas de manière récurrente, il faut qu'ils aient une expédition pour revenir chez nous.
08:04 D'accord. Vous cherchez donc de l'argent. Vous viendrez nous en dire plus dans notre émission Levé de fonds prochainement sur Investisseur TV.
08:10 Merci beaucoup.
08:11 Merci, Mohamed.
08:12 Merci.
08:13 Maximilien de Langevillal, bonjour. Vous êtes le fondateur de Campus Consulting. Vous participez à un bootcamp organisé par la Chambre de commerce et industrie de Paris pour les startups.
08:23 Et vous avez accepté pour Investisseur TV de nous faire le pitch de Campus Consulting. Nous vous écoutons.
08:28 Oui, bonjour. Donc, Maximilien, Campus Consulting. En fait, nous, nous aidons les professionnels de TPE, PME ponctuellement débordés avec l'aide des étudiants en école de commerce.
08:38 Donc, on propose des jobs étudiants fortement qualifiés aux étudiants les plus professionnels des écoles de commerce qui sont tous préqualifiés et passent des entretiens avant d'accéder à notre plateforme.
08:49 Et ensuite, on fonctionne sous la forme d'une marketplace avec des chefs de projet qui encadrent quand même la relation.
08:54 Ça fait maintenant huit mois que nous existons. Nous avons lancé l'outil en octobre dernier. On a aujourd'hui plus de 200 étudiants dans notre communauté et une quinzaine de clients.
09:06 On réalise déjà à peu près 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et nous cherchons aujourd'hui des financements non dilutifs, mais dans l'objectif de faire notre première levée de fonds en fin d'année, de manière plus conséquente pour accélérer le développement.
09:23 Et nous venons d'intégrer Station F dans un programme RH. Et on espère profiter de cet écosystème pour propulser l'entreprise.
09:30 Félicitations. Et vous viendrez nous parler de votre levée de fonds quand ce sera le moment venu, donc dans quelques temps, sur Investisseur TV, dans notre émission "Levée de fonds".
09:37 Avec plaisir. Merci. Au revoir.
09:39 Philippe Notariati, bonjour. Vous êtes le fondateur de Proprietis. Nous sommes ici à un bootcamp organisé par la CCI de Paris pour les startups. Vous avez accepté de faire le pitch de Proprietis pour Investisseur TV. Nous vous écoutons.
09:54 Bonjour. Effectivement, je suis Philippe Notariati, cofondateur de Proprietis, qui est la première plateforme qui automatise de bout en bout la gestion locative immobilière.
10:06 Alors, des plateformes de ce style-là, il y en a un certain nombre. En quoi vous distinguez ? Qu'est-ce que ça apporte de plus ?
10:11 Alors, par rapport à mon expérience professionnelle, j'ai travaillé en logistique précédemment dans l'automatisation des entrepôts. Aujourd'hui, si vous recevez un SMS, ma commande est en cours de préparation, est en cours de livraison.
10:25 Nous avons développé une plateforme qui permet d'automatiser. Nous souhaitons prendre ce savoir-faire-là et l'appliquer dans le secteur de l'immobilier.
10:33 J'ai fait une étude personnelle avec ma femme. Nous avons un bien immobilier en location et nous avons testé plusieurs plateformes. Nous n'avons pas trouvé de plateforme qui permette de le gérer de bout en bout.
10:45 Et donc, le but, c'est de permettre d'avoir une plateforme qui fasse à la fois la gestion locative automatisée, mais aussi la comptabilité et aussi la mise en location du bien.
10:54 D'accord. À quel stade d'avancement êtes-vous ?
10:57 On est encore sur la JQA. On vient de finir l'étude de marché. On est en train de designer le premier prototype. La société est en cours de création.
11:08 C'est un projet qui est très jeune, mais c'est cela qui est intéressant.
11:11 De moi.
11:12 Vous viendrez prochainement, parce que vous aurez besoin d'un peu d'argent pour développer tout ça.
11:16 Bien sûr.
11:17 Et vous viendrez prochainement sur Investeur TV dans notre émission Levé de fonds pour nous détailler votre projet.
11:22 Tout à fait.
11:23 Merci Philippe.
11:24 Merci à vous.
11:25 Philippe, bonjour. Vous êtes le fondateur de Chocolatting. Nous nous rencontrons dans le cadre d'un bootcamp organisé par la CCI Paris, pour les startups.
11:34 Vous avez accepté de nous faire le pitch de Chocolatting. Nous vous écoutons.
11:38 Parfait. Je m'appelle Agnès Roumier. J'ai 30-35 ans de passion pour le chocolat chaud.
11:44 Je m'aperçois que chaque fois que je vais quelque part, le chocolat chaud que je fais chez moi manque à la pelle.
11:50 Je n'arrive pas à trouver un chocolat chaud qui soit à la fois bon, goûteux, digeste, sans sucre ajouté, naturel au possible.
11:58 L'idée m'a pris de me lancer dans ce projet et de régaler le monde entier, tous les gourmets qui sont à la recherche d'un instant de plaisir.
12:08 C'est devenu comme un chocolat dans une tasse d'espresso. L'espresso de chocolat est très concentré, très goûteux.
12:18 Un instant de plaisir non coupable et parfaitement sain.
12:21 C'est plutôt pour en B2B. Ce sera pour alimenter les CHR.
12:25 Ce sera pour alimenter les CHR, les points de vente, les enseignes, mais aussi le consommateur comme vous et moi, directement, avec un site web qui existe déjà.
12:37 Parfait. À quel salon sommes-nous, Zonet ?
12:41 Nous avons lancé la marque au Salon du chocolat fin octobre et nous avons rencontré un tel succès que nous avons été dévalisés pendant la durée du salon.
12:51 Et à la fin, nous avions tout produit à vendre.
12:53 Pour augmenter vos capacités de production, il serait possible de chercher un peu d'argent.
12:57 Vous viendrez très prochainement nous en parler sur Investeur TV, dans notre émission Levé de fond.
13:02 Absolument.
13:03 Merci, Annie.
13:04 Merci.
13:05 Et Paul-Henri, bonjour. Vous êtes le fondateur de Bulldog.
13:08 Nous venons de vous repérer lors d'un bootcamp organisé par la CCI de Paris.
13:13 Quels de vous participez ? Faites-nous le pitch de Bulldog.
13:16 Bonjour, merci déjà de me recevoir.
13:19 Bulldog, c'est né d'un constat simple.
13:21 Ça fait 10 ans que je travaille en digital et que je vois les marques dépenser toujours plus d'argent en marketing digital pour animer leur communauté, pousser leurs marques sur les réseaux sociaux.
13:30 Et malgré ces investissements qui sont toujours plus importants dans le temps, la performance et l'engagement est de moins en moins au rendez-vous.
13:37 Le constat qu'on a fait chez Bulldog, c'est que potentiellement, cela venait du fait que 90% de l'investissement qui était fait par les marques était capté par les GAFAM, donc Google, Facebook.
13:46 Quand j'investis sur un social media, finalement, ça bénéficie plus à Facebook qu'à l'utilisateur final.
13:51 Et que donc, ça pouvait créer un désintérêt de l'utilisateur final.
13:54 On a donc décidé de revoir le programme de fidélité pour être capable aujourd'hui de rétribuer les utilisateurs en points de fidélité et badges pour leur contribution sociale.
14:05 Contribution sociale, ça veut dire quoi ?
14:07 Ça veut dire que lorsque je participe sur des forums qui sont gérés par la marque, type sur Discord, que quand je fais des posts sur Instagram ou des stories, quand je fais des challenges et des vidéos sur TikTok ou des posts sur Facebook,
14:19 finalement, en tant que marque, je vais être capable de rétribuer à mes utilisateurs.
14:26 Les points que je vais récupérer en tant qu'utilisateur, je vais pouvoir les dépenser dans l'univers de marque.
14:31 Aujourd'hui, on a un premier client qui est Michelin, qu'on accompagne là-dessus depuis six mois.
14:35 Ce client-là a mis en place un programme de reward qui va de la réduction sur les pneus, très basique puisque c'est l'activité la plus connue, pour les particuliers.
14:45 Pour le particulier qui aura fait le poste et qui aura récupéré suffisamment de points, je vais pouvoir avoir une réduction sur les pneus.
14:51 Autre avantage, je vais peut-être être invité dans un étoilé à avoir un repas gastronomique qui est payé par la marque Michelin.
14:58 Autre avantage, Michelin est sponsor d'événements Motorsport. Je suis intéressé par le Motorsport, je vais pouvoir être invité à un événement Motorsport.
15:06 Tout ça, c'est vraiment des activités proposées par la marque qui sont à la discrétion de la marque, mais qui permettent de rétribuer l'utilisateur et donner des avantages en face des points.
15:16 C'est super comme idée. Vous en êtes à quel stade d'avancement ?
15:18 Aujourd'hui, on a développé la première plateforme. On est en MVP chez Michelin. Là-dessus, on a les premiers retours de statistiques après six mois.
15:28 On s'est rendu compte qu'on avait réussi à faire 30% d'investissement social média en moins. C'est une économie considérable.
15:36 On a multiplié par quatre l'engagement de la communauté. En plus de ça, on a multiplié par six le nombre de mentions positives de la marque sur les réseaux sociaux.
15:46 On a vraiment un premier cas d'usage qui marche très bien. Aujourd'hui, on est dans un développement commercial. On est une toute petite startup qui existe depuis un an et demi.
15:54 On continue à développer le produit et on cherche d'autres clients, d'autres marques pour continuer à prouver qu'il existe un modèle alternatif et qu'il est possible de révolutionner la façon dont les marques investissent en digital.
16:06 Et accessoirement, vous cherchez un peu d'argent. Vous viendrez nous en dire un peu plus sur Investir TV dans notre émission Levé de fonds.
16:13 Exactement. Merci beaucoup.
16:15 Merci, Jeremy.
16:16 Benjamin Latifi, bonjour. Vous êtes le fondateur de JIC. Nous venons de vous repérer dans le cadre d'un bootcamp auquel vous participez, organisé par la CCI de Paris pour les startups.
16:25 JIC, c'est quoi exactement ?
16:27 JIC, c'est une société qui fait en sorte de détricoter la gangue de complexité que tout le monde a créée autour de l'IA et de faire quelque chose qui a du sens pour toutes les professions, notamment les plus confidentielles,
16:37 et de créer un logiciel d'analyse documentaire par IA qui sécurise la totalité de vos données et ce que vous faites.
16:44 À quel stade d'avancement êtes-vous ?
16:46 On a un MVP qui marche bien. On a eu des retours phénoménaux de la part des bêta-testeurs. Et voilà, on est en phase de commercialisation de notre solution.
16:53 Et pour commercialiser, développer, vous aurez besoin de quelques fonds. Et vous viendrez nous en dire plus prochainement sur Investir TV dans notre émission Levé de fonds.
17:01 Merci, Benjamin.
17:02 Merci à vous.
17:03 Adam Asila, bonjour. Vous êtes le fondateur de Fiducière Value. Nous rencontrons à l'occasion d'un bootcamp auquel vous participez, organisé par la CCI de Paris pour les startups.
17:12 Alors, Fiducière Value, c'est quoi ?
17:14 Fiducière Value, c'est un cabinet d'expertise comptable international installé en France et en Côte d'Ivoire. Et je suis moi-même Adam Asila, expert comptable.
17:21 J'ai formé ce cabinet en 2020. Et aujourd'hui, Fiducière Value accompagne non seulement des clients sur le territoire français, mais aussi sur le territoire ivoirain dans un premier temps,
17:30 mais aussi tous ceux qui sont désireux de pouvoir s'internationaliser sur ces territoires-là.
17:36 D'accord. Quelles sont vos spécificités ? Qu'est-ce qui vous distingue des autres cabinets comptables traditionnels ?
17:42 Il y a déjà le fait que je suis assez compétent sans grossir les talents pour dire que je suis quand même à même de pouvoir accompagner des gens sur les territoires français et internationaux.
17:52 Je connais la fiscalité, le droit social et tout ça. Et donc, c'est pour ça que Fiducière Value, aujourd'hui, on va dire, se démarque un tant soit peu de tous les concurrents experts comptables qu'on ferait.
18:00 D'accord. À quelle salle d'avancement vous en êtes ?
18:02 Aujourd'hui, en fait, je suis venu parler de Comtas, qui va être une solution comptable qui aura pour but de pouvoir suivre l'accompagnement comptable de toutes les personnes installées en France qui veulent s'installer en Côte d'Ivoire ou installées en Côte d'Ivoire qui ont des intérêts économiques en France.
18:16 Donc, ce sera une solution comptable portée par un expert comptable avec du conseil, donc compétence sur les territoires, avec tout ce qu'il y a qui va avec.
18:22 D'accord. Un pont entre, donc, le monde économique de la Côte d'Ivoire et donc la France.
18:26 Et la France.
18:27 Vous recherchez prochainement un financement et vous viendrez nous en parler, donc, sur Invester TV dans notre émission Levé de Fonds.
18:32 Avec plaisir.
18:33 Merci, Adama.
18:34 Merci.
18:35 Jean-Marie Dupayat, bonjour. Vous êtes le fondateur de Bioorthesie France.
18:38 Vous êtes participé, donc, à un bootcamp organisé par la CCI Paris pour les start-up. Et vous allez nous pitcher, donc, Bioorthesie France. C'est à vous.
18:48 Alors, la bioorthesie est née de deux professions différentes. L'orthopédie, fabrication d'appareils pour handicapés physiques lourds, genre amputés, d'accord,
19:01 et l'expertise d'accessibilité au sens de la loi de 2005 sur le sujet d'accessibilité qui doit mettre tous les ERP aux normes de cette loi.
19:12 D'accord.
19:13 À partir de là, moi, j'ai été orthopédiste et je suis expert. J'ai donc eu les doléances des patients et des hôtels, puisqu'on va parler de l'hôtellerie,
19:26 chacun me parlant de son problème lorsqu'il se déplace.
19:30 D'accord.
19:31 Les clients ont que des problèmes dans les hôtels et les hôtels vous disent qu'ils ne voient jamais d'handicapé.
19:36 D'accord.
19:37 Il y a en France 12 millions de personnes handicapées selon la loi.
19:42 D'accord.
19:43 Sur ces 12 millions, il n'y en a que 2000 qui sont en fauteuil roulant. Il en reste 8 millions qui sont dits handicapés non visibles.
19:56 C'est de cela dont on parle.
19:58 D'accord.
19:59 Beaucoup plus important.
20:00 Alors qu'est-ce que vous apportez ?
20:01 Aux hôtels, l'absence de ce... Non, ce n'est pas l'absence. Je leur évite de se mettre directement en conformité avec la loi.
20:12 D'accord.
20:13 En leur proposant des aides techniques qu'ils proposeront eux-mêmes aux handicapés, qui choisiront eux-mêmes l'aide technique dont ils ont besoin.
20:23 Ça répondra à un vrai besoin.
20:24 Et ça répondra à chaque individu à ce besoin.
20:27 Et tout le monde sera content et vous serez...
20:29 Et voilà, tout le monde sera content.
20:31 Et je finis parce que ça va permettre d'apporter de la clientèle à l'hôtel, qui sera en plus de sa propre clientèle.
20:40 Et cette clientèle-là, en sachant que quand une personne normale va à l'hôtel, y prend une nuitée, et que la personne handicapée,
20:52 elle vient pour trois nuits parce qu'elle a rentabli son déplacement.
20:57 Et elle vient toujours accompagnée.
20:59 Autrement dit, quand vous vous achetez une nuitée, le handicapé en achète six.
21:04 Il n'y a plus de rentable.
21:05 Donc il augmente vachement plus le potentiel de l'hôtel, lequel va faire de la trésorerie et pourra de ce fait payer les normes de l'accessibilité.
21:14 Il diffère un peu le temps pour le faire, mais il pourra le faire.
21:18 Et puis ça va améliorer son bilan.
21:20 Vous rechercherez prochainement des fonds pour développer tout ça.
21:24 Et vous viendrez nous en reparler sur Investir privé dans notre émission Levé de fonds.
21:27 Très bien.
21:28 Merci, Jean-Ric.
21:29 Merci, au revoir.
21:30 [Musique]
21:40 [Silence]