Thierry Cabannes - Matignon : Cap sur le discours de politique générale

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Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent du discours de politique générale prévue ce mardi, à Matignon.
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Transcription
00:00L'info en continu, c'est sur Europe 1.
00:06Punchline, 18h-19h, Thierry Cabane sur CNews et Europe 1.
00:13Merci de nous accueillir. Il reste quasiment 13 minutes et sur Europe 1 et sur CNews pour votre Punchline Week-end.
00:19Toujours avec moi Naïma M. Fadel, Louis de Raguenel, Vincent Roy, Nathan Le Verre, Magali Vissante et Anand Bakkioui.
00:24On va parler politique pour terminer notre émission.
00:27C'était le séminaire de rentrée. Michel Barnier va prononcer, vous le savez, sa déclaration de politique générale.
00:34C'est mardi, 1er octobre, mais il a réuni ses troupes aujourd'hui.
00:37Mais pourquoi faire ? A quoi ça sert un tel séminaire, n'est-ce pas, Thomas Bonnet ? Je vous pose la question-réponse.
00:44Eh bien écoutez, cher Thierry, d'abord il s'agit de mettre en application ce que Matignon qualifie de méthode Barnier,
00:50à savoir mettre en avant le sens du dialogue, de l'écoute, de la cohésion aussi au sein de cette nouvelle équipe gouvernementale.
00:57Très concrètement, ce sont des tables rondes organisées en présence à chaque fois de 8 ministres issus de périmètres ou même de partis politiques différents
01:07qui échangent sur des thématiques précises. 45 minutes de discussion pour en sortir des idées très concrètes
01:15qu'ils soumettent ensuite au reste du gouvernement et aux premiers ministres.
01:19L'idée, on l'a bien compris, c'est de nourrir la feuille de route de Michel Barnier, nourrir aussi son discours de politique générale
01:28qu'il prononcera ce mardi à l'Assemblée nationale.
01:31Oui, d'ailleurs, il paraît qu'il y a des petits groupes de travail chacun, etc., pour nourrir.
01:35Il y avait des tables rondes et ensuite des restitutions. Il y avait une table ronde, je ne vais pas vous les citer,
01:42mais il y avait une table ronde sur l'activité et le niveau de vie avec Christophe Guilloui, territoire et services publics,
01:48économie et finances publiques, intégration et immigration avec l'ami de ma voisine de droite, Didier Leschi.
01:55Il y avait un atelier de transition écologique. Ce qui a été un peu dit par Thomas Bonnet, c'est que l'idée, c'était de mélanger les ministres,
02:02pas forcément par thème de responsabilité.
02:07Est-ce que Didier Migaud était avec vous dans le groupe ?
02:10Est-ce qu'il était avec des ministres en charge de la transition écologique ?
02:15Je pense probablement. Ce que je vois simplement, c'est que je ne sais pas très bien à quoi ça sert réellement ce type de séminaire.
02:25Je pense que l'objectif, c'est que les gens se connaissent. Et ce qui est vrai, ce qui peut paraître assez paradoxal,
02:29c'est que dans les précédentes équipes gouvernementales, ce qui m'a frappé, c'est le nombre de ministres
02:34qui ne se connaissent pas entre eux. Parfois, ils vous posent des questions.
02:38Alors, tu l'as vu hier ?
02:40Les Français ne connaissent pas la majeure partie des ministres.
02:42On s'imagine tous que les ministres, ils se connaissent bien. C'est une équipe, c'est un pack. En fait, pas du tout.
02:46Pas du tout.
02:47De ce point de vue-là, je pense que c'était l'objectif de Michel Barnier, qu'il soit amené à discuter.
02:53Je le dis pour nos auditeurs.
02:55C'est quand même un peu séminaire, force de menthe.
02:58Je suis d'accord avec vous.
03:00On a l'impression d'être...
03:02Vous disiez que tout à l'heure, vous aviez une expression.
03:04Oui, ça fait rassemblement de vendeurs de voitures d'occasion.
03:08Vous allez nous faire copains avec les vendeurs de voitures d'occasion.
03:11Qu'est-ce que vous avez contre les vendeurs ?
03:13Ça fait force de vente dans les garages d'automobiles.
03:16Il y a une chose qui est étonnante, c'est qu'il y a quand même de grands thèmes.
03:21Vous venez d'en évoquer un certain nombre.
03:23Et donc, on place des ministres par groupe de 8.
03:26Et 45 minutes, il faut qu'ils en ressortent quelque chose.
03:29Tout ça, encore une fois, me paraît bien artificiel.
03:32Je veux bien qu'on fasse en sorte que les gens se connaissent.
03:35Essayons de trouver des points positifs.
03:37J'ai suffisamment négatifs pour trouver des points positifs.
03:40Une question décisive, c'est qu'est-ce qu'ils ont mangé ?
03:43C'est peut-être l'information la plus politique, la plus intéressante.
03:46L'information, je le dis pour nos auditeurs d'Europe 1,
03:49il y a eu cette photo de famille.
03:51Une vraie photo de famille.
03:53Avec deux ministres en plus qui viennent d'être nommés.
03:55Vous savez bien que c'est dans les familles qu'on se déteste le plus cordialement.
03:58Donc, photo de famille, ça ne veut rien dire.
04:00Oui, ça a la mérite d'exister.
04:02L'alternation entre M. Retailleau et les...
04:04Je ne vais pas la décrire pour nos auditeurs d'Europe 1.
04:07Ils sourient sur la photo.
04:09Oui.
04:10Ça va, c'est la photo.
04:11C'est une photo de classe.
04:12Allez, on a beaucoup parlé des tensions entre Bruno Retailleau,
04:14je vous donne la parole Naïma Mfadel,
04:16entre le ministre de l'Intérieur et Didier Migaud,
04:19le ministre de la Justice, Michel Barnier,
04:21donc les a réunis.
04:22Visiblement, ça va mieux, c'était pas gagné, tout va bien.
04:24Petit montage de Pierre Crépy.
04:25Écoutez !
04:27Et là, je dois travailler avec le ministre de l'Intérieur
04:29pour, avec mon collègue de l'Intérieur,
04:31éventuellement proposer les modifications nécessaires.
04:35Bon, et ça, ce sera de ma responsabilité
04:38avec le ministre de l'Intérieur,
04:41et c'est ce qu'il faut que nous regardions
04:43avec le ministre de l'Intérieur.
04:44Donc, vous êtes d'accord, en fait,
04:46avec votre collègue Bruno Retailleau
04:48qui dit qu'il faut faire évoluer l'arsenal juridique ?
04:51Eh bien, à partir d'un constat objectif,
04:54oui, il peut être possible
04:56de faire évoluer l'arsenal juridique.
04:58Donc, on a mal compris quand on a eu l'impression
05:00qu'il y avait un désaccord entre vous,
05:01notamment sur le laxisme supposé de la justice.
05:04Mais je ne peux pas être d'accord,
05:07le garde des Sceaux ne peut pas être d'accord
05:08quand on dit que la justice est laxiste.
05:11Tout va bien, il n'y a plus de problème entre Bruno Retailleau...
05:15La dernière phrase qui me frappe,
05:16c'est que le garde des Sceaux ne peut pas être d'accord avec quelqu'un...
05:19Mais, c'est-à-dire que par principe...
05:21Oui, je vais travailler avec Bruno,
05:22il est censé travailler avec le ministre de l'Intérieur...
05:24Mais par principe, on n'est pas obligé de défendre
05:25tout le temps son institution.
05:26On peut dire qu'il y a des choses perfectibles,
05:28il y a des choses à améliorer.
05:29Je me tourne vers vous,
05:31la police a été très contestée
05:34dans son mode d'action pour le maintien de l'ordre,
05:38il y a eu des évolutions,
05:39et les ministres de l'Intérieur successifs ont dit
05:42« Bon, ben voilà, oui, ça, peut-être que ça doit changer. »
05:45Et c'est pour le bien, d'ailleurs, de la population,
05:47mais aussi le bien de la police, parfois.
05:49Vous voyez ce que je veux dire ?
05:50Ce n'est pas par principe qu'il faut défendre
05:53tous les principes de son institution.
05:56On a une communicante sur ce plateau ce soir,
05:58Magali Avicente,
05:59quand il répète plusieurs fois
06:00« ministre de l'Intérieur »,
06:01« ministre de l'Intérieur »,
06:02« ministre de l'Intérieur »,
06:03« ministre de l'Intérieur »,
06:04on a compris, monsieur Migaud,
06:05on a compris, on a compris,
06:07vous vous êtes fait tirer les oreilles par Michel Barnier,
06:09vous devez travailler avec votre petit camarade Bruno Rotaillot.
06:12C'est ça que ça veut dire.
06:13Je pense que c'était ça aussi l'enjeu du séminaire.
06:15Il y a tellement de choses qui se sont passées cette semaine,
06:17c'est incroyable.
06:19Parce que la posture de Michel Barnier depuis le départ,
06:21c'est de dire « soyez prudent,
06:23soyez dans l'humilité,
06:25et surtout pas dans la communication. »
06:27C'est parti dans tous les sens.
06:28Il y a dû y avoir des rattrapages.
06:30Mais finalement, quand vous regardez
06:31entre ce qui se passe dans les médias,
06:32ce qui se passe sur les réseaux sociaux,
06:34c'est que chacun essaye de communiquer
06:35et de marquer son image.
06:36L'objectif du séminaire,
06:38moi je le vois bien concrètement parlant
06:40avec les élus que j'accompagne,
06:42l'objectif de ce genre de séminaire,
06:44c'est comment ils vont arriver
06:46à mieux se connaître pour mieux communiquer.
06:48Parce que déjà, ils ne se connaissent pas.
06:50Ils ont un souci de communication entre eux.
06:52Comment voulez-vous qu'il n'y ait pas de souci de communication
06:54en externe, si déjà en interne,
06:56ils ne savent pas entre eux se parler.
06:58Et se parler par voie de médias,
07:00ce n'est pas une solution dans ce gouvernement.
07:02Et ça, ils ne l'ont pas intégré.
07:04Et l'objectif du séminaire, au-delà de oui,
07:06il y a des éléments de fonds, bien sûr,
07:08mais c'est comment, au travers de ces éléments de fonds,
07:10ils vont être en capacité de communiquer entre eux
07:12et d'avancer.
07:13Et c'est peut-être ça aussi le challenge de cet après-midi.
07:15On verra ce qu'il en sortira,
07:17mais en tout cas, c'est fondamental.
07:19S'ils ne font pas un effort pour mieux se connaître,
07:21ils auront un souci pour mieux communiquer.
07:23C'est la base de la relation.
07:24Je vous donne la parole dans quelques instants, mon cher Vincent Roy.
07:26Si, si, je vous la donne, je vous la donne.
07:28Mais il y en a un autre qui...
07:30Oh, pas de révolte !
07:31Qui c'est qui est le maître des horloges ici ?
07:33C'est quoi, ça, le révolte ?
07:35Quel numéro, quel numéro ?
07:37Je vais vous envoyer en séminaire.
07:39Un opiniste s'est fait tirer les oreilles.
07:41Ah.
07:42Antoine Armand.
07:43Ah oui.
07:44On va l'écouter, parce que lui aussi,
07:46il a changé de discours.
07:47Tiens donc, c'est bizarre, non ?
07:49Antoine Armand.
07:50Je considère que ce sujet est clos
07:52depuis le premier jour de ma prise de fonction.
07:55D'ailleurs, depuis mon premier jour de mandat parlementaire,
07:58j'ai toujours respecté les personnes et les fonctions.
08:01Et comme on a pu le rappeler, je recevrai
08:03chacune des forces politiques représentées au Parlement.
08:06La réalité, c'est que nous travaillons
08:08avec l'ensemble des forces politiques,
08:09parce que dans la situation que nous vivons,
08:11ce qui prédomine, c'est le besoin d'écoute,
08:14de considération et bien sûr de travail.
08:16Le travail, il n'y a que ça qui vaille.
08:18Eh oui, Antoine Armand, 33 ans,
08:20il a fait un petit coup sur les doigts
08:21par Michel Barnier, Vincent Roy.
08:23Là, vous voyez quand même
08:24la colonne vertébrale des individus.
08:26C'est quand même des gens qui ont un vrai courage.
08:28On peut vraiment leur faire confiance.
08:29Alors, quand Michel Barnier,
08:31qui a expliqué ce qu'il attendait des ministres
08:34avant même de les nommer,
08:35où il a dit, je veux à la fois du respect,
08:38je veux qu'on arrête de...
08:40Monsieur Armand, lui, est nommé
08:43et d'emblée va dire,
08:44mais non, moi je considère
08:45que le Rassemblement National
08:46ne fait pas partie de l'arc républicain,
08:47donc je ne recevrai que les filles, etc.
08:50Mais que fait-il dans ce gouvernement
08:52si ça ne lui convient pas ?
08:53A toute force, il ne fallait pas
08:55qu'il accepte d'être nommé.
08:56Pour en revenir maintenant au séminaire
08:58dont je vous donne le mot d'ordre,
09:00communiquer pour réussir
09:02ou parler pour ne rien dire.
09:03Il n'en sortira rien du tout,
09:04Monsieur Barnier, à tout.
09:06Mais non, mais attendez.
09:07Mais quand vous voyez...
09:08Écoutez, quel spectacle donné aux Français.
09:10Vous êtes Monsieur Armand
09:12qui fait une déclaration
09:14et puis hop, une petite table derrière.
09:16Et ça change les choses.
09:17Il est revenu à récit.
09:18Ça s'appelle l'autorité et la discipline.
09:20Mais ça, ça fait étranger à ces concepts-là.
09:23C'est à mettre au crédit de Michel Barnier, ça.
09:26Globalement, on peut dire ce qu'on veut.
09:28Moi, je vous l'ai dit,
09:29je suis un peu critique
09:30sur cette idée de séminaire,
09:31mais bon, ce n'est pas non plus
09:32un objet politique
09:33qu'il faut combattre, absolument.
09:35C'est assez insignifiant.
09:37En revanche, il y a quelque chose
09:38que je vois,
09:39c'est que maintenant,
09:40Michel Barnier convoque,
09:42somment les ministres
09:44de changer de position,
09:45alors que par le passé,
09:46parfois, c'était un peu n'importe quoi.
09:48Les ministres disaient
09:49un peu ce qu'ils voulaient.
09:50Personne n'était recadré.
09:51Et ça donne quand même
09:52le sentiment que Michel Barnier
09:53veut faire bien les choses,
09:55veut respecter tout le monde,
09:56veut essayer d'avancer.
09:57Alors pour l'instant,
09:58on n'a pas encore eu
09:59sa déclaration de politique générale.
10:00Donc on ne sait pas
10:01ce qu'il veut faire concrètement.
10:02Effectivement, rendez-vous mardi
10:03sur Europe 1 et sur CNews
10:04pour suivre en direct
10:06cette déclaration politique générale.
10:09Je serais très heureux
10:10de la décrypter.
10:11Et on en retrouvera des échos
10:13dans le journal du dimanche,
10:15évidemment.
10:16Exactement.
10:17Soyez complet, Louis de Ragnel.
10:19Soyez complet.
10:20On attend tous de voir
10:22dans quelle direction
10:23Michel Barnier veut aller.
10:24Je trouve que vous êtes
10:26un tout petit peu durs parfois.
10:27Nathan Devers.
10:28Vincent Roy, c'est un peu
10:29la fable du loup et de l'agneau.
10:30Est-ce que je peux donner
10:31la parole à l'élève Nathan Devers ?
10:33Je réponds, oui.
10:34Je réponds à Louis.
10:35Juste une seconde.
10:36Écoutez, franchement,
10:37quand les Français
10:38voient le spectacle
10:39de M. Armand
10:40qui prend une position
10:41dès lors qu'il est...
10:42Non, mais les Français
10:43ne voient pas le spectacle
10:44de M. Armand.
10:45C'est grotesque,
10:46c'est pathétique,
10:47tout ce que vous voulez.
10:48Tout le monde ne se dit pas
10:49qu'il n'y a pas des manifs
10:50dans la rue contre M. Armand.
10:51C'est grotesque et pathétique,
10:52je vous confirme.
10:53Je suis désolé.
10:54Nathan Devers.
10:55Qu'est-ce qui est grotesque ?
10:56Qui est mort il y a 5 ans
10:57et un jour ?
10:58Jacques Chirac.
10:59J'aimerais beaucoup savoir
11:00ce qu'il penserait
11:01d'une telle situation.
11:02J'aimerais beaucoup savoir
11:03Je pense que si aujourd'hui
11:04Jacques Chirac était vivant,
11:05ses descendants politiques
11:06le traiteraient de woke.
11:07Parce que c'est dire
11:08l'évolution d'une certaine
11:09droite républicaine.
11:10Pourquoi ce gouvernement existe ?
11:11Pour une raison très simple.
11:12C'est qu'il y a eu
11:13un barrage républicain
11:14aux élections législatives.
11:15Je rappelle que quand il y a
11:16eu la dissolution,
11:17tout le monde disait,
11:18les sondeurs disaient,
11:19les médias disaient,
11:20tout le monde pensait
11:21que M. Bardella
11:22allait être à Matignon.
11:23Et d'ailleurs peut-être
11:24qu'Emmanuel Macron
11:25a choisi de faire la dissolution,
11:26c'est la fameuse question,
11:27en pariant sur la victoire
11:28de Jordan Bardella.
11:30Jordan Bardella
11:31n'a pas été à Matignon
11:32parce qu'il y a eu
11:33un front républicain
11:34qui a marché.
11:35Que M. le ministre de l'économie,
11:37M. Armand,
11:38dit cela,
11:39s'inscrit dans la fidélité
11:40à la situation
11:41qui lui permet
11:42d'être ministre.
11:43Et qu'il se fasse tirer
11:44les oreilles,
11:45qu'on lui tire les oreilles
11:46parce qu'il dit quelque chose
11:47qui correspondait
11:48à une des grandes leçons
11:49de ces élections,
11:50ça me semble être
11:51très significatif.
11:52Et j'ai une petite pensée
11:53pour Jacques Chirac.
11:54J'ai l'impression que
11:55ce qui a été mort
11:56avec Jacques Chirac,
11:57c'est aussi une certaine
11:58situation de la droite républicaine.
11:59Je n'insulte pas M. Barnier
12:00parce que je sais très bien
12:01que lui, il est sous surveillance
12:02de Marine Le Pen.
12:03Ce n'est pas de sa faute,
12:04c'est une situation.
12:05Mais cette situation,
12:06elle en dit long
12:07sur une évolution de la France.
12:08Et on refermera la page
12:09de Punch Time Weekend
12:10sur cette pensée
12:11pour Jacques Chirac
12:12de votre part,
12:13mon cher Nathan Dauvert.
12:14Merci de votre fidélité.
12:15Vous êtes toujours
12:16de plus en plus nombreux
12:17à nous suivre.
12:18Ça nous fait très plaisir.
12:19Merci à vous
12:20de m'avoir accompagné
12:21durant ces deux heures
12:22avec cette actualité très lourde
12:23et une grosse pensée,
12:24évidemment,
12:25pour la famille des Philippines.
12:27Merci à l'équipe
12:28qui m'a entouré.
12:29David Pougeol,
12:30Céline Génaud,
12:31Alexis Prince,
12:32Simon Guillin.
12:33Merci à la programmation
12:34Stéphane Fatoretto.
12:35Merci aux équipes
12:36en régie et réalisation.
12:37Ils étaient deux,
12:38Jean-Luc Lombard
12:39et Arnold Cara.
12:40À la vidéo,
12:41Philippe Gilbert.
12:42Au son,
12:43ils étaient deux,
12:44Jean-François et Lounès.
12:45Vous pouvez revivre
12:46cette émission
12:47sur notre site
12:48cnews.fr.
12:49L'info continue
12:50et sur Europe 1
12:51avec l'ami Pascal Latour-Dupin
12:52et sur CNews
12:53avec Philippe Devillers
12:54et Eliott Deval.
12:55À 12h,
12:56très précisément.
12:57La lumière sera allumée.
12:58Je compte sur vous
12:59passer une belle soirée
13:00sur nos deux antennes.

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