"Coupe de France des arbitres : les Ligériens brillent"
Nos Ligériens se distinguent dans cette nouvelle compétition, la Coupe de France des arbitres. La Loire domine la région Rhône-Alpes-Auvergne avec plus de 34 arbitres encore en lice.À noter, une performance remarquable au niveau national avec une 4ᵉ place lors du dernier tour. Une belle reconnaissance pour les talents de l'arbitrage ligérien !
"Rugby Club Forézien : un club en pleine dynamique"
Un échange avec Frédéric Gardon, président du Rugby Club Forézien, pour découvrir un club qui se distingue par ses équipes jeunes, ses projets ambitieux, et ses défis : résultats prometteurs pour les jeunes, adaptation difficile des seniors après une montée, et lancement d'une équipe féminine.
"Enduro - A la découverte du side-car Rallye"
Vincent BURRICAND et Aurélien SEYS du team les Re-Loups à Saint Maurice en Gourgois pratiquent le side-car en championnat de France des rallyes routiers. Nous sommes partis à la découverte de cette discipline et avons même eu la chance de monter à bord de cette machine aussi folle qu efficace. Rencontre avec des passionnés. Sensations garanties.
"Portrait de sportif – Oriane Vernay, championne du monde à Toronto"
À 27 ans, Oriane Vernay décroche le titre de championne du monde UFE de culturisme naturel à Toronto le 9 novembre dernier. Déjà auréolée de multiples titres en France et en Europe, elle se hisse cette année au sommet en représentant la FFFCN (Fédération Française de Fitness et de Culturisme Naturel). Portée par l'émotion de brandir le drapeau français, Oriane partage des anecdotes sur sa préparation, notamment sur la nutrition, et exprime sa volonté de transmettre ses connaissances et sa passion.
"Dans le Coin du Coach - Anas Azizoune : en route vers la ceinture Bantamweight chez l'Hexagone"
Anas Azizoune partage son parcours impressionnant en MMA, sa signature avec l'organisation Hexagone et sa préparation intense pour un combat de titre. Il nous livre ses défis, ses méthodes d'entraînement et sa vision du sport, tout en mettant en avant l'importance du soutien dans son ascension. Une plongée dans la discipline MMA à travers un athlète en pleine quête de succès.
"Liées pour Elles" : des défis au service d'un combat et un hommage poignant"
En 2018, Aline et Pauline fondent l'association « Liées pour Elles » pour soutenir leur nièce et tante dans leur lutte contre le cancer. Depuis, elles ont relevé des défis emblématiques, comme le Finland Trophy et le Trek'in Gazelles, collectant des fonds significatifs pour accompagner les femmes atteintes de cancer.
Dernièrement, Rico, qui les a tant inspirées, succombe à une longue maladie. En hommage à cet homme remarquable, huit femmes ayant partagé son combat participent au Fémina Aventure en Guadeloupe, perpétuant son esprit et sa mémoire à travers ce défi solidaire
Nos Ligériens se distinguent dans cette nouvelle compétition, la Coupe de France des arbitres. La Loire domine la région Rhône-Alpes-Auvergne avec plus de 34 arbitres encore en lice.À noter, une performance remarquable au niveau national avec une 4ᵉ place lors du dernier tour. Une belle reconnaissance pour les talents de l'arbitrage ligérien !
"Rugby Club Forézien : un club en pleine dynamique"
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"Enduro - A la découverte du side-car Rallye"
Vincent BURRICAND et Aurélien SEYS du team les Re-Loups à Saint Maurice en Gourgois pratiquent le side-car en championnat de France des rallyes routiers. Nous sommes partis à la découverte de cette discipline et avons même eu la chance de monter à bord de cette machine aussi folle qu efficace. Rencontre avec des passionnés. Sensations garanties.
"Portrait de sportif – Oriane Vernay, championne du monde à Toronto"
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"Liées pour Elles" : des défis au service d'un combat et un hommage poignant"
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Dernièrement, Rico, qui les a tant inspirées, succombe à une longue maladie. En hommage à cet homme remarquable, huit femmes ayant partagé son combat participent au Fémina Aventure en Guadeloupe, perpétuant son esprit et sa mémoire à travers ce défi solidaire
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00:00Bonsoir, bonsoir à tous et à toutes, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sports
00:22Set en compagnie du lycée Jacob Bolzer, on les applaudit bien fort ! Alors Sports Set,
00:27vous avez l'habitude, c'est toute l'actualité sportive de votre département, nous sommes
00:31à mi-parcours, nous sommes à 4 émissions de la fin de l'année quand même, et dieu
00:36sait que l'actualité sportive est très chargée ! Je vous demanderai de faire un tonnerre
00:40d'applaudissements pour Mathieu Boldouin ! Bonsoir, bonsoir à tous et à toutes, aujourd'hui
00:45on a été voir des vingt-vingts, on est sortis des chemins et de la boue, on a bien été
00:50sur le goudron, ils étaient deux sur une machine bizarre, c'est ainsi de car, vous
00:54allez voir, ça va être énorme au niveau sensation ! En face de vous, le plus musclé
00:57du groupe, Lilian Bard ! Bien sûr ! Bonsoir, bonsoir à tous, le concret de la semaine,
01:02Aurélien Vernet a 27 ans, la championne du monde de culturisme, elle était du côté
01:06de Toronto, et c'était il y a dix jours environ ! Mon consultant basket, Fendi Demir ! Bonsoir
01:11à tous et à toutes, on va parler plutôt de l'arbitrage, la Coupe de France des arbitres,
01:17c'est une nouveauté cette année, et du coup on va parler aussi du lycée Jacob Bolzer
01:23qui a une école d'arbitrage. On aura aussi la présence de Sylvain Thomas, dans les yeux
01:27du coach qui a rencontré notre combattant de MMA qui combattait ce week-end, on va voir
01:30les images, et on partira avec justement Thomas, voire il va partir à la découverte, du rugby
01:36club Faurezien, mais je vous demanderai d'applaudir pour notre invité, Aline Chortier !
01:42Ça va Aline ? Alors vous êtes là, c'est vrai qu'on se connaissait, on s'est vues
01:49sur les tournages, vous êtes aussi une très grande sportive, triathlète, coureuse, vous
01:54les côtes, ça ne vous fait pas peur vous une côte ? Moi si, ce week-end j'ai eu peur
01:58d'une côte ! Et vous avez créé en 2018, avec une collègue, Pauline ! Pauline qui
02:04est là dans le public, collègue de travail ! Collègue de travail aussi, beaucoup plus
02:08que ça ! Une assoce qui s'appelle ? Liée pour elle ! Elle est où Popo, que je la
02:12connais ? Popo, faites coucou ! On l'applaudit Pauline quand même !
02:20Alors pourquoi vous avez créé cette assoce ? Alors en 2018, on avait malheureusement
02:24sa tante et ma nièce qui étaient atteintes de cancer, et nous on s'est dit qu'on
02:28était en pleine forme, et on a eu envie d'aller se défier et récolter des fonds
02:32pour aider des femmes atteintes de cancer. On va voir une photo, vous n'êtes pas
02:36partie n'importe où, vous êtes partie en Laplandie ! En Finlande ! Au village du
02:42Père Noël ! Voilà c'est ça ! Et c'était quoi comme course ? Alors c'était un raid
02:46avec du ski de fond, avec du run and bike, des raquettes, on nous voit là en course
02:53en raquette. C'était sur combien de jours ? C'était sur 3 jours, et on courait par
02:57moins 35 quand même. J'imagine que la pratique du triathlon a servi pour ce genre
03:01de raid ? Bah oui c'est sûr, le mental, surtout le mental, voilà, et puis bon voilà
03:05le froid, parce que franchement… Comment ça traîne en France à moins 35 ? Bah on
03:09a fait la course au pilat dans la neige, on faisait un petit peu comme on pouvait. Et
03:13Pauline est une triathlète ? Alors pas triathlète mais coureuse à pied, et puis aussi elle
03:19fait du crossfit. Voilà, elle fait un peu de ça. Et vous avez décidé, parce qu'elle
03:23aime bien les extrêmes dans votre groupe, de partir là faire un nouveau raid, qui
03:29s'appelle ? En Guadeloupe, le Féminin Raid Aventure. Changement de température quand
03:33même. Et comment ça traîne en Allemagne ? Et bien à Saint-Guy-sur-Anvers, on a fait
03:37du kayak, puisqu'il y avait des épreuves de kayak. Il y avait quoi ? Alors on avait
03:41du kayak, du canyoning, de la descente en rappel, de la course à pied, de la course
03:45d'orientation, du coastering. Donc coastering c'est de la course soit dans le bord de
03:49mer, soit des fois dans les mangroves. On a fait aussi un banc dans la mangrove, on
03:53s'enfonçait vraiment dans la boue, c'était pas le plus agréable. C'était pas le plus
03:57agréable. Et on voit un totem, c'est pas Denis Brogniart qui est venu nous faire un
04:01coucou. Non, mais on était quatre équipes, quatre duos, et donc on avait la chance d'avoir
04:07dans le premier duo qui remporte la course, une triathlète qui était au jeu cette année,
04:13donc Léonie Perriot qui a participé au jeu, et qui était accompagnée de Juliette, et
04:17elles ont gagné. Elles ont performé, et c'est pour ça que vous avez ramené le
04:21totem. Exactement. Vous avez couru pour qui et pourquoi ? Alors pour cette course, en
04:26fait, pourquoi on a couru ? Malheureusement, mon mari est décédé en décembre 2023,
04:32et du coup, on était Éric. On l'appelle Érico. Les amis l'appellent Érico. D'ailleurs,
04:38toutes les teams avaient un petit nom. Oui, c'était la team Érico, et on avait tout
04:42un lien. C'était la Érico Family, la Érico Coach, la Érico Woman et la Érico Deuze.
04:47Éric était triathlète aussi. D'ailleurs, nous, on s'était rencontrés dans ce milieu-là,
04:53et on avait tout un lien plutôt sportif avec lui. Du coup, tout le monde a voulu lui rendre
04:58hommage, et c'était un passionné. Du coup, on s'est lancés dans ce défi. Vous courez
05:05forcément pour une maladie ? Non, pas forcément, pas du tout. Disons que tous les 2-3 ans,
05:11on essaye parce que c'est un gros investissement à Rennes, et à la fois sportivement, ça
05:16prend beaucoup de temps parce qu'on essaie de trouver aussi des sponsors, parce que l'idée
05:21aussi, c'est aussi de trouver des fonds pour aider des associations et de sensibiliser
05:26l'entourage. Cette fois, c'est pour ces dames-là qu'on va voir. Ça, c'est pour
05:31son mari. C'est Seb qui suit bien. C'est Éric. Voilà. Là, c'est le service B2
05:38de l'hôpital Georges Clodinon au Chambon-Fougerolles. Ils ont été exceptionnels. Quand on a décidé
05:45de faire le RAID, on a voulu leur donner à eux pour une première partie et on leur
05:51a acheté une pompe à morphine. On arrive à vraiment récolter de l'argent ?
05:55C'est du travail, vraiment. Nous, on a un gros réseau parce que c'est vrai qu'avec
05:59Pauline, si on a un commerce, on connaît beaucoup de monde, on a la chance d'être
06:02sur un petit village et on sensibilise. Saint-Paul-en-Jarret. C'est vrai qu'on sensibilise
06:06beaucoup de gens, on s'en touche par tout ce qu'on fait, le dynamisme qu'on peut
06:10avoir. Moi, je ne suis pas l'action, mais je trouve
06:13ça aberrant qu'en 2024, aujourd'hui encore, que dans les hôpitaux, on est obligé d'acheter
06:19une pompe à morphine, surtout en France. Je suis complètement d'accord. Et quand
06:23on expliquait ça, les gens aussi. Mais à la fois, on a demandé au service et elles
06:27auraient pu demander peut-être quelque chose pour elles et elles ont pensé en priorité
06:31aux malades. Et ça ne s'arrête pas là. Vous allez voir,
06:35vous avez un cœur qui est grand comme un éléphant. Il y a une personne, Saint-Paul-en-Jarret ?
06:40Oui, en même temps que pendant que mon mari était malade, c'est un copain qui était
06:44artisan sur Saint-Paul et qui a eu un accident et qui est tétraplégique aujourd'hui,
06:49qui a 32 ans. On préfère faire des actions de direct à direct plutôt que de redonner
06:57pour des soins ou autres. Comme ça, au moins, on sait à qui on donne exactement. Et là,
07:01Romain, tout de suite, on s'est dit que c'est lui qu'on veut aider et on va lui
07:05remettre aussi un chèque de 3 000 euros.
07:07Avec déjà d'autres objectifs rendus.
07:12Alors, on va regarder aussi. J'ai fait une petite capture écran des dons.
07:16On va le voir en plein écran. C'est compliqué. On a beaucoup d'associations.
07:21Qu'est-ce que vous avez envie de dire aux gens qui veulent se lancer ? C'est quoi
07:24les secrets pour y arriver ? Parce que quand on voit les sommes que vous avez récoltées,
07:28c'est pas mal.
07:30Après, c'est vrai qu'on génère une belle image parce qu'on est des femmes sportives,
07:37dynamiques et on a aussi envie de donner. Et je pense que les gens sont touchés par
07:42tout ça. Parce qu'on ne fait pas que juste du sport ou un raid. Là, au raid, il y avait
07:46des filles qui se sont fait financer leur raid et qui ne redonnent rien à nous.
07:50Notre but, c'est vraiment de financer une partie de notre raid. Des partenaires nous
07:55aident à financer après une petite partie. Mais notre but premier, c'est de vraiment
07:59courir pour redonner de l'argent.
08:01Il y a d'autres objectifs en vue ?
08:02Pas pour l'instant, parce que sans rien vous cacher, c'est quand même beaucoup,
08:06beaucoup d'investissement.
08:07Il y a une boîte à faire tourner aussi en même temps.
08:08Exactement. On est toutes les deux avec Pauline. Donc, on est aussi associés dans
08:12l'Institut. On travaille tout le temps ensemble. Et c'est vrai que forcément,
08:16pour aller récolter des fonds, ça prend du temps, de l'énergie. Et souvent, notre
08:20chiffre est un peu plus bas l'année du raid.
08:23Grâce à nous, ce soir, le message est passé. Vous allez avoir un don.
08:26Un grand don.
08:27J'espère.
08:28Un peu plus de cire.
08:29Oui, voilà. Pour un peu plus de clients, il faut venir à l'Institut, Julien.
08:33Venez à l'Institut. Vous restez avec nous, Pauline, dans quelques instants.
08:36Est-ce qu'en Guadeloupe, vous allez croiser des singes ?
08:38Non, pas de singes.
08:39Non, pas de singes ?
08:40Non, pas trop finalement. Pas tellement de…
08:41Eh bien, il y en a un à côté de vous. Vous allez voir dans quelques instants pourquoi.
08:44Bonsoir. Changement de casque.
08:54Parce que ça, c'est un casque de moto. Et toi, tu es spécialiste enduro.
08:58Non, ça, c'est un casque de route. On parle souvent de off-road, de chemin, de motocross,
09:03d'enduro, de trial. Et là, on a juste rencontré deux zinzins. Je n'ai pas d'autres mots.
09:09Et c'est très poli quand je dis ça, deux zinzins.
09:11Vous avez dit barjot tout à l'heure.
09:13Entre nous, on n'a rien. Mais c'est pareil, il y a un barjot.
09:15En fait, ils nous ont proposé d'aller à leur rencontre et de découvrir une nouvelle discipline.
09:21C'est quoi ?
09:22Je ne vais pas vous en parler. On va juste directement parler sur le sujet parce qu'il y a tout dedans.
09:27On revient après pour en discuter avec eux.
09:29Direction les alentours de Saint-Monais-le-Château, on va découvrir le sidecar, les rallyes routiers
09:35avec Vincent Buriquan et Aurélien Saïs. C'est parti, accrochez-vous.
09:43On est avec toi Vincent, Vincent Buriquan.
09:46On est au bord d'une route et on a une machine extraordinaire à nos pieds, un sidecar.
09:51Est-ce que tu peux nous présenter cette machine ?
09:54C'est sur une base d'une moto Hayabusa.
09:56C'est la première moto dans les années 1990-1999 qui est sortie, qui dépassait les 300 km heure.
10:02En cylindrée, 1300 centimètres.
10:04C'est la moto la plus coupleuse et la plus grosse cylindrée qui est adaptée au cycle.
10:09Parce qu'il faut quand même traiter tout ça.
10:11Justement, le panier, la barquette, la mise en place de ce prototype,
10:17j'imagine que c'est réfléchi et c'est pensé pour la performance.
10:20Ce sont des véhicules qui sont réceptionnés à titre isolé.
10:22Ils ont tous fait sur mesure, on l'a adapté pour le rallye.
10:25On a réparti les masses au plus bas pour avoir plus de performance, plus de freinage.
10:29On a joué sur les suspensions, etc. pour en faire un quart.
10:33Le rallye routier en side, ça consiste en quoi ?
10:35C'est une épreuve. Au championnat de France, il y a entre 4 et 6 courses par an.
10:39On part au début sur de la liaison, par rapport à l'automobile,
10:42où tu dois tenir une moyenne de 60 km heure.
10:45Ensuite, on arrive sur des portions chronométrées qui font à peu près 5 km
10:49où on est chronométrés sur route fermée.
10:51Il y a le chronomètre 5, 4, 3, 2, 1 et là, c'est Noël avant l'heure.
10:57C'est bon ? C'est bon ? Là, déjà, c'est énorme.
11:00En fait, il y a un aspect hyper physique.
11:03Je crois que le plus difficile, c'est une descente pleine de virages.
11:06C'est-à-dire que c'est tout le temps à l'accélération et ensuite au freinage.
11:09C'est un truc de zinzin, mais je crois que je ne suis pas fait pour être singe.
11:12Il y a un vrai singe. Montre-nous.
11:24Quel est le rôle du singe ?
11:26En premier temps, c'est sur le routier. Je suis là pour tenir la route,
11:30tenir les indications, avec le temps imparti, qu'on soit bien dans les clous.
11:35C'est un rôle de copilote.
11:37Après, en spécial, je suis là pour sauter d'un côté, de l'autre,
11:40pour mettre l'appui sur la roue, pour compenser, pour ne pas que ça glisse lève.
11:44Pour les virages à droite, on se sort comme ça.
11:47Tu es vraiment la tête au bord de la route.
11:49Quand on est à gauche, on est vraiment derrière le pilote
11:51et on met tout le poids possible pour que la motricité soit sur la roue.
11:54Si tu n'es pas coordonné, tu peux le pousser à la faute.
11:56Oui, carrément.
11:57Là, j'imagine que c'est une communication. Vous arrivez à vous parler ?
12:00Il y a l'intercom dans les casques ?
12:01En spécial, on ne se parle pas. Chacun son rôle et ça se passe très bien comme ça.
12:05Merci, Vincent. Merci, Aurélien.
12:08On espère que ça vous aura donné envie de découvrir cette carte.
12:10Je vous promets, ils sont fous.
12:12Qu'est-ce que c'est bon ? A bientôt.
12:14Qu'est-ce que c'est bon ?
12:15C'est vraiment bon.
12:16T'as eu peur ?
12:17C'est un mélange d'appréhension.
12:20Franchement, on ne va pas se mentir.
12:21T'as quoi ? T'as ça de la route ?
12:23On est vraiment à la tête et on prend confiance un petit peu.
12:26Au début, je n'avais pas forcément confiance en Vincent, clairement.
12:28Mais il m'a donné confiance.
12:30Excusez-nous, Vincent, mais c'est vrai.
12:31Tout de suite, on ne se connaît pas comme ça.
12:33Et on joue le jeu.
12:34Donc, on va vraiment à droite, à gauche.
12:36Très sincèrement, on a dû faire 10 km à peu près
12:38avant de rejoindre l'endroit où on a fait les images.
12:40J'étais en âge dans le casque.
12:43Il faut savoir qu'Aurélien, il fait 600 km sur une épreuve de rallye routier à peu près.
12:48Vous étiez à combien ?
12:50Là, on était sur route ouverte.
12:52Donc, on a respecté les limitations de vitesse.
12:55Plus ou moins.
12:56La moto, elle prend entre 170 et 180.
12:59Je crois que c'est ça, Vincent.
13:01Il n'y a pas encore le micro.
13:02Il arrive le micro.
13:04C'est entre 170 et 180 km heure de moyenne.
13:07C'est des motos, il nous disait dans le sujet,
13:09par novicesse de pointe, pas de moyenne.
13:11C'est des motos qui montent à 300 km heure.
13:13Mais elles sont repensées avec une démultiplication différente
13:16pour la performance en cette cas.
13:18Il y a Effendi qui avait peur.
13:19Non, mon gabarit, je rentre pas.
13:20Non, je rentre pas.
13:21Ne commencez pas à m'envoyer dans les trucs comme ça.
13:25Moi, je ne peux pas rentrer.
13:26Je vais casser l'habitacle.
13:27Je vais casser l'habitacle.
13:29Tu sais, Effendi, les images, je ne l'ai pas dit tout à l'heure,
13:31les images, elles sont signées Lilian Bard qui était avec moi.
13:33Au début, Vincent et Aurelien lui ont proposé de monter dedans.
13:36Non, non, je ne vais pas y aller.
13:38Et puis, à force, il s'est laissé tenter.
13:41Je ne suis pas très deux roues.
13:42Je n'aime pas ça, les deux roues.
13:43Mais comme là, il y en a trois.
13:45Comme là, il y en a trois.
13:46Du coup, j'aime bien.
13:47Et Effendi, pour le rassurer, il rentre ?
13:48Mais bien sûr.
13:49Il n'y a pas de problème.
13:50On peut aller faire un tour.
13:52C'est ça qui est bien.
13:54Moi, j'ai une question.
13:55On n'a pas développé ça dans le sujet, mais j'ai une question ce soir.
13:59Beaucoup de gens connaissent la moto, ont envie d'y aller.
14:01Le side, je ne sais même pas ce qu'on dit.
14:03On dit quoi ?
14:04Parce qu'il dit n'importe quoi.
14:05On peut dire les deux, il n'y a pas de souci.
14:06C'est plutôt confidentiel.
14:07Comment on vient ensemble à cette discipline ?
14:13On va dire que c'est l'envie de rouler différemment,
14:15de rouler avec un engin particulier, d'appréhender une nouvelle machine.
14:20Et Aurelien, à quel moment on se dit je vais faire 600 km par jour
14:24dans un panier avec un confort nul ?
14:27On ne réfléchit pas à ça.
14:28Un confort primaire, il n'y a rien.
14:33Pour la petite histoire, sur le routier, il y a une petite mousse
14:35qui doit faire 6-7 centimètres.
14:38Et en spécial, ils l'enlèvent.
14:39On ne sait jamais des fois.
14:41Donc, il n'y a vraiment rien.
14:42C'est hyper physique.
14:43Est-ce qu'il y a justement un entraînement physique ?
14:44Je crois que tu as couru d'ailleurs ce week-end pour préparer quelque chose.
14:50Mais quelle est la préparation physique ?
14:52Il n'y a plus de micro, donc c'est fini.
14:53Tu n'as plus de micro, c'est déjà fini ?
14:55Et les copains ?
14:56On va parler d'un vrai sport.
14:59Ne t'inquiète pas.
15:00C'est les Relous, l'association Les Relous Motards.
15:03Arrête de leur donner des surnoms comme ça.
15:04Ce n'est pas moi.
15:05C'est l'association qui s'appelle comme ça.
15:07C'est les Relous Motards.
15:10C'est du côté de Saint-Maurice-Angouron.
15:12On les applaudit.
15:15Allez, dans quelques instants, vous laissez votre place
15:18maturissement à l'invité défini des mers.
15:20Gilles.
15:26Alors, on va parler basket.
15:27Avant de parler de basket, s'il vous plaît.
15:29Remerciez un sport.
15:30Non, mais il n'y a pas un sport que je vais remercier.
15:32C'est que je regarde droit à la caméra.
15:34Ils sont très nombreux à nous regarder ce soir.
15:36Je passe le bonjour à toute l'équipe municipale,
15:39à tous les gens de la mairie de Saint-Germain-de-Pont.
15:41Tes nouveaux copains.
15:42Et les écoles.
15:43La Martine Barrière, je sais qu'ils nous regardent très nombreux.
15:45Je les salue.
15:46Parce que Philippe a changé d'école.
15:47J'ai changé d'école, voilà.
15:50Alors, on vous applaudit.
15:53Et vous lui remerciez le football devant Gilles.
15:56Gilles, bougez vos yeux.
15:57Non, mais c'est vrai.
15:58Je vais remercier le football.
15:59Pourquoi ?
16:00C'est très rare quand je remercie le football.
16:01Surtout le soir.
16:03Pour cette belle initiative qu'ils ont eue.
16:06On voit l'affiche là de la Coupe des Frances des Arbitres.
16:09Gilles Sanfilippo, vous êtes membre du comité de basket de la Loire
16:11et vous gérez la commission des officiels.
16:14Est-ce que vous pouvez nous parler rapidement de ça ?
16:16Mais très rapide dans un premier temps.
16:18C'est pas assez rapide.
16:19Comment l'arbitre, c'est quoi ?
16:21Comme on l'a pris au football, c'est ni plus ni moins pour fidéliser nos arbitres.
16:24Fidéliser nos arbitres.
16:25On va en parler tout à l'heure.
16:26Pourquoi ?
16:27Parce que là, ce que j'aimerais faire un petit retour,
16:29c'est sur le lycée à Fermier, Jacob Holzer,
16:32où vous formez des arbitres à travers une classe sport-études.
16:37Sport-études, oui.
16:38Sport basket, sport arbitre.
16:41Ça aussi, par contre, le foot, ils sont derrière nous,
16:43parce que je pense qu'on est le seul sport dans la Loire
16:46à avoir une section arbitre avec l'école.
16:49Oui, on est le seul sport dans la Loire,
16:51on est le seul sport basket dans la Ligue
16:54et on n'est que trois en France.
16:55Ça fait combien de temps ?
16:56Plus de dix ans maintenant.
16:57On était les premiers à l'avoir eu.
16:59La Loire nous a un petit peu copiés.
17:02On a fait deux écoles également.
17:04Quand on est fini de fidéliser les arbitres,
17:06pourquoi il y a un problème d'arbitrage ?
17:07C'est comme dans tous les sports.
17:08Où ça vient des parents ?
17:09De Pauline qui crie sur les bancs de terrain.
17:11Je vous ai entendu, Pauline.
17:12Vous hurlez, c'est pas bien sur les arbitres.
17:14Les incivilités, c'est la première raison
17:17pour que les arbitres arrêtent.
17:19Mais il faut aussi les fidéliser
17:20parce qu'on a eu des obligations fédérales
17:22pour les clubs de fournir des arbitres.
17:24Sinon, on paye des amendes.
17:26C'est un certain nombre d'arbitres par club ?
17:28Oui.
17:29T'es obligé, sinon il y a des amendes.
17:31C'est pareil entre triathlons ?
17:33De ce fait, on a eu un gros nombre d'arbitres,
17:36sauf qu'il faut les fidéliser
17:37parce que les gamins, si on n'est pas derrière eux,
17:38ils arrêtent.
17:39Ils ont peut-être envie de jouer aussi.
17:43Ils jouent, la plupart sont derrière.
17:46Donc, on a quelques élèves.
17:49Et puis, on a le proviseur adjoint,
17:52qui était ancien arbitre en plus,
17:54NF1.
17:55NM2, NF1.
17:56Il a la constance.
17:57Quand il est arrivé vers moi,
17:58j'ai dit ça, c'est un arbitre.
17:59Il doit faire peur quand il doit avoir sifflé.
18:01Du coup, la cadence, c'est comment ?
18:03C'est tous les vendredis, il me semble ?
18:05Tous les vendredis après-midi et tous les mercredis.
18:07Donc, les horaires sont aménagés au niveau de leur sens.
18:09Ils ont trois heures d'arbitrage par semaine.
18:11D'accord.
18:12Pour en revenir à la Coupe de France des Arbitres,
18:14on en a un qui est encore qualifié.
18:16Expliquez-nous déjà en quoi consiste
18:18cette Coupe de France.
18:19J'ai trouvé ça génial, l'idée.
18:21On avait l'obligation de fédériser.
18:23Le comité a mis des choses en place,
18:25du style les évaluations, les stages, etc.
18:28Et la fédération a voulu faire prendre
18:30la part du gâteau également.
18:31Ils ont créé la Coupe de France Arbitre
18:33qu'ils ont prise au football.
18:35Alors, comment ça se passe ?
18:36Parce que vous m'avez dit, ils sont chez eux.
18:38Ils servent leur ordinateur.
18:41C'est comment ça se passe ?
18:42C'est du télétravail ?
18:44Arbitre télétravail.
18:45Donc, tout arbitre départemental et régional
18:48pouvait s'inscrire.
18:49Sur la France, plus de 1 000 arbitres
18:51se sont inscrits.
18:52Donc, on a cinq tours où ils sont à la maison,
18:54devant leur ordinateur, à répondre à des questions.
18:57Chaque fois, il y en a 50 % qui sont sortis
19:00de la course.
19:02On va comme ça jusqu'au 16e de Fénal.
19:04Et après, c'est un système,
19:05on en parlait tout à l'heure, de battle.
19:06C'est un arbitre de la Loire, par exemple,
19:08va faire une battle contre un arbitre de Paris.
19:12Et après, à la finale, on trouve quoi ?
19:15Jusqu'à demi-finale.
19:16Après, les demi-finales vont avoir lieu en battle également,
19:18mais à la Fédération.
19:20On a une Nigerienne, je crois que j'ai vu passer.
19:22Elle est là, Estelle Payet.
19:23Estelle Payet qui a fini première au deuxième tour.
19:26C'est pas mal, ça !
19:27Première de France au deuxième tour.
19:28Le troisième tour sera pareil,
19:29c'est à la maison, tranquille, devant l'ordinateur ?
19:31Jusqu'au cinquième tour.
19:32Et après, ça sera au huitième quart,
19:35demi et finale à Paris.
19:36Et la finale, où ça, à Paris ?
19:37Les demi-finales à Paris et également la finale.
19:39Lors de la finale de la Coupe de France.
19:41Et le jour de la Coupe de France,
19:42ces arbitres suivront les arbitres de la finale de la Coupe de France.
19:45Et chaque fois qu'ils passent un tour,
19:46ils gagnent quelque chose ou pas ?
19:47Jusqu'au 16ème, non.
19:49Après 16ème, normalement, ils ont des tenues.
19:52La Fédération offrira à tous les qualifiés une tenue,
19:56des dotations, mais également leur club.
19:58Justement, pour mettre en valeur le club.
20:01Justement, les arbitres ne sont pas mis en valeur dans les clubs,
20:04donc la Fédération va inciter les clubs
20:06à mettre en valeur.
20:07Donc, les mettre également, eux, en valeur.
20:09Alors, avoir de nouveau des arbitres,
20:11c'est aussi grâce au travail...
20:13Ils sont bien habillés maintenant ?
20:14Non, mais oui, ils sont très beaux.
20:16Mais c'est grâce aussi au travail que vous faites,
20:19en partenariat avec ce lycée.
20:21On espère qu'il y en aura d'autres sections qui vont s'ouvrir.
20:24Et on a le petit jeune derrière,
20:25je ne me rappelle pas de son prénom,
20:26qui est qualifié, lui, pour le troisième tour.
20:28Lève la main !
20:29Tu pompes pas !
20:30Il n'y a pas de tricherie.
20:32Non.
20:33Donc, on espère que ça ira lent.
20:35En tout cas, Gilles, c'est une très bonne initiative.
20:38Encore un message à faire passer à nos téléspectateurs,
20:40vous qui êtes au bord des terrains.
20:42Les parents, on disait souvent les incivilités.
20:45Aujourd'hui, on ne peut pas...
20:47On a besoin de ces arbitres,
20:48parce qu'ils font partie du jeu.
20:49Et sans les arbitres, on n'a pas de match.
20:51On ne peut pas jouer.
20:52Ce n'est pas intéressant.
20:53Donc, comment, qu'est-ce que doivent faire les parents ?
20:55Moi, j'insiste vraiment sur les parents,
20:57parce que je vois des choses, parfois...
20:58Mettre des rugbymans dans les gradins ?
21:00Non, mais à 12-13 ans, sur des U13,
21:02on ne peut pas crier après des arbitres,
21:04en plus, quand on joue en département.
21:06Ça n'arrive pas tout le temps, Gilles.
21:08Ça arrive, mais pas tout le temps.
21:11De plus en plus, mais ce n'est pas non plus ça,
21:13tous les samedis.
21:14Et si on parle aux parents ?
21:15Ils arrivent à redescendre un peu ?
21:16Oui, oui.
21:17Au niveau basket, ça va encore.
21:20Mais c'est de plus en plus compliqué.
21:22Le pire, c'est chez les triathlètes.
21:24On le redit, vos enfants ne seront pas
21:26des Tony Parker, forcément.
21:28Pas tous.
21:29Pas tous.
21:30Donc, respectez l'adversaire,
21:31respectez le jeu,
21:32et surtout, respectez les arbitres.
21:34Voilà le message que je voulais faire passer.
21:35Et bien, vous savez quoi ?
21:36Dans quelques instants,
21:37on va entendre la bossa nova.
21:39Parce que c'est en bref.
21:40Vous restez avec nous, Aline.
21:41Merci à vous, Gilles.
21:42Merci beaucoup, Gilles.
21:43Merci beaucoup, le lycée Tchaikovskaya.
21:52C'est le retour de Maxime.
21:53Ça fait bien.
21:54Allez, trois minutes pour parler
21:55de ce qui s'est passé ce week-end.
21:57On va parler ping.
21:58On parle de tennis de table.
21:59Là, je change ma casquette,
22:01au tennis de table.
22:02Il faut savoir qu'il y a un Ligérien
22:05qui a brillé aux WTT Finals.
22:08On voit les Frères Lebruns,
22:09qui sont maintenant
22:10numéro 1 mondiaux en double.
22:12Ils ont gagné ces Masters
22:13si on compare au tennis.
22:14Mais il y a un Ligérien,
22:15c'est Florian Bourrasso,
22:17accompagné d'Esteban Dor.
22:18Florian Bourrasso,
22:19il est licencié au Loire-Nord TT.
22:20Ils sont juste 11e mondiaux en double
22:22et ils ont perdu contre les Frères Lebruns
22:24en demi-finale.
22:25Donc, c'est juste énorme.
22:26Les Frères Lebruns
22:27qui seront là en décembre ?
22:29Ils seront là, on ne sait pas.
22:30Il y a l'entente Montpellier-Nîmes
22:32qui joue le Loire-Nord TT
22:33le 17 décembre.
22:34On croise les doigts
22:35et là, je me porte volontaire pour y aller.
22:37Et si je peux taper des balles
22:38avec les Frères Lebruns,
22:39ce sera avec grand plaisir.
22:40On a la réponse bientôt.
22:41On sera le jeudi.
22:42Moi, j'étais du côté de Fermini
22:43puisque j'ai amené mon fils
22:44à jouer au Rwanda
22:45et j'ai vu des voitures.
22:46Et c'était forcément…
22:47Mais ce n'était pas Fermini,
22:48c'était du côté de l'Arena.
22:49Ah non, je pensais,
22:50elle parlait à moi
22:51pour le rallye des Noix.
22:53J'ai le droit quand même
22:54de me lancer mes trucs, non ?
22:55Voilà, c'était le rallye des Noix.
22:57Vous avez suivi un petit peu,
22:58a priori ?
22:59David Salanon !
23:00David Salanon,
23:01puis il y avait un enduriste
23:02à ses côtés.
23:03C'était Florian Perret.
23:04Ils ont fait un petit pari
23:06tous les deux.
23:07Florian Perret a amené
23:08David Salanon en enduro
23:09et la récompense
23:10c'était de faire un rallye.
23:11David, il a roulé sans notes
23:12puisque Florian a juste été spectateur.
23:14Il n'a pas lu les notes
23:15sur ce rallye
23:16et il l'emporte pour un rien,
23:17je crois, face à Thibaut Cellier.
23:19Moi, je n'ai rien dit
23:20mais c'est ça, 0,3 secondes.
23:21Alors que Thibaut Cellier
23:22cale au départ de la spéciale
23:23numéro 7
23:24et perd 7 secondes.
23:25C'était moi.
23:26Mais là, on parle de mécanique.
23:28Donc, interne en sport mécanique
23:30et en ping, c'est moi.
23:31Certainement l'invité
23:32de Jean-Louis Favergeon.
23:33Et c'est à vous !
23:34Tu veux me parler du home,
23:35par contre ?
23:36Non, je vais parler du home.
23:37On était du côté de l'aréna
23:38ce week-end.
23:39Alors, je ne sais pas
23:40si vous avez vu.
23:41L'aréna, il n'y a pas que le basket,
23:42le scab à l'aréna.
23:43Il y avait l'équipe
23:44de France féminine.
23:45Nos filles
23:46qui ont été
23:47vice-championne olympique
23:48à Paris.
23:49Elles étaient là
23:50dans le cadre du tournoi de France.
23:52Elles rencontraient l'Espagne.
23:53Malheureusement,
23:54c'est une défaite
23:55d'un petit pas.
23:5628 à 27.
23:57Voilà.
23:58Lilian ?
23:59Non, pas là-dessus.
24:00Moi, je n'ai pas de brèves
24:01parce que du coup,
24:02on est resté sur trois brèves
24:03mais du coup,
24:04comme on était sur l'aréna
24:05de Saint-Etienne-Métropole,
24:06je sais que c'est déjà
24:07guichet fermé
24:08mais par contre,
24:09c'est complet depuis.
24:10C'est le game ce week-end.
24:12N'oubliez pas, vendredi,
24:13regardez au moins le résultat
24:14face à la compétition
24:15de la semaine prochaine.
24:16Le retour du grand derby
24:17ligérien au basket.
24:18Exactement.
24:19On continue dans quelques instants
24:20l'émission
24:21avec les yeux du coach.
24:22Aline, pour finir,
24:23ça y est,
24:24on revient à Guadeloupe.
24:25On sent encore le meneuil.
24:26J'ai senti que ça sentait
24:27le meneuil là-bas.
24:28Ça y est,
24:29c'est fini pour vous
24:31ou il y a la distribution
24:32d'échecs prochainement ?
24:33On le fait le 8 décembre.
24:34Dimanche 8 décembre.
24:36On invite Romain,
24:38le personnel de Claudinon,
24:40un peu nos partenaires,
24:42les gens qui ont un petit peu
24:43aidé aussi avec nous.
24:45Et tout à l'heure,
24:46quand vous m'avez demandé,
24:47Julien, comment on récoltait
24:48nos fonds aussi,
24:49j'ai oublié de dire
24:50qu'on a organisé
24:51des cours de sport
24:52et que toutes les filles
24:53au village
24:54et clientes sont venues.
24:55On a organisé peut-être
24:567 ou 8 ateliers sportifs
24:58et les clientes payaient
24:59une somme,
25:00les participantes,
25:01et ça nous a permis justement
25:02de remettre ces 3 000 euros
25:03à Romain.
25:04On va vous faire gagner de l'argent.
25:05On va aller à l'équipe de sportettes
25:06dans votre institut.
25:07Vous faites des épilations,
25:08des massages.
25:09C'est un ours.
25:10Il n'y a pas de souci.
25:11Pas de problème.
25:12Je fais des blind tests.
25:13On épile les cyclistes,
25:14les triathlètes.
25:15Ce n'est pas gênant.
25:16Tout est fait en 10.
25:17Vous étiez 8.
25:18Juste pour les nommer,
25:19il y avait ?
25:20Le premier duo,
25:21Juliette et Léonie.
25:22Après moi,
25:23je faisais avec Magnès
25:24qui est aussi là dans le public.
25:25Marie.
25:26Ensuite Pauline et Marie-Lyne.
25:27Et puis Catherine
25:28et sa fille Louise
25:29qui vit à Dubaï
25:30qui sont venues pour la course.
25:31Merci à vous.
25:32Merci à vous.
25:33Merci à vous.
25:34Merci à vous.
25:35Merci à vous.
25:36Merci à vous.
25:37Merci à vous.
25:38Merci à vous.
25:39Alvin,
25:40à très vite.
25:41Vous laissez votre place.
25:42Vous allez voir un grand chevelu.
25:43Sylvain Thomas.
25:44Ça va Sylvain ?
25:45Ça va.
25:46Bonsoir Julien.
25:47T'es content ?
25:48T'es prêt ?
25:49T'es sur les starting blocks ?
25:50Sur les starting blocks.
25:51Avant de combattre,
25:52tu sais qu'il faut faire
25:53un peu de muscu.
25:54Bon.
25:55Oui.
25:56Non,
25:57c'est pour lancer.
25:58D'accord.
25:59C'est bien.
26:00Merci.
26:01J'allais faire des pompes.
26:02C'est fini.
26:03Il y a trop de sucre en Réunion.
26:04J'allais faire des pompes.
26:05Portrait sportif.
26:06Oui,
26:07on aime bien les dragéistes.
26:08Je voulais nous faire des demandes.
26:09Il n'y a pas de problème.
26:10Envoyez.
26:11Orianne.
26:12Orianne Vernet,
26:13bien sûr,
26:1427 ans,
26:15qui est championne du monde
26:16de culturisme.
26:17Elle était à Tonroto
26:18il y a deux semaines.
26:19Elle est rentrée,
26:20pour tout vous dire,
26:21elle est rentrée mardi
26:22et mercredi,
26:23j'ai eu la chance de la rencontrer
26:24du côté de mon brison
26:25à Energyme,
26:26la salle de sport
26:27où elle est depuis quelques temps.
26:28Vous avez un bon réseau.
26:29Vous avez des bons contacts.
26:30Oui.
26:31Tout de suite,
26:32le lendemain.
26:33Oui,
26:34pas mal.
26:35Pas mal.
26:36C'est le militaire.
26:37Ça va très vite,
26:38les internets.
26:39Le culturisme,
26:40c'est un sport quand même phare
26:41dans la Loire.
26:42Ce n'est pas la première fois
26:43qu'on parle de culturisme.
26:44Il y a un avis.
26:45On en parle souvent,
26:46mais parce qu'il y a
26:47énormément de disciplines.
26:48Il y a le bikini,
26:49le body,
26:50il y a en fonction
26:51de comment on est égalité.
26:52Aline est partie,
26:53on ne parle plus
26:54de l'Institut de beauté là.
26:55Non,
26:56je parlais
26:57de la musculature.
26:58Et là,
26:59on est en quelle catégorie ?
27:00Donc là,
27:01on est en bikini,
27:02on est en sport,
27:03on est en sport,
27:04on est en sport,
27:06et on est en bikini.
27:07Voilà,
27:08on était en bikini au début.
27:09Mais non,
27:10mais il y a plein de catégories,
27:11ça change à chaque fois.
27:12Il faut se dépêcher.
27:13Oui,
27:14on va lancer le sujet
27:15et puis après on reviendra
27:16sur les anecdotes
27:17et les bikinis.
27:18Voilà.
27:19Salut,
27:20c'est Orion Vernet.
27:21Je suis championne du monde
27:22UFE en culturisme.
27:23Ça a commencé
27:29pendant mes études de STAPS
27:30à Saint-Étienne.
27:31Ça devait être en 2015
27:33que j'ai débuté.
27:34J'ai bouffé pas mal
27:35musculation, d'haltérophilie.
27:37La toute première personne à m'avoir parlé des compétitions,
27:39c'est mon patron, du coup, c'est Renaud, qui m'avait à l'époque en stage.
27:43Et il m'a dit, tiens, tu pourrais peut-être avoir certaines prédispositions
27:46ou un physique qui pourrait le faire pour peut-être te lancer dans des compétitions.
27:50Au tout début, je ne connaissais pas trop, donc j'ai testé surtout du bikini.
27:54Donc j'étais vraiment sur la catégorie, on va dire, la plus light en culturisme.
27:58Et pour la FFCN, du coup, je suis en bikini athlétique,
28:02c'est un peu plus musclé qu'un bikini classique,
28:05mais un peu moins que des catégories body.
28:08Quand on m'a dit, oui, t'es qualifié pour les championnats du monde,
28:10mais ils se déroulent au Canada, je me suis dit, ouf,
28:12ouais, c'est un petit peu loin quand même, j'ai pas forcément le budget pour y aller.
28:15Puis au final, il y a plusieurs adhérents d'ici qui m'ont dit,
28:19mais t'imagines, t'es quand même qualifié pour les championnats du monde,
28:22enfin, fonce, vas-y, ça va peut-être jamais se représenter.
28:25Allez, je me lance, je n'étais pas à l'aise avec ça,
28:27j'ai ouvert une cagnotte litchi, j'ai mis une petite tourne dans la salle.
28:30Puis au final, il y a beaucoup de monde qui ont participé.
28:32Moi, j'étais déjà qualifiée pour la catégorie pro en women's fitness model.
28:36Donc, c'est deux passages sur scène,
28:39un passage costumé ou en tenue de sport
28:42et un panneau de passage qui est du coup en bikini classique.
28:46Je ne pensais vraiment pas ramener un titre là-bas.
28:53Avant la compétition, on a quand même un régime hyper strict.
28:55Donc, j'avais préparé toutes mes gamelles pour deux jours.
28:59Puis, je suis partie, puis j'arrive à Valence.
29:01Et puis, elles sont où mes gamelles ?
29:03Elles étaient restées dans le frigo.
29:05Du coup, nous voilà arrivées en pleine soirée à devoir faire des courses,
29:08refaire à manger, re-tout peser.
29:10Franchement, je les avais un peu là, mais au final, c'est assez rigolo quand je y repense.
29:17Forcément, c'est celle où je brandis le drapeau.
29:20Je me disais, je ne vais pas le sortir.
29:22Puis, pouvoir le prendre, le brandir, franchement, ça fait quelque chose.
29:29Quand je suis stressée avant de monter sur scène,
29:31j'essaie toujours de me rassurer en parlant à mes athlètes
29:34que ça sent en français ou en anglais.
29:35J'essaie de leur parler.
29:36Je dis peut-être n'importe quoi,
29:38mais ça me permet d'évacuer mon stress avant de monter.
29:42Maintenant, je sais qu'il y a une autre compétition qui va se dérouler sur mon brison
29:45avec la FFF CN en 2025.
29:47Et puis après, continuer à me faire plaisir sur d'autres compétitions,
29:51par passion surtout.
29:53Voilà.
29:55Le N voulait dire naturel.
29:57Elle fait partie de la FFF CN.
30:00C'est la Fédération française de fitness et de culturisme naturel.
30:02Avec Aline, on se disait ça.
30:04Moi, franchement, à mon goût tout à fait personnel...
30:06Si c'est un tiers du monde, allez-y.
30:08De toute façon, je parle, je dis ce que je veux.
30:09C'est que je trouve que c'est beaucoup plus gracieux que certains...
30:14C'est comme dans un musée.
30:15On aime, on aime pas, mais voilà.
30:17C'est ce que j'ai dit, Julien. C'est un titre personnel.
30:19On m'avait demandé si elle était stressée quand elle montait sur scène.
30:22Et elle a dit, toujours un petit peu, parce que ça reste la compète.
30:25Mais le taf a été fait, en fait.
30:26On est vraiment sur un sport où le job, il se fait vraiment avant.
30:31Oui, mais c'est dur parce que tu vois les collègues,
30:33tu jettes un petit coup d'œil.
30:34Il n'y a plus qu'à gérer le posing.
30:36Voilà, le posing, on travaille le posing.
30:38Merci à vous, Lilian, dans quelques instants.
30:40Ça y est, c'est les yeux du coach.
30:41Faites gaffe, il met ses lunettes, là.
30:43Il filme.
30:48Il vint, Thomas.
30:49Comment allez-vous ?
30:50Ça va.
30:50Vous avez compris mon lancement ?
30:52Vous avez compris que maintenant, c'est à vous ?
30:53Mais non, c'est à moi.
30:56Il vient d'arriver, fais attention, branche le pateau.
30:58Dans le coin du coach, on reçoit Anastasie Zoun,
31:01un combattant de MMA.
31:04Et pas les assurances.
31:05Mixed Martial Arts.
31:06Voilà.
31:07On est vraiment sur un coureur du...
31:08Mais avant, il n'a pas fait que de la MMA.
31:10Il vient du pied-point.
31:11Pied-point.
31:11Je le connaissais beaucoup.
31:12De toute façon, en MMA, ils ont tous des spécialités en amont, maintenant.
31:15De toute façon, il faut vraiment qu'il touche à toutes les disciplines.
31:18Justement, vous l'avez rencontré avant son combat qui avait lieu ce week-end.
31:22Je vous le presse parce qu'il nous reste à peine 7 minutes
31:24et un autre chroniqueur, quand même.
31:25Il est là, Thomas.
31:26Ah, mon Thomas, il est prêt.
31:28Vous l'avez rencontré il y a quoi ? 15 jours, 3 semaines ?
31:30Oui, il est venu nous parler de son parcours parce qu'il est assez atypique.
31:33En fait, il a commencé à Miami et il est revenu en France
31:35parce qu'il a signé dans une des plus prestigieuses organisations françaises,
31:40l'Hexagone.
31:41Et là, il boxe pour la ceinture ce week-end.
31:43Vous l'avez rencontré en toute intimité et en débrief après.
31:46Allez, c'est parti.
31:48Dans le coin du coach, on reçoit Anastasie Zoun.
31:51On parle MMA.
31:52Après un passage aux Etats-Unis, il revient en France
31:55avec une signature dans l'une des plus prestigieuses organisations françaises,
31:59l'Hexagone.
32:00On va parler ceinture.
32:01Mais pas que.
32:01Gameplan, technique, qu'est-ce que c'est qu'un striker ?
32:04Vous l'aurez compris, la tentative.
32:08Salut Anastasie.
32:09Tu vois, la forme.
32:10Et toi ?
32:11Bah écoute, est-ce que tu peux te présenter ?
32:13Moi, je te connais.
32:15J'ai une cinquantaine de combats, 48 victoires,
32:18une défaite, un match nul.
32:19J'ai été deux fois champion du monde,
32:22multiple deux fois champion de France full contact et karaté contact.
32:26Et j'ai fait ma transition en MMA où actuellement,
32:28je suis à cinq combats, cinq victoires, dont trois avant la limite.
32:31Tu as attaqué tes armes en MMA aux Etats-Unis quand même.
32:34Exactement.
32:35J'ai eu mes premiers combats aux Etats-Unis,
32:36donc j'ai commencé fin 2022.
32:39J'ai fait mon premier combat aux Etats-Unis, à Miami,
32:41dans la belle organisation du combatté global.
32:44Ça m'a permis de voir d'autres styles.
32:46Comment tu pourrais te définir en tant que striker ?
32:49Un striker avec une technique chirurgicale.
32:51Donc, je noie mes adversaires.
32:52Puis, soit je finis à la décision, soit je finis juste avant
32:55parce qu'ils ont succombé à la pluie.
32:57Du coup, tu nous as fait une belle transition.
32:59L'Hexagone, tu peux nous en parler ?
33:01L'Hexagone, pour ceux qui ne connaissent pas,
33:03c'est la plus grosse organisation française,
33:06on peut le dire, une des plus grosses en tout cas.
33:07Tu es là pour nous annoncer quelque chose de magnifique ?
33:10Le combat pour la ceinture des 61 kilos.
33:13Contre ?
33:13Contre Barry Sadigussel.
33:15Striker aussi ?
33:16Ouais, gros striker.
33:17Lui, c'est plutôt un striker de force.
33:20Tu peux nous remettre dans le contexte ?
33:21Les strikers, c'est quoi ?
33:22Pour être simple, en MMA, en fait, il y a trois phases.
33:25Il y a le striking, la lutte et le sol.
33:27Le striker, c'est celui qui va rester debout.
33:29Et Barry, comme moi, on est issus de boxe pieds-points.
33:33On a la même origine.
33:34Faut qu'on s'attende à un combat purement debout ?
33:38Pour moi, ça serait super bien.
33:40Et pour les fans aussi, parce qu'on sait que c'est ce qu'ils demandent.
33:43Donc, ça ne me dérange pas.
33:44Bon, comme à l'habitude,
33:46soit une actu, mais tu m'as tellement donné,
33:48soit ta petite spéciale.
33:50Moi, j'aimerais bien une petite spéciale.
33:51Un petit tips pour le combat ?
33:53Tu manges ?
33:54Allez, pas de souci.
33:55Tu ressources un extérieur, un jab,
33:57un jab,
33:59et je reviens.
34:00Franchement, super judicieux,
34:01parce que le fait de partir sur ma jambe avant, ma jambe gauche,
34:05il me crée une ému-vigilance.
34:07Et par contre, il m'handicape le côté fort.
34:10Donc là, boum.
34:11Là, on voit, il coupe.
34:12Là, boum.
34:14Et là, je prends confiance, je rentre et je prends le genou.
34:17Le fait de me garder toujours dans sa garde,
34:20lui, il a la possibilité de se déplacer pendant.
34:23Tu dois kick, un coup.
34:26Merci.
34:27Merci à toi.
34:28Dans ces sports, on a beau préparer,
34:30ça ne se passe jamais comme ça.
34:31Moi, quand je prépare une course, ça ne se passe jamais pareil.
34:34Des fois, il y a des côtes.
34:35Je ne l'avais pas vu.
34:36Et puis, il ne faut pas oublier que nous, on prépare,
34:39puis l'adversaire prépare aussi.
34:40Et après, qui va amener l'autre dans son domaine ?
34:43On voit les images ?
34:44C'était ce week-end.
34:46On avait peur parce qu'effectivement,
34:47KO en moins de 50 secondes à droite pour son adversaire.
34:50Il jouait le temps et alors, ça donnait quoi ?
34:53Alors, à savoir que ces deux adversaires,
34:57à la fois très similaires.
35:00Pourquoi il est au sol déjà ?
35:02Eh bien, parce que du coup, en fait, il a testé une amenée en lutte
35:08et il s'est fait parer.
35:10En fait, Baris...
35:11Il s'est pris un impact sur le retour de lutte.
35:13Il a fait un retour de lutte et il a envoyé l'hupercute gauche.
35:17Il est gauché, Baris.
35:19C'était très judicieux de la part d'Anas
35:21parce qu'il l'emmène en lutte sur son point faible,
35:24sur son côté droit, sauf que Baris, avec son expérience...
35:29Là, il l'a tapé dans le plexus solaire
35:31et ça, c'est considéré comme un KO ?
35:32Oui, bien sûr.
35:33Bien évidemment, c'est même un des plus violents.
35:36Alors, vous m'avez dit que vous en avez pris des KOs.
35:38Alors, dit le meilleur KO, c'est celui où tu dors ?
35:41Alors, en fait, non, il n'y a pas de meilleur KO,
35:44mais lui, en fait, c'est le plus anxieusène
35:46parce qu'en fait, tu es conscient de tout.
35:50Tu ne peux plus respirer.
35:51C'est très douloureux.
35:52Ça te bloque la respiration ?
35:53Ça bloque la respiration et il faut compter 30 secondes.
35:56Donc là, il se protège.
35:57L'arbitre, il arrête direct parce que bon...
36:00Ça, il ne peut rien faire.
36:01Oui, et puis l'arbitre, je pense qu'il a vu, il a percuté.
36:05Donc, c'est une erreur de positionnement.
36:07Anas s'est mal positionné.
36:09C'est une erreur ou c'est vraiment...
36:10Alors, on ne peut pas dire que c'est une erreur.
36:11Alors, soit Baris, il a répété...
36:15Il a travaillé ça.
36:16Soit vraiment, c'est au feeling et c'est un coup de chance
36:20parce qu'Anas, en fait, il part vraiment du bon côté.
36:22Il part sur le côté faible et il l'amène au sol pour tempérer
36:27parce qu'Anas, voilà, il nous a bien expliqué que Baris...
36:30Il avait envie de tenir les 5.
36:33C'était des 5 x 5 minutes.
36:345 x 5.
36:36Est-ce que vous avez pu avoir Anas ou pas ?
36:38Oui.
36:38Ah oui ?
36:39J'ai eu un petit retour.
36:40Donc, il nous a fait l'honneur de débriefer à chaud.
36:44Donc, si on peut avoir les images...
36:47Bien sûr, regarde, on va l'écouter.
36:50Alors, physiquement, ça va.
36:51Pas trop de bobo, donc ça va de ce côté-là.
36:54Et mentalement, écoute, comme tu le sais,
36:56j'ai subi ma première défaite.
37:00Ma première vraie défaite, même, je dirais,
37:03en carrière de MMA et dans ma carrière de jeune combattant tout court.
37:08Je n'ai pas pu m'exprimer ce soir-là.
37:10Donc, c'est assez difficile à avaler.
37:12Mais c'est comme ça, c'est la loi du sport.
37:14Déjà, j'ai un mot à dire au public qui me suit.
37:19Merci beaucoup parce que ça fait vraiment plaisir d'être soutenu.
37:23Désolé de ne pas avoir été à la hauteur.
37:26C'est malheureusement un sport très ingrat.
37:29Quand on gagne, il y a beaucoup de personnes.
37:31Et quand on perd, c'est là où on voit qui est solidaire.
37:36J'ai reçu énormément de messages.
37:38Donc voilà, je remercie tout le monde.
37:40Bon état d'esprit.
37:41On voit sa maturité.
37:42On sait qu'il va vite rebondir parce qu'il y a...
37:44Après, c'est le combat.
37:45On en parlait avec l'ailleurs.
37:46Nous, on était dans les sports de combat.
37:47Des fois, on y allait, on repartait.
37:50Des fois, oui.
37:51On y lit, c'est le dimanche.
37:53Il a une super mentalité en plus.
37:55C'est vraiment quelqu'un de très gentil, une super mentalité.
37:57Et on le voit qu'à travers un sport qui peut paraître violent
38:02ou même qui est violent sur le terrain.
38:04C'est du combat, oui.
38:05Il y a une forme de respect.
38:07Même Baris, à la fin de la rencontre, il le félicite.
38:10Il lui a dit texto, il lui a dit quoi ?
38:12Alors, à la fin, il l'a titillé un peu.
38:16À savoir qu'il a la ceinture.
38:18Forcément, il va défendre son titre.
38:20Et je pense qu'Anas...
38:21Il va revenir.
38:22Il va revenir cette fois.
38:23Ce ne sera pas la même limonade.
38:25Merci à vous, Sylvain Thomas.
38:27Dans quelques instants, on va parler rugby, un autre sport d'Ovalie.
38:36Ça va, Thomas ?
38:40Depuis le 25 septembre, je ne t'ai pas vu.
38:42Tu m'as manqué.
38:43Ça fait deux mois, merci.
38:44Mais grosse actualité rugby.
38:46Tu ne vas pas nous parler de Dupont, quand même ?
38:48On ne va pas parler de Dupont, quoique, on y viendra peut-être.
38:51On est là jusqu'à minuit, si on parle de Dupont.
38:53Surtout avec toi.
38:54On va parler du rugby club forésien avec son président, Fred Gardon,
38:58qui est avec nous ce soir.
38:59Bonsoir, Fred.
39:00Bonsoir.
39:01Le club forésien, c'est le club qui joue où ?
39:04Sur l'hippodrome.
39:05Voilà, à Fœurs.
39:06Avec des canassons autour.
39:07Presque, oui.
39:08Ils récupèrent les ballons, les canassons, ils vous les renvoient ?
39:10Non, pas encore, mais ça pourrait.
39:13Fred, jeune président de Fœurs.
39:15Ah, mais ça se voit, vous êtes un jeune président.
39:18Ça fait combien de temps ?
39:19Ça fait quatre ans, c'est la quatrième année.
39:21Il a le poil brillant encore.
39:22Et du coup, ce club, il est incroyable.
39:25On va voir quelques ambiances.
39:27Thomas Carineau l'a présenté, ça va de l'équipe ?
39:30Des moins de 8 jusqu'aux vétérans.
39:33Avec le développement de toutes les équipes.
39:35C'est quoi un vétéran pour vous ?
39:36Un vétéran...
39:37Après quel âge ?
39:38Tu n'en fais pas de bouger en boulot.
39:39Il n'y a aucun problème.
39:40J'étais pas vétéran en course.
39:4242 ans, il est un vétéran, c'est au bout du gelo, ça a parti à 35 ans.
39:45Non, mais vous êtes méchant, rugby, vétéran, d'accord.
39:47Rugby, c'est à partir de 35 ans.
39:48On considère qu'avant, ils peuvent jouer en compétition.
39:51Mais après aussi.
39:52Mais après aussi.
39:53Moins vite.
39:54Et après aussi.
39:55Moins vite, mais on peut y aller.
39:56On est plus philo, plus écologue.
39:57On considère surtout qu'avant 35 ans, on ne peut pas jouer avec les plus anciens.
40:02C'est surtout ça.
40:03C'est l'impact.
40:04Donc M8 à vétérans et vous m'en parlez surtout de ce club parce qu'ils ont connu...
40:09La saison dernière, on a eu des très beaux résultats, que ce soit chez les jeunes ou
40:12chez les seniors.
40:19Quelques saisons compliquées.
40:20On a nos seniors qui ont été champions du secteur Nord, qui ont gagné la montée en
40:26finale 2.
40:27Nos moins de 19 également champions du secteur Nord et nos moins de 16 qui ont été finalistes
40:31de la Ligue Aura.
40:32Mettez les images.
40:33Je veux voir les images.
40:34Regardez ça.
40:35Premier licentieux total dans le club ?
40:36Oui.
40:37Alors aujourd'hui, on a un peu plus de 300.
40:38Donc on était 262 il y a deux ans et on devrait arriver à 330 d'ici la fin de saison.
40:43Il fait Dupont, il fait Jeux Olympiques, il fait...
40:45Il fait un canasson !
40:47Je ne suis pas sûr.
40:48Marielle Charouin joue avec vous ?
40:51Il fait Coupe du Monde, il fait JO aussi.
40:53Mais vraiment ça, vous l'avez senti ?
40:55Oui, oui.
40:56Tout à fait.
40:57Rugby à 7 un peu chez vous ou pas ?
40:58Non.
40:59Rugby à 7, après c'est réservé à...
41:00C'est un sport d'athlète.
41:01Ah bon ?
41:02Mais vous êtes des athlètes quand même.
41:03Vous êtes des athlètes.
41:04On est des athlètes.
41:05Rugby à 7, jouer sur le grand terrain...
41:08C'est grand.
41:09C'est hyper particulier.
41:10Il faut un gros physique et de l'entraînement spécifique, à part des exceptions comme
41:15Antoine Dupont.
41:16Exactement.
41:17Arriver à faire la transition, ce n'est pas évident.
41:18Moi, j'ai cru à des exceptions comme Julien Rivière.
41:20Oui, je crois qu'il y en a pas d'autres.
41:22J'hésitais.
41:23Après, c'est un club qui met les moyens aussi pour se développer.
41:28Vous avez des salariés, vous intervenez dans les écoles, c'est ça ?
41:30Exactement.
41:31On fait beaucoup de travail sur la formation.
41:32On a un club formateur.
41:33Donc, effectivement, on a deux salariés au niveau du sport sportif.
41:37On fait beaucoup d'interventions dans les écoles.
41:39L'année dernière, on a intervenu dans une trentaine de classes.
41:42C'est un beau sport.
41:43Il n'y a pas de problème d'arbitrage chez vous ?
41:44Si, il y a des problèmes de partout.
41:46Vous n'avez pas d'école d'arbitre ? Vous n'avez pas un arrangement ?
41:49En interne, on fait une école d'arbitrage avec nos jeunes.
41:52Et les jeunes, nous, en moins de 12 et en moins de 14,
41:55c'est un règlement fédéral, c'est les jeunes qui arbitrent,
41:58avec un éducateur sur le terrain.
42:00Donc, ça permet de compléter la formation du joueur
42:02et ça permet de respecter également toute cette notion d'arbitrage.
42:05Moi, je suis impressionné par le rugby, rien que pour ça.
42:07Pour le respect qu'il y a, ça se cogne, c'est un truc de fou.
42:12Et à la fin, comme si de rien n'était, on va boire un coup.
42:15Comme dans tous les sports.
42:16Heureusement, en même temps.
42:17Pas dans tous les sports, je pense.
42:18Dans le rugby, c'est vraiment...
42:19Si on parle remontée, on en parlait rapidement avec Thomas,
42:22ça a été compliqué ?
42:23Cette année, oui, c'est un peu compliqué.
42:25Pour tout le monde ?
42:26Non, c'est compliqué, surtout pour nous, c'est noir.
42:28La montée, je pense qu'on ne l'a pas forcément très bien préparée.
42:32Et là, pour l'instant, sur tous les matchs allés...
42:35Il y a le mercredi de l'hiver ?
42:36Oui, je ne sais pas.
42:37Après, on a le niveau, parce que les défaites
42:40ne sont pas non plus très importantes.
42:43Encore la semaine dernière, on perd le derby contre Orwan,
42:46on mène tout le match.
42:47À la dernière minute, on prend un essai.
42:49Il faut un effectif de combien de joueurs pour tenir la saison en Régionale 2 ?
42:52Il faut une quarantaine de joueurs, une bonne quarantaine.
42:55Normalement, avec un championnat réserve également,
42:58donc moins de cinquantaine de joueurs.
43:01C'est compliqué sur ces secteurs-là,
43:04parce que ce sont des secteurs où il n'y a pas un bassin
43:06de population énorme non plus.
43:08Feur est seul ou presque sur le bassin.
43:10Si on compare avec les clubs du bassin stéphanois
43:13qui sont en entente sur toutes les équipes jeunes,
43:15comment vous arrivez à développer ?
43:17Encore une fois, par le travail dans les écoles.
43:19On a une section rugby également
43:21avec le collège Marcelin Champagnat à Feur.
43:24On a à peu près 70 élèves qui font partie de la section rugby,
43:27de la sixième à la troisième.
43:29Ils sont tous licenciés ?
43:30Ils ne sont pas tous licenciés, non.
43:31Nous, on a pris le parti d'ouvrir cette section à tout le monde.
43:34Filles et garçons également.
43:35Oui, il faut en parler qu'il y a des filles qui sont derrière.
43:37Coucou, ça va ?
43:38Exactement.
43:39Au niveau de la section rugby, on a une vingtaine de filles.
43:41Cette année, elles vont pouvoir faire
43:43le championnat régional
43:45pour se qualifier au niveau national
43:47sur les quatrième, troisième.
43:48Donc voilà, on fait beaucoup de travail dans les écoles
43:50parce qu'on est dans une terre de ballons ronds,
43:52de foot, de basket.
43:53Et si on ne va pas former...
43:55Oui, il faut aller le chercher à l'école.
43:57C'était justement ma prochaine question.
43:59On en parle souvent avec Effendi.
44:00T'en fais, toi, dans tes écoles, un peu de rugby ?
44:02Pas forcément de rugby.
44:03Mais moi, du côté Auvergnat,
44:05j'ai la qualité d'être Auvergnat.
44:07Ce n'est pas un défaut.
44:08Ce n'est pas un défaut, oui.
44:09Pas de dire que c'est une qualité.
44:10Du côté Auvergne,
44:12on a beaucoup plus le ballon au val.
44:14C'est vrai qu'on recroise beaucoup plus
44:16de clubs de rugby.
44:17Justement, quand il y a un peu moins la culture
44:19pour arriver à trouver 300 licenciés à faire,
44:21j'imagine qu'il y a un vrai travail sur du long terme.
44:23Oui, ça fait de nombreuses années.
44:25Moi, je suis au club maintenant,
44:27ça fait une quarantaine d'années.
44:29Ça fait plus de 30 ans que le club
44:31a axé son travail sur les jeunes.
44:32Et la section rugby à Champagne,
44:33ça fait une quinzaine d'années.
44:34Ça fait plus d'une quinzaine d'années, oui, effectivement.
44:36Voilà, merci à vous, Thomas.
44:37Merci à vous, Frédéric,
44:38de nous ouvrir les portes de votre club
44:40et de le faire partager.
44:41Merci.
44:42Voilà, l'émission est terminée
44:43plus ou moins dans les temps.
44:44Il y a du temps additionnel.
44:45Je veux dire qu'il y a du temps additionnel.
44:46Il y a du temps additionnel, c'est assez sûr.
44:47Il y a du temps additionnel,
44:48mais c'est aussi la faute,
44:49on le sait, à Mathieu Voldoire.
44:50C'est obligé, c'est tout le temps, sa faute.
44:51C'est souvent ma faute.
44:52La prochaine faute mettra en dernier.
44:53Mais pour parler de sport
44:54et pour parler de moto,
44:55on peut prendre le temps.
44:56Prenez le temps.
44:57Prenez le temps.
44:58Merci d'avoir suivi cette émission.
44:59On est présents, vous savez,
45:00sur toutes les boxes.
45:01Forcément.
45:03On nous regarde des États-Unis.
45:04J'ai vu.
45:05J'ai vu.
45:06J'ai vu.
45:07C'est pour le basket, c'est normal.
45:08C'est pour ça.
45:09Allez, à la semaine prochaine.
45:10Ciao, bye, bye.
45:32Sous-titrage Société Radio-Canada