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Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.
Retrouvez "La pépite" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-france-bouge-academie

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00:00 C'est vous le talent ce soir Anthony Mollet, vous avez 33 ans, l'entreprise existe depuis 2018,
00:09 vous êtes ingénieur d'affaires c'est ça ? Oui c'est ça.
00:12 Racontez-nous un peu votre parcours.
00:13 Donc effectivement j'ai fait une école d'ingénieur d'affaires en développement durable,
00:17 que je suis sorti il y a dix ans de l'école donc en 2023, suite à quoi j'ai travaillé...
00:22 En 2013.
00:22 2013 pardon, j'ai l'impression que c'était hier, donc 2013.
00:26 Suite à quoi j'ai travaillé dans une filiale d'énergie où j'accompagnais des entreprises
00:30 à réduire leur consommation d'énergie sur l'efficacité énergétique et je me suis rendu
00:35 compte qu'il y avait un volet sur lequel on agissait très peu et pourtant qui était
00:39 un vrai levier d'économie d'énergie, c'était l'aspect comportemental.
00:42 Dire nos habitudes.
00:44 Voilà, sensibiliser les collaborateurs en entreprise et c'est comme ça qu'est
00:49 venue l'idée de CVTime initialement en partant vraiment d'un objectif d'économie d'énergie.
00:54 Vous avez travaillé quatre ans je crois chez Engie, c'est ça ?
00:57 Oui c'est ça.
00:58 Et c'est là où vous vous êtes dit j'ai un truc à monter, mais comment on passe
01:00 de salarié à entrepreneur parce qu'il faut franchir le cap quand même ?
01:03 Il faut franchir le cap avec...
01:06 Alors il y a eu un petit passage qui a accéléré, c'est que je l'ai d'abord monté dans un
01:10 cadre associatif en fait, simplement pour tester, qui s'appelle la jeune chambre économique,
01:14 c'est un mouvement qui est un peu partout en France et ça m'a permis d'expérimenter
01:17 ça alors que j'étais encore salarié, de me rendre compte qu'il y avait un vrai besoin
01:20 et derrière c'était un peu plus facile on va dire pour passer le pas.
01:23 Alors CVTime c'est quoi ? Vous aussi vous allez nous raconter, vous avez une minute,
01:27 on vous écoute.
01:28 Donc CVTime on développe des outils gamifiés pour sensibiliser les collaborateurs en entreprise
01:34 au développement durable.
01:35 Donc concrètement ce sont des jeux, des jeux de 7 minutes, des jeux digitaux qui sont très
01:40 interactifs, ludiques et collaboratifs dans lesquels on va intégrer des messages liés
01:46 à la RSE et au développement durable sur vraiment tout le scope de la RSE, donc aussi
01:50 bien les sujets environnementaux, sociaux, sociétaux, on va parler de handicap, d'égalité
01:55 femmes-hommes, de discrimination et on va également personnaliser le contenu de ces
02:01 jeux à la stratégie RSE de l'entreprise parce qu'on a un enjeu c'est que les collaborateurs
02:07 prennent conscience des enjeux de la RSE, adhèrent à ce que fait l'entreprise parce
02:11 que c'est à partir du moment où ils adhèrent qu'ils vont pouvoir mettre en place des changements
02:15 dans leur quotidien et ça c'est important.
02:16 Merci, merci pour votre pitch Anthony Mollet, vous êtes le fondateur de Civitime, si vous
02:21 nous rejoignez en ce moment sur Europe 1, nous sommes à Tours puisque c'est la nuit
02:25 de l'orientation et c'est notre grand tour de France avec les chambres de commerce et
02:28 d'industrie.
02:29 Autour de la table vous en pensez quoi ? Tiens je me tourne vers vous Emmanuel Hervé.
02:32 Ce qui vient d'être dit c'est le fait de faire adhérer les salariés à un projet
02:40 et aux évolutions puisqu'effectivement dans le domaine de la transition énergétique,
02:45 une fois qu'on a isolé un bâtiment et mis toutes les technologies possibles, le dernier
02:50 effort pour faire des économies d'énergie c'est le comportement de nous en tant que
02:56 citoyen qui avons la possibilité d'agir pour aller chercher les économies supplémentaires
03:00 au niveau des consommations énergétiques.
03:02 Vous faites attention vous Benjamin à votre consommation énergétique, ça vous parle
03:07 ce que dit Anthony ? Ça me parle aussi bien de chez moi mais aussi dans l'entreprise,
03:11 c'est vrai on fait vachement attention à Europe 1.
03:14 Effectivement ça nous parle énormément.
03:16 Ça nous parle beaucoup.
03:17 Je me tourne vers le coach de ce soir.
03:19 Le coach de ce soir il est de la CCI Touraine, il est en charge des projets RH et il s'appelle
03:23 Jean-François Porte.
03:24 Le réseau La France Bouge.
03:29 Alors Anthony Mollet vous êtes ici parmi nous ce soir, l'entreprise est née en 2018
03:33 mais vous avez des besoins et heureusement vous souhaitez je crois augmenter le nombre
03:37 de clients c'est ça ? Oui comme tout le monde en fait.
03:40 Non mais il faut le dire c'est important.
03:41 Clairement on a des grosses ambitions de croissance parce qu'on a un produit qui aujourd'hui
03:45 a fait ses preuves.
03:46 On a une centaine de clients en France et à l'étranger, principalement des grands
03:49 comptes, des clients grands comptes.
03:51 Maintenant on cherche à aller plus loin, aller toucher des entreprises de taille plus
03:54 petite, des PME ou même de taille intermédiaire parce qu'en fait tout le monde est confronté
03:58 à ces enjeux de RSE.
03:59 A travers plein d'enjeux, la RSE ça peut être perçu et c'est un levier d'attractivité
04:04 et de fidélisation des talents et ça je pense que tout le monde sera d'accord autour de
04:08 la table là dessus mais également un levier business.
04:10 Un levier business.
04:11 Et justement je me tourne vers vous Jean-François Porte.
04:13 D'abord qu'avez-vous pensé de son pitch ?
04:14 Je connais Anthony depuis quelques années.
04:18 Ah bon ? Ah cool, il l'a accompagné par la CCI ?
04:20 Il l'a accompagné mais surtout aussi que moi je suis entrepreneur.
04:22 Racontez nous en fait quoi.
04:25 Moi je suis opticien, j'ai 25 magasins et 215 collaborateurs donc répartis un peu
04:29 partout en France donc j'ai cette chance d'avoir cette casquette entrepreneurial et
04:34 puis aussi à la CCI où je donne du temps.
04:36 Et Anthony on s'est croisé pas mal de fois dans des endroits où on a pu s'apporter
04:42 les fameuses after work.
04:43 C'est comme ça qu'on les appelle.
04:45 Et je vois aussi Anthony grandir depuis quelques années et je trouve que son entreprise répond
04:51 à une attente très forte, on revient exactement aux mêmes attentes qu'Emmanuel nous parlait,
04:56 la quête de besoin, la quête de sens dans une entreprise.
04:59 Aujourd'hui il ne faut pas hésiter à écouter parce que tout à l'heure vous parliez est-ce
05:02 que les salariés on les écoute, est-ce qu'ils parlent ? Oui oui ils parlent et ils ont envie
05:07 de parler je pense aujourd'hui.
05:08 Pourquoi vous dites aujourd'hui ? Avant ce n'était pas le cas.
05:11 Moins et puis je pense que les entrepreneurs étaient moins à l'écoute peut-être aussi.
05:15 Moins fabriqués pour écouter.
05:16 Et aujourd'hui les jeunes ne veulent plus de ça, ils veulent dire moi je veux être
05:19 écouté.
05:20 Quand ils sont en entretien, bonjour, qu'est-ce que vous proposez ? Qu'est-ce que vous allez
05:24 me proposer dans la vie en plus de mon travail ?
05:26 Et c'est quoi l'en plus ?
05:27 L'en plus peut être à la fois sur des accompagnements perso, ne pas être un simple numéro dans
05:35 une entreprise mais aussi est-ce que l'entreprise a des enjeux aujourd'hui ? Et ça c'est très
05:39 important.
05:40 Est-ce que l'entreprise apporte une solution sur des enjeux RSE, des enjeux sociétaux,
05:45 est-ce que l'entreprise aujourd'hui, et ça c'est ma conviction, une entreprise est aussi
05:48 investie dans la ville ?
05:49 En gros pourquoi je me lève le matin ? Pour aller bosser.
05:51 Pour aller bosser mais est-ce que moi l'entreprise peut m'accompagner pour faire d'autres actions
05:56 dans la ville, auprès des autres, donner du temps aussi.
05:59 Aujourd'hui les jeunes aiment bien aussi donner du temps et que c'est du sens.
06:02 Et donc Anthony répond aussi à une question.
06:04 Il répond à cette question aussi à travers le jeu vidéo.
06:06 C'est ça que j'aime bien.
06:08 Alors allez-y.
06:09 Parce qu'en fait il va répondre à une attente des jeunes à travers des jeux.
06:13 Et donc en fait c'est pas une méthode qui est un peu vieillissante, vieillotte.
06:17 On apporte dans une entreprise une solution qui est comme il dit, gamifying, c'est ça
06:22 ?
06:23 Gaming.
06:24 Gaming, gamifier.
06:25 Donc c'est ça le jeu de jeunes.
06:26 Oh ça va on le connait c'est ça.
06:27 Benjamin vous connaissez, vous êtes le jeune de jeunes.
06:28 Non je le connaissais pas.
06:29 J'ai honte.
06:30 Vous êtes à quel âge Benjamin déjà ?
06:31 31.
06:32 Bon c'est trop tard.
06:33 C'est trop tard, c'est fini.
06:34 Donc voilà je trouve que c'est une belle approche d'aller parler aux jeunes salariés,
06:41 aux jeunes dans les entreprises.
06:43 L'outil est simple en plus.
06:45 C'est ça qui est important.
06:46 Donc il est simple.
06:47 Vous, vos clients, c'est les entreprises.
06:49 Tout à fait.
06:50 Donc déjà c'est important parce qu'il peut le vendre facilement.
06:52 C'est ça.
06:53 Et il répond, alors l'outil est simple, facile.
06:57 Il répond aussi aux attentes des entrepreneurs parce qu'aujourd'hui il vient sur des sujets
07:01 qui nous touchent tous.
07:02 J'entendais Anthony nous parler de l'égalité homme-femme, le handicap.
07:07 Il y a des femmes chez vous Emmanuel Hervé parce que dans le BTP on a cette image d'entreprise
07:13 hyper masculine.
07:14 Alors heureusement qu'il y a des femmes.
07:17 Non mais.
07:18 Mais effectivement en proportion pour répondre à votre question, au niveau de tout ce qui
07:22 est ingénieurs, études techniques, il y a autant de femmes que d'hommes.
07:25 Ça fait plus de 10 ans que c'est le cas.
07:27 Au niveau de la production sur les chantiers, très clairement, c'est encore hyper masculin.
07:32 Et vous encouragez ça.
07:34 Vous sentez qu'il y a une.
07:36 Oui, c'est un des éléments qui va nous permettre d'élargir les profils que j'évoquais tout
07:40 à l'heure.
07:41 C'est que je suis convaincu et on le voit.
07:42 On mise énormément sur les exosquelettes et les ergosquelettes.
07:45 Les technologies évoluent beaucoup, qui enlèvent toute pénibilité, toute forme de pénibilité
07:50 et de fatigue au travail.
07:52 Il va ouvrir justement des postes qui étaient dans les filières totalement non, non accaparés
07:58 entre guillemets par les petites filles et les jeunes filles qui vont pouvoir aller vers
08:03 nos métiers.
08:04 Parce qu'il n'y aura plus cette notion.
08:06 Tous ces métiers, il faut aussi qu'on les fasse découvrir dès l'école primaire.
08:09 Et ça, c'est après l'autre pan du travail qu'il y a.
08:14 C'est que par rapport à ce qu'on évoquait au niveau de l'attrait des entreprises, les
08:20 profils des personnes qui ne savent pas encore forcément justement en troisième ou autre
08:23 ce qu'elles veulent faire, comme nous l'avons évoqué pour certains autour de cette table
08:27 quand nous étions jeunes.
08:28 Il faut leur donner la capacité de rentrer dans les entreprises, d'où les stages et
08:32 d'où l'apprentissage.
08:33 Je l'évoquais, mais on est en Suisse, dans toutes les fonctions en Suisse, ça fait des
08:39 années que l'apprentissage est la voie normale pour entrer dans les entreprises.
08:43 C'est ce qui est vraiment en train de complètement révolutionner depuis quatre ans en France.
08:46 Et c'est ce qu'on met en place.
08:48 Et ça ouvre la possibilité de faire découvrir des métiers puisqu'il n'y aura plus de blocage
08:52 lié à l'aspect physique pour les filles.
08:54 Donc déjà, ça sera un point, un point majeur.
08:58 Je retourne vers vous, Anthony Mollet.
09:00 Vous êtes le fondateur de CV Time.
09:02 Quand vous allez voir les entreprises, vous arrivez avec une démo.
09:05 Comment vous faites ?
09:06 C'est ça, en fait, ce qu'on imagine un peu comme une plateforme Netflix sur laquelle
09:11 on va avoir plein de jeux, de jeux avec plein de sujets différents qu'on met à disposition
09:17 de nos clients.
09:18 Et alors, c'est quoi le compte de jeu ?
09:20 Il va y avoir deux choix.
09:21 Déjà, je reviens juste sur un aspect.
09:23 Quand on parle de gamification, il ne faut pas imaginer des jeux vidéo.
09:26 On ne va pas les faire jouer à Mario Kart ou à Pac-Man.
09:28 Ce n'est pas ça du tout.
09:29 Vous utilisez ce biais-là pour faire passer des messages autour de la RSE.
09:34 Exactement.
09:35 Et la gamification, ça peut être perçu souvent.
09:36 Les gens ne voient pas très bien ce que c'est.
09:38 L'objectif de la gamification, c'est de transformer une activité qui peut être perçue comme
09:42 contraignante en une activité qui va être stimulante en source de plaisir.
09:46 C'est juste ça l'objectif de la gamification.
09:48 C'est rendre ludique l'actualité.
09:49 Donc, c'est quoi ? Donnez-nous un exemple de jeu.
09:51 Par exemple, on va avoir des jeux, ce que vous connaissez tous, par exemple des escape
09:56 games, les jeux en présentiel qu'on fait de plus en plus, les escape games.
09:59 Par exemple, on a ce type de jeu qui va faire appel à, qui va lancer un change un peu intellectuel
10:03 aux participants, qui peut se faire de manière individuelle ou de manière collective sur
10:07 mon PC, ma tablette, mon smartphone et où je vais devoir libérer le geek qui permet
10:12 de construire une bonne stratégie RSE par exemple.
10:14 Et pour faire ça, je vais chercher des indices et les indices, je les obtiens en répondant
10:17 à des questions.
10:18 Donc là, on sait là, on intègre notre contenu pédagogique pour sensibiliser.
10:21 Ça va me donner un code qui me permet de passer dans la pièce suivante, etc.
10:24 Donc l'idée, c'est d'avoir des choses très stimulantes pour le collaborateur pour qu'il
10:27 retienne l'information et provoquer des émotions.
10:30 Parce qu'on sait qu'à partir du moment où une personne associe un message à une
10:34 émotion, c'est quasiment impossible pour lui d'en oublier le contenu.
10:38 Et c'est vrai par le jeu, mais par n'importe quoi.
10:40 Par tout.
10:41 Allez-y, Jean-François Porton, on attend vos conseils nous.
10:43 C'est après alors.
10:44 Non, c'est maintenant.
10:45 Ce que je trouve très bien aussi sur sa plateforme, c'est qu'il se nourrit de ses expériences
10:48 terrain et du retour de ses clients et du retour de psychologues au travail, etc.
10:53 Donc, en fait, il n'est pas enfermé dans un modèle.
10:55 Il se nourrit de toutes les expériences de tous ses clients pour continuer de grandir
10:59 et de s'ormer.
11:00 Donc ça, je trouve que c'est intéressant.
11:01 Alors au niveau des conseils, allez-y, on vous écoute.
11:04 Parce que c'est vous le pro de la CCI Touraine.
11:07 Quelques conseils.
11:08 Comme Anthony nous a dit, il voulait se développer, continuer à se développer.
11:11 Il est très axé sur des gros clients aujourd'hui, donc des entreprises à plus de 200, 250 collaborateurs.
11:17 Moi, j'aurais envie de dire, et même moi à titre perso, qui suis juste en limite d'être
11:21 un futur client, mais je ne le suis pas encore.
11:23 Et pourquoi tu n'ouvres pas, Anthony, à d'autres entreprises un peu plus petites ?
11:28 Parce que ça va te demander peut-être de reconstruire sur d'autres outils plus simples.
11:33 Je ne sais pas, tu me répondras après.
11:34 Mais en fait, nous, petits entrepreneurs, on se dit, ben tiens, ça me parle.
11:40 Moi, ces sujets-là me parlent, mais je ne peux pas venir taper à ta porte.
11:43 Parce que vous vous sentez exclu ?
11:45 Voilà, parce qu'ils ne s'adressent qu'à des gros entreprises.
11:47 Il faut faire quelque chose, Anthony.
11:49 Il a envie, il vous demande de faire quelque chose.
11:52 Il est prêt à nouer un contrat avec vous.
11:53 C'est un client, là.
11:54 Oui, en plus, tous les sujets sont intéressants.
11:57 Et un autre petit conseil, moi je dirais, sur son site qui est très intéressant,
12:00 son site Internet.
12:01 Quand on va sur son site, il parle de démo.
12:06 Mais en fait, la démo, on ne l'a pas.
12:08 Il faut faire appel à un coach.
12:10 Ça nous fait sourire, Anthony.
12:11 Et moi, je trouve que pour un petit entrepreneur,
12:13 les grosses entreprises, certainement, elles sont habituées,
12:15 elles vont envoyer une personne qui va appeler son consultant,
12:18 qui va partir du temps, etc.
12:19 Nous, les plus petites entreprises, les PME, on a moins de temps
12:22 et on a envie de voir tout de suite quelque chose à voir.
12:24 Et quand on y va, on n'a pas le droit d'avoir le petit goût,
12:27 parce qu'on n'a pas le droit de voir.
12:28 Il faut faire remplir un formulaire pour avoir une demande.
12:31 Et moi, je trouve que pour un entrepreneur,
12:34 moi, ça me fait envie de voir un petit peu.
12:37 Qu'est-ce que vous lui répondez ?
12:38 Est-ce que je peux commander des lunettes tête-gare sur Internet ?
12:41 Non, bientôt.
12:42 Et tu peux venir les voir, bien sûr.
12:44 Et moi, je te les montre, je ne te les cache pas.
12:46 Non, mais j'entends ton point.
12:49 Justement, merci pour l'intro sur la partie, effectivement,
12:53 il n'y a pas de gros ou de petits clients.
12:55 C'est juste qu'effectivement, on a un modèle économique.
12:57 À partir du moment où on a des frais,
12:59 pour que ça puisse être plus accessible pour les entreprises,
13:02 on fait du prêt à l'emploi.
13:04 Et justement, on vient de sortir une offre,
13:06 à début 2024, pour les entreprises,
13:08 à partir de 10 collaborateurs,
13:10 qui est une offre vraiment clé en main,
13:11 où on ne va pas faire de personnalisation.
13:13 On a suffisamment de choses sur l'étagère
13:15 pour que ça réponde aux besoins.
13:16 Et là, dans ce cas-là, au niveau financier,
13:18 on sera beaucoup plus abordable pour une boîte de 10 personnes.
13:20 Vous êtes à combien, là, pour une entreprise ?
13:22 C'est un abonnement ?
13:23 Oui, c'est un abonnement annuel, comme une plateforme Netflix,
13:25 en fonction du nombre de collaborateurs.
13:26 D'accord.
13:27 Merci, en tout cas.
13:28 Merci, Jean-François Porte.
13:29 Vous êtes en charge des projets des ressources humaines
13:31 au sein de la CCI Touraine.
13:33 Anthony Mollier, bonne chance avec Civi Time.
13:35 Merci.
13:36 Vous restez autour de la table de la France Bourge,
13:38 à suivre Lucas.
13:39 Il y a 20 ans, pardon, il était un peu perdu,
13:43 Lucas, à l'école.
13:44 Ça ne le disait pas trop.
13:46 Aujourd'hui, il est en alternance,
13:48 alors qu'on lui avait dit que c'était une voie de garage.
13:50 Comme quoi, il faut écouter son instinct.
13:53 Et on va en parler dans la France Bourge.
13:55 À tout de suite sur Europe 1.

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