Avec Jean-Dominique Michel, anthropologue et auteur de "Autopsie d'un désastre. Mensonges et corruption autour du Covid" publié aux éditions Résurgence.
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NewsTranscription
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états, le face à face.
00:05 13h04 sur Sud Radio, l'heure pour nous de vous présenter ce face à face aujourd'hui avec Jean-Dominique Michel,
00:10 anthropologue et surtout auteur de ce nouveau livre "Autopsie d'un désastre, mensonges et corruption autour du Covid"
00:16 c'est publié aux éditions Résurgence. Bonjour Jean-Dominique Michel.
00:19 Bonjour, alors je reçois aujourd'hui un dangereux complotiste, vous savez celui qui a fait...
00:25 Vous savez, quand vous recevez... Je me rappelle d'ailleurs que quand j'ai la première fois que j'ai reçu
00:30 Didier Raoult qui a préfacé votre livre, on m'a dit "Mais enfin tu peux pas recevoir Didier Raoult, c'est pas possible"
00:36 ou Christian Perron ou ces gens-là, je me dis "Mais pourquoi je peux pas le recevoir ?"
00:40 Moi je ne suis pas médecin, je ne... mais je peux interroger des gens qui après tout
00:45 ont été vaccinologues à l'Union Européenne pendant 15 ans comme Perron
00:49 qui a été directeur de l'hôpital de Gare, Didier Raoult qui est l'épidémiologue ou en tout cas le
00:54 microbiologiste que l'on connaît, qui a le plus citation effectivement d'un nom.
00:59 Ah non non non non non non, c'est complotiste.
01:02 Attention, je précise, on ne m'a pas dit ça ici à Sud Radio, on m'a dit ça autour en disant
01:07 "Effectivement, ça ne se fait pas, etc." Pourquoi ? Parce qu'il y a une voix
01:12 qui n'était pas la voix de la science, qui était la voix d'un certain nombre.
01:15 Et Jean-Dominique Michel, je voudrais commencer par ça parce que je rappelle que vous êtes anthropologue,
01:19 vous êtes expert en santé publique, vous êtes un spécialiste déterminant de la santé,
01:24 d'ailleurs j'adore de la salutogénèse. Vous allez m'expliquer que c'est la salutogénèse,
01:28 ça j'avoue que j'aimerais être salutogénésien, ça me plaît comme un truc.
01:33 Et donc vous écrivez "Autopsie d'un désastre, mensonges et corruption autour du Covid".
01:39 Effectivement, entre ce qu'on pouvait entendre il y a encore 3 ans, même pas, 2 ans et demi, 3 ans,
01:47 et ce qu'on entend aujourd'hui, il y a quand même une espèce de...
01:52 je dirais presque d'abîme, une espèce de... c'est complètement étonnant.
01:56 Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
02:00 - Eh bien il s'est passé que, je crois que le bon sens populaire et la plupart des gens,
02:04 mais les classes plus intellectuelles ont plus de peine à prendre compte de cette réalité,
02:10 se sont aperçus que ce qu'on nous avait dit au sujet de l'épidémie était faux,
02:15 et que ça avait orienté la perception de l'opinion publique dans une direction qui n'était pas juste.
02:20 Alors c'est vrai que ça a mis du temps pour qu'un certain nombre de personnes atterrissent,
02:24 mais un des experts que je cite dans le livre, Martin Kulldorff, qui était à l'université de Harvard à l'époque,
02:29 dit "J'ai eu très peur quand j'ai entendu parler de cette pandémie pendant 10 minutes".
02:33 - Ah bon ? - C'est le temps que ça lui a pris pour voir la réalité des chiffres,
02:37 et s'apercevoir dès le mois de février 2020 qu'on était face à un événement épidémique d'intensité moyenne,
02:44 comparable à ce qu'on connaît année après année après la grippe.
02:47 Donc la question qui se pose c'est "Comment en est-on venu à nous faire croire que nous faisions face à quelque chose d'exceptionnel ?"
02:54 - Une pandémie qui allait tuer des dizaines de millions de morts.
02:58 - Alors que d'après tous les indicateurs qu'on avait déjà à disposition à l'époque,
03:01 un autre exemple que je pourrais donner, Arnaud Fontanet qui est épidémiologiste à l'Institut Pasteur,
03:06 et qui a été coopté au sein du conseil scientifique présidé par Delphrécy,
03:10 en février 2020, écrit dans Le Monde, le Covid est moins létal que la grippe.
03:16 Donc on a déjà en février 2020 tous les indicateurs qui nous permettent de ne pas paniquer,
03:22 or il y a une panique collective qui a été orchestrée, qui a été organisée,
03:27 et donc c'est là où mon analyse intervient.
03:29 Qu'est-ce qui a fait qu'on est parti dans une direction aussi insensée ?
03:32 - Oui, c'est ce que vous racontez, c'est presque un livre qui se lit comme un thriller, quoi.
03:35 C'est vrai comment on a organisé, en fait c'est un désastre organisé.
03:40 Et c'est ce qu'on peut dire, ce que disait Lucien Cerise quand il parlait "Gouverné par le chaos",
03:45 est-ce que ça a été en fait une gigantesque entreprise de management par la peur ?
03:51 - Oui, absolument.
03:52 Et avec un motif, alors qui moi m'a beaucoup intéressé, étant donné que c'est mon domaine d'expertise,
03:57 c'est un renversement complet de la science.
04:00 Qu'est-ce qui a fait que des gens comme Christian Pirone, Didier Raoult ou moi-même
04:03 qui avons rappelé l'état de la science et des bonnes pratiques,
04:07 celles qui figuraient dans les plans pandémie,
04:09 celles qui figuraient dans le plan pandémie de l'OMS en 2019,
04:13 qui disaient "il ne faut surtout pas confiner, il ne faut surtout pas masquer,
04:17 il faut surtout laisser les médecins généralistes soigner avec les moyens du bord
04:22 et les molécules qu'ils ont à leur disposition",
04:25 qu'est-ce qui fait qu'en l'espace de quelques semaines,
04:27 on a totalement invalidé toute la bonne science et les bonnes connaissances,
04:31 on a prétendu des choses qui étaient juste complètement aberrantes,
04:35 et avec ce bloc de tous les experts médiatico-médico-politiques
04:40 qui ont adhéré à quelque chose qu'ils auraient dû savoir être insensé,
04:45 étant donné qu'ils avaient quand même des connaissances en la matière.
04:48 - Oui, et c'est ça qui est très...
04:50 Vous décrivez d'ailleurs dans votre livre, c'est très intéressant, le mécanisme,
04:53 parce qu'il faut le rappeler, c'est un mécanisme à l'échelle mondiale qui s'est passé,
04:56 c'est quand même la première fois dans l'histoire
04:59 qu'on assiste à cette espèce de formidable panique,
05:03 on voyait ça dans les films de science-fiction,
05:05 il y a eu beaucoup de films effectivement, mais on se disait
05:07 "oui c'est de la science-fiction, c'est bien, c'est la hiver".
05:10 Et au fond, c'est quoi ?
05:12 C'est-à-dire qu'est-ce qui a fait que ce modéliste venu de Londres,
05:15 au goût étrange venu d'ailleurs, M. Ferguson,
05:18 est venu dire à tous les gouvernements de la planète,
05:20 en tout cas aux chefs de gouvernement,
05:22 "ça va être terrifiant, ça va être..."
05:24 Et tous l'ont suivi, et ils sont allés au laboratoire en disant
05:27 "le vaccin, vite, vite, vite".
05:29 C'est un peu ça qui s'est passé.
05:30 Absolument.
05:31 Et comme vous le dites, ça a été un management par la peur,
05:33 mais même par la terreur.
05:35 Parce qu'en fait, donc, toutes les caractéristiques de ce virus,
05:38 il y a eu une épidémie de SARS-CoV-2, il n'y a pas lieu de le nier,
05:42 mais en termes épidémiologiques,
05:44 elle était d'intensité faible à moyenne, comparée à la grippe.
05:48 On est absolument sûr de ça, parce qu'il n'y a plus...
05:50 Non, non, ça c'est établi par John Ioannidis,
05:52 qui est considéré comme étant la référence en matière d'épidémiologie,
05:55 c'est les évaluations qui comptent pour l'OMS.
05:59 Donc elles sont totalement acquises aujourd'hui.
06:01 Et notamment cette réalité qu'en dessous de 70 à 80 ans en bonne santé,
06:06 vous ne risquiez rien de différent qu'aucune autre année.
06:09 Donc en fait, à partir de cette réalité très rassurante,
06:12 on a réussi à faire croire à la population,
06:14 mais les médias ont vraiment mis en œuvre une batterie de propagande
06:18 que je décrypte et que je cite dans le livre,
06:20 pour faire croire qu'au fond, on était tous à risque,
06:22 quel que soit notre âge.
06:24 Il y avait des bébés qui mourraient, des enfants qui mourraient,
06:26 des jeunes qui mourraient, des gens en bonne santé qui mourraient,
06:28 ce qui était faux.
06:30 Ce qui était absolument faux en termes statistiques.
06:32 Après, il peut y avoir des cas exceptionnels où ça arrive,
06:35 mais en termes statistiques, c'était faux.
06:37 Et donc, on a littéralement terrorisé la population
06:40 en lui faisant croire que chacun d'entre nous était en danger de mort.
06:43 Et c'est un sentiment qui est tellement fort sur le plan des ressentis humains.
06:47 Quand vous faites croire à quelqu'un qui est en danger de mort,
06:49 vous pouvez le manipuler dans n'importe quelle direction.
06:52 Il est sidéré, il est tétalisé, il acceptera tout.
06:55 Et là, il y a eu un détournement d'attention très caractéristique
06:58 en ingénierie sociale, mais c'est qu'on a désigné des groupes
07:01 qui essayaient de rappeler à la raison
07:04 comme étant ceux qui mettaient en danger la population.
07:07 C'est l'extrait que vous avez cité de Gabriel Attal,
07:10 où il dit "ce sont les non-vaccinés qui mettent en danger les autres".
07:13 C'était parfaitement faux.
07:15 Et vraiment, c'est presque beau d'exhumer toute cette réalité.
07:20 Rachel Walensky, qui était la directrice du CDC,
07:23 donc la Haute Autorité de Santé Américaine,
07:25 Center of Disease Control, c'est ça ?
07:27 Exactement. Elle était informée de cela en janvier 2021.
07:30 Elle reçoit des notes disant "ça n'empêche pas la transmission".
07:33 Et de janvier 2021 jusqu'en septembre 2021,
07:37 elle passe sur toutes les chaînes de télévision pour dire
07:39 "il n'y a qu'en se faisant injecter
07:42 que l'on se protège de contaminer les autres",
07:44 quelque chose qu'elle savait parfaitement être faux.
07:47 Donc pendant huit mois, elle a prêché le faux pour dissimuler le vrai.
07:52 Exactement. Mais comme le Conseil scientifique en France,
07:55 comme l'Office fédéral de la santé publique en Suisse,
07:58 donc on est à ce moment-là dans ce mensonge d'État qui émerge.
08:02 Et j'imagine, sur le plan psychologique pour ceux qui l'ont mis en œuvre,
08:05 le fait qu'ils se sont enfoncés de plus en plus dans le mensonge.
08:09 Et c'est quelque chose que même le mari qui trompe sa femme
08:12 connaît sur le plan de ressort psychologique,
08:14 c'est qu'une fois qu'on commence à partir dans cette direction,
08:16 révéler le pot au rose serait trop coûteux sur le plan politique.
08:21 Et donc on délire de plus en plus,
08:23 mais avec une nécessité d'entrer dans des mensonges de plus en plus gros.
08:28 Et c'est là où aujourd'hui il y a quand même un découplage,
08:30 mais entre des autorités qui restent prises dans le même bonimentinge,
08:35 et une population qui, elle,
08:36 comme dirait notre ami Michel Maffezoli, que vous invitez souvent,
08:39 dit "cause toujours, j'ai quand même compris de quoi il s'agit".
08:42 Et alors justement, et c'est très intéressant de vous le raconter dans votre livre,
08:46 cette espèce d'évolution,
08:48 on va en parler tout de suite après cette petite pause,
08:51 et qu'est-ce qui s'est vraiment passé,
08:52 je crois que c'est très important de détailler la chose,
08:56 parce qu'encore une fois, c'est un événement,
08:58 et c'est pour ça que votre livre est très intéressant de ce point de vue,
09:02 c'est un événement absolument mondial, planétaire,
09:04 qu'on n'avait jamais connu.
09:06 On en parle tout de suite.
09:07 C'est Céline Alonso,
09:09 je vous souhaite une très bonne année 2024 avec Sud Radio.
09:13 Bonne année avec Sud Radio.
09:14 Sud Radio.
09:15 Parlons vrai.
09:17 Elle.
09:17 Ici Sud Radio.
09:20 Les Français parlent au français.
09:25 Je n'aime pas la blanquette de veau.
09:28 Je n'aime pas la blanquette de veau.
09:31 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
09:34 Autopsie d'un désastre.
09:37 Jean-Dominique Michel.
09:38 Mensonge et corruption autour du Covid
09:41 qui vient de paraître aux éditions Résurgence.
09:44 On le rappelait la mise en édition qui a publié le très très bon bouquin de Robert Kennedy
09:49 sur Fauci, etc.
09:51 Alors, on va peut-être un peu justement tirer les fils de l'Apple Watch, Jean-Dominique Michel,
09:56 parce qu'il y a des tas de niveaux.
09:57 Il y a le niveau, on décrit, voilà, il arrive quelque chose de terrible,
10:01 le confinement.
10:02 Alors le confinement, moi j'aimerais qu'on s'arrête sur le confinement.
10:05 L'enculément, je le rappelle, parce que à la fois
10:07 c'est à l'anthropologue, aux citoyens que je parle, à l'essayiste,
10:11 c'est que non seulement il y avait le confinement, on ne pouvait plus sortir,
10:13 on ne pouvait plus voir son médecin, d'ailleurs le médecin n'avait plus la loi,
10:16 et puis il fallait signer nos propres attestations.
10:19 C'est-à-dire que moi je signais mon propre emprisonnement
10:22 ou ma propre libération conditionnelle.
10:25 C'est quoi ça ?
10:27 Ça correspond à quoi ?
10:28 - Eh bien c'est là où précisément c'est passionnant,
10:30 parce qu'il y a deux principes cardinaux dans la gestion des épidémies respiratoires,
10:34 c'est vous laissez les médecins généralistes soigner les malades
10:37 et vous laissez la société vivre le plus normalement possible.
10:40 C'est ce qu'ont fait la Suède et la Norvège,
10:43 qui ont dit "nous n'appliquons que les mesures validées scientifiquement,
10:47 la seule qui a un impact c'est de se laver les mains régulièrement et d'aérer les locaux,
10:51 nous n'imposons rien d'autre".
10:52 Et on voit aujourd'hui qu'ils ont eu les meilleurs résultats de toute l'Europe.
10:55 Et on savait, ça faisait partie de tous les manuels d'épidémiologie.
10:59 Moi j'ai parié une caisse de champagne à quiconque me trouvait un plan pandémie,
11:02 où il y avait le confinement généralisé de la population en bonne santé ou le port du masque,
11:06 ça n'existe pas, parce qu'on sait depuis des décennies que ça empire les choses.
11:11 Et d'ailleurs, souvenez-vous, les médecins de plateau nous expliquaient
11:13 "il faut confiner pour tasser la courbe", vous vous souvenez de ça ?
11:16 Oui, bien sûr.
11:17 Sinon on va avoir un pic.
11:18 Alors qu'est-ce qu'on observe ? Tous les pays qui ont confiné ont eu des pics,
11:21 et les pays qui n'ont pas eu confiné ont eu des courbes aplaties,
11:24 parce que c'est comme ça dans la réalité.
11:26 Donc en fait, on a substitué à une science très solide,
11:29 et à des choses qu'on savait devoir faire,
11:31 que Christian Perron qui a piloté la réponse de la France aux épidémies pendant 12 ans a rappelé,
11:36 avant de se faire tirer dessus à boulet rouge,
11:38 et puis on a substitué quelque chose de complètement absurde,
11:41 mais qui, et ça c'est l'autre caractéristique intéressante,
11:44 bien sûr avait quelque chose de totalitaire.
11:46 Parce que le confinement c'est quoi ? C'est vous séquestrer à domicile.
11:49 C'est l'assignation à résidence, avec ces systèmes complètement absurdes et toxiques,
11:54 où vous devez vous faire une attestation qui sera vérifiée par autrui,
11:58 et en fait ce qu'on voit avec 4 ans de recul,
12:01 c'est que cette catastrophe qu'on a généré,
12:04 si on avait appliqué les deux principes cardinaux,
12:07 on aurait traversé ça sans dommage, ça n'aurait pas été pire que la grippe d'une autre année.
12:10 - Sans parler des catastrophes économiques, des fermetures,
12:14 de tous les lieux de vie, de restauration,
12:18 de tout, avec les produits alimentaires et encore, qui étaient protégés.
12:25 Alors justement, c'est une volonté, au fond,
12:29 parce que je suppose, on ne va pas leur attribuer tous les péchés,
12:34 il n'y avait pas l'envie de véritablement séquestrer,
12:38 il y avait quoi, l'envie de protéger ou l'envie de se dire,
12:42 "Ecoutez, voilà, on nous dit que ça va se passer comme ça,
12:47 vous les croyez sincères dans leur désir de protéger, ou il y avait autre chose ?"
12:52 - La réalité est complexe, et je vous remercie, il faut mettre beaucoup de nuances.
12:55 Ce qui est sûr, c'est qu'il y a eu un plan prémédité,
12:59 il y a eu des répétitions générales,
13:01 on voit aussi, ça c'est le deuxième tome du livre que je publierai au mois d'avril,
13:05 qu'il y a des instances qui ont été créées pour précisément
13:09 préparer le terrain à la substitution, à la bonne science et des bonnes pratiques,
13:14 de choses complètement délirantes.
13:15 Et notamment, des officines du département militaire américain,
13:19 en lien avec l'OMS, donc il y a eu tout un travail de terrain
13:22 pour que le moment venu, Macron et ses homologues dans d'autres pays
13:26 puissent déclarer "Nous sommes en guerre, l'ennemi rôde, il est redoutable",
13:30 ce qui est de toute manière un message délirant en termes de santé publique,
13:33 c'est pas comme ça qu'il faut présenter un épisode qui par hypothèse pourrait être grave.
13:37 Et ça, effectivement, qu'une fois qu'on relève ce motif,
13:40 et que l'hypothèse de la maladresse ou de l'erreur n'est plus possible qu'un trois, quatre ans après,
13:46 qu'on se soit trompé ou qu'on ait tâtonné dans un premier temps...
13:48 - Oui, ce qui est possible, accorde le bénéfice du doute au départ.
13:52 - Mais quatre ans après, non, il y a vraiment une intention délibérée,
13:54 et là donc, la question suivante, c'est qui a orchestré tout ça et à quelle fin ?
13:59 Et en ce qui me concerne, il y a deux motifs saillants.
14:02 Le premier, c'est celui de l'escroquerie, du "hold up" sur les finances publiques.
14:08 Et vous voyez, le nombre de doses de vaccins qui ont été commandées dans les différents pays,
14:12 c'est insensé, c'est l'équivalent de 10 ou 12 injections par personne.
14:15 - Non, ils en jettent, on va parler avec Virginie Legeron du Parlement européen,
14:18 ils en jettent des milliards par jour, enfin des dizaines de milliers, etc. de doses.
14:25 - Tout à fait. - Elles sont périmées.
14:26 - Il y a un motif que la plupart des gens ignorent et qui est choquant,
14:29 qu'on ne le connaît pas, c'est que le domaine de la santé aujourd'hui
14:32 est totalement affecté par une corruption généralisée.
14:36 - Vraiment ? Vous êtes... Je sais, vous l'affirmez dans votre livre...
14:40 - Non, ce n'est pas moi qui l'affirme. - On l'appelle le croire.
14:42 - Ce n'est pas moi qui l'affirme, c'est le Centre d'éthique de Harvard,
14:44 c'est les sociétés médicales, c'est les meilleures revues médicales,
14:47 c'est la Commission européenne en 2014 qui rappelle la corruption
14:51 et généralisée dans le domaine de la santé.
14:53 - Et comment alors ? - Et on voit ce qu'ils font 6 ans plus tard.
14:56 - Et comment ça se passe alors ?
14:57 - Ça se passe que par les systèmes de financement qui sont mis sur pied,
15:01 en fait l'industrie pharmaceutique a infiltré, et ce n'est pas une thèse complotiste,
15:06 c'est le rapport de la Chambre des communes britannique en 2005 qui le pose,
15:10 le professeur Philippe Evin l'a souvent mentionné,
15:12 qui dit que l'industrie pharmaceutique a infiltré tous les centres décisionnaires.
15:17 Et notamment... - Partout.
15:18 - Et notamment avec ce principe et ce processus des portes tournantes qu'on connaît bien,
15:23 l'actuelle directrice de l'Agence européenne des médicaments
15:26 est l'ancienne chef des lobbyistes des pharmas à Bruxelles.
15:29 Et donc c'est des gens de l'industrie qui viennent dans ces agences
15:32 qui sont censés protéger la population et qui en fait
15:35 ouvrent des lignes de crédit illimitées à l'industrie pharmaceutique
15:39 qui, rappelons-le, est la première ou la deuxième au monde.
15:41 Ils se tirent la bourre avec le complexe militaro-industriel en termes de chiffre d'affaires.
15:45 Donc on est face à des sommes monumentales.
15:48 Et ce que la plupart des gens effectivement peinent à comprendre,
15:50 c'est que tous nos systèmes de santé sont aujourd'hui captifs de ces intérêts privés
15:55 et avec une complicité nécessaire de tous ceux qui sont inscrits dedans
15:59 parce que si vous osez ouvrir votre gueule pour parler français par rapport à ça,
16:04 eh bien votre carrière est finie.
16:06 Et on voit effectivement jusqu'où ils sont allés.
16:08 Pensons à Aminoum Lille, docteur en pharmacie, juriste,
16:12 qui a rappelé ce que c'est que le consentement libre et éclairé.
16:14 Il était tout à fait juste dans ses analyses, il s'est fait révoquer.
16:18 Donc aujourd'hui, toute personne qui sort du rang se fait démolir
16:22 et donc évidemment que ça assure le fait que tout le monde est complice.
16:26 Et puis après, évidemment que dans les complicités,
16:28 je suis convaincu que l'immense majorité des médecins sont sincères.
16:31 Ils croient vraiment que le vaccin était utile.
16:34 Ils n'ont pas lu la science, ils n'ont pas lu les études
16:36 et ils n'ont notamment pas vu que les études Pfizer étaient trafiquées.
16:40 Mais c'est quand même étonnant pour des médecins.
16:41 Et effectivement, je suis comme vous, je crois que la majorité
16:44 sont des gens effectivement dévoués et dévoués à leur cause,
16:48 au serment d'Hippocrate et à Thune, en Nollim étant guéré.
16:53 Mais quand même, il y a quelque chose de très étonnant Jean-Dominique Michel,
16:57 c'est que je veux bien que l'industrie pharmaceutique et ses milliards corrompent,
17:03 mais il n'y a pas eu dans les allées du pouvoir ou des pouvoirs,
17:08 des gens pour dire "Attendez, ça va pas, là il y a un problème qui va pas".
17:13 - Et d'ailleurs ce qu'il y a aujourd'hui l'Agence Nationale de la Sécurité du Médicament, la NSM.
17:17 - La NSM, oui.
17:18 - Connaît des scandales à répétition et après chaque scandale, on change les têtes,
17:22 on essaye de rafisteler les choses, mais tant que le système ne bouge pas,
17:25 dans les faits, il s'empire.
17:27 Et d'ailleurs, il y a une preuve évidente, qui est que la crise H1N1 de 2009
17:31 avait déjà dévoilé tout un ensemble de dysfonctionnements majeurs
17:34 qu'un très bon rapport d'enquête du Sénat avait mis en lumière.
17:37 Et je dis souvent qu'un rapport d'enquête, ça vise à corriger les choses.
17:41 - Plutôt, oui.
17:41 - Or, ce qu'on a vu dans l'intervalle, c'est que ça a servi à faire exploser
17:45 tout ce qui avait permis de résister à l'opération crapuleuse en cours à cette époque.
17:51 Donc la première hypothèse, c'est qu'il y a un racket des finances publiques
17:55 avec la complicité de nos gouvernants, et ça, je crois qu'aujourd'hui,
17:57 il n'y a plus beaucoup de doutes à avoir.
17:59 Maintenant, l'autre hypothèse, elle est plus dérangeante,
18:02 c'est que la crise du Covid s'inscrit dans une succession de crises
18:06 qui toutes ont comme caractéristique de réduire les droits et libertés
18:10 et de faire émerger une gouvernance mondiale, dont d'ailleurs le président Sarkozy
18:14 avait dit que nous n'y échapperions pas.
18:17 Et on voit des gens comme Klaus Schwab et le Forum économique mondial
18:20 qui n'ont aucune légitimité démocratique dire, ils le disent explicitement,
18:24 les élections ne servent à rien, on sait quel en sera le résultat,
18:27 nous, banquiers, hommes d'affaires, richissimes, savants de ce monde,
18:30 savons mieux que les populations ce qui est bon pour elles.
18:33 - Nous sommes le camp du bien.
18:34 - Nous sommes le camp du bien, mais ils disent explicitement
18:37 qu'ils ont l'intention de prendre le pouvoir sur l'avis des populations,
18:41 la détermination des populations, et quand nous nous permettons de le répéter,
18:45 on se fait traiter de complotistes.
18:47 - Et oui, là il y a beaucoup de gens qui vont dire, là, là, Jean-Dominique Michel,
18:50 le vrai complotiste, Schwab, Gates, ce qui est vrai aussi,
18:54 enfin il faut le rappeler, je dis ça pour les auditeurs,
18:56 qui sont les plus gros financiers de l'OMS, c'est Bill Gates lui,
19:00 et la fondation Bill et Melinda Gates, en troisième après les Etats-Unis,
19:04 enfin donc c'est quand même intéressant ces liens.
19:08 - Et je me permets de mentionner Politico et Die Welt,
19:10 qui sont des médias assez crédibles, avec leur cellule d'enquête,
19:13 ont cherché à savoir qui avait piloté réellement la réponse mondiale au Covid,
19:18 ils sont arrivés à la conclusion, c'est M. Gates,
19:21 qui a investi plusieurs dizaines de milliards avec ses fondations,
19:24 qui s'est substitué aux Etats et a organisé une réponse uniforme,
19:29 d'une manière que les gouvernements n'ont pas contrôlée.
19:31 Et ça, c'est pas Jean-Dominique Michel, complotiste ou pas, qui le dit,
19:34 c'est Die Welt et Politico, donc il y a vraiment des phénomènes très inquiétants
19:38 qui sont en train de se dérouler, et je trouve que c'est très important d'en parler.
19:42 - Absolument, et c'est ce qu'on fait d'ailleurs.
19:44 - On continue cette entretienne dans un instant avec vous,
19:47 vous aurez la parole 0826-300-300, Jean-Dominique Michel est notre invité,
19:51 à tout de suite sur Sud Radio. - Et vous vous appelez.
19:53 Sud Radio Bercoff dans tous ces Etats, midi 14h, André Bercoff.
19:59 - Ici Sud Radio,
20:03 les Français parlent au français.
20:08 Les carottes sont cuites.
20:10 Les carottes sont cuites.
20:13 Sud Radio Bercoff dans tous ces Etats.
20:16 - Le problème est de savoir s'il s'agit de l'autopsie d'un désastre,
20:20 ou du désastre des autopsies quand elles sont mal faites,
20:23 notamment au niveau des morts et que provoque la mort,
20:26 est-ce que c'est le Covid ou est-ce que c'est quelques comorbidités
20:29 quand on a 80-85 ans ?
20:31 Vraie question, vrai livre, vrai livre que je vous recommande vraiment,
20:35 de Jean-Dominique Michel, parce qu'il raconte beaucoup de choses,
20:39 il dit beaucoup de choses, beaucoup d'informations
20:41 sur ce qui s'est passé, maintenant on a 4 ans de recul,
20:45 ça commence, tout commence à sortir,
20:48 et simplement Jean-Dominique Michel, je voudrais quand même vous dire,
20:51 oui mais on dit tout ça sur les vaccins, etc.
20:53 Mais enfin, des milliards de gens ont été vaccinés,
20:56 et il n'y a pas eu ni des milliards, ni des dizaines de millions de morts,
20:59 donc ça a marché le vaccin ?
21:01 - Eh bien si, et c'est là où la question d'échelle,
21:04 en fait, se retourne.
21:06 Actuellement, on évalue de manière relativement conservative,
21:10 à 1 cas sur 800,
21:13 les effets graves de l'injection anti-Covid.
21:16 Sur 800 injections, il y en a une qui déclenche un effet grave.
21:19 - Un effet secondaire ?
21:20 - Il faut savoir qu'il y a des vaccins qui ont été retirés du marché
21:23 il y a quelques années,
21:24 parce qu'il y avait un signal d'un effet grave sur 10 000.
21:28 Donc on est dans une échelle qui, contrairement à ce que les autorités disent,
21:31 est complètement alarmante,
21:33 on sait qu'il y a une sous-déclaration très importante des cas d'effet secondaire,
21:37 parce que c'est laissé, en fait, à la responsabilité de chacun.
21:40 - Chacun peut s'adresser à sa femme inco-vigilance,
21:42 mais il faut qu'il le fasse.
21:43 - Voilà, et on sait qu'il n'y a que 2 à 5% des problèmes qui sont rapportés,
21:48 et donc en fait, les chiffres sont écarlates partout,
21:51 et totalement inhabituels par rapport à ce qu'on connaît,
21:54 avec après, bien sûr, une très grosse résistance médiatico-politique
21:57 quant au fait de reconnaître qu'il y a des effets graves qui se sont produits,
22:01 et il y a eu quelques décisions récemment,
22:03 dont celle concernant Mme Morissette Douaillet,
22:06 qui avait développé un cas de Troisième Jacob.
22:08 - Oui, la femme de Marc Douaillet.
22:08 - Et on se souvient de votre ami Olivier Véran,
22:11 grand menteur devant l'Eternel,
22:12 à l'Assemblée nationale, professant devant la représentation nationale,
22:16 "il est impossible qu'il y ait des cas".
22:18 Et au fond, vous voyez, c'est ça la dynamique du mensonge.
22:21 Quand en janvier 2021, les autorités disent "l'injection est sûre et efficace",
22:25 il n'y a aucun moyen de le savoir.
22:27 On ne le sait pas.
22:28 On peut l'espérer,
22:30 mais on ne peut pas le dire si on est responsable de sa parole publique.
22:33 - On ne peut pas l'affirmer, vous l'avez dit.
22:34 - Pas l'affirmer.
22:35 Parce qu'on induit la population en erreur.
22:38 Et on a vu malheureusement la réalité des effets secondaires arriver.
22:41 Alors, en proportion, quand on fait un essai sur quelques milliers de personnes,
22:44 quand il y a quelques cas de décès, on arrête.
22:47 Ici, c'est sur quelques milliards de personnes,
22:50 mais il y a eu quelques millions de décès.
22:51 Donc on est exactement dans les mêmes ordres de grandeur.
22:54 Et ces sécurités qui existent naturellement dans les expériences médicales
22:58 ont complètement explosé,
22:59 parce que, et votre ami Véran l'a aussi dit et redit de manière totalement frauduleuse,
23:04 il a dit "on n'est plus dans la phase 3",
23:07 alors qu'on y est encore jusqu'en février-mars de cette année.
23:09 Donc on a complètement enfumé la population
23:12 en lui faisant croire que c'était un vaccin comme les autres,
23:15 ce qui n'est pas vrai.
23:15 C'est une nouvelle technologie qui présente tout un ensemble de risques
23:19 et avec des indicateurs d'effets nocifs massifs
23:23 qui ont été totalement gardés sous silence.
23:26 - Et alors justement, on arrive à cette période-là
23:31 où les gens commencent à bouger,
23:33 mais les gens qui contestaient cela ont été extrêmement attaqués.
23:40 Vous-même, en Suisse, vous avez été très attaqué.
23:44 Vous racontiez qu'il y a eu même des émissions sur et contre vous, c'est ça ?
23:48 - On a tous été déchus d'une position d'honorabilité que nous avions jusque-là,
23:52 mais à des points inimaginables.
23:54 Moi, je suis relativement, je suis un anthropologue de terrain honnête,
23:58 mais Didier Raoult, je me permets quand même de le rappeler,
24:00 c'est le numéro 1 mondial de la microbiologie.
24:04 C'est un type qui a révolutionné son domaine,
24:06 qui a découvert des nouveaux types de virus,
24:08 qui a fait des découvertes fondamentales,
24:10 des bestioles microbiologiques portent son nom.
24:13 C'est une référence absolue.
24:14 C'est le Zidane, le messie de la microbiologie.
24:17 - Oui, on pourrait vous répondre qu'il peut se tromper aussi sur d'autres domaines.
24:20 - Oui, absolument.
24:21 Et ça, ça a été l'intoxication.
24:24 C'est-à-dire que le ciblage a été très précis sur les différentes personnes.
24:28 Et pour les gens très compétents dans leur domaine,
24:30 comme Raoult, Perron ou Alexandra Anglioncaude,
24:32 on a fait croire qu'ils étaient devenus mégalomanes
24:34 et qu'ils ne tenaient plus compte de la science.
24:37 Maintenant, l'ancien directeur de l'école de santé publique
24:41 de l'Université libre de Bruxelles,
24:43 c'est quelqu'un qui connaît la santé publique,
24:45 commentant les émissions que Didier Raoult publiait chaque semaine sur YouTube,
24:49 disait que c'était des leçons de science.
24:52 C'était d'une intelligence, d'une précision.
24:54 Il a dit un ensemble de choses avant tout le monde.
24:57 Et de cette précision et de cette pertinence dans l'analyse,
25:00 on a réussi à faire croire que ce monsieur se mettait à délirer.
25:04 Et là, on a ce motif inversé extraordinaire qui est qu'en fait,
25:07 la société a déliré, les gouvernants ont déliré,
25:11 les médecins de plateau ont déliré,
25:13 mais probablement parce qu'ils sont payés à cette fin.
25:15 Il y a quand même de l'escroquerie...
25:16 - Il y a quand même des conflits d'intérêts.
25:18 - Dans ce domaine. Et plus que ça,
25:20 des versements massifs sur des comptes occultes dans des paradis offshore
25:23 pour un certain nombre d'entre eux.
25:24 - Vous êtes sûr de ça ?
25:25 - Ah oui, c'est parfaitement documenté. Tout à fait.
25:28 Alors, il y a aussi des naïfs qui participent benoîtement au truc,
25:31 mais il y a aussi des gens qui touchent des millions de dollars
25:34 pour enfumer la population.
25:35 Et donc, on a vraiment fait croire que des gens qui étaient d'authentiques experts
25:39 et qui avaient gardé la tête froide...
25:41 Et je dis souvent, si on avait eu Perron, Raoult et Toubiana,
25:44 l'épidémiologiste en charge,
25:46 mais on aurait géré ça comme une fleur.
25:48 Vraiment !
25:48 Et c'est tout ce que l'analyse rigoureuse des données
25:52 montre de manière absolument indiscutable.
25:54 - Oui, mais ce n'était pas eux qui étaient là.
25:56 Juste un mot là-dessus, Jean-Dominique Michel.
26:01 Il se passe aussi aux Etats-Unis,
26:03 où il y a des contre-pouvoirs très forts, beaucoup plus forts,
26:05 il faut le dire, qu'en Europe, en tout cas que chez nous en France,
26:08 il y a quand même des réactions.
26:10 Un Etat comme la Floride a banni, en tout cas, le vaccin.
26:14 Mais au-delà de ça,
26:16 est-ce qu'aujourd'hui, ça va jusqu'à la Cour suprême ?
26:19 Les jugements, les plaintes, etc. se multiplient ?
26:22 Où on en est de ce point de vue ?
26:24 - Alors, il y a plusieurs procédures en cours.
26:26 Une des plus intéressantes, c'est une procédure
26:28 des Etats de la Louisiane et du Missouri
26:30 contre la Maison-Blanche et l'administration fédérale
26:33 pour avoir censuré de la science de qualité sur les réseaux sociaux,
26:38 notamment Facebook, Instagram, Twitter, etc.
26:42 Et donc, certains épidémiologistes comme Jey Batacharya et Martin Kulldorff
26:45 se sont associés à la plainte.
26:47 Et les juridictions ont donné raison en plaignant,
26:49 en disant que c'est une violation intolérable du droit à la liberté d'expression.
26:53 D'autant plus que c'est des très bons experts qui publiaient de la science de qualité.
26:57 Mais la Maison-Blanche a porté le cas jusqu'à la Cour suprême
27:01 avec un argumentaire qui est quand même intéressant, qui consiste à dire
27:05 "Nous devons avoir la possibilité, au besoin, de censurer de la science de qualité
27:09 qui arrive à des résultats vrais
27:12 pour les impératifs de santé publique que nous poursuivons."
27:15 - Carrément, ils ont dit ça ? - Oui, carrément.
27:17 - On peut censurer ou on doit censurer la science
27:20 au nom de l'intérêt suprême de l'État ?
27:22 - Exactement, et notamment dans ce train très infantilisant dans lequel on est aujourd'hui,
27:26 que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire.
27:28 Et si certaines vérités risquent de perturber le citoyen
27:31 qui est bien endoctriné par la propagande étatique,
27:34 eh bien ça risque de poser un problème, mais c'est effectivement assez...
27:38 - D'où les censures sur Twitter avant qu'Elon Musk ne prenne effectivement la direction.
27:43 Il a un peu changé certaines choses.
27:45 On va peut-être en parler, je crois que nous avons des auditeurs.
27:48 - On a Christophe qui nous appelle depuis Perpignan. Bonjour Christophe.
27:51 - Bonjour Christophe. - Bonjour.
27:53 Bonjour.
27:54 Donc moi je suis...
27:57 Je me présente un peu, je suis infirmier.
27:59 - Oui. - Et cadre infirmier.
28:01 Et j'ai vécu toute cette période Covid au cœur,
28:05 puisque comme tout personnel de santé on était dedans,
28:08 je me suis porté volontaire pour faire partie de centres anti-Covid,
28:12 pour recevoir les patients et tout.
28:14 Et du début, on a vu que c'était une escroquerie.
28:18 - Ah bon ? Comment ? - Une vraie escroquerie.
28:20 Et ça a... Eh bien les chiffres étaient changés
28:22 dans les occupations de lits,
28:24 dans les gens qui décédaient.
28:29 On attribuait le titre "Covid" à tous ceux qui décédaient.
28:32 Tout était faux.
28:34 Et j'ai fait partie des infirmiers
28:39 qui n'ont pas voulu se faire vacciner.
28:43 J'ai fait un faux vaccin.
28:44 Ah oui.
28:45 C'est-à-dire que vous n'avez pas été suspendu,
28:47 vous avez fait un faux vaccin.
28:48 Non, alors...
28:50 J'ai besoin de...
28:51 Heureusement j'ai besoin de manger comme tout le monde.
28:53 - Bien sûr. - Et voilà.
28:55 Et donc... Et j'ai fait,
28:56 puisque c'était moi qui étais en charge de vacciner les gens,
28:58 j'ai des gens qui sont venus me voir
29:00 en me disant "je veux continuer à travailler,
29:01 je veux un faux vaccin pour travailler".
29:03 - Et vous les avez faits. - Je l'ai fait.
29:04 Je l'ai fait à une quarantaine de personnes.
29:07 Parce qu'on se rendait compte
29:09 que c'était une escroquerie.
29:12 J'ai connu dans d'autres pays
29:15 des vraies pandémies comme Ebola,
29:17 des vraies maladies où on meurt.
29:19 Et là, quand du jour au lendemain on vous dit
29:21 "il ne faut pas porter de masque",
29:22 le lendemain on vous met 135 euros
29:24 parce que vous ne portez pas de masque.
29:26 Que des histoires comme ça,
29:28 des masques où on savait très bien
29:30 qu'ils ne protégeaient pas grand-chose.
29:32 Tout le monde devenait professeur
29:35 en épidémiologie,
29:39 et puis donnait ses thèses et ses machins.
29:42 Alors que les professionnels de la santé,
29:44 moi je suis professionnel depuis 40 ans de la santé,
29:47 on reçoit les gens à l'hôpital,
29:49 on reçoit les gens aux urgences,
29:51 on sait les gestes à faire ou à ne pas faire.
29:53 Et ce n'est pas des gens qui ont fait,
29:55 malheureusement dans des gouvernements
29:57 qui n'ont peut-être jamais vu un hôpital
29:59 ou un service médical,
30:01 qui viennent nous donner des leçons
30:03 et qui nous disent ce qu'on doit faire ou pas faire
30:05 et qui nous punissent.
30:06 Parce que ça a été une punition pour des collègues à moi
30:09 qui ont refusé le vaccin et qui ont arrêté leur boulot.
30:12 Et le boulot d'infirmier, d'ex-soignant, de médecin,
30:15 ce n'est pas un boulot qu'on fait alimentairement
30:18 comme des frites à McDo.
30:19 C'est un vrai métier,
30:22 c'est pour beaucoup un sacerdoce.
30:24 Quand vous faites ça, vous ne savez pas faire autre chose,
30:25 mais vous faites ça tous les jours.
30:27 Et ça fait du bien d'entendre ce que dit votre invité,
30:30 qu'on a été pris pour des jambons pendant des mois et des années,
30:34 et c'est juste pour le Dieu Pognon.
30:36 - Merci Christian, Jean-Dominique Michel,
30:38 ça vous fait réagir comment ?
30:40 - Oui, parce que je crois qu'il y a vraiment
30:41 deux éléments de gravité extrême.
30:43 Le premier, c'est qu'on ait totalement transgressé
30:45 toute la science et les bonnes pratiques
30:47 en gestion des épidémies.
30:48 Et si quelqu'un a le moindre doute,
30:49 prenez le cas de la Suède et la Norvège.
30:51 Ils n'ont rien appliqué de tout ce qu'on a infligé ici
30:53 et ils s'en sortent beaucoup mieux que nous.
30:55 Et c'est la confirmation de ce qu'on savait déjà.
30:57 Mais le deuxième élément très grave,
30:59 et merci à notre auditeur de t'en témoigner,
31:03 c'est la violence, la brutalité de la réponse étatique.
31:09 Et notamment, vous soulignez l'étiquette complotiste,
31:12 il faut savoir que j'ai copréfacé avec Ariane Biron
31:14 la traduction en français du livre
31:16 d'un professeur de sciences politiques américain
31:18 qui s'appelle "Les théories du complot,
31:19 un outil de contrôle de la pensée".
31:21 Et il retrace tout l'historique de l'utilisation de cette étiquette
31:24 en montrant qu'à chaque fois qu'elle fleurit
31:26 et qu'elle est utilisée massivement par les médias,
31:29 c'est qu'il y a des crimes d'État contre les populations en cours.
31:33 Ça s'est passé pendant la déclaration de la guerre en Irak,
31:35 après l'assassinat du président Kennedy,
31:37 donc à chaque fois qu'il y a une énorme magouille mafieuse
31:40 auxquelles participent nos États,
31:41 on brandit l'étiquette de complotiste
31:43 - Pour ceux qui s'y opposent.
31:45 - Et on attaque les personnes de manière totalement indigne,
31:48 comme les soignants l'ont été.
31:50 - Oui, mais les soignants suspendus,
31:52 sans indemnité, sans tithe.
31:54 - Mais il faut savoir que c'est toujours en cours.
31:57 - Oui.
31:58 - C'est toujours en cours parce que
32:00 quand vous vous cherchez un emploi de soignant dans n'importe quoi,
32:02 la première question qu'on vous pose,
32:04 c'est est-ce que vous êtes à jour de votre vaccination ?
32:06 - Oui, toujours aujourd'hui.
32:08 - Toujours aujourd'hui.
32:08 - Oui, d'accord.
32:09 - Ce qui est accessoirement une violation du secret médical.
32:12 - Mais c'est en plus...
32:12 Et donc ce qui est intéressant,
32:13 je crois qu'on peut dire aussi que certains complotistes,
32:16 en fait, ils sont traités de façon lamentable
32:19 parce qu'ils dévoilent les vrais comploteurs.
32:21 - Oui, bien sûr.
32:22 Bien sûr.
32:23 - Le dieu pognon.
32:25 Il ne faut pas chercher plus loin, c'est le dieu pognon.
32:27 Il y a des milliards et des milliards en jeu.
32:30 Et pour des milliards, on peut tuer des gens sans aucune discrimination.
32:34 On s'en fout.
32:34 - Et hélas, ce n'est pas nouveau, Christophe.
32:37 On va prendre...
32:39 - On marque une courte pause et après on aura Jean-Marc qui nous attend en standard.
32:41 0 826 300 300.
32:43 Vous nous appelez.
32:43 Dernière pause sur Sud Radio.
32:45 A tout de suite.
32:46 - Sud Radio Bercov dans tous ses états.
32:49 Appelez maintenant pour réagir.
32:51 0 826 300 300.
32:56 Ici Sud Radio.
32:58 Les Français parlent au français.
33:02 Je n'aime pas la blanquette de veau.
33:06 Je n'aime pas la blanquette de veau.
33:09 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
33:11 13h46 sur Sud Radio.
33:13 Nous sommes toujours avec Jean-Dominique Michel qui vient nous voir pour son livre
33:16 Autopsie dans désastre, mensonges et corruption autour du Covid.
33:19 Aux éditions Résurgence.
33:21 Et on a Jean-Marc qui nous appelle depuis Narbonne.
33:23 Bonjour Jean-Marc et meilleurs voeux.
33:24 - Bonjour Jean-Marc.
33:25 Bonjour André.
33:26 Bonjour Monsieur Michel.
33:27 Félicitations.
33:28 Alors moi je fais partie des compositistes et extrémistes depuis quelques années.
33:33 Donc c'est comme ça qu'on traite les gens qui réfléchissent en fait.
33:35 - Oui il y a de ça.
33:37 - Il y a de ça.
33:38 Donc je me félicite qu'on me traite comme ça.
33:40 - D'accord.
33:41 - Moi j'ai eu peur aussi pendant 10 minutes quand cette pandémie est arrivée.
33:45 J'ai eu peur pendant 10 minutes parce que d'entrée, on a eu les chiffres,
33:49 le gouvernement a donné les chiffres comme quoi il y avait moins de 1% de morts.
33:54 Et que ça a tué les personnes qui étaient âgées
33:58 ou qui avaient des gros problèmes de santé.
33:59 - Oui.
34:00 - Donc comme c'était pas mon cas et c'est pas le cas de beaucoup de personnes heureusement,
34:05 donc je vois pas de quoi on pouvait s'affoler d'un tel virus.
34:08 Donc malgré ça, ils ont réussi quand même à confiner toute la population.
34:13 Les gens ont respecté à 95% et dénoncé les personnes
34:17 qui ne respectaient pas les ordres du gouvernement.
34:19 Donc ça je trouve que c'est quand même intéressant et c'est en même temps effrayant.
34:22 C'est pour ça qu'il y a eu des guerres et qu'il y a eu des collaborateurs et que ceci et que cela.
34:26 - Oui parce qu'on leur demandait même de dénoncer leur voisin.
34:30 Il faut se rappeler à un moment donné.
34:31 - Non mais moi je connais des gens qui ont été...
34:33 Moi j'ai pris une amende à Narbonne de 135 euros
34:36 parce que j'étais en plein centre-ville, il y avait moins de chiens que j'avais pas de masque.
34:39 - Ah d'accord.
34:40 - Je me voyais en plein centre-ville, il y avait personne, je suis tout seul sur la place.
34:42 Voilà, je connais des personnes qui ont été dénoncées.
34:44 Moi j'ai été insulté parce que j'avais pas de masque à l'extérieur.
34:46 Moi je vous parle pas à l'intérieur, quand je rentrais,
34:48 je faisais semblant de tousser, il y avait tout le monde qui partait au moins,
34:50 ce qui faisait bien c'est que je me suis fait...
34:52 (rires)
34:54 Voilà.
34:55 Avant pour cambrioler les banques, il fallait un masque.
34:59 Maintenant vous rentrez avec le masque, il y a plus d'argent dans les banques.
35:03 C'est dommage, c'est pas mes amis les banquiers.
35:05 Et le deuxième point que je voudrais soulever,
35:07 c'est qu'on a dit aux médecins de ne pas soigner.
35:10 Ça c'est quand même fou.
35:12 Et les médecins ont écouté.
35:13 Et alors qu'un médecin il peut se soigner n'importe qui.
35:16 Et ça par contre c'est quelque chose que j'arrive pas très bien à comprendre.
35:21 Un médecin qui a fait le serment d'hypocrate,
35:23 qui a fait 8 ans, 10 ans ou 12 ans d'études,
35:25 il vous dit "je suis les ordres du gouvernement
35:27 parce que je risque de me faire agronder d'ailleurs ce qui s'est passé
35:30 parce que les médecins qui ont soigné, ils se sont fait emmerder,
35:34 et les médecins qui n'ont pas soigné,
35:36 ils ont eu des primes ou ils ont eu des satisfaits du gouvernement.
35:41 Et encore chez moi, dans mon petit village à côté de Nardone,
35:44 j'ai une maman qui a 86 ans, il y a deux semaines de ça, c'est pas vieux,
35:47 elle est enrhumée à téléphone au centre médical,
35:49 le centre médical lui dit "madame, allez faire un test du Covid".
35:53 - Ah bah d'accord.
35:55 - Attendez, attendez, c'est pas fini André.
35:57 "Allez faire un test du Covid pour savoir si vous avez le Covid".
35:59 Donc ma maman 86 ans déjà, elle est tousse,
36:01 elle va à la pharmacie, et le centre médical lui dit
36:04 "si vous avez le Covid, vous ne venez pas".
36:07 - Ah bon ?
36:08 - Si vous avez le Covid, on ne vous soigne pas,
36:10 par téléphone on vous dira qu'il faut rester chez vous, allez, dodo les fringues.
36:14 - C'était il y a deux semaines ça ?
36:16 - Oui, non mais c'est effrayant, parce qu'en plus ces gens-là,
36:19 je les aime bien, ils sont servibles,
36:21 mais comment, si vous voulez, c'est effrayant quand même ça.
36:26 - Jean-Marc, alors justement, la question que vous posez, c'est vrai,
36:30 comment il se fait que des médecins, et encore une fois on l'a dit,
36:33 Jean-Dominique Michel, qui sont en général des gens vraiment qui travaillent,
36:36 et Dieu sait, si on les connaît tous, qui sont formidables,
36:39 qu'est-ce qui fait qu'ils ont obéi, comme ça ?
36:41 Si on dit "oui, oui, d'accord", on nous dit "ben écoutez, n'allez pas voir vos..."
36:44 Et ils ont dit "oui", dans la majorité écrasante.
36:47 - Alors c'est là où on est obligé de repartir du sous-titre du livre,
36:50 "Mensonges et corruption autour du Covid",
36:52 il y a eu une opération d'ingénierie sociale,
36:55 où on a cherché à orienter délibérément la population
36:58 dans une direction qui n'était pas honnête.
37:01 Et en fait, on a utilisé un renversement,
37:04 où on a rendu acceptable ce qui normalement est scandaleux,
37:07 et on a fait passer pour scandaleux ce qui normalement est acceptable.
37:10 Et vraiment, on l'a vu, le fait de ne pas soigner des gens, c'est scandaleux.
37:13 Parce que le soin en lui-même fait du bien.
37:16 Maintenant, souvenez-vous, on avait ces images terribles qui venaient d'Italie,
37:19 on nous disait "il y a plein de médecins jeunes qui meurent d'avoir soigné des patients du Covid",
37:23 donc les médecins étaient ravis de ne pas avoir à consulter à ce moment-là.
37:26 On les a piégés.
37:28 - On leur a dit "vous allez être contaminés", etc.
37:30 - Exactement. Et en fait, on a désorienté tous les repères
37:33 d'une manière qui a été extrêmement efficace,
37:36 et notamment en provoquant la collaboration contre-nature
37:40 de catégories entières de la population.
37:43 Alors, on pourrait faire un petit aparté sur les masques qui ne servent à rien,
37:46 il faut savoir que même en salle d'opération, ça ne protège pas des bactéries et des virus.
37:50 - Même en salle d'opération ? - Même en salle d'opération.
37:52 Ça protège contre les jets de liquide physiologique,
37:55 mais pas contre la transmission.
37:57 Donc quand des enseignants se sont retrouvés obligés d'infliger à des enfants
38:02 le port du masque à journée longue, avec tous les dégâts psychologiques et physiques,
38:05 parce que ça crée un état d'asphyxie, ça a été confirmé,
38:08 vous voyez, ils ont collaboré à quelque chose d'odieux,
38:12 mais toujours avec une justification héroïque.
38:15 Sacrifiez-vous pour le bien des personnes âgées, pour papy-mamie,
38:19 donc restez à la cuisine, restez chez vous, faites-vous vacciner, portez des masques,
38:24 faites votre part pour pouvoir participer à l'effort collectif.
38:28 Et c'est là où le piège a été monté, mais avec,
38:31 et ça pour moi c'est un grand motif de préoccupation en tant que socio-anthropologue,
38:34 le fait qu'il y a eu une banalisation, vous connaissez l'expression "la banalité du mal",
38:38 mais actuellement on est dans une banalisation du mal.
38:43 C'est-à-dire qu'un président de la République, un Premier ministre,
38:46 peuvent dire "non, nous on a choisi d'emmerder les gens qui ne sont pas d'accord avec nous,
38:50 ce ne sont plus des citoyens à part entière parce qu'ils ne se conforment pas à ce qu'on leur impose,
38:55 et que ça soit devenu banal dans le paysage, alors que c'est scandaleux.
39:00 C'est la fin de la démocratie et de l'état de droit.
39:04 Techniquement, politiquement, c'est une tyrannie.
39:07 Et donc voilà, ce que monsieur décrit c'est ça,
39:10 et effectivement, honneur à tous ceux qui ont résisté et qui ont compris que
39:14 le fait de tenir bon, avec bon sens, sur ce qui est bon pour tout le monde,
39:18 ça n'était pas de nous précipiter dans cette direction.
39:21 - On remercie Jean-Marc, et on accueille Catherine,
39:23 qui nous appelle peut-être depuis la neige, depuis le bassin d'Arcachon.
39:26 Bonjour Catherine, vous êtes là, peut-être sous la neige.
39:29 - Oui bonjour, effectivement on a de la neige aujourd'hui.
39:32 - Catherine, on vous écoute.
39:34 - Je ne vous appelle pas pour vous donner la météo du bassin.
39:37 - Non, non.
39:38 - Je vous appelle pour deux petites questions.
39:41 La première question, c'est, avez-vous, votre invité,
39:46 a-t-il une idée combien de temps les effets secondaires auront lieu aux gens qui ont été vaccinés ?
39:54 La deuxième question, moi je ne suis pas vaccinée,
39:58 donc évidemment j'ai été interdite de continuer à travailler à l'hôpital,
40:01 et je me suis rendue compte du nombre de personnes autour de moi
40:04 qui sont parties, j'ai perdu beaucoup d'amis,
40:08 et donc quelle est la question,
40:10 quelle est la façon que l'on peut donner à tous ces gens qui ont été vaccinés,
40:15 pour qu'ils comprennent qu'ils ont été empapoutés ?
40:19 Voilà.
40:21 - Comment on peut leur expliquer ?
40:23 - Difficile, parce que quelqu'un qui a été vacciné et qui se porte bien,
40:26 ça sera très difficile de lui expliquer qu'il a été empapouté.
40:30 - Non mais ceux qui, justement, ont des effets secondaires.
40:33 - Ah oui, d'accord.
40:34 - Qu'est-ce qu'on peut leur dire ?
40:35 - D'accord.
40:36 - Voilà, prenez confiance que vous vous êtes fait empapouté.
40:39 Et puis, combien de temps, si il y a des statistiques qui ont été faites,
40:43 combien de temps les effets secondaires...
40:45 - C'est votre première question, Catherine.
40:46 J'ai bien écouté.
40:47 Jean-Dominique Michel, est-ce qu'on sait,
40:49 il y a eu effectivement beaucoup de choses,
40:51 mais là aussi, c'est des spéculations.
40:53 Certains ont dit "non mais attendez, c'est allé très loin".
40:56 Certains ont dit "vous avez été vaccinés, vous allez mourir dans 2, 3 ou 5 ans quand même".
41:00 Pas exagéré, quoi.
41:01 Il y a eu aussi du délire de ce côté.
41:03 - Tout à fait.
41:04 - Reconnaissons-le.
41:05 - Tout à fait, c'est important.
41:06 - Soyons quand même un peu objectifs.
41:08 Mais, justement, est-ce qu'il y a une idée du temps, etc., ou pas ?
41:13 - Alors, c'est une réponse complexe,
41:15 donc je vais donner quelques lignes de force.
41:17 La première, c'est que non, on n'a aucune idée de ce qui va se passer à moyen et long terme.
41:21 Et d'ailleurs, même Pfizer, dans les contrats avec les États,
41:23 dit "on ne sait pas ce qui se passe au-delà de quelques mois".
41:25 Quand Véran disait "Macron, c'est sûr et efficace",
41:28 Pfizer lui disait "on n'en a aucune idée".
41:30 Ce qui quand même remet un peu l'église au milieu du village.
41:32 Et cette incertitude, elle est douloureuse.
41:34 Ce qu'on sait aussi, c'est que dans les lots d'injections,
41:37 certains se sont avérés particulièrement toxiques.
41:39 Il y a des études au Danemark, notamment, qui ont été faites,
41:41 et d'autres très peu toxiques.
41:43 Donc il peut y avoir une très grande variabilité
41:45 de l'effet potentiel problématique de l'injection,
41:49 selon le lot dont elle est issue.
41:51 Et puis en ce qui concerne les signaux,
41:53 ce qui est sûr, c'est qu'on voit une augmentation
41:55 très préoccupante de la mortalité générale en 2021, 2022 et 2023,
42:00 et notamment dans des classes d'âge où on meurt très peu.
42:03 Il y a +20, +25% dans des pays comme l'Angleterre,
42:06 comme le Canada, en Suisse.
42:08 On voit cette augmentation de la mortalité générale,
42:10 elle est corrélée temporairement avec l'injection génique,
42:13 donc on peut supposer malheureusement qu'il y a un lien de cause à effet,
42:16 mais puisqu'il y a eu tout un ensemble d'atteintes à la santé
42:19 avec la gestion catastrophique du Covid,
42:21 il faut rester prudent.
42:22 - Absolument.
42:23 - Et puis...
42:24 - Ça peut être à cause du confinement, à cause de beaucoup d'autres choses.
42:26 - Ou des soins qui n'ont pas été donnés, des reports de dépistage, etc.
42:30 Et puis les deux signaux qu'on voit apparaître maintenant
42:33 et qui sont préoccupants,
42:34 le premier, c'est que plus les gens sont injectés,
42:36 plus leur immunité s'effondre.
42:38 Donc il y a vraiment un effet destructeur de l'immunité
42:41 avec la répétition des doses.
42:43 Et puis l'autre élément, c'est la flambée des turbocancers.
42:46 Beaucoup d'oncologues nous disent
42:47 qu'on voit des cancers foudroyants qu'on ne voyait pas avant,
42:50 notamment chez les jeunes.
42:52 Et là encore, on est obligés d'avoir à l'esprit
42:55 le fait que ça pourrait avoir un lien avec l'injection.
42:58 Donc pas de panique,
42:59 vigilance,
43:00 mais en même temps, c'est vrai que
43:02 les gouvernants ont fait prendre des risques insensés à la population
43:06 et ils auront à en rendre compte tôt ou tard.
43:08 Et ça, nous le verrons.
43:10 En tout cas, Jean-Dominique Michel,
43:11 lisez "L'autopsie d'un désastre".
43:13 Ça vous éclairera.
43:15 Merci Jean-Dominique Michel d'avoir été avec nous.
43:17 On va se retrouver demain sur Sud Radio,
43:19 entre midi et 14h,
43:20 comme tous les jours avec André Bercoff.
43:22 On sera là dès midi, tout de suite.
43:23 C'est Brigitte Lai sur Sud Radio.
43:26 C'est Cécile de Manibus.
43:27 Je vous souhaite une bonne année 2024 avec Sud Radio.
43:30 Bonne année avec Sud Radio.
43:32 Sud Radio. Parlons vrai.