16 INDYCAR GP DE PORTLAND 2022 - CANAL+ p2
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00:00 L'ancien pilote de Formule 2, et puis là c'est la bataille entre la voiture de Graham Rahal, la rouge, qui vient de passer devant Newgarden.
00:07 Newgarden un petit peu en difficulté en début de course parce qu'il n'a pas les pneus rouges non plus.
00:13 Ça on peut l'expliquer aussi, la stratégie, la spécificité de l'Indycar, c'est d'avoir deux types de pneumatiques,
00:18 les pneus tendres, rouges, et les pneus durs, qui sont évidemment efficaces à différents moments de la course.
00:24 Oui, même si on sait qu'aujourd'hui ils ont demandé justement à ce qu'il y ait plus d'écart de performance entre le pneu rouge et le pneu noir,
00:31 parce que ce n'était pas le cas, il y avait vraiment un écart en longévité, il y avait un vrai écart entre les deux sets de pneus.
00:42 Maintenant c'est toujours le cas, mais il y a aussi un vrai écart de performance, les pneus rouges sont vraiment plus rapides,
00:47 pratiquement une seconde au tour sur un circuit routier comme ici.
00:54 Quatrième tour sur les 110 au programme de Bouclé, en termes de stratégie, pour s'ouvrir le maximum de possibilités,
01:00 il n'est pas impossible de voir les pilotes qui sont partis en pneus rouges, en pneus tendres, comme McLaughlin, Power, Longard ou Palloux,
01:07 s'arrêter assez rapidement finalement pour essayer d'anticiper peut-être l'arrivée d'un safety car.
01:13 Oui, même si là on a l'impression que c'est plutôt calme dans le peloton, mais on le sait en IndyCar, on met une roue dehors et c'est le drapeau jaune.
01:25 Donc ça peut aller vite, il faut aussi être capable de se protéger, un souvenez-vous Arta, il y a deux ou trois courses,
01:32 il était en tête, il avait course gagnée, il s'est pris un safety car au mauvais moment, c'est quand même du classique en IndyCar.
01:38 Donc McLaughlin il est en tête, il est devant, il est avec les pneus rouges, il faut qu'il les exploite, il faut qu'il pousse, il faut qu'il pousse,
01:44 et il prendra la bonne décision.
01:47 Avec son équipe, son crew chief, Scott McLaughlin devant Christian Longard et Will Power, alors on parlait à l'instant de Arta,
01:56 si vous découvrez l'IndyCar, puisque vous avez certainement suivi le Grand Prix de Formule 1 aujourd'hui à Zandvoort,
02:02 on parle beaucoup d'un Américain en Formule 1, et pourquoi pas Colton Arta avec la voiture jaune et noire que l'on a aperçue en 8ème position.
02:09 Colton Arta c'est le fils d'un pilote d'IndyCar connu, Brian Arta, et il serait en pourparlers pour arriver en Formule 1, pourquoi pas.
02:18 Alors est-ce un bon choix, est-ce un choix difficile ? Bon, Colton Arta il a montré quand même en IndyCar qu'il avait du niveau.
02:23 Oui, il a montré qu'il avait du niveau, mais vous savez la Formule 1 c'est aussi quelque chose de très différent.
02:29 Je dirais que ceux qui ont réussi en venant de l'IndyCar c'est des gens qui ont été formés en Europe, qui à un moment donné se sont retrouvés bloqués,
02:38 comme Montoya, il y en a plein, on peut en citer plein, qui pendant Jacques Villeneuve, il a fait de la F3 en Italie, il est reparti sur le continent nord-américain,
02:48 et puis il est revenu, mais il a fait sa formation en Europe, c'est pas exactement la même, entre guillemets les codes de conversation avec les ingénieurs,
02:57 c'est un petit peu différent même si ça se rapproche de plus en plus, et donc moi je suis un peu inquiet, je souhaite y aller, mais je pense que c'est très différent.
03:07 C'est pas comme un Lundgaard par exemple qui lui pourrait venir en F1.
03:12 Oui, il est allé en F2 avec Hard Grand Prix, il a été formé en Europe.
03:17 Cela dit Arta a roulé en Europe, il a roulé en Euroformula Open, il a eu aussi son expérience, mais pas dans des championnats de référence.
03:24 Pas autant qu'un Lundgaard par exemple, ou un Hilot.
03:29 Complètement, ou un Félo-Milot qui est là également.
03:31 Ou un Rossi, on pourrait parler de Rossi, il a vécu 6 ans en Europe.
03:36 Oui, complètement, il a été d'ailleurs vice-champion de Drogne, c'est un tout à fait.
03:41 Tout à fait, tout à fait, Alexander Rossi qui est d'ailleurs devenu en 2016, une fois qu'il a vu que c'était bloqué, après avoir fait son petit passage en F1 avec l'équipe Virgin Racing.
03:51 Enfin l'équipe, c'était le nom, Marussia, tout à fait, c'était pas Virgin Racing.
03:57 Et bien ensuite il est allé aux Etats-Unis, ici en IndyCar, il est devenu en 2016 le premier rookie américain depuis 1926 de mémoire à avoir décroché la victoire.
04:08 Oui, je lui ai commenté ce truc.
04:11 Comme beaucoup de concédits d'écarts sur 4.
04:13 C'est assez incroyable ce pari fou qu'il avait fait.
04:16 Et ça c'est vraiment l'histoire de l'IndyCar aussi.
04:19 Alors l'Indy 500, c'est sûr que c'est encore plus poussé, mais en termes de stratégie, c'est évident que parfois il faut de la réussite, comme dans toute course.
04:29 Avec, vous l'avez dit, ces fameuses zones de drapeau jaune, ces safety cars, qui peuvent arriver et qui peuvent détruire finalement une avance qu'on construit depuis le début de l'avance.
04:38 Oui, complètement, c'est le piège de l'IndyCar.
04:41 Mais c'est aussi, c'est le piège et le charme.
04:44 C'est à dire qu'il y a des pilotes qui regrettent le safety car et puis il y en a qui sont contents de l'avoir vu.
04:49 Oui, tout à fait.
04:50 Alors, c'est plutôt, moi je trouve, plaisant.
04:54 Oui, c'est une autre façon de rouler.
04:57 On parlait de Herta, pilote américain qui pourrait venir en Formule 1, son patron, Michael Andretti, avait tenté de venir en Formule 1 et justement, il n'avait pas les codes.
05:05 Le problème, c'est quand il est arrivé en Formule 1, on s'est dit mais qu'est ce que c'est que ce pilote qui ne sait pas rouler, sauf qu'il était ultra talentueux en IndyCar.
05:12 D'ailleurs, quand il est revenu, il s'est mis à regagner de nouveau.
05:15 Donc, c'est vraiment, comme on le dit, deux compétitions vraiment différentes.
05:19 Et puis d'être équipier d'air comme Senna à l'époque, ça ne doit pas être simple.
05:22 Oui, il y a plein de facteurs, mais c'est surtout que c'est un peu deux mondes qui s'opposent.
05:27 Les Américains, on met du scotch sur la voiture et il faut que ça roule.
05:30 Simon, il remet des pneus rouges.
05:33 Il était parti en rouge.
05:35 Non, il était parti en dur, en pneu prime, les pneus à flanc noir.
05:40 Là, vous voyez, j'étais en train de regarder les chronos de Romain.
05:43 Romain vient d'améliorer son temps, mais il n'est pas très vite.
05:45 Avec les pneus noirs, il manque 4, 5, 10e au tour.
05:50 C'est compliqué, là.
05:52 21e devant Takuma Sato, l'ancienne voiture que Romain Grosjean pilotait.
05:56 Ils sont un peu en fond de peloton, ces pilotes.
05:59 Et là, en termes de stratégie, c'est assez spécial parce qu'on ne s'attendait pas à ce que les pilotes partent en pneu dur.
06:06 S'arrêtent sitôt, comme Simon Pagenaud.
06:08 Là, on est peut-être en train de prendre un pari.
06:12 Oui, c'est vrai que c'est assez surprenant, mais bon, ici, la course, c'est elle.
06:16 D'ailleurs, beaucoup plus longue que lors du retour de l'Indycar en 2018.
06:20 Ce n'était pas 110 tours à l'époque.
06:22 Et là, cette fois-ci, on a, depuis deux ans de mémoire, mis cette distance à 110 tours.
06:29 Là, vous voyez, aujourd'hui, enfin maintenant, les seuls pilotes à améliorer leurs chronos,
06:37 c'est les pilotes avec les pneus noirs, les pneus rouges.
06:39 Maintenant, ils se sont stabilisés. Ils n'améliorent pas leur temps.
06:42 Je dirais même qu'ils font à peu près les mêmes temps.
06:48 Il fallait évidemment que je dise ça pour que Will Power améliore son tour à l'instant,
06:52 avec ses pneus rouges, mais dans l'ensemble, tout le monde a stabilisé ses temps
06:56 2/3 dixièmes moins vite avec leurs pneus rouges.
07:00 Oui, il faut aussi avoir en tête qu'il faut emmener le plus loin possible ces pneumatiques,
07:04 donc ne pas trop leur en demander.
07:06 Là, c'est quand même une phase où on est plutôt en train de stabiliser les écarts.
07:10 C'est aussi une partie du jeu qui est importante.
07:12 Celui qui arrive à rouler vite avec les pneus rouges et les emmener loin en nombre de tours,
07:17 il est automatiquement gagnant.
07:19 Donc, il faut piloter en attaquant, mais en essayant de trouver des astuces
07:25 pour taper le moins possible dedans et les user le moins possible.
07:30 Ajoutons une difficulté à tout cela, il faut aussi essayer de consommer le moins possible
07:35 et de garder le plus de carburant.
07:37 Il faut à la fois avoir en tête les pneumatiques, ne pas trop les dégrader,
07:40 mais aussi ne pas trop consommer.
07:42 Oui, comme toujours dans ce sport, c'est un compromis.
07:45 Ce qu'on peut dire, c'est que ce premier relais pour le top 5,
07:49 ne pose pas tellement la question d'économiser du carburant,
07:51 même si on en économise un tout petit peu.
07:53 On essaye surtout de se positionner, de pousser, de se mettre un petit peu à l'abri des mauvais coups
07:58 et d'avoir un peu de place si toutefois ça devait s'arrêter sous drapeau vert.
08:03 Pour le premier arrêt, avoir un petit peu de place et ne pas être dans la bousculade.
08:08 Les 5 premiers, honnêtement, ils ne sont pas à gérer de l'essence pour l'instant.
08:12 On attaque pour Mc Laughlin, notamment à l'image.
08:16 Il a 2,8s d'avance sur le rookie en IndyCar, Christian Lungard, le Danois.
08:21 On va parler des rookies justement avec Maloukas qui fait encore une fois une belle opération.
08:25 Que ce soit sur routier ou sur circuit oval, Maloukas, j'ai l'impression qu'il s'est vraiment fait
08:31 ce pilotage d'IndyCar beaucoup plus finalement que Calumilot avec la voiture 77.
08:37 A priori, on lui donne des indications de consommation à Mc Laughlin.
08:48 Oui, il y a un petit problème, je ne sais pas si c'est un problème,
08:50 mais on a relevé, on lui a dit qu'il y a un nouveau code.
08:53 Je ne sais pas si c'est un code qui rentre dans le volant et qui lui donne un petit peu
08:58 une target de consommation à respecter.
09:01 Ce qui est certain, c'est que Mc Laughlin et Lungard n'ont pas du tout tapé dans leur push to pass.
09:12 C'est à dire que vraiment, ils construisent leur course et leur avance sans le push to pass.
09:17 Ça veut quand même dire que les voitures fonctionnent bien.
09:21 Quand vous pouvez vous échapper comme ça à 100m de push to pass, c'est quand même pas mal.
09:26 200 secondes tient d'ailleurs ce week-end de push to pass.
09:29 Il n'y a pas de DRS en IndyCar, mais c'est le push to pass pour attaquer ou pour se défendre.
09:33 Donc ça c'est plutôt intelligent.
09:35 On va avoir un ajustement aéroportablement parce que la voiture...
09:38 Voilà, oh oui, énorme !
09:40 Oui, mais ça se voyait que Romain n'était pas à l'aise avec sa voiture.
09:45 Alors là, combien de tours on a fait ?
09:49 Ils ont fait un tour et demi, enfin trois demi-tours.
09:53 Oui, ce qui est quand même beaucoup.
09:56 Oui, c'est beaucoup.
09:57 En fait, il n'était pas du tout satisfait de l'équilibre de sa voiture.
10:00 Et espérons donc pour Romain Grosjean qu'il puisse attaquer, faire de meilleurs tours avec ses pneus tendres,
10:07 pour essayer de remonter.
10:08 Là, heureusement, il n'a pas perdu de tour, mais on voit que le leader est juste derrière lui.
10:17 Alors normalement, si les pneus de Romain chauffent rapidement, il devrait être en mesure de rester devant.
10:23 Dixon qui va s'arrêter également pour les pneus rouges.
10:27 Tout à fait.
10:28 Comme Romain Grosjean et Simon Pagelot qui ont été les premiers à s'arrêter et qui se retrouvaient donc en fond de peloton,
10:33 eh bien on va s'arrêter aussi pour Kierkud et pour Harvey.
10:38 Les Français vont remonter, rassurez-vous, ils sont 24e et 25e, mais ils devraient pouvoir revenir dans la course.
10:45 D'ailleurs, on les aperçoit, la voiture rose qui était au fond de l'image.
10:48 Il a fait une bonne affaire, je pense, Simon.
10:50 C'était Simon Pagelot.
10:51 Simon qui s'arrêtait en premier.
10:52 Il s'arrêtait au 7 ou 8e tour avec sa monoplace du Meierschank Racing.
10:58 Vous voyez, il est obligé d'être très doux, Scott Dixon.
11:02 Très loin, Dixon, ce n'est pas habituel.
11:07 On rappelle qu'il se bat pour le titre, il fait partie de ses 7 pilotes qui sont titrables.
11:12 Et Joseph Newgarden qui s'arrête également.
11:15 Oui, qui était un des rares du top 5, d'avoir parti avec les pneus durs.
11:22 Mais il ne fait que 15 tours, alors ça c'est plutôt la surprise.
11:27 Il va essayer de se recaler peut-être avec la stratégie de ses adversaires.
11:32 Ils ont peut-être compris que le pneu rouge pouvait tenir assez longtemps.
11:42 Parce que vous voyez, on est à 15 tours avec les pneus rouges.
11:44 Et quand on voit le rythme de McLoughlin, de Power ou de Newgarden, ça a l'air de fonctionner.
11:52 C'est souvent l'interrogation au début de course.
11:54 Combien de tours on fait avec les pneus rouges ?
11:56 Et une fois qu'on a déterminé combien de tours on arrivait à faire,
11:59 les pneus noirs, on sait combien de tours on fait avec.
12:02 Oui, ils sont plus prévisibles.
12:04 Les pneus rouges c'est souvent un peu un pari, parce qu'ils roulent une seconde plus vite.
12:08 Et puis il y a aussi le fait de couvrir la stratégie pour Newgarden.
12:12 Parce qu'un tour de plus, c'était potentiellement se faire rattraper,
12:15 voire même dépasser par Scott Dixon.
12:17 Oui, c'est vrai.
12:18 Là on a Palou qui s'arrête. Il a changé de couleur ce week-end.
12:22 Si vous suivez une liqueur à sucre du Mans, vous devez vous dire pourquoi elle n'est pas bleue cette voiture.
12:26 Palou, pneu rouge pour pneu rouge.
12:29 Oui, ça fait partie des stratégies possibles, mais il faudra qu'il les mette.
12:32 Oui, c'est ce que j'ai dit.
12:33 Oh, il y a un écrou qui est parti.
12:34 Oui, l'écrou est parti.
12:35 Oui, c'est la roue avant gauche.
12:37 Ah là là, on a vu ça à Zandvoort en Formule 1. On va voir ça aussi en IndyCar.
12:41 Là, je ne sais pas s'il va pouvoir faire un tour.
12:43 Parce que la roue avant…
12:44 J'espère que c'est plutôt…
12:48 Vous savez, les mécaniciens, ils ont toujours un écrou…
12:51 Ça peut être ça.
12:52 On va revoir.
12:53 Revoyons.
12:54 Est-ce que c'est l'écrou de la ceinture du mécanicien ?
12:58 Oui, c'est ça.
13:00 Ah oui, on le voit, il est tombé.
13:02 Heureusement, il y avait bien un écrou. En tout cas, on le voit à droite de l'image.
13:06 C'était un écrou de l'un des mécaniciens.
13:08 Mais heureusement, les quatre roues sont bien serrées pour le pilote de cette voiture numéro 10, Alex Palou.
13:18 Il a activé le push to pass. Vous voyez sur le volant de Dickson, les lumières vertes.
13:24 Ça va peut-être lui permettre de dépasser Rhinus Viquet.
13:28 Attention à l'extérieur, c'est un virage rapide ici.
13:31 Il fallait y aller.
13:32 C'est chaud à la sortie, regardez.
13:33 Oui, tout à fait. Avec Rosenquist et Maloukas, je pense que ça va passer pour Maloukas.
13:37 Est-ce que ça va passer ? Oui.
13:40 Maloukas qui résiste à Rosenquist et qui remonte bien.
13:44 Et Palou Newgarden qui ont finalement perdu un petit peu dans cette stratégie.
13:50 On va voir parce que les autres sont sortis avec les pneus froids.
13:55 Ils sont là avec les pneus froids. Rosenquist va protéger sans le vouloir Maloukas.
14:01 Oui, complètement.
14:02 Maloukas va avoir le temps de chauffer.
14:04 C'est la difficulté ici.
14:09 Pas de couverture chauffante.
14:12 Non, il n'y a pas de couverture chauffante.
14:14 Mais quand on sort des stands, on est tout de suite dans une zone où ça zigzague.
14:17 Et ce n'est pas facile de doubler. Même un gars qui a les pneus froids, ce n'est pas facile de le doubler.
14:20 Will Power qui s'arrête avec cette voiture numéro 12, le leader du championnat.
14:25 Maloukas a fait une affaire.
14:26 Ah oui, Maloukas.
14:27 Il est là qui est protégé sans le vouloir par Rosenquist.
14:30 Et là, il se retrouve très bien placé.
14:33 Et puis maintenant, les pneus sont chauds pour Maloukas.
14:36 Alors, Will Power, où est-il ressorti ?
14:38 On va attendre de voir. Il est devant Devlin de Francesco.
14:42 Il ne s'est pas arrêté.
14:43 Pas de ward.
14:44 Lui a les pneus noirs.
14:46 Oui, tout à fait. Il continue sa stratégie. Il est troisième.
14:49 Il a déjà 12 secondes de retard sur les deux leaders qui eux sont en pneus tendres.
14:53 Et ça passe pour Colton Hertha sur Rosenquist.
14:59 - C'est un peu coïncide.
14:59 [Rire]