Regardez Les auditeurs ont la parole avec William Galibert du 01 janvier 2025.
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00:00Jusqu'à 14h, les auditeurs ont la parole sur RTL, avec William Gallibert.
00:08Bonjour Olivier.
00:10Oui bonjour, bonjour à tous.
00:12Convaincu par cette idée de référendum en 2025 ?
00:16Ah mais pas du tout, de toute façon moi M. Macron je ne l'ai pas regardé,
00:19parce que ça en devient, je ne vais pas dire physique, mais il me dégoûte.
00:22Franchement il me dégoûte, c'est du grand n'importe quoi.
00:26Gardez le reste pour en parler avec nous dans quelques instants.
00:30Olivier, merci 3210 pour nous joindre.
00:33On va beaucoup parler de cette ouverture à plus de consultations des Français
00:37qui a été faite hier soir par Emmanuel Macron.
00:39Mais d'abord les grands titres de l'actualité.
00:42Et on l'a donc appris il y a maintenant une vingtaine de minutes,
00:45un véhicule a foncé sur la foule.
00:47Ça s'est passé en Louisiane, aux Etats-Unis, à la Nouvelle-Orléans.
00:51Nous avons un premier bilan des autorités de la Nouvelle-Orléans.
00:54Premier bilan qui fait état de dix morts et de trente blessés.
00:58L'incident a eu lieu pendant les célébrations du Nouvel An,
01:01d'après les médias de Louisiane.
01:04On a encore très peu de détails sur ce qui s'est passé,
01:07si ce n'est que l'accident a eu lieu dans les rues du quartier français de la ville,
01:12Bourbon Street, une rue habituellement très fréquentée.
01:15Dix morts, trente blessés pour ce premier bilan.
01:19Un véhicule qui a foncé sur la foule à la Nouvelle-Orléans.
01:22On vous tient informés tout au long de l'après-midi sur RTL.
01:25En France, la nuit de célébration s'est mal terminée.
01:28A Lyon, Place Bellecourt, une fillette de deux ans a été blessée
01:31par un tir de mortier pendant les douze coups de minuit.
01:35Elle a été atteinte à l'œil et à l'oreille.
01:37Elle a été prise en charge par le secours.
01:39Son pronostic vital n'est pas engagé.
01:41L'enfant risque des séquelles.
01:43L'origine des tirs reste encore à déterminer.
01:45A Strasbourg, c'est un adolescent de 15 ans qui est décédé,
01:49renversé dans le quartier sensible de la cité d'Île.
01:52Le conducteur a pris la fuite et il est toujours activement recherché.
01:58Marina, ce mercredi, ce premier jour de l'année 2025, à quoi ressemble-t-il ?
02:03Déjà, côté température, il sera plus doux que le dernier jour de 2024
02:08puisque les températures seront cet après-midi en forte hausse.
02:11On va gagner 4 à 7 degrés en général.
02:13Voir un petit peu plus dans le sud-ouest, une dizaine de degrés.
02:16Ce sera le cas à Biarritz où il faudra 15.
02:18Hier, il ne faisait que 3 degrés.
02:20Il fera 13 degrés à Brest, 12 à Marseille, Clermont-Ferrand et Nantes.
02:25Vous aurez 11 degrés à Hoche.
02:27Il fera 10 à Rouen, 9 à Lille et à Bordeaux, 8 à Paris cet après-midi,
02:317 à Lyon et 4 à Dijon.
02:33Du côté du ciel, c'est assez simple.
02:35Vous tracez une ligne qui va de La Rochelle à Metz.
02:37Au nord de cette ligne, c'est nuageux.
02:39Vous avez du vent jusqu'à 70 dans les terres, 90 à 100 sur les côtes,
02:43notamment vers le Boulonnais.
02:45Et puis des averses qui vont arriver par les côtes de la Manche.
02:47Au sud de cette ligne, La Rochelle-Metz, ce sera simple.
02:50Ce sera un temps sec, plutôt ensoleillé.
02:52Pas mal de soleil sur cette zone-là.
02:54Sauf sur le Languedoc-Roussillon et la Basse-Vallée du Rhône,
02:57où les nuages résistent.
02:59Merci Marina.
03:00Il est 13h03.
03:01Avant de reprendre la discussion sur ces référendums évoqués ou esquissés
03:05par Emmanuel Macron hier soir,
03:07c'est une auditrice un peu particulière qui est au 3210.
03:09Bonjour Céline.
03:11Bonjour William.
03:13C'est Céline Landreau.
03:16Bonjour Céline, bonne année.
03:18Bonjour Julien, bonjour Marina, bonjour Damien, Brice, Céline,
03:22soit toute l'équipe.
03:23On n'est jamais vraiment en vacances.
03:25On a toujours une oreille.
03:26Est-ce que je m'en sors pas mal Céline ?
03:27Est-ce que ça va à peu près ?
03:29Est-ce que vous avez du souci à vous faire ?
03:31Je vous écoute depuis lundi.
03:32Non, ce n'est pas du souci.
03:33Je me demande si c'est vraiment nécessaire qu'on rentre.
03:35Je crois que si quand même.
03:38Vous êtes bien Marina.
03:39Franchement, ce n'est pas très sympa William.
03:41On s'est dit qu'on allait faire des petits coucous aux personnalités de l'antenne
03:45que l'on retrouve toute l'année et que l'on aime bien.
03:47Donc, on va avoir comme ça quelques petites surprises entre 13h et 14h.
03:50La soirée s'est bien passée.
03:51Le nouvel an est comme vous le souhaitiez maintenant ce 1er janvier.
03:55Ce 1er janvier, Céline, il est quoi sur le canapé ?
03:58Alors, pour être tout à fait honnête, on vient de recréer et récupérer les enfants.
04:02Donc là, je pense que le canapé va être difficile à faire grandir parce qu'ils sont un peu excités.
04:08Avez-vous fait soigner en Vendée, Madame Landreau ?
04:10Non, parce que la Vendée, c'était la semaine dernière.
04:13Là, c'est le sud.
04:16Mais ce n'est pas mal non plus.
04:17Ce n'est pas mal non plus, oui.
04:18Bien évidemment, mais ce n'est pas mal non plus.
04:20Qu'est-ce qu'on vous souhaite, Céline, à part trois jours de congés supplémentaires ?
04:25Écoutez, que ça continue.
04:28On va continuer les consultations parce que vous en parlez William tous les jours, nous, au 3210.
04:33Et puis de vous retrouver dès lundi.
04:35On va se souhaiter ça.
04:36On vous embrasse.
04:37On vous embrasse.
04:38On vous embrasse.
04:39Proposez-vous bien.
04:40Merci pour le petit coucou.
04:41Et puis à lundi.
04:42À lundi, en pleine forme.
04:43Et comme on est entièrement transparent avec nos auditeurs, on essaye aussi toujours de joindre Eric Brunet.
04:48Mais je crois que l'état de forme est peut-être un petit peu douteux.
04:53Celui de Céline est nickel.
04:55On va essayer d'avoir des précisions d'ici 14h.
04:57On a compris que les enfants avaient fait le boulot déjà.
05:00William Galibert.
05:02Les auditeurs ont la parole sur RTL.
05:05Vous avez la parole.
05:06Et vous nous dites ce que vous pensez de cette ouverture, cette portante ouverte par Emmanuel Macron
05:12sur des consultations accrues pour les Français en 2025.
05:15J'ai trouvé le président très bien.
05:18Ça m'a plu.
05:19Merci.
05:20Au revoir.
05:21Bonjour RTL.
05:22Bonjour à tous.
05:23Notre président ne manque pas d'air.
05:25Après nous avoir obligé à voter et ne pas avoir tenu compte de notre vote,
05:30et juste une minute avant le résultat du vote d'issue de l'Assemblée,
05:35il manque pas d'air.
05:36Vraiment.
05:37Avec son référendum, il peut aller se faire cuire un oeuf.
05:40Belle journée à vous tous.
05:41Et je me répète, notre président, il manque vraiment pas d'air.
05:45Jeannine et Bernard sur le Répondeur RTL au 3210.
05:49Et des messages triés par Cerise, que je salue de l'autre côté de la vitre
05:54et qui s'occupe de vous aussi au Standard aujourd'hui.
05:56On reprend Olivier qui était en ligne avec nous.
05:58Oui, bonjour.
05:59Olivier, vous m'avez dit, moi je ne l'ai même pas regardé.
06:02Alors bon, pas besoin de le regarder Emmanuel Macron.
06:05Oui, déjà les voeux, on sait globalement comment ça va être.
06:09Globalement l'année 2025, il voit, il allumera au bout du tunnel.
06:13C'est mieux que 2024 qui était déjà mieux que 2023.
06:16Enfin on connaît le cinéma.
06:18Et puis surtout qu'on a les grandes lignes qui sont reprises dans les médias
06:21le lendemain ou tout de suite après.
06:23C'est pas la peine de perdre du temps.
06:24Surtout qu'en plus de ça, comme je disais, je l'ai un peu...
06:28C'est presque physique parce que moi j'y reconnais quelque chose.
06:32C'est un caméléon ce monsieur.
06:33C'est un caméléon parce qu'il a une faculté à se mouvoir
06:37et à endormir la foule qu'il a.
06:39C'est un peu cas dans Le Livre de la Jungle
06:41ou alors faire de temps en temps son Caliméro.
06:43C'est un petit peu ça moi.
06:45Vous c'est le serpent du Livre de la Jungle.
06:47Mais alors si on parle du fond et du concret,
06:50est-ce qu'il y a quelque chose Olivier qui pourrait vous dire
06:52moi si on m'interroge sur ce sujet-là,
06:55Sandrine Rousseau tout à l'heure nous parlait des retraites,
06:58on a parlé des migrations,
06:59quel sujet vous ferait bouger et vous dire
07:02oui ça, ça m'intéresserait d'être consulté et de voter ?
07:05Mais avant de penser à quel sujet, je ne sais pas,
07:09mais je pense qu'il y a beaucoup d'amnésie en ce moment.
07:13Il y a quelques mois on a voté comme ça a été dit dans le reportage.
07:16Il y a eu une dissolution qui a été faite.
07:18Le premier tour c'était le RN qui est arrivé en tête.
07:21On a fait des alliances de n'importe quoi,
07:25de torchon et serviette pour rester poli.
07:27D'ailleurs à ce propos Mme Rousseau elle est bien gentille,
07:30mais j'y conseille d'aller gérer une entreprise
07:33pour savoir de quoi elle parle avant de commencer à dire n'importe quoi.
07:36Et puis après on vient dire,
07:38pour en revenir après on s'étonne que
07:40au niveau des députés ça ne passe pas.
07:44Oui mais il y a quand même eu une volonté du Président.
07:47Il était au courant qu'il y avait des manœuvres
07:49qui étaient mises en place comme ça.
07:51M. Attal qui portait le chapeau
07:54n'a pas sorti ça de son chapeau du jour au lendemain.
07:58Il y a bien eu des ficelles de tirées derrière par M. le Président.
08:02Donc encore une fois moi je veux bien beaucoup de choses,
08:05mais si c'est pareil, si c'est pour le voir évoluer
08:07dans une salle des fêtes, en bras de chemise,
08:09au milieu d'un parterre de personnes
08:11qui va être bien triée, avec des questions déjà bien posées,
08:14je veux dire ça ne fait pas avancer la chose.
08:17La seule chose que je pourrais être d'accord avec Mme Rousseau
08:19qui est passée tout à l'heure, c'est qu'éventuellement
08:21il faut faire peut-être muter la politique
08:23parce que là franchement ça devient,
08:25c'est du grand n'importe quoi.
08:27Allez, restez avec nous Olivier,
08:29vous restez, on va essayer d'entamer le dialogue
08:32et de l'élargir avec tous les appels aux 3210.
08:35Je voulais d'abord saluer Julien Fautrat.
08:37Bonjour.
08:38Très belle année à vous cher Julien,
08:40merci du service de l'université, de nous accompagner un petit peu.
08:43Vous voyez qu'on replace les choses dans leur contexte
08:45parce que ce n'est pas la première fois
08:47qu'Emmanuel Macron nous fait le coup du référendum,
08:50ou en tout cas, parce que le mot n'a pas été prononcé, référendum.
08:53Consulter les Français.
08:56Et parle de consultation accrue, ça on l'a déjà vu.
08:58Vous vous souvenez du grand débat William ?
09:00Vous étiez journaliste politique à l'époque.
09:02Le grand débat c'était, il s'agissait d'aller voir les Français
09:06pour leur demander leur avis après la crise des gilets jaunes.
09:09Et quand Olivier vient de nous dire
09:10je ne veux pas revoir le président en bras de chemise
09:12dans des salles de fête, c'est exactement ça.
09:14Le président en bras de chemise dans des salles de fête,
09:17ça avait commencé à Grand-Tour-de-Roule, je crois.
09:20Grand-Bourtroud.
09:22Grand-Bourtroud, à côté de Rouen, dans mon souvenir.
09:25Effectivement, il y a comme ça cette volonté
09:29à chaque fois qu'il y a une crise politique.
09:33Et c'était le cas au moment des gilets jaunes.
09:35Emmanuel Macron parle d'aller consulter à nouveau les Français.
09:38Et là, on ne sait pas quelle forme exactement ça va prendre.
09:42Est-ce que c'est le référendum ?
09:44Est-ce que c'est encore une grande tournée ?
09:47L'Elysée n'en dit pas plus à ce stade.
09:49L'Elysée n'en dit pas plus, mais Carole, elle va nous en dire plus.
09:52Bonjour Carole.
09:53Bonjour.
09:54Meilleur vœu à vous Carole,
09:55merci de passer un petit bout de ce 1er janvier avec nous.
09:59Comment vous avez reçu le message du président et vous hier soir ?
10:03Moi j'ai trouvé qu'il faisait preuve de bon sens.
10:07Parce que faire une petite marche arrière et fermer à coups de pas,
10:10c'est dans mon sens un signe d'intelligence, de souplesse.
10:13Ce n'est pas une question d'être caméléon.
10:15Moi je pense que les Français ont le syndrome de Marie-Antoinette,
10:17c'est-à-dire qu'ils veulent couper les têtes tout de suite.
10:19Après avoir voté extrême droite, on va voter extrême gauche et ainsi de suite.
10:23C'est la trajectoire du lapin de Garenne.
10:24Moi je trouve qu'on a un président jeune, on n'était pas habitué à ça.
10:27Il est un peu vert dans le métier,
10:29il aurait peut-être dû s'équiper un peu plus d'anciens ou les bons du moins.
10:33Et je trouve qu'il est extrêmement brillant.
10:36Donc peut-être qu'on n'est pas habitué en France à avoir un président comme ça,
10:39mais il faut le pratiquer.
10:41Carole, qu'est-ce que vous dites à Olivier qui vient de nous dire
10:44« Attendez, moi je n'ai pas envie qu'on s'agite encore pour rien avec des grands débats,
10:48des consultations, des conventions, ceci cela,
10:52qui en général finissent dans des cartons, dans des archives et globalement à la poubelle. »
10:58Pourquoi il dit ça ? C'est négatif.
11:01Pourquoi il ne se tourne pas plutôt vers cette ouverture ?
11:05Qu'est-ce qu'il entend par là ? Je voudrais qu'il s'explique un peu plus
11:08parce que je n'ai pas très bien compris ce qu'il veut dire.
11:10Olivier, répondez à Carole.
11:13Justement, bonjour Carole.
11:16Si je vous suis, il est encore vert, mais il est quand même à son deuxième quinquennat.
11:20Ah oui ?
11:21Ah oui, justement, ça ne vous choque pas vous ?
11:24Ça ne vous choque pas qu'à son deuxième quinquennat, il n'y ait pas grand-chose de fait ?
11:28Il faut un certain temps quand même.
11:29Ah d'accord, d'accord.
11:31Oui, si vous allez par là, oui, mais je pense qu'en entreprise,
11:35si vous dites « attendez, je prends un poste, mais bon, il n'y aura des résultats que dans trois ans »,
11:41je ne sais pas si la hiérarchie va être d'accord avec vous.
11:45Ça, ça ne me m'étonnerait, ça ne se passe pas comme ça.
11:47La vraie vie, ce n'est pas ça.
11:49La vraie vie, c'est aussi d'attendre.
11:51Pour chacun son tour, allez-y Carole.
11:55Moi, je trouve qu'il dérange, il rompt les habitudes, il est inventif, il tente les choses.
12:01Je trouve qu'il est très ouvert d'esprit, donc on devrait lui donner beaucoup plus de souplesse
12:06et ne pas le juger comme ça.
12:08C'est toujours la patate chaude.
12:10On passe notre temps à dénigrer les gens dès qu'ils sont au pouvoir.
12:13Regardez, on est un pays qui est capable de mettre quand même un bracelet électronique à un ancien président
12:17et à faire coffrer une autre femme qui devait se présenter politiquement.
12:21Donc, je trouve que la France a vite fait de couper des têtes, c'est un petit peu mon propos.
12:25Ce n'est pas optimiste du tout comme façon de faire.
12:27Vous savez, j'ai l'impression qu'on est sur le Titanic.
12:29Alors, tout le monde à droite, oh là là, au secours, on va croiser l'iceberg et maintenant, on va tout à gauche.
12:33J'ai l'impression que les Français votent par dépit, mais pas par connaissance de cause.
12:37Moi, j'ai une formation économiste, donc je peux vous dire que quand il a été au pouvoir,
12:40il a commencé par faire des grandes manœuvres peut-être.
12:43Beaucoup de gens ont démissionné parce qu'il se prend pour Napoléon, ça c'est un petit travers, je le reconnais.
12:48Mais en attendant, on a quelqu'un d'hyper performant.
12:51Donc, je ne vois pas pourquoi on tirerait à bout les rouges là-dessus.
12:53Qui on va avoir après ?
12:55Moi, les fromages mous, j'en ai marre.
12:56J'ai besoin de gens qui prennent des décisions.
12:59Moi, je suis désolée, mais depuis que j'ai été au chômage à 52 ans...
13:03Oui, on va laisser finir Carole.
13:05Oui, politiquement, j'étais au chômage quand j'avais 52 ans, c'était sous François Hollande.
13:11D'un seul coup, je me suis remise à botter, ça fait 7 ans que ça dure, vous comprenez ?
13:14Alors, il n'y a pas photo.
13:16Carole, vous restez, Olivier, vous avez un mot ?
13:19Oui, justement, le fromage mou, on est un peu dans cette idée.
13:25Allez demander en ce moment aux agriculteurs si c'est du fromage mou, les décisions qui sont prises.
13:29Franchement, et je reviens franchement à mon cas bien spécifique, on est quand même sur son deuxième quinquennat.
13:36Enfin, je ne sais pas, mais réveillez-vous un peu.
13:38Alors, c'est les autres qui doivent se réveiller et on doit encore, ils donnent un blanc-seing.
13:43Donc, s'il y avait une possibilité de renchaîner sur un troisième quinquennat, ce serait youpi, on recommence.
13:49Mais non, mais ça ne peut pas.
13:50Il y a un moment, il faut arrêter.
13:52Il faut arrêter, je ne sais pas.
13:54On a l'impression que vous êtes revenu sur Terre il y a très peu de temps.
13:57Olivier Carole, vous commencez ce début d'année avec nous et avec beaucoup d'énergie, on l'entend.
14:02Bonjour Jean-Claude.
14:03Bonjour.
14:04Vous aussi, on vous retrouve dans quelques secondes.
14:07A tout de suite sur RTL.
14:08A tout de suite.
14:22Et avant de repartir en plein débat animé avec nos camarades Olivier, Jean-Claude et Carole et les autres,
14:28on continue cette série de petits coucous aux gens que vous entendez tout au long de l'année sur RTL.
14:35Bonjour, cher Alex Vizorek.
14:37Bonjour, RTL.
14:38Bonjour, William.
14:39Bonne année.
14:40Une superbe année à toi, à vous, Alex.
14:43Ça s'est très bien passé hier soir, ça se passe très bien aujourd'hui.
14:45Comment ça va, Alex Vizorek ?
14:47Écoutez, je suis rentré dans mon pays pour fêter le Nouvel An.
14:51Je suis à Bruxelles, où il fait frisquet, mais j'ai entendu qu'à Paris, il ne faisait pas tellement meilleur.
14:56Et c'était très joyeux.
14:57On vous souhaite depuis la Belgique une bonne année à tous les auditeurs d'RTL que j'écoute et qui m'ont l'air cette année encore très vigilants.
15:06Pas toujours apaisés, si j'ai l'impression.
15:09On reprend une année bien énergique, là.
15:12C'est là que je vous reconnais bien, les Français.
15:14Je pense que 25, on va être nécessaire, Philippe Cavrivière, Laurent Gérard, Laurent Ruquier, moi-même, Marc-Antoine Lebret.
15:21Parce que j'ai l'impression qu'il va se passer des choses qui risquent de vous tendre.
15:24Alors, si on peut vous détendre, ça sera déjà pas mal.
15:27Vous avez l'air bien frais, Alex.
15:29Oui, ça va, non ?
15:31Avec l'âge, vous savez, je connais mes limites.
15:34Alex, est-ce qu'en 40 secondes, une minute pour terminer ?
15:39Parce que moi, je sais ce que vous allez faire cet après-midi.
15:42Moi, je sais très bien ce que vous allez faire cet après-midi.
15:45Et ça pourrait donner des idées à ceux qui nous écoutent.
15:47Est-ce que vous pouvez nous le dire ?
15:49Écoutez, je suis rentré en Belgique pour commenter pour RTL TV, qui est une grande chaîne de télévision belge,
15:55le championnat du monde de darts, donc de fléchettes, qui se déroule en Angleterre.
16:00Alors, si vous êtes en France, vous pouvez le suivre sur l'équipe TV.
16:03Je donne un petit peu un coucou à nos copains qui le diffusent.
16:07Et j'adore ce sport, j'adore ce jeu.
16:09Et c'est la tradition, à Noël, les Anglais jouent les championnats du monde de fléchettes.
16:13Et on commence, nous aussi, les francophones.
16:16Et je sais, William, que vous êtes vigilant là-dessus.
16:18Vous-même, vous donnez les résultats de Thibaut Tricolle, notamment, le meilleur français.
16:22Nous pratiquons.
16:23Voilà, nous pratiquons.
16:24Et donc, j'espère que ça va amener un peu de joie dans les foyers.
16:27Regardez un jeu joyeux.
16:29Allez, merci.
16:30On vous remercie, Alex.
16:31Et si vous voulez nous faire une petite infidélité, exceptionnellement pour jeter un oeil,
16:35ou en tout cas, l'image sur les championnats du monde de fléchettes,
16:38les quarts de finale, c'est à partir de 14h.
16:40Ça se prolonge jusqu'à 22h ce soir.
16:42Vous êtes bien renseigné.
16:43Il y a quatre affiches exceptionnelles.
16:45Et vous êtes impayable.
16:46Et vraiment, croyez-moi, si vous n'avez jamais regardé,
16:48vous ne pouvez pas vous rendre compte à quel point c'est passionnant à regarder.
16:52C'est addictif.
16:53C'est un petit conseil de l'année 2025.
16:56Allez-y, fléchez.
16:57Et Alex Vizorek, on vous retrouve dès lundi matin.
16:59Voilà, et j'embrasse tous les auditeurs qui vous écoutent.
17:01À lundi.
17:02Merci, Alex.
17:06Jusqu'à 14h.
17:07Les auditeurs ont la parole sur RTL.
17:09Avec William Galibert.
17:11La parenthèse fléchette est refermée.
17:13Et on va rouvrir le dossier Emmanuel Macron et le dossier référendum.
17:17J'accueillais tout à l'heure Jean-Claude.
17:19Jean-Claude, comment vous avez perçu les annonces,
17:22en tout cas les promesses esquissées par Emmanuel Macron hier soir ?
17:25C'est ce que je disais à votre collègue.
17:29Que vaut une promesse d'Emmanuel Macron ?
17:32Ce type-là n'a aucune parole.
17:34Il dit ce qu'il veut au moment où il veut.
17:36Et il fait le contraire s'il le décide.
17:38Donc ce qu'il promène n'a aucune, aucune valeur.
17:42Et c'est ce qu'on a dit hier.
17:44Je vais me retourner vers Carole, qui fait office d'avocat pour le président jusqu'à présent.
17:50Quand on vous dit que sa parole n'a plus de valeur,
17:53il nous a déjà dit ces choses-là.
17:55Nous n'avons rien vu venir.
17:56Il nous a déjà dit, je vais vous consulter, je vais en tenir compte.
17:59Il nous a déjà dit, sûrement des référendums, ça n'a jamais eu lieu.
18:02Vous pouvez l'entendre, ça aussi, Carole ?
18:04Oui, bien sûr, je peux l'entendre.
18:06Mais je vois que la voiture de fonction en France, c'est la peau de banane.
18:10Donc forcément, pour arriver à son but, il va avoir un certain mal.
18:14Mais je ne comprends pas pourquoi il ne tient pas ses promesses.
18:17D'abord, ce ne sont pas des promesses.
18:18Il n'est pas tout seul au monde.
18:20Ça ne vous fait rien, Jean-Claude.
18:22Elle ne comprend pas.
18:23C'est justement son problème, je pense.
18:25Mais c'est normal, je suis blonde.
18:27J'ai dit que vous étiez blonde.
18:31Non, mais vous me dites que je ne comprends pas.
18:33Si, je comprends.
18:34Évidemment, je comprends.
18:35Non, c'est vous qui dites que vous ne comprenez pas.
18:38Oui, oui.
18:39C'est méchant.
18:40Les gens sont méchants avec lui, je trouve.
18:43Très méchant, oui.
18:44Oui, oui, il ne tient pas ses promesses.
18:46On se croirait dans la cour d'école.
18:49Il ne tient pas ses promesses.
18:50Lesquelles ?
18:51Vous prenez ça pour des promesses ?
18:52On est dans un climat politique énorme.
18:55C'est très lourd à l'international.
18:57On est partout sur le super tendu.
18:59Moi, je le trouve excellent à l'international.
19:01Je suis désolée.
19:02Je suis très fière d'avoir un président comme ça.
19:07Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
19:08Il y a les pour et les contre.
19:09Il n'y a pas rien.
19:10Jean-Claude, vous avez déjà cru en Emmanuel Macron ?
19:12Vous voulez voir les coupes de champagne ?
19:13Moi, ça va se détendre.
19:15Macron, c'est un héritier de la ligne Strauss-Kahn, Hollande.
19:20Enfin, un héritier de la gauche clavière.
19:22Un héritier, oui.
19:24Ça, c'est sûr.
19:25Il ne vaut pas mieux.
19:28Pour être précis, Jean-Claude,
19:31est-ce qu'il y a un thème de référendum,
19:34une consultation qui pourrait vous intéresser ?
19:37Peu importe ce que vous pensez du président.
19:39Où avez-vous vu qu'il allait faire un référendum ?
19:42Il a dit qu'il allait éventuellement réfléchir à l'idée
19:45de ce qui fait un projet d'écouter les gens.
19:49Demandez aux Français de trancher en 2025.
19:51On l'a répété, le mot référendum tel quel n'a pas été prononcé.
19:55Je m'avance un peu.
19:56Est-ce qu'il y a des thèmes où vous diriez
19:59« Oui, là, j'y vais, je vote et je peux m'impliquer dans un débat » ?
20:03Il y a des petites questions quand même
20:05de pouvoir d'achat, de retraite.
20:10Des petites choses insignifiantes comme ça.
20:12Ah oui, insignifiantes.
20:15Je crois qu'il y avait un peu de deuxième degré dans cette réponse.
20:18Non, non, pensez-vous.
20:20Non, non, mais il y a des sujets très graves,
20:24enfin très graves, je ne sais pas si c'est grave,
20:26mais des sujets qui semblent importants
20:30auxquels il n'y a jamais de question.
20:33Allez, on va accueillir un nouvel auditeur dans cette discussion.
20:36Un petit mot quand même.
20:40Si vous avez encore Mme Rousseau sous la main,
20:43les EDFE ont fait de moi un citoyen de seconde zone.
20:48Les zones à faibles émissions,
20:50donc ça veut dire les vignettes obligatoires
20:52pour accéder à certaines grandes agglomérations.
20:55Le dispositif est étendu en ce 1er janvier.
20:57Je précise juste d'un mot.
20:59L'exclusion des plus pauvres
21:02et je suis devenu un citoyen de seconde zone.
21:05Mais pourquoi dites-vous ça ?
21:07Parce que je n'ai plus accès à ranger avec mes véhicules motos.
21:10J'ai une mère de 91 ans
21:13que je ne peux plus aller voir sans difficulté.
21:17Par contre, mon voisin qui a un 4x4 BMW X,
21:22lui, il a une vignette R2.
21:25Mais lui, il ne frôle pas, je suppose.
21:28Vous voyez ce que je veux dire ?
21:30Oui, et c'est aussi pour ça qu'on a vu
21:32qu'il y avait beaucoup de municipalités et d'agglomérations
21:34qui allaient tout doucement vers la mise en place de ces EDFE
21:38qui sont prévues par la loi.
21:40Mais elles reculent un peu des quatre fers
21:42parce qu'elles savent aussi ce que ça peut provoquer
21:45dans leur opinion et au sein des habitants de ces agglomérations.
21:48On reprend le fil de la conversation avec Jérôme
21:52qui est avec nous au 3210.
21:53Jérôme, pour ou contre les référendums ?
21:55Oui, bonjour.
21:56D'abord, tous mes voeux.
21:58Et vous aussi, bonne année.
21:59C'est un petit peu la période.
22:01Maintenant, concernant le référendum,
22:04ce que j'avais dit à Cerise,
22:07le référendum, c'est une question
22:10à laquelle on va pouvoir répondre par oui ou par non
22:13parce que c'est le thème même d'un référendum.
22:16Donc ils vont essayer de tourner la question
22:21de telle façon à ce que, quelle que soit la réponse,
22:25ils vont la tirer à leur profit.
22:27Leur profit, je ne sais pas si c'est vraiment un profit,
22:31mais on le voit bien un petit peu dans le discours
22:33de notre très cher président.
22:36C'est un discours dans lequel il va pouvoir
22:39mélanger le pour et le contre
22:42en même temps, et ça, ce sont ses paroles,
22:46et il va arriver à tirer la couverture à lui.
22:49Il l'a toujours fait et il le fera toujours.
22:52Est-ce que c'est bon ? Est-ce que ce n'est pas bon ?
22:55J'ai quand même un doute.
22:57Par contre, je note que dans sa petite allocution,
23:02il n'a cité qu'une fois l'Europe,
23:04alors qu'avant, il l'avait cité deux ou trois fois.
23:07C'est peut-être un bon, parce qu'il faudrait
23:09qu'il se rappelle un petit peu de ce qu'a fait
23:11M. Khrouchchev à l'Assemblée des Nations Unies en 1952,
23:17si mes souvenirs sont exacts, je venais juste de naître,
23:20où il a pris sa chaussure, il a tapé sur le bureau
23:23et il a dit « Maintenant, ça suffit ».
23:26Et il faudrait que de temps en temps,
23:28nos dirigeants puissent dire à la communauté européenne
23:35« Attention, là, ça suffit ». Voilà.
23:38Didier nous a rejoint également au 3210.
23:40Bonjour Didier.
23:41Oui, bonjour cher William.
23:43Bonne année à tous les auditeurs.
23:45Je pense d'ailleurs à Nicolas, le collègue d'Histoire-Géo de Vendée.
23:49Je vois les paroles.
23:51Vous avez écouté le président ?
23:54Alors, je n'ai pas écouté M. Macron.
23:57J'ai écouté le président de la République française.
24:00Je rappelle qu'il est le chef des armées.
24:02Il a ce qu'on appelle un domaine réservé.
24:05Et puis, ça n'était pas le jour,
24:07c'était un discours plus protocolaire.
24:09Normalement, le 1er janvier,
24:11pour essayer de rassembler les Français,
24:14la France n'a jamais été aussi divisée.
24:17Pourtant, les athlètes, les petits artisans
24:20nous ont donné un exemple extraordinaire.
24:22Qu'est-ce que nous en avons fait ?
24:25Point d'interrogation.
24:27Le président de la République n'est pas un premier ministre.
24:31Il est au-dessus de la mêlée.
24:33Malheureusement, une petite évolution des institutions
24:35qui s'appelle le quinquennat
24:37a dévalorisé la fonction présidentielle.
24:41Mais Didier, je pourrais aussi vous dire
24:43qu'en nommant un premier ministre,
24:45François Bayrou, qui est son principal allié,
24:47on ne peut pas maintenant transférer
24:49tous les dossiers à Matignon
24:51en pensant qu'Emmanuel Macron
24:53n'a plus rien à voir dans l'histoire.
24:55Vous savez, je crois qu'il a fait ce qu'il a pu
24:59avec ce qu'Alain Guillamel jadis
25:02a appelé la chambre introuvable.
25:05Et ça va brimbaler comme ça.
25:08Personnellement, mon Dieu,
25:10je ne suis pas du tout un spécialiste,
25:12mais je souhaite des élections législatives
25:14pour remettre la France à l'endroit
25:16dès le début juillet.
25:18Vous souhaitez une nouvelle dissolution
25:20un an après la dernière,
25:22ce qui est le délai légal pour pouvoir
25:24redissoudre l'Assemblée.
25:26Je me demande même, puisqu'on parle de référendum,
25:28s'il n'aurait pas fallu
25:30une petite réforme constitutionnelle
25:32pour tout simplement autoriser à dissoudre
25:35Jérôme, les thèmes institutionnels,
25:38la proportionnelle,
25:40le rapport des élus locaux
25:42avec les élus nationaux, le cumul des mandats,
25:44est-ce que ça, c'est quelque chose qui pourrait
25:46vous donner envie de vous exprimer ?
25:48Ah oui, parfaitement.
25:50Allez-y Jérôme, et puis Didier réagira après.
25:53Jérôme, d'abord.
25:54Oui, parfaitement, parce qu'on s'aperçoit
25:56que les appareils politiques
25:59lors des dernières élections législatives,
26:02ça a été, vous savez,
26:04cette espèce de nom,
26:06le franc républicain,
26:08le ni-ni,
26:10où on s'aperçoit
26:12que finalement,
26:14on retrouve un petit peu la France comme elle est,
26:16mais elle ne reflète pas
26:18vraiment les réalités.
26:20On s'aperçoit que
26:22vous avez des pays,
26:24des régions, en France,
26:26par exemple, je pense aux régions
26:28de la ruralité,
26:30moi j'habite
26:32dans le Midi de la France en ce moment,
26:34je peux vous dire qu'il fait
26:3612,1 degrés à Brégançon,
26:38parce que je ne suis pas tellement loin,
26:40mais j'ai mes racines
26:42qui sont dans
26:44la Bourgogne,
26:46dans la Bourgogne profonde,
26:48où les idées vont être différentes,
26:50et les intérêts vont être différents,
26:52moi je pense aux agriculteurs,
26:54ce sont des choses
26:56auxquelles personne
26:58ne fait attention,
27:00on est là,
27:02en plus vous êtes une radio
27:04qui informait au mieux,
27:06parce que je dis bien au mieux,
27:08les français sur la réalité
27:10de ce qu'il est,
27:12sur le plan,
27:14je vais dire, des prix,
27:16par exemple, on va prendre un exemple,
27:18prenez le prix du lait,
27:20je trouve qu'il est inadmissible,
27:22et je pèse bien mes mots,
27:24je dis inadmissible,
27:26qu'un agriculteur,
27:28qui a des vaches laitières,
27:30soit obligé de vendre,
27:32il ne vend pas son lait,
27:34on lui achète, et on lui achète au prix le plus bas,
27:36c'est inadmissible, il ne doit pas vendre son lait à paire.
27:38Vous restez avec nous Jérôme,
27:40on va poursuivre la discussion tous ensemble,
27:42Didier va rester avec nous aussi,
27:44on accueillera Nicole au 3210,
27:46plein d'autres choses à suivre,
27:48les auditeurs ont la parole,
27:50vous avez la parole sur RTL, à tout de suite.
27:56Les auditeurs ont la parole sur RTL.
28:04Et la discussion est animée,
28:06au 3210, avec vous,
28:08après les voeux présidentiels d'Emmanuel Macron,
28:10l'heure qui s'est ouverte,
28:12nous sert aussi à
28:14souhaiter la bonne année à vos journalistes,
28:16vos animateurs préférés de l'antenne
28:18d'RTL, et je demande
28:20au 3210, M. Thomas Soto
28:22et Mme Amandine Bégaud, salut les amis.
28:24Bonjour Olivier, bonne année.
28:26Bonne année à tous.
28:28Une très très bonne année à vous deux.
28:30Alors, je précise que vous n'êtes pas
28:32dans le même endroit.
28:34Parce que là,
28:36ce serait un scoop à porter
28:38à nos auditeurs. Comment ça s'est passé
28:40hier soir, et quel est l'état
28:42des lieux ce matin, et l'état des troupes ?
28:44Amandine, comment ça va ?
28:46Ça va super, alors moi
28:48je suis, je vous avais dit que je suis la team un peu
28:50rabat-joie, je déteste le Réunion du 31,
28:52donc je n'aime pas
28:54faire la fête pour faire la fête,
28:56donc on a fait une petite soirée raclette,
28:58tranquille à la maison, et du coup
29:00coucher tôt, avant minuit,
29:02et réveiller tôt pour profiter de cette
29:04première journée. Thomas, quelle école ?
29:06École Réveillon, Bamboche,
29:08ou Petit Dîner Tranquille ?
29:10École Bamboche par héritage, c'est-à-dire
29:12que maintenant ce sont mes enfants qui veulent se coucher
29:14très tard, et moi qui commence à regarder un peu l'heure
29:16en me disant, dis donc, c'est pratiquement l'heure à laquelle je me lève
29:18d'habitude pour aller retrouver Amandine, car c'est vrai
29:20que pendant ces quinze jours, je ne me réveille pas avec Amandine
29:22et je dois dire que ça me manque un peu.
29:24Pour tout vous dire,
29:26on a échangé ce matin, on s'est envoyé
29:28des petits textos, pour
29:30se prendre des nouvelles, etc.
29:32Mais là, c'était surtout
29:34les quinze jours qui s'achèvent,
29:36j'ai largement fusionné avec ma couette, et c'est un bonheur.
29:40On vous salue les amis, on vous
29:42incite à profiter fortement
29:44de cette couette et du temps de repos.
29:46Et bonne année à tous les deux !
29:48Ah oui, bien sûr !
29:50Bonne année à tous les auditeurs, quand même !
29:52On embrasse très fort !
29:54Moi je vous retrouve à la rédaction, vous arrivez aux alentours
29:56de 5h22 précisément,
29:58Thomas, et Amandine
30:00c'est juste après, voilà.
30:02On vous embrasse tous, merci à tous !
30:04Gros bisous !
30:06Allez, à lundi, Amandine
30:08Bégaud, Thomas Soto,
30:10c'est entre 7h et 10h, et c'est sur RTL,
30:12RTL matin, bien sûr,
30:14qui reprend ses bonnes
30:16vieilles habitudes dès lundi !
30:18Et puis de demain matin, c'est Stéphane Carpentier,
30:20si ça vous le savez. 13h33 !
30:28Et nous reprenons la discussion sur la
30:30consultation des français en 2025.
30:32Le mot référendum n'a pas été prononcé
30:34hier, mais enfin, c'est
30:36clairement à sa compense. Bonjour Gaëtan !
30:38Bonjour William,
30:40tous mes meilleurs voeux,
30:42à tous les auditeurs.
30:44Moi j'aimerais revenir sur la question du
30:46référendum.
30:48Vous n'ignorez pas que ça fait
30:50près d'un demi-siècle que le gouvernement
30:52a cumulé des déficits.
30:54Nos gouvernements sont tout simplement incapables
30:56d'équilibrer le budget de l'État.
30:58Alors que chaque citoyen
31:00sait très bien ce que c'est d'avoir un budget équilibré.
31:02Il sait très bien que s'il dépense plus
31:04qu'il gagne, ça crée des problèmes.
31:06Ça, ils l'ont bien compris.
31:08Et effectivement, je crois que le dernier budget à l'équilibre,
31:10ça date de Valéry Giscard d'Estaing.
31:12Voilà, tout à fait.
31:14Donc nos gouvernements, ils ne savent faire qu'une seule chose,
31:16c'est dépenser de l'argent qu'ils n'ont pas,
31:18que l'argent qu'ils prennent, qu'ils nous prennent,
31:20qu'ils prennent à nos enfants, à nos petits-enfants.
31:22Parce que la France n'a jamais été aussi endettée,
31:24et ce sera
31:26pour les générations futures à devoir rembourser.
31:28La France,
31:30on n'a jamais été aussi payé
31:32autant d'impôts en France, et de plus de ça,
31:34nos services publics n'ont jamais été aussi dégradés.
31:36Donc il faut constater
31:38que nos politiques, nos gouvernements
31:40ne sont pas capables
31:42de bien gérer le pays.
31:44Donc je pense que l'idée d'un référendum est une très bonne idée.
31:46Maintenant, il faut poser la question aux citoyens.
31:48Voulez-vous obliger l'État
31:50à équilibrer son budget,
31:52quitte à lui donner
31:5410 ou 15 ans pour y arriver ?
31:56Oui, vous voulez qu'on interroge directement
31:58les Français pour
32:00valider des choix budgétaires
32:02qui pourraient être difficiles ?
32:04Non, non, non, pas le temps.
32:06Il faut dire que les Français décident,
32:08comme pour les communes,
32:10que l'État français est obligé
32:12d'équilibrer son budget.
32:14Je crois que c'est le cas en Allemagne.
32:16Je crois que les Allemands ne peuvent pas
32:18avoir un budget qui ne soit pas à l'équilibre.
32:20Exactement. Et l'Allemagne se porte
32:22beaucoup mieux que nous. J'espère qu'ils vont garder cette règle.
32:24Il faudrait presque en mettre ça
32:26dans la Constitution. Vous êtes
32:28obligés d'équilibrer votre budget.
32:30Quitte à lui donner 10 ou 15 ans
32:32pour pouvoir réduire
32:34les déficits et un pays de l'endettement,
32:36mais ça obligera l'État à ce moment-là
32:38de faire des vraies réformes et pas des réformes
32:40comme on entend aujourd'hui.
32:42Parce que vous parlez d'intercommunalité,
32:44on va réduire,
32:46on va réunir des régions, des communes
32:48pour réduire les coûts. Et bien,
32:50l'intercommunalité, ça augmente les coûts.
32:52On va réduire le nombre de régions.
32:54Eh bien, il y a moins
32:56de régions, mais il y a plus de coûts.
32:58Parce qu'il y a deux hôtels de région,
33:00qu'on va ajouter un troisième parce qu'il n'est pas si grand
33:02pour les deux autres, et ainsi de suite. Donc on arrive
33:04à faire des réformes qui ne sont pas des vraies réformes
33:06et qui nous coûtent
33:08beaucoup plus d'argent. Le gros problème
33:10en France, c'est la complexité.
33:12La complexité, ça coûte très cher.
33:14Tout le monde, tous les Français,
33:16toutes les communes, s'en rendent bien compte
33:18de la complexité qui se crée
33:20de jour en jour
33:22en mettant des nouvelles lois, alors qu'ils auront des lois
33:24au moins pour 30 années qui viennent,
33:26pas besoin de faire de nouvelles lois, ils n'en sont même pas capables de les appliquer.
33:28Donc il faut absolument qu'on réforme
33:30nos structures,
33:32que l'administration, qu'on commence par la paix.
33:34Il y a trois députés,
33:36je suis persuadé que s'il y avait un tiers de moins
33:38de députés en France,
33:40le pays serait beaucoup mieux géré.
33:42Merci Gaëtan,
33:44et on va accueillir Nicole
33:46qui est avec nous. Bonjour Nicole,
33:48meilleur vœu. Bonjour, moi aussi.
33:50Merci de nous avoir appelé
33:52aujourd'hui pour démarrer
33:54cette année. Vous avez suivi le discours
33:56du Président, est-ce que vous avez été convaincue
33:58hier soir ? Oui.
34:00Il faut vous dire aussi que je suis
34:02peut-être inconditionnelle du Président
34:04de la République depuis... Deuxième.
34:06Voilà.
34:08Voilà.
34:10Est-ce que cette idée de référendum,
34:12enfin, même si, on va le répéter
34:14une énième fois, il n'a pas dit le mot
34:16directement, mais enfin il part de consultations
34:18des Français, donc on a déjà
34:20essayé le reste, les consultations
34:22citoyennes, le grand débat, est-ce que cette idée
34:24de référendum, vous Nicole, elle vous
34:26séduit ?
34:28À moitié, parce que
34:30j'entendais Gaëtan qui disait
34:32par exemple sur le...
34:34de faire un
34:36référendum sur les économies,
34:38le budget. Tout le monde
34:40va dire oui, bien sûr.
34:42On ne va pas être contre. Mais
34:44sur 15 ans, ça veut dire
34:46quoi ? Qu'il faudrait que
34:48chaque gouvernement se réengage
34:50à chaque fois.
34:52Je ne suis pas...
34:54Pourquoi pas sur certains sujets ?
34:56Peut-être d'autres questions qui vous sembleraient
34:58plus pertinentes pour interroger
35:00les Français ? Est-ce que vous avez une idée ?
35:02Non, là j'avoue que
35:04non, je n'y ai pas réfléchi, parce que
35:06vraiment, je trouve que
35:08il faut tellement poser la bonne
35:10question, le bon sujet.
35:12Je vous disais, si par exemple
35:14on posait un référendum
35:16sur la peine de mort,
35:18c'est tranché. Mais sur
35:20des éventuelles mesures, sur...
35:22Je ne suis pas convaincue.
35:24Les élections à la proportionnelle,
35:26vous savez, les élections législatives
35:28à la proportionnelle, est-ce que
35:30c'est quelque chose qui pourrait vous intéresser ?
35:32Oui, pourquoi pas.
35:34Oui, oui, tout à fait.
35:36C'est vrai, Julien Fautrat du service politique
35:38de RTL. Est-ce qu'on a une idée
35:40ou pas ? Est-ce que l'Élysée a communiqué
35:42depuis hier soir sur
35:44le spectre des sujets
35:46qui pourraient faire partie de ces
35:48consultations, quelle qu'en soit la forme ?
35:50Non, c'est extrêmement flou. Après
35:52une petite enquête
35:54ici à RTL, on comprend
35:56que cette question des élections
35:58législatives à la proportionnelle
36:00est dans les cartons. Voilà.
36:02On peut à ce stade ne pas aller plus loin
36:04sur les sujets qui pourraient être
36:06l'objet d'une consultation.
36:08Le flou est savamment
36:10entretenu. Bonjour, Morissette.
36:12Est-ce que vous êtes là ?
36:14Bonjour. Plein de bonnes choses pour la nouvelle
36:16année, plein de prises sans impôts.
36:18Merci.
36:20J'ai pas
36:22écouté le débat de M. Macron
36:24parce que je trouve qu'il ne m'intéresse plus du tout.
36:26Avant, oui, mais maintenant, il est manipulé.
36:28Il n'a plus le droit de rien dire. D'ailleurs, ce n'est pas
36:30lui qui fait ses discours. Je pense que
36:32son entourage avec
36:34côté Brigitte,
36:36ça le rend complètement...
36:40Il ne sait plus où il en est. Il s'écoute parler.
36:42C'est devenu
36:44complètement nul. Julien Fautrat.
36:46Qu'est-ce qui vous a fait changer d'avis à propos d'Emmanuel Macron ?
36:48Il y a un moment, comme ça,
36:50où vous avez basculé ? Oui,
36:52complètement, parce que je trouve qu'il est plus crédible
36:54et puis
36:56il a des solutions. Alors là, c'est la cata.
36:58On aurait dit un petit garçon qui n'avait
37:00pas eu son joujou et puis
37:02voilà, il s'est emporté là-dessus
37:04et c'est devenu n'importe quoi.
37:06Je ne l'écoute plus. Vous faites probablement
37:08partie des Français qui ont moins confiance en
37:10Emmanuel Macron. On a un dernier sondage,
37:12RTL, qui indiquait
37:14que seulement 24%, donc moins
37:16qu'un quart des Français,
37:18lui font encore confiance.
37:20Une cote de popularité au plus bas.
37:22Ça se voit, il est manipulé et en plus
37:24son entourage
37:26n'hésite pas à le
37:28faire progresser. Il recule.
37:30C'est ce que je disais avant. Il était Napoléon
37:32et puis Marie-Antoinette.
37:34On en revient là.
37:36Vous êtes, Morissette, une électrice déçue
37:38d'Emmanuel Macron. Vous avez
37:40déjà voté pour lui.
37:42Est-ce que vous pourriez être
37:44enchantée par
37:46l'idée de peut-être être
37:48consultée directement dans un référendum
37:50sur les retraites ou sur
37:52l'immigration ? Il y a plein
37:54de choses qu'il faudrait qu'on soit
37:56plus consultée parce que là,
37:58il fait
38:00tout lui-même et
38:02ça ne sert à rien. Il ne sert
38:04plus à rien. Est-ce que vous constatez,
38:06Morissette, qu'autour de vous, c'est la même chose ?
38:08Les gens sont déçus par Emmanuel Macron ?
38:10Complètement.
38:12Complètement,
38:14il n'intéresse
38:16plus personne.
38:18Il fait tout tout seul et puis il est mal
38:20conseillé. Il est très très très
38:22mal conseillé et je crois que c'est ça
38:24qu'il mine en ce moment parce qu'on
38:26voit qu'il est...
38:28Les discours, tout ça, il ne sert plus à rien.
38:30Mais parmi vos proches, on dit la même chose.
38:32Exactement. Et puis une chose aussi
38:34que son entourage, il aurait
38:36dû s'entourer de
38:38meilleures personnes
38:40parce que là...
38:42Déjà,
38:44Brigitte Macron,
38:46elle l'a mis par terre.
38:48Je vous ai dit que c'était
38:50un monsieur Brigitte.
38:52Morissette, là, on sait qu'il y a des plaintes
38:54même qui ont été déposées contre des gens
38:56qui ont affirmé ça et qui ont été condamnés.
38:58Donc on va éviter
39:00ce genre de propos-là. Merci beaucoup
39:02de nous avoir
39:04contactés, de nous avoir appelés.
39:06Julien Fautrat, dans ce studio,
39:08est-ce que vous auriez une petite résolution,
39:10un petit objectif pour l'année qui s'ouvre ?
39:12Professionnel ou personnel ? Ah, le sport !
39:14Le sport, oui ! Combien ?
39:16Il faut s'y mettre ! Combien de kilos ?
39:18Combien de kilos ?
39:20Au moins avoir
39:22la forme !
39:24Et vous, alors ? Est-ce que vous en avez ? Des résolutions ?
39:26Des choses dans le coin de la tête ? Des objectifs
39:28que vous vous êtes fixés ?
39:30Et des rêves encore plus grands ?
39:32Venez nous le dire au 3210.
39:34On va continuer d'en parler tous ensemble
39:36jusqu'à 14h. Les auditeurs ont la parole
39:38sur RTL.
39:40Contactez-nous gratuitement via l'appli RTL
39:42ou au 3210.
39:44Jusqu'à
39:4614h, les auditeurs ont la parole
39:48sur RTL. Avec William Gallibert.
39:50Du beau monde, du très beau
39:52linge, au 3210, vous,
39:54essentiellement vous, les auditeurs de RTL
39:56qui nous appelez, qui nous contactez,
39:58qui venez vous exprimer, et puis un certain
40:00Yves Calvi. Bonjour cher Yves !
40:02Bonjour cher William, tout va bien ?
40:04Oui, nous, on ne pourrait pas
40:06être mieux. Il y a encore quelques
40:08traces de buffet à la rédaction de RTL
40:10que vous connaissez si bien.
40:12Il y a du sucré et du salé
40:14parce qu'ici c'est la ruche, on se croise
40:16et on s'en va
40:18et on arrive à toute heure du jour et de la nuit.
40:20Écoutez, moi je vais me préparer à ma
40:22troisième fondue de la journée, je pense.
40:24Et j'accueille aussi
40:26dans ce studio Agnès Bonfillon. Oui,
40:28bonjour William, bonjour à tous et bonjour Yves !
40:30Le duo est là.
40:32Comment ça s'est passé
40:34pour vous Yves ?
40:36Beaucoup de fondue, beaucoup de fromage,
40:38si je comprends bien.
40:40Oui, alors si vous voulez, le premier jour,
40:42je suis arrivé, je suis monté skier, c'était
40:44très agréable, il y a de la neige,
40:46on n'a pas eu un temps comme ça dans les Alpes depuis 20 ans,
40:48c'est grand soleil, il y a énormément
40:50de neige, c'est merveilleux.
40:52J'ai un peu forcé
40:54sur le vin blanc lors de mon premier déjeuner
40:56et j'ai fait une chute
40:58assez redoutable dans la forêt
41:00et je suis en fait maintenant au lit
41:02depuis trois jours avec deux coups de pellet.
41:04Aïe, aïe, aïe !
41:06Vous pensez que c'était un secret, nous on gardait
41:08vraiment le truc, on le savait dans l'équipe,
41:10on ne disait rien dans la rédac et Yves
41:12arrive tranquille
41:14au court secret avec les auditeurs.
41:16Racontez-nous ce qui s'est passé, parce que Yves,
41:18j'allais vous dire, vous ne revenez pas avec une cheville
41:20en vrac ou un genou
41:22de traviole, mais alors qu'est-ce qui s'est passé Yves ?
41:24Je n'ai pas vu,
41:26je n'ai pas vu une énorme
41:28plaque de glace épouvantable
41:30qui m'a descendre dans la forêt en ski
41:32et puis de toute façon j'allais trop vite,
41:34je n'étais pas raisonnable. Je dois reconnaître
41:36qu'il n'est pas très élégant
41:38que j'ai peut-être aussi un léger coup
41:40dans le nez.
41:42On fait comme si on n'a pas entendu,
41:44parce que sur les pistes aussi, tout ça est régulé normalement.
41:46C'est le vin blanc avec la fondue.
41:48Pas dans la forêt, car c'est du hors-piste.
41:50En plus !
41:52En plus.
41:54Vous ne laissez pas Agnès
41:56se débrouiller toute seule la semaine prochaine.
41:58Vous revenez quand même.
42:00Je n'ai qu'une heure.
42:02Evidemment, on est ensemble la semaine prochaine.
42:04Quelques ongans,
42:06quelques massages.
42:08Non, il ne faut surtout pas faire
42:10de massage sur des côtes fêlées.
42:12Comme me l'a dit
42:14le charmant médecin suisse que je suis allé voir
42:16et qui m'a fait ma radio, il me dit
42:18ça ne sert à rien, je ne peux rien vous donner,
42:20il faut juste être patient.
42:23Merci pour ce petit coucou, Yves.
42:26On a hâte de vous retrouver.
42:28Je suis heureux de vous entendre
42:30et de saluer nos auditeurs.
42:32On n'existe pas sans eux.
42:34On essaiera de ne pas trop vous faire rigoler tout de suite.
42:36Ça va être compliqué,
42:38parce qu'il y a une telle ambiance
42:40dans l'équipe de RTL ce soir.
42:42Il va falloir faire attention.
42:44On a besoin de rire,
42:46même quand on a mal aux côtes, ça n'a aucune importance.
42:48Merci Yves.
42:50Je suis heureux de vous entendre
42:52et voilà toutes mes pensées aux auditeurs d'RTL
42:54pour cette nouvelle année 2025.
42:56Yves, tant que je vous tiens dans ce studio,
42:58Agnès, c'est vous qui allez prendre la place du chef.
43:00Oui, pendant une semaine jusqu'à vendredi.
43:02À partir de 18h,
43:04qu'est-ce qu'on va faire ce soir avec vous ?
43:06À partir de 18h15,
43:08au-delà de l'information qui n'est pas
43:10très drôle en ce 1er janvier,
43:12nous allons
43:14voir qu'il n'est pas toujours
43:16de bon alloi
43:18de prendre des résolutions.
43:20Ça peut même être contre-productif, nous dira
43:22Michel Lejoyeux,
43:24qui sera avec nous à partir de 18h15.
43:26Mieux rêver que prendre des résolutions.
43:28Je regarde Julien Fautran en disant ça.
43:30Les genoux, les côtes flottantes,
43:32les articulations, tout va bien à priori.
43:34Oui, je vous remercie.
43:36Et vous, vous avez une résolution William ?
43:38On va rester avec vous, bien rigoler derrière un micro,
43:40c'est déjà pas mal.
43:42Et même en 1er janvier comme ça,
43:44surtout en 1er janvier comme ça, ça procure de la joie,
43:46je vous l'assure.
43:48Midi 14h,
43:50les auditeurs ont la parole
43:52avec William Galibert.
43:54Il paraît qu'il faut dire
43:56aux gens qu'on aime
43:58qu'on les aime, RTL,
44:00je vous aime, bonne année.
44:02Comment vous voulez
44:04ne pas être heureux quand vous entendez ce genre de choses ?
44:06Bonjour Sébastien !
44:08Oui,
44:10bonjour Stéphane.
44:12Comment ça va ce matin ?
44:14Il est 13h47, tiens.
44:16Comment ça va aujourd'hui ?
44:18Bonne année, bonne santé.
44:20Merci beaucoup.
44:22Quel est l'état d'esprit ?
44:24Comment c'est cette année 2025 Sébastien ?
44:26Eh bien, c'est simple.
44:28Sans rentrer forcément dans le détail,
44:30j'avais un boulot qui ne me plaisait plus,
44:32j'ai démissionné et j'ai trouvé un autre boulot qui me convient plus.
44:34C'est génial.
44:36Peut-être pas les détails de ce que vous allez arrêter de faire,
44:38mais peut-être quelques mots
44:40sur ce qui vous attend ?
44:42Eh bien, les mots sur ce qui m'attend,
44:44moins de stress,
44:46un peu plus de santé,
44:48un peu plus d'argent, un meilleur entourage,
44:50s'entourer des bonnes personnes, écouter RTL.
44:52Voilà.
44:54Qu'est-ce que vous cherchiez en changeant de travail ?
44:56En fait, moins de stress, c'est ça ?
44:58Moins de stress,
45:00ça faisait 18 ans, sans dénigrer mon ancien travail,
45:02où j'avais beaucoup de pression sur les objectifs.
45:04Je me dis, j'approche de la cinquantaine,
45:06bon, quitte à passer une nouvelle année,
45:08quitte à vraiment démissionner,
45:10donc des fois, il ne faut pas avoir peur
45:12de saisir les opportunités
45:14et puis d'aller en avant
45:16et de sortir de sa zone de confort, tout simplement.
45:18Dites-nous, le changement de vie,
45:20le changement de travail, le changement de rythme,
45:22c'était une résolution de 2024
45:24que vous avez réussi à tenir, par exemple ?
45:26C'était une résolution
45:28que je pensais
45:30depuis pas mal de temps
45:32et puis je me suis dit, bon, voilà,
45:34c'est le cap de la nouvelle année, on ne va pas faire semblant,
45:36on part, on prend les actions nécessaires
45:38et puis on se prend en main
45:40et puis voilà, pas forcément subir, mais
45:42faire en sorte d'avoir une meilleure vie, tout simplement.
45:44Donc pour 2025,
45:46Sébastien, il profite ?
45:48Exactement ! Et d'ailleurs,
45:50j'attends toujours mon studio mobile RTL pour animer
45:52Hommeuse, non, je rigole !
45:54On va essayer de se débrouiller au standard,
45:56on va voir ce qu'on peut faire,
45:58mais là, je ne suis pas sûr de vous trouver ça aujourd'hui,
46:00le 1er janvier. On vous embrasse Sébastien, merci infiniment.
46:02Tout pareil, et puis prenez bien soin de vous
46:04et puis merci RTL pour tout ce que vous apportez aux gens.
46:06C'est très sympa de nous le dire.
46:08Merci Sébastien, bonne année.
46:10Bonjour Fabrice !
46:12Oui, bonjour.
46:14Comment ça va ce matin ? Meilleur vœu Fabrice ?
46:16Oui, nouvelle année, bonne santé à tout le monde
46:18et meilleur vœu à toute l'équipe d'RTL, c'est surtout ça.
46:20Vous travaillez,
46:22vous êtes sur la route aujourd'hui ou vous pouvez vous reposer un peu ?
46:24Non, je reprends le travail lundi,
46:26je suis chauffeur routier, je reprends le travail lundi.
46:28J'ai pris des vacances pour les fêtes.
46:30Et est-ce qu'elles ont été à la hauteur
46:32de vos attentes en termes de repos,
46:34en termes de famille, de copains, de fiesta ?
46:36Est-ce que tout s'est passé comme il fallait ?
46:38Oui, mais pas comme les autres années.
46:40C'est pour ça que j'ai
46:42ce que je disais ce matin
46:44à votre collègue.
46:46On essaie de repasser
46:48une meilleure année 2025
46:50que l'année 2024.
46:52On essaie de passer à autre chose
46:54et puis penser à se promener,
46:56faire un peu plus de sorties en famille
46:58et puis tout ça. Parce que l'année 2024,
47:00on ne peut pas dire que c'était le top.
47:02On essaie de repartir d'un pied faillant
47:04pour affronter 2025.
47:06Voilà, vous avez tout compris.
47:08C'est un peu le but du jeu
47:10pour cette année 2025.
47:12Plus de voyages, plus de petits restos
47:14et plus de bonheur.
47:16C'est ce qu'on vous souhaite Fabrice.
47:18On va essayer aussi.
47:20Je ne saurais trop vous conseiller
47:22de rester branché sur RTL quand vous êtes dans la cabine du camion.
47:24C'est ce que je fais en général.
47:26Le matin, quand j'égoutte Julien Courbet,
47:28une très belle émission,
47:30quand je suis dans le camion,
47:32j'essaie d'écouter RTL au maximum.
47:34On vous embrasse Fabrice.
47:36Une très belle année 2025.
47:38Merci pour ce petit coucou ensemble.
47:40La même chose à vous,
47:42pour toute l'équipe d'RTL.
47:44Merci Fabrice. Bonjour Isabelle.
47:46Bonjour, bonne et heureuse année à toute l'équipe.
47:48Ça nous fait plaisir
47:50d'avoir beaucoup de sourires
47:52à l'antenne
47:54et le sourire d'Isabelle
47:56pour démarrer ce premier jour de l'année.
47:58Pour le soleil,
48:00on reviendra un peu plus tard.
48:02Vous êtes où Isabelle ?
48:04Je suis en Vendée.
48:06Le temps est un peu gris pour
48:08l'année où je suis,
48:10mais j'espère que les autres ont du soleil.
48:12Le soleil est dans la vie
48:14à partir du moment où on le veut bien.
48:16Est-ce que dans un compte, votre tête,
48:18ou peut-être sur un petit morceau de papier,
48:20vous vous êtes fixé
48:22des résolutions, des objectifs,
48:24des envies pour les mois qui viennent ?
48:26Vous savez que les résolutions, en général,
48:28il ne faut pas en mettre trop parce que
48:30on ne va pas réussir à les faire.
48:32J'en ai mis une seule. Je ne sais même pas
48:34si je vais réussir à le faire. Il faudra vraiment
48:36que je trouve la motivation. On se rappelle
48:38au 1er janvier 2026,
48:40pour voir si j'ai réussi.
48:42Je me suis dit qu'il fallait que je m'occupe de moi
48:44et plutôt de faire du sport.
48:46Vous avez quelque chose
48:48en tête, un peu de marche,
48:50un sport en particulier ?
48:52De la marche, marche rapide.
48:54C'est quelque chose que je n'arriverai pas,
48:56parce qu'il faudrait que je me mette à courir.
48:58Mais après, il faut que votre cardio vous le permette,
49:00ce qui, à mon avis, ne doit pas être trop le cas.
49:02Ça se travaille.
49:04Ça vient le cardio.
49:06Je vais essayer de mettre
49:08l'objectif là.
49:10Je vais vous pousser dans vos retranchements,
49:12Isabelle. Pourquoi vous n'avez pas eu le temps
49:14d'aller marcher en 2024 et pourquoi
49:16vous le prendriez en 2025 ?
49:18Est-ce que vous avez déjà un premier
49:20créneau pour l'année qui est déjà calé ?
49:22Les créneaux, je les remplis avec le travail.
49:24C'est ça le truc.
49:26Déjà des excuses. On est le 1er janvier.
49:28Le travail, le travail, le travail.
49:30Il n'y a que ça de vrai.
49:32On compte sur vous pour marcher.
49:34Peut-être que vous pourrez aller voir
49:36l'arrivée des skippers du Vendée Globe
49:38dans quelques semaines
49:40à côté de chez vous.
49:42Nous, on a la chance
49:44de vivre dans
49:46une ère où il y a beaucoup de campagnes,
49:48beaucoup d'espaces où on peut marcher.
49:50En plus, ça se passe
49:52plutôt bien puisqu'il n'y a pas
49:54de bousculades.
49:56C'est intéressant.
49:58Il n'y a pas trop d'excuses
50:00pour ne pas le faire, sauf le fait
50:02de se bousculer un peu.
50:04Le double nez aux chaussures, un peu de motivation.
50:06On vous embrasse, on vous souhaite une très belle
50:08journée et une très belle année, Isabelle.
50:10Je vous souhaite une très belle année aussi.
50:12Vous qui nous accompagnez tous les jours
50:14avec les infos, toutes les émissions
50:16que vous avez pu mettre en place tout au long
50:18de ces années.
50:20Bonne et heureuse année à tous les auditeurs d'RTL
50:22et surtout à ceux qui finalement
50:24écoutent la radio, peut-être parce qu'ils n'ont personne à côté
50:26d'eux. Voilà ce que je souhaite.
50:28C'est aussi bien de le dire. Merci beaucoup, Isabelle.
50:30Et on continue.
50:32Cette petite dose de fraîcheur et de sourire
50:34jusqu'à 14h. Il nous reste 5 minutes.
50:36On en profite à fond avec Françoise.
50:38Bonjour, Françoise.
50:40Bonjour, William.
50:42Ça va bien. Une belle année
50:442025. Aux auditeurs, on la parole.
50:46Et vous avez perdu Eric Brunet ?
50:48Pas de nouvelles d'Eric ?
50:50Il est sur-répondeur. Je ne sais pas ce qui se passe.
50:52Est-ce que le téléphone a été pris dans la fondue ?
50:54Est-ce qu'il est resté au frigo ?
50:56Il a mal aux cheveux. On n'en a aucune idée.
50:58On va essayer de vous tenir au courant quand même demain
51:00si on a un signe de vie d'Eric Brunet.
51:02Un signe de vie.
51:04Moi, c'est une voix qui m'a beaucoup émue.
51:06C'est madame Gisèle Pellicot.
51:08Quel courage, cette dame.
51:10Bravo. Et j'espère que les
51:1217, comment dirais-je,
51:14présumés coupables,
51:16les condamnés en première instance qui ont fait appel
51:18aux procédés,
51:20vont prendre un max avec le jury
51:22populaire.
51:24C'est une image et une affaire qui est restée.
51:26Tout à fait gravée.
51:28Et puis pour la bravoure
51:30et le courage de cette dame et respect.
51:32Parce que la justice,
51:34les victimes n'ont
51:36pas souvent gain de cause.
51:38Et pour moi, viol,
51:40c'est un seul mot. Il n'y a pas viol et viol.
51:42C'est vraiment ce que certains avocats nous ont
51:44dit.
51:46Et il n'y a qu'un terme qu'il faut retenir.
51:48C'est le mot et le terme viol. C'est tout.
51:50Il y a un seul mot. C'est celui-là.
51:52Françoise, est-ce que vous avez une résolution
51:54ou au moins un message
51:56pour 2025 ?
51:58Écoutez, un petit peu plus d'empathie.
52:00Je ne sais pas si ce sera de la part des politiques.
52:02En tout cas, madame Rousseau
52:04m'a beaucoup fait rire.
52:06Un peu moins de blabla.
52:08L'écologie, ce n'est pas du blabla.
52:10On s'attelait à la tâche et ce n'est pas le cas
52:12des écologistes qui m'ont profondément déçue.
52:14Parce qu'il y a
52:16beaucoup de femmes qui se disent écolos
52:18mais qui nous ont vraiment
52:20fatiguées. Fatiguées
52:22physiquement de les entendre
52:24parce que c'est vide de sens
52:26et c'est creux.
52:28Il n'y a pas beaucoup d'écologistes
52:30qui ont pris la parole à ce moment-là.
52:32Donc, je leur en veux, oui.
52:34Parce que ça ne devrait même pas être un parti
52:36politique.
52:38Au quotidien, l'écologie. Et ce n'est pas le cas
52:40en France.
52:42Merci Françoise pour ce petit message.
52:44On vous retrouve très vite au 3210.
52:46Dans les auditeurs, on a la parole.
52:48Bonjour Richard.
52:50Richard, comment ça va ?
52:52Meilleur vœu ?
52:54Bonne année à vous Richard.
52:56Vous, je crois que vous êtes
52:58vous avez beaucoup d'objectifs
53:00fixés pour cette année 2025. Expliquez-nous.
53:02J'en ai quelques-uns.
53:04J'ai un très gros objectif
53:06sportif au mois d'août
53:08sur une course moto à l'international.
53:10Et surtout, professionnellement,
53:12vu que c'est compliqué en ce moment,
53:14je rédige une thèse professionnelle
53:16pour obtenir
53:18un bac plus 7 pour mettre un diplôme
53:20sur le métier que j'ai fait
53:22depuis maintenant plusieurs années.
53:24L'objectif, c'est d'obtenir cette thèse dans les 4 mois qui viennent.
53:26Une sacrée année qui s'annonce
53:28pour vous, parce qu'il va falloir être performant
53:30partout.
53:32Absolument.
53:34Je l'ai fait malheureusement un petit peu
53:36pendant l'année dernière
53:38parce que professionnellement,
53:40c'était compliqué, donc on ne peut pas réfléchir
53:42comme on veut lorsqu'on n'a pas la thèse.
53:44Donc l'objectif, c'est
53:46entre guillemets ce papier
53:48pour que professionnellement ça s'ouvre
53:50pour les dernières années de travail.
53:52On vous apporte
53:54par la pensée un maximum de courage
53:56pour boucler la thèse,
53:58pour accomplir vos projets professionnels
54:00et pour la course de moto, on l'a compris,
54:02dans les mois qui viennent.
54:04C'est un sacré programme pour 2025.
54:06Il nous reste encore un tout petit peu de temps,
54:08on en profite, bonjour Samuel.
54:10Bonjour, et bonne année à tous.
54:12Et bonne année Samuel.
54:14Comment allez-vous ?
54:16Ça va comme un jeune.
54:18Un jeune fringant.
54:20Oui, oui.
54:22De 81 ans.
54:2480 printemps, c'est le...
54:26Ah, pas 80, 81.
54:28C'est la fin de l'adolescence.
54:30C'est peut-être le début
54:32de quelque chose de plus grave.
54:34Alors écoutez, je vais vous parler
54:36de deux sujets, la vieillesse,
54:38et puis peut-être politique.
54:40Quelque chose qui est d'ailleurs
54:42inhabituel sur votre antenne.
54:44Je vais vous raconter une histoire en rapidos.
54:46Alors écoutez, il y a un coup,
54:48dans un village, il y avait le maire,
54:50la fanfare,
54:52des journalistes sont venus souhaiter
54:54les ententes d'un petit pépé
54:56par là dans sa maison.
54:58Alors bon, ils posaient des questions, tout ça.
55:00Il y a un journaliste qui dit
55:02Monsieur le centenaire, quel est
55:04le secret de votre dangerité ?
55:06Oh, moi j'étais toujours
55:08toute ma vie régulier.
55:10Je me levais et me couchais
55:12à la même heure. Je ne regardais pas
55:14la télé, je ne buvais pas.
55:16J'ai une vie tout à fait bien réglée.
55:18Je n'ai jamais bu d'alcool, surtout ça.
55:20Jamais bu d'alcool.
55:22J'ai un secondaire brun.
55:24Des chaises qui tombent par terre.
55:26Un bruit.
55:28Alors j'ai dit, Monsieur le centenaire,
55:30qu'est-ce qui se passe ?
55:32Oh, j'en ai honte.
55:34C'est mon frère qui, tous les jours, est en train de vivre.
55:36Quel âge il a ? Vingt-dix ans.
55:40Excellent pour démarrer l'année.
55:42Merci beaucoup Samuel.
55:44On vous embrasse, on embrasse
55:46tous ceux qui sont à l'écoute, tous ceux qui bossent aujourd'hui,
55:48qui travaillent et qui ont
55:50démarré l'année
55:52du bon pied.
55:54On a eu
55:56plein d'énergie
55:58ensemble au 3210.
56:00Merci cher Julien Fautrat de m'avoir accompagné
56:02pendant cette heure pour parler de politique.
56:04Mais pas que, on l'a entendu.
56:06Une très belle journée
56:08du 1er janvier à tous.
56:10Et moi, je vous retrouve dès demain midi
56:12pour un nouveau RTL midi.
56:14Les auditeurs ont la parole.
56:16A demain !