• avant-hier
Avec Claire Basini, Directrice Générale Adjointe BtoC Groupe TF1 - Membre du Comité Exécutif.

Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
---
———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr

##SUD_RADIO_MEDIA-2025-02-14##

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Le 10h midi, Sud Radio Média, Christine Bouillaud, Gilles Gansman.
00:05Bonjour à tous, bonjour à tous. Bonjour Gilles.
00:08On est déjà vendredi.
00:09Et oui, ça passe vite.
00:10Et oui.
00:11Et vous savez quoi, chez TF1, le bonheur est dans le streaming gratuit.
00:14La première chaîne d'Europe a présenté hier ses résultats.
00:17Une année 2024 record, chiffre d'affaires, résultat net en hausse.
00:21Dans le paysage audiovisuel, c'est assez rare pour le souligner.
00:24Et ça, c'en doit en grande partie à sa plateforme de streaming gratuit TF1+.
00:29Elle s'est lancée il y a juste un an.
00:30Et c'est une femme qui est à la tête de cette pépite, qui est notre invitée ce matin.
00:34Claire Basigny, bonjour.
00:35Bonjour, merci de me recevoir.
00:37Alors, ces résultats publiés hier, vous avez fait les petits fours champagne, non ?
00:42Impressionnant, ces chiffres de résultats du groupe.
00:45C'est vrai qu'en un an, TF1+, s'est installé comme le leader du streaming gratuit.
00:50On a eu 9 Français sur 10 qui sont venus streamer sur la plateforme.
00:53C'est énorme.
00:54C'est énorme.
00:55En fait, chaque mois, on a un Français sur deux qui vient sur TF1+,
01:00qui est une proposition qui est vraiment tout à fait unique,
01:02puisqu'en fait, on a 30 000 heures de contenu,
01:06des films, des séries, des divertissements, des dessins animés, entièrement gratuits.
01:11Une expérience qui est premium, comme le sont les plateformes SVOD,
01:15donc avec de la recommandation.
01:17C'est fluide, c'est immersif.
01:19Et la grande nouveauté, c'est que c'est accessible entièrement, gratuitement.
01:23Pour nos auditeurs, TF1+, ça se trouve lorsque vous allez sur vos box,
01:30vous avez TF1+, sur vos box, mais également sur votre téléphone.
01:33Vous pouvez télécharger l'application.
01:36C'est mon cas.
01:38On peut dire que vous suivez surtout à travers ces applications.
01:45Et pour nos auditeurs, il faut savoir que c'est ce qu'on appelle,
01:49il y a le online qui est la chaîne premium TF1,
01:52et puis à côté, vous pouvez retrouver tous les programmes de TF1+,
01:55même parfois en avance sur la chaîne.
01:59Qu'est-ce qui est devenu important au sein du groupe TF1?
02:02TF1+, ou le linéaire a encore une force au sein du groupe?
02:06Alors l'idée, c'est vraiment, on est un groupe média,
02:10on a des chaînes linéaires et on a une plateforme de streaming.
02:14Et pour nous, on est en conquête et à l'offensive sur les deux,
02:19mais à la fois pour développer les audiences et le chiffre d'affaires publicitaires.
02:22Et je pense que c'est ça qui est remarquable dans les résultats de l'année 2024.
02:26C'était vraiment notre objectif et on l'a réalisé.
02:30Et le tout dans un contexte très particulier pour TF1,
02:36puisqu'il y avait quand même la très forte concurrence des JO,
02:40et un contexte publicitaire de fin d'année qui était compliqué.
02:45Et en fait, la chaîne TF1 a même réussi à progresser sur une audience 4+,
02:52sur l'année 2024 et est leader sur toutes les cibles.
02:56Donc nous, on se vit vraiment comme un écosystème où les deux se nourrissent.
03:01On partage une même ligne de programme sur laquelle on investit à peu près 1 milliard d'euros,
03:06avec l'objectif de rassembler les Français,
03:09que ce soit sur les chaînes ou sur notre plateforme de streaming.
03:12C'est-à-dire aussi que vos concurrents, qui ont des plateformes de streaming mais payants,
03:18vont devoir s'aligner. C'est bon pour le consommateur ?
03:21Aujourd'hui, on voit que les choses bougent très vite sur ce marché,
03:26puisqu'on voit qu'il y a un plateau sur les offres par abonnement,
03:31c'est-à-dire qu'il y a beaucoup de concurrence,
03:34et les recrutements deviennent un peu compliqués pour ces acteurs.
03:40Ils ont développé des offres entrées de gamme, un peu moins chères,
03:45où on paye mais où il y a aussi de la publicité.
03:48Donc ils sont dans un modèle hybride.
03:51Après, c'est vrai que les chiffres qu'on a avec 33 millions de streamers par mois,
03:574 millions par jour...
03:59Il y a 33 millions et 4 millions par jour qui vont sur TF1+.
04:04Exactement.
04:06On va en parler longuement avec vous, Claire Basigny.
04:09Je rappelle que vous êtes la directrice générale adjointe du groupe TF1,
04:12membre du COMEX de TF1.
04:14On va surtout s'intéresser maintenant aux zappings.
04:17Il s'en est passé des choses encore hier.
04:23Alors Christine, est-ce que le coup de buzz d'Élise Lucet à l'Assemblée nationale
04:26a été payant et efficace ?
04:28Les audiences ?
04:29Les audiences ? Pas vraiment.
04:30Score décevant, 9,2% de part de marché.
04:331,5 million de téléspectateurs.
04:35TF1, M6 et France 3 étaient devant.
04:40Mais en tout cas, aux 4 colonnes, on continue à discuter de ce coup d'éclat d'Élise Lucet.
04:45Les députés se sont rencontrés.
04:47On en parle encore.
04:48Les caméras de TF1 étaient là pour écouter Olivier Faure et les autres députés.
04:53Pour ou contre les tests anti-drogue ?
04:55On ne va quand même pas, à chaque fois qu'on rentre dans un hémicycle,
04:58procéder à un test salivaire.
04:59Les parlementaires devraient s'astreindre à un devoir d'exemplarité.
05:03On ne peut pas fixer la loi et ne pas se l'appliquer soi-même.
05:07Est-ce qu'il n'y a pas un tabou autour de la drogue ici à l'Assemblée ?
05:09Le tabou, ce mot, il est à la mode.
05:11Est-ce qu'il y a quelque chose dont on ne veut pas parler ?
05:13Quelque chose de sous-jacent, comme quoi il y a de la drogue qui circule
05:16pendant des soirées, même à l'Assemblée.
05:18Alors vraiment, vous ne me croyez pas.
05:20On n'a jamais été invité à ces soirées.
05:22On n'a jamais été invité à ces soirées, moi je n'ai jamais vu.
05:24Ça ne circule pas dans mes couloirs, ni dans mes collègues.
05:28En tout cas, mes plus proches.
05:30Pour le reste, j'ai envie de dire, prenons un peu de responsabilité nous-mêmes.
05:33On est là pour faire la loi, on est là pour donner l'exemple.
05:36Prenons les choses à la hauteur.
05:38Parlons-en pleinement, mais n'en parlons pas simplement pour faire du buzz ici.
05:42Restons dans le domaine de la drogue.
05:44J'ai privilégié les sujets de TF1, vu notre invité.
05:47Si on parle souvent des narcotrafiquants dans les médias, c'est rarement concret.
05:52Eh bien, ça va l'être avec ce reportage du 20h de TF1.
05:55Imaginez, ils ont caché la drogue dans tout le réseau froid d'un camion frigorifique.
06:02Ils sont sans limites les trafiquants de Sergile.
06:04Et ça a été très compliqué d'aller chercher cette drogue.
06:07Et alors, ils ont eu une surprise en ouvrant tout cela.
06:11Écoutez, c'était dans le 20h de TF1.
06:13Cela ressemble à une grille d'aération au fond d'un camion, mais ce n'en est pas une.
06:18En fait, tout le bloc que l'on voit là, c'est une porte qui s'ouvre de ce côté.
06:22Derrière, les douaniers français découvrent des dizaines de pins de cocaïne entassés les uns sur les autres.
06:28Ils croyaient avoir affaire à une petite cargaison, mais il y a là plus de 400 kilos de drogue.
06:34Cette cache était particulièrement bien aménagée et très sophistiquée.
06:38Donc, on a dû utiliser des outils industriels, notamment une meuleuse.
06:43Et la tendance actuelle, c'est que ces caches aménagées sont de plus en plus compliquées à démonter et pour trouver finalement la marchandise.
06:52Sans limite.
06:54On pourra en parler avec notre invité, Claire Bazigny.
06:56C'est un secteur qui emploie plus de 15 000 personnes, qui pèse plus de 187 milliards dans le monde en 2024.
07:05Un chiffre d'affaires en France de 5 milliards.
07:07Vous savez de quoi je parle ?
07:08Des jeux vidéo.
07:10Mais ça aurait pu être la drogue.
07:11Des jeux vidéo. Je ne sais pas si vous avez suivi hier.
07:13La filière française était en crise avec sa première grève nationale.
07:19Le principal reproche de la délocalisation comme Ubisoft, qui a ouvert un studio à Barcelone.
07:24Et hier, ils manifestaient pour changer la donne des jeux vidéo en France.
07:30On a fait les heures supres. On a rattrapé leur connerie.
07:33Pourquoi ce serait à nous de payer ?
07:34Ici, devant Ubisoft Bordeaux, c'est la grève générale du jeu vidéo qui rassemble tous les studios,
07:39tous les travailleurs et travailleuses du jeu vidéo autour de plusieurs revendications.
07:43La situation de l'industrie aujourd'hui, elle est dramatique.
07:45Tout le monde le sait. Tout le monde est inquiet.
07:47Sauf le patronat et le pouvoir politique.
07:49Aujourd'hui, on a lancé cette première grève nationale du JV.
07:52Internationale même.
07:53Cette grève, elle se traduit par quatre dandications qui doivent alerter les pouvoirs publics.
07:58La transparence des entreprises sur leur statut économique.
08:01L'arrêt des licenciements et le maintien des emplois.
08:03Dans notre industrie, plein de boîtes sont incapables de faire des projections financières sur les productions de leurs jeux.
08:08Alors que tout le monde sait qu'elles durent plusieurs années.
08:10Est-ce qu'un jour, on téléchargera des jeux sur Téléfins Plus ?
08:13Est-ce que vous avez réfléchi à ça ?
08:15Et est-ce que c'est un domaine auquel vous vous intéressez ?
08:18Ce qui est sûr, je n'ai pas de réponse précise à ce stade.
08:22Mais ce qui est sûr, c'est que le fait que les télévisions soient aujourd'hui massivement connectées à Internet.
08:27C'est 7 Français sur 10 qui ont une télévision connectée à Internet.
08:31Ça ouvre un champ des possibles qui est incroyable.
08:33Nous, aujourd'hui, on s'attaque déjà au streaming.
08:36Puisqu'en fait, si on prend par exemple la population des 25-49 ans,
08:4040% de l'usage de la consommation vidéo se fait déjà en non linéaire, en streaming, à la demande.
08:47Avec Téléfins Plus, l'objectif c'est vraiment d'adresser ce besoin.
08:51Mais c'est sûr qu'il y a énormément de possibilités.
08:55On est en train de basculer globalement du mobile vers l'écran télé.
09:00L'écran télé revient en force.
09:01C'est vrai qu'on l'entend beaucoup.
09:03La télévision est morte, etc.
09:05Mais pas du tout.
09:06L'écran télé est en train de redevenir l'écran roi.
09:10C'est un écran qui est en plus beaucoup plus immersif, beaucoup plus familial pour une écoute conjointe.
09:16Il revient sur les jeux vidéo, il revient sur le streaming.
09:20Et puis les contenus qui sont faits par les groupes audiovisuels.
09:23On voit bien que ce soit aux Etats-Unis où le top 10 des contenus, il y en a 8 qui viennent de l'audiovisuel.
09:30Ou en France, les contenus audiovisuels sont les contenus qui sont vraiment les plus plébiscités sur cet écran.
09:37Que ce soit en linéaire ou en streaming.
09:39C'est intéressant.
09:40Christine, bravo.
09:42Vous pouvez m'appeler et me dire bonjour.
09:45Christine, c'est peut-être une pensée pour Valérie indirectement.
09:49C'est possible.
09:50Est-ce que ce soir, pour la Saint-Valentin, vous allez gâcher dans votre bonne ville de Toulouse ?
09:56Ça, je ne sais pas.
09:58J'attends la surprise.
09:59Vu votre jeune âge.
10:00Bien sûr.
10:01Je vais dans un thé dansant d'ailleurs.
10:03Je suis en train d'y aller.
10:05Vous avez dû connaître le joue-contre-joue.
10:07Le chic-to-chic.
10:08Il y avait à mon époque, ça fait vieux combattant, il y avait le quart d'heure des slow.
10:12Mais évidemment.
10:13Ça n'existe plus.
10:14Et oui, même le jour de la Saint-Valentin, les jeunes trouvent que le slow est ringard.
10:18Mais nos aînés continuent à vouloir danser des slow.
10:22Vous allez voir, ça va revenir.
10:24Un reportage dans le 20h de France 2.
10:29Voilà une danse qui rapproche et un mot qui divise les générations.
10:34Le slow, culte pour les anciens, ringard pour les jeunes.
10:37Il s'efface peu à peu de notre vocabulaire.
10:40Au XXe siècle, pourtant, le slow avait marqué les Français.
10:46Que je t'aime.
10:47Alors là, je craquais.
10:51C'était Varum.
10:52Varum, une chanson allemande.
10:54A-N-G.
10:56N-G.
11:01Dans ce dancing, on n'a rien oublié de ce mouvement giratoire dans le sens des aiguilles d'une montre
11:07qui ne demande pas d'aptitudes excessives.
11:09Je ne savais pas danser du tout.
11:11Mais on se lançait comme ça dans les bras quand il y a un slow.
11:14Et bien on dansait un slow.
11:16Et puis c'est facile à danser aussi, voilà.
11:19Bon allez, à tous nos amoureux de ce soir, n'hésitez pas à faire un slow avec vous de Valentin.
11:24Exactement.
11:25Et on embrasse les Valentins, ceux qui s'appellent Valentin aussi.
11:28On oublie aussi qu'il y a des Valentins qui s'appellent.
11:30Et donc c'est la fête aujourd'hui.
11:32C'est une surprise pour la Saint-Valentin.
11:34La sortie ce jour même d'un duo pour les amoureux.
11:37Et il est interprété par Kenji Girac et André Botcelli.
11:40C'est la surprise qu'on fait des deux chanteurs de sortir un duo pour la Saint-Valentin.
11:44Ça s'appelle Je vis pour elle.
11:54Il va y en avoir des vidéos sur Instagram de couples amoureux sur cette musique.
11:59Ça c'est sûr et certain.
12:03C'est beau quand même.
12:04Oui, les deux voix se mélangent bien.
12:06C'est sorti tout à l'heure hier à minuit pour la Saint-Valentin.
12:09Et Claire Bazigny, la musique, les programmes de musique, la Starac, tout ça, ça marche bien sur TF1+.
12:16Ça cartonne.
12:19Tous nos grands divertissements sont vraiment des piliers de notre offre streaming.
12:23A la fois parce que ce sont vraiment des programmes extrêmement bien produits, excitants, événementialisés.
12:31Et puis on travaille aussi une logique de rendez-vous réguliers.
12:35C'est un peu comme des séries appliquées à du divertissement.
12:38Avec les primes très événementielles chaque semaine.
12:41Mais aussi sur TF1+, notamment, des rendez-vous quotidiens pour suivre vraiment l'aventure en permanence.
12:50La Starac, c'est plus de 100 millions de vidéos vues cette année sur TF1+.
12:56C'est énorme.
12:57C'est 9 millions de streamers qui sont venus pour ce programme.
13:01Et puis là, l'aventure continue puisqu'on suit nos academiciens sur la tournée.
13:07Claire Bazigny, la directrice générale adjointe du groupe TF1, membre du COMEX et patronne de TF1+.
13:13On va résumer ça comme ça.
13:15Et notre invitée ce matin sur Sud Radio dans l'émission Média.
13:18On se retrouve juste après ça, tout de suite.
13:21Le 10h30, Sud Radio Média.
13:24Christine Bouillot, Gilles Gansman.
13:27Sud Radio Média, l'invité du jour.
13:31Alors avec Gilles Gansman, nous recevons Claire Bazigny, la patronne de TF1+.
13:36Cette plateforme en streaming gratuit du groupe TF1, lancée il y a juste un an.
13:41Les résultats sont donc tombés.
13:43On en parlait en début d'émission, les résultats annuels du groupe TF1.
13:46Et le streaming a excessivement bien marché.
13:49C'est une réussite sur toute la ligne.
13:51Est-ce que ces résultats finalement dépassent vos espérances ?
13:55Alors, on est très contents de ces résultats.
13:58C'est vrai qu'on s'était donné des objectifs ambitieux et on les a un peu dépassés.
14:05Et donc pour donner quelques chiffres, aujourd'hui sur l'ensemble des éléments, il y a une très très bonne dynamique.
14:13TF1+, s'est très rapidement installé en notoriété.
14:18Puisqu'on a à peu près 80% de notoriété de la marque et de la plateforme.
14:23On est aussi très largement distribué et très visible sur tous les écrans.
14:28On parlait tout à l'heure des écrans télé.
14:31On a près de 60% des foyers français qui ont l'app TF1+, sur l'écran d'accueil de leur télé.
14:38Et ça c'est très important puisque nous on a vocation, que ce soit avec notre chaîne, nos chaînes ou notre plateforme,
14:43à être accessible immédiatement de manière hyper simple.
14:47Ensuite, en termes de nombre de streamers, on a un français sur deux qui vient tous les mois sur TF1+,
14:554 millions tous les jours et des usages qui ont complètement explosé.
14:59Puisqu'on a fait 1,2 milliard d'heures vues en 2024.
15:04Donc c'est une fois et demie plus gros que notre premier concurrent.
15:08Et c'est plus 50% d'évolution par rapport à ce qu'on faisait avant TF1+.
15:13C'est la part de ceux qui viennent sur TF1+, et qui viennent aussi sur TF1.
15:18Est-ce que la grosse part qui vient sur TF1+, ne vient pas sur TF1?
15:23On partage des streamers qui consomment aussi en linéaire et sur TF1+,
15:30qui ne regardent pas forcément les mêmes choses puisqu'on a toute une offre de cinéma, de séries,
15:36de dessins animés, d'infos.
15:38On a plus de 300 séries mais en intégralité.
15:42Donc il y a une richesse que par nature on ne trouve pas sur les chaînes.
15:47Donc il y a une partie des streamers qui consomment en effet le linéaire et le streaming.
15:51Oui parce qu'il y a une application sur TF1+.
15:54Sur l'application il y a une fonctionnalité du direct.
15:57Daxine Ernotte en conférence de presse, la patronne de France Télévisions,
16:01avait dit aux journalistes, aujourd'hui notre vaisseau amiral n'est ni France 2, ni France 3, ni France 5.
16:07Mais France.tv c'est la plateforme de France Télévisions.
16:11Est-ce que vous diriez la même chose?
16:13Est-ce que le vaisseau amiral ça reste TF1 ou c'est devenu TF1+.
16:17Vraiment nous on n'oppose pas dans le groupe TF1 le linéaire et TF1+.
16:23Ce qui compte pour nous c'est d'avoir la ligne de programme la plus excitante,
16:27la plus événementielle, la plus premium pour rassembler les français
16:31autour d'une offre de divertissement familial et d'information.
16:34Que ça passe par les chaînes et ou par la plateforme de streaming TF1+,
16:40nous ce qui compte c'est que nos programmes trouvent leur audience.
16:48En sachant que ça a un poids publicitaire conséquent,
16:52les résultats donnés hier c'est un chiffre d'affaires qui a progressé de près de 40%.
16:57Donc ça veut dire qu'aujourd'hui rien ne peut se faire,
17:00sans que ça soit validé ou en tous les cas que ça puisse avoir une déclinaison sur TF1+.
17:06On pense vraiment les choses de manière extrêmement globale.
17:10Donc on a une seule ligne de programme qui est pensée pour le linéaire et le digital.
17:14Il se trouve qu'on partage le même cœur de cible,
17:18donc les 15-34 ou les 25-49 ans.
17:21Donc on réfléchit vraiment les choses de manière globale.
17:25Ça c'est sur l'aspect utilisateur et propositions qu'on fait à nos streamers.
17:33Sur l'aspect publicitaire, on a vraiment une vocation à avoir une offre très particulière sur le digital,
17:44puisque le digital permet de nombreuses choses qu'on ne peut pas forcément faire avec le linéaire.
17:50L'année dernière, on s'est lancé.
17:52Ce qui était important, c'était que ça rencontre son public,
17:56que ça soit bien distribué et monétisé.
18:00Aujourd'hui, le TF1+, en 2024, ce 146 millions d'euros de chiffre d'affaires publicitaire sur le digital
18:09a été fait avec une logique proche de ce qu'on fait sur nos chaînes,
18:14c'est-à-dire des spots publicitaires de 20-30 secondes qui sont diffusés avant
18:18et pendant les programmes.
18:20Il se trouve qu'on ne peut pas accélérer.
18:23On est obligé de voir.
18:25Ce qui est d'ailleurs désormais le cas sur les différentes plateformes.
18:29Si vous avez votre Freebox, vous ne pouvez plus avancer la pub.
18:32TF1 a bloqué ça.
18:33Exactement.
18:34Et si on ne veut pas de pub, on peut aussi s'abonner à notre offre sans pub.
18:38Et donc sur le digital, là en 2025, un de nos grands axes de développement,
18:43c'est d'avoir un positionnement publicitaire qui est d'être le meilleur partenaire
18:51pour le marketing digital des marques.
18:53En fait, une marque, quand elle investit en digital,
18:56elle veut suivre l'ensemble de son final de conversion.
19:00Donc c'est créer de la notoriété pour son produit ou son service,
19:04commencer à engager un peu plus une relation avec ses utilisateurs
19:09autour des valeurs de sa marque, de son produit, de son service,
19:12et à la fin, réussir à faire acheter son produit.
19:16Il se trouve que pour le moment, cet aspect conversion,
19:19il a été, comment dire, dominé par le monde du mobile.
19:23Puisque voilà, en un clic, on peut acheter quand on est sur un réseau social ou ailleurs.
19:30Nous, ce qu'on veut faire, c'est vraiment faire un peu le meilleur des deux mondes
19:33entre un écran pour les annonceurs, comme le sont les chaînes linéaires
19:37avec un reach très puissant, donc un nombre d'utilisateurs très puissant,
19:40le fait que ça se passe sur l'écran de la télévision,
19:43puisque 70% de notre usage se fait sur l'écran de la télévision.
19:46Donc ça, ça construit de la notoriété très rapidement,
19:49très puissamment et de manière très qualitative pour une marque.
19:52Mais aussi, demain, de pouvoir proposer, d'acheter ou de prendre rendez-vous
19:58pour essayer une voiture, par exemple, en regardant un spot de manière...
20:02Directement.
20:03Directement, exactement.
20:04Une interaction directe.
20:05Exactement.
20:06On voit la pile sur sa télécommande.
20:07Exactement.
20:08En un clic sur sa...
20:09Ah non ?
20:10Et en un clic...
20:11Alors, c'est pas encore...
20:12Mais vous l'avez fait.
20:13On va le lancer en fin d'année.
20:14Mais l'idée, c'est en un clic sur sa télécommande,
20:17on reçoit un message sur son mobile, par exemple,
20:20pour prendre rendez-vous dans une concession automobile
20:22ou avec un code promo pour aller en magasin.
20:24Enfin, il y a plein de choses qu'on peut imaginer.
20:26Incroyable.
20:27Et donc, voilà.
20:28Donc ça, c'est vraiment notre nouveau positionnement publicitaire pour cette année
20:32avec tout un lot de nouveaux produits publicitaires
20:35pour les agences et les annonceurs.
20:38Et pour ça, c'est pour ça qu'on se définit comme l'alternative premium à YouTube.
20:44C'est-à-dire qu'on a un reach massif, une ligne de programmes premium.
20:50On permet de créer très facilement de la notoriété,
20:53mais on va aussi aller sur une partie vraiment de conversion,
20:57de performance.
20:58D'expérience client derrière.
20:59Voilà.
21:00Et à toutes les étapes de ce funnel pour les annonceurs,
21:03on s'appuie aussi sur 25 millions de profils logués où on a des datas.
21:10Et donc, on peut avoir un ciblage extrêmement précis en fonction de nos objectifs.
21:15Pour résumer ou schématiser pour nos auditeurs et auditrées,
21:18c'est-à-dire que si c'est une ménagère de moins de 50 ans
21:22qui est habituée à tel ou tel ou tel programme,
21:24ça, la data va pouvoir le déterminer.
21:26Et en fonction, elle aura de la publicité que n'aura pas peut-être son mari
21:30qui regardera des magazines de moto ou de voiture ou de bricolage.
21:35C'est exactement ça, mais c'est même la possibilité d'aller plus loin
21:37puisque aujourd'hui, en plus de nos 25 millions de profils
21:40où on a des datas qualifiées,
21:42on a des partenariats avec des acteurs du Retail,
21:45donc par exemple Carrefour,
21:47pour pouvoir dire à un annonceur,
21:49par exemple un annonceur agroalimentaire
21:53qui voudrait savoir qui sont les personnes
21:56qui achètent des produits pour animaux, par exemple, domestiques,
22:00on est capable d'aller cibler cette audience sur TF1+.
22:04C'est impressionnant.
22:06Je voulais faire un peu le bilan.
22:09Évidemment, vous êtes arrivée il y a un an.
22:13Qu'est-ce que vous avez demandé Rodolphe Bellemère
22:16quand il a fait appel à vous pour prendre en main tout ce chantier ?
22:20L'idée, c'était vraiment...
22:23Sachant qu'il avait l'expérience de Canal+,
22:26qui était assez en avance sur ces domaines-là.
22:29De Canal+, et puis de Netflix aussi,
22:31puisqu'il était au bord de Netflix.
22:36L'enjeu, c'était vraiment de déposer l'accélération digitale
22:41qu'on voit massivement sur le marché,
22:44qui se traduit par la connexion des télévisions,
22:48une explosion des usages,
22:51et puis un marché de la publicité vidéo digitale
22:55qui est extrêmement dynamique, très porteur,
22:58qui pèse aujourd'hui déjà 3 milliards.
23:01Là, en 2024, on vient d'avoir les chiffres,
23:03un peu plus de 3 milliards d'euros.
23:05Ça va bientôt être l'équivalent du marché de la publicité
23:08des chaînes linéaires.
23:10Ça veut dire que vous êtes en train de me dire
23:12que TF1+, dans les années à venir,
23:14fera autant de chiffres d'affaires que le linéaire ?
23:17Je n'ai pas dit ça.
23:20Aujourd'hui, on est dans une très bonne dynamique,
23:22mais le chiffre d'affaires du digital
23:24n'est pas dans les mêmes proportions
23:29que celui qu'on fait sur nos chaînes,
23:31qui est au-delà du milliard et demi.
23:33Mais la dynamique est très forte.
23:36L'idée, c'est vraiment de s'installer dans les usages
23:40et de développer une offre publicitaire
23:45la plus pertinente possible pour nos annonceurs,
23:47pour accompagner tout ça.
23:49On comprend bien que l'avenir, c'est effectivement
23:52les plateformes, le digital, la télé augmentée
23:56ou du moins connectée.
23:59Est-ce que vos principaux concurrents aujourd'hui
24:02sur les chaînes digitales, en tous les cas sur le stream,
24:04c'est les plateformes comme YouTube,
24:06plus que les autres ?
24:08Notre principal concurrent, c'est YouTube, en effet.
24:11Pourquoi ? Parce que c'est une offre
24:13qui est gratuite comme nous,
24:15et donc qui a un reach très important,
24:17qui touche beaucoup de gens chaque mois, chaque jour,
24:21et donc qui est un concurrent à la fois sur les usages,
24:24mais aussi sur l'aspect de la monétisation publicitaire.
24:28C'est notre principal concurrent.
24:30Les plateformes par abonnement, on en parlait tout à l'heure,
24:33ont également, depuis quelques mois,
24:35des offres à la fois payantes,
24:37mais financées aussi par la publicité,
24:39mais par nature, ce sont des inventaires
24:42qui sont limités par rapport à nous,
24:45et donc ce ne sont pas vraiment des concurrents
24:47sur l'aspect du digital.
24:49Après, Christine, on peut poser un coup de gueule,
24:51parce que le cœur de YouTube le fait
24:54en utilisant des extraits d'émissions,
24:56en utilisant beaucoup la télévision,
24:58soit en réagissant aux éliminations
25:02de Danse avec les Stars,
25:04ou d'autres programmes sur d'autres chaînes,
25:06il passe d'extraits de joueurs,
25:08il y a des bêtisiers sur la télé-réalité
25:10de W9 et d'M6,
25:12et tout ça, les histoires de droits
25:14et d'utilisation de ces choses
25:16qui ont été financées par les chaînes de télévision
25:18qu'ils ont achetées à des boîtes de prod,
25:20YouTube ne paye rien.
25:22Donc il y a une vraie distorsion.
25:24Je ne sais pas si vous êtes d'accord avec ça,
25:26sur les droits d'auteur, c'est un peu...
25:28Oui, parce que si vous devez une réussite
25:30à TF1+, c'est aussi la qualité,
25:32en tous les cas, que la télé linéaire
25:35rencontre aussi un public et l'intérêt du public.
25:37Le 24 sur 24 de Starac.
25:39Il y a quand même de la production derrière
25:41et c'est quand même de la production
25:43avec des gens qui bossent.
25:45Nous, on n'est clairement pas un hébergeur
25:47comme YouTube.
25:49On est un groupe de médias et une plateforme
25:51et à ce titre, on finance
25:53tous nos contenus
25:55en production, en acquisition,
25:57on fait vivre toute une filière culturelle
25:59française et européenne.
26:01On investit un milliard dans nos contenus,
26:0325% de notre chiffre d'affaires
26:05va vers des oeuvres
26:07européennes et françaises
26:09et donc c'est une approche
26:11qui est complètement différente.
26:13C'est aussi pour ça, d'ailleurs,
26:15qu'on dit qu'on est une alternative premium
26:17à YouTube.
26:19Aujourd'hui, par exemple,
26:21on agrège
26:23des catalogues d'éditeurs tiers.
26:25Par exemple,
26:27on fait nos premiers pas
26:29depuis quelques mois avec Arte,
26:31par exemple, ou l'équipe TV
26:33ou le Figaro TV.
26:35C'est qu'ils puissent bénéficier
26:37de l'écran qui est TF1+,
26:39très bien distribué sur tous les
26:41écrans télé avec l'expérience qui est la nôtre
26:43et notre capacité
26:45à monétiser nos inventaires
26:47de manière aussi premium
26:49puisque les prix
26:51de nos inventaires sont supérieurs
26:53à ceux qui sont sur YouTube
26:55parce que nous sommes sur
26:57grand écran, ce sont des contenus premium,
26:59il y a une qualité
27:01de l'attention à la publicité
27:03qui est bien meilleure que celle
27:05qu'on peut trouver sur YouTube
27:07et donc tout ça fait qu'on pratique
27:09des prix qui sont différents
27:11et les éditeurs tiers
27:13sont aussi intéressés
27:15par cet aspect-là.
27:17On continue de parler de tout ça
27:19sur TF1+.
27:21On continue de parler avec notre invité
27:23Claire Basigny
27:25sur le streaming
27:27TF1+,
27:29qui cartonne et on essaie de comprendre
27:31la solution et vers quoi vous allez aller
27:33en 2025 et en 2026.
27:35Quels sont les projets ?
27:47On continue notre discussion
27:49avec notre invité Claire Basigny, directrice générale
27:51du B2C, du groupe TF1.
27:53En gros, vous gérez
27:55vous dirigez cette plateforme
27:57TF1+. On a parlé
27:59du succès,
28:01de ce qui avait marché
28:03en 2025 et après.
28:05C'est cap sur l'international, vous dites ?
28:07Un axe
28:09fort de développement, c'est en effet le fait
28:11de déployer TF1+, dans l'espace francophone.
28:13On se dit qu'il y a une vraie communauté
28:15culturelle. On avait notamment
28:17depuis longtemps des demandes
28:19très fortes de la Belgique,
28:21de la Suisse, du Luxembourg, mais aussi de l'Afrique
28:23pour proposer nos programmes
28:25et ces choses faites
28:27avec TF1+. Donc on s'est lancé
28:29il y a quelques mois en Belgique,
28:31au Luxembourg et en Suisse.
28:33On touche une communauté
28:35d'à peu près 11 millions de
28:37francophones avec l'app TF1+,
28:39sur les écrans télé.
28:41Et là, le gros axe de développement
28:43pour cette année, c'est de se déployer
28:45au Maghreb et en Afrique subsaharienne
28:47francophone. On se parle là d'une population
28:49de 250 millions
28:51de personnes francophones.
28:53Et puis après, plus largement, c'est vrai
28:55qu'aujourd'hui, j'en parlais tout à l'heure,
28:57les télévisions connectées ouvrent un champ des possibles
28:59qui est incroyable et on va pouvoir
29:01toucher dans le monde entier
29:03les gens qui parlent
29:05le français bientôt.
29:07Donc ça, c'est pas sur la feuille de route 2025
29:09mais c'est quelque chose qu'on pourrait
29:11beaucoup faire.
29:13Quelle est la part entre le cinéma et les films
29:15et les programmes de TF1 qui sont regardés
29:17sur la plateforme ? Est-ce qu'on vient regarder
29:19du cinéma chez vous ?
29:21Est-ce qu'on vient regarder des séries sur TF1+, ?
29:23Sur notre offre,
29:25on a 250 films
29:27à chaque instant,
29:29des grands films français et internationaux
29:31et on a plus de 300 séries
29:33disponibles en intégralité
29:35de la fiction française, bien sûr,
29:37sur laquelle on est archi-leader
29:39et de la fiction étrangère.
29:41Aujourd'hui, notre offre de fiction,
29:43c'est vraiment notre
29:45grande force
29:47et différenciation.
29:49On a bien sûr HPI
29:51qui est un carton phénoménal
29:53mais il y a aussi nos 3 séries quotidiennes
29:55qui font vraiment notre différence.
29:57On est les seuls à avoir cette offre
29:59où tous les jours, on a nos 3 séries.
30:01Ça marche, Demain nous appartient
30:03sur TF1+.
30:05Ça cartonne.
30:07Les 3, Demain nous appartient,
30:09Plus belle la vie, bien sûr,
30:11ici tout commence, c'est un très gros
30:13vecteur de croissance.
30:15Parce qu'en fait,
30:17la logique de rendez-vous
30:19est très forte.
30:21Donc ça, ce sont vraiment
30:23nos piliers, nos 3 séries quotidiennes
30:25et puis évidemment,
30:27tout notre line-up de fiction
30:29française et étrangère
30:31marche très très fort.
30:33C'est vraiment le très gros de nos usages.
30:35Et la partie magazine, info, etc.
30:37On voit que c'est tout de suite mis en avant
30:39aussi les rendez-vous d'informations.
30:41Oui, parce que ça fait vraiment partie
30:43de l'ADN du groupe TF1, bien sûr.
30:45On a notre offre
30:47de JT
30:49qu'on met en avant au moment
30:51du live.
30:53Et puis on a aussi tous les reportages.
30:55Oui, alors on a
30:57une offre spécifique qui s'appelle
30:59Top Info, qui est
31:01un format qu'on travaille avec la
31:03rédaction de TF1
31:05pour avoir
31:07un format qui soit très adapté au digital.
31:09Donc c'est 5-6 minutes,
31:113 à 4 sujets tous les jours
31:13qui sont traités dans ce format-là
31:15et qu'on met très en avant
31:17et qui rencontrent vraiment son public.
31:19Et puis par ailleurs, on a toute notre offre
31:21de grands reportages,
31:23de documentaires,
31:25d'actualités
31:27qui est très conséquente
31:29et sur laquelle
31:31on met aussi
31:33le poids du corps.
31:35Vous avez diffusé,
31:37alors donc l'Astarax a resté en linéaire
31:39et désormais
31:41vous avez, ils suivent
31:43la suite de l'Astarax.
31:45Ce qui se passe dans les coulisses, c'est dans la préparation de la tournée.
31:47Beaucoup de gens reprochent que ça soit
31:49payant en disant
31:51que c'est un programme pour jeunes. C'est dommage
31:53que TF1 Plus fasse
31:55payer. Les jeunes n'ont pas forcément
31:57autant d'argent que papa-maman.
31:59C'est une vraie...
32:01C'est pour que ça...
32:03En gros, est-ce que vous allez l'ouvrir gratuitement ?
32:05Alors, c'est pas payant.
32:07Non. En fait,
32:09pour ceux qui ont l'offre
32:11premium d'abonnement,
32:13ils ont ce format en avant-première.
32:15Donc,
32:17une journée avant
32:19ceux qui
32:21ont accès gratuitement au contenu.
32:23Mais tout est accessible
32:25gratuitement sur TF1 Plus.
32:27En fait, l'offre qu'on a par abonnement,
32:29c'est pour une toute petite partie
32:31de nos streamers
32:33qui ne valent pas de publicité.
32:35Et il se trouve que sur certains contenus,
32:37on a une logique d'avant-première.
32:39Mais tout est accessible
32:41gratuitement, en parallèle.
32:43Est-ce que quand on fabrique désormais un programme,
32:45on pense forcément
32:47plateforme digitale dans la façon de concevoir,
32:49le séquençage,
32:51le rythme de l'émission ?
32:53Oui, complètement.
32:55Tout est pensé.
32:59Le programme dans sa conception,
33:01sa programmation. Et puis, on essaye
33:03autour de nos grandes marques antennes
33:05d'avoir des exclusivités,
33:07proposer sur le digital
33:09plus de choses que ce qu'on peut trouver sur le linéaire.
33:11Puisque nous, par définition, on n'a pas
33:13les contraintes de la programmation linéaire.
33:15On peut avoir une offre qui est beaucoup plus développée.
33:17On parlait de la Starac.
33:19Sur la plateforme
33:21TF1 Plus, on a
33:23évidemment le Prime
33:25hebdomadaire. On a
33:27la quotidienne de la Starac.
33:29Tout ça, gratuitement.
33:31On a l'interview du sortant.
33:33On a eu, parce que c'est terminé,
33:35avec Alix Grousset, en exclusivité.
33:37On a la chaîne
33:39live de la Starac.
33:41Pour les suivre toute la journée.
33:43Alors là, qui était accessible moyennant
33:45l'abonnement.
33:47Et puis, on a toute une logique
33:49d'interactivité pour envoyer
33:51des messages aux candidats,
33:53des sondages.
33:55Qui est vraiment propre à TF1 Plus.
33:57Et là, en ce moment, ce soir,
33:59il y a Danse avec les Stars.
34:01Et là aussi, vous avez des opérations spéciales
34:03avec cette marque.
34:05Il y a Cherchez une danseuse, c'est ça ?
34:07Exactement.
34:09D'accord, très bien.
34:11Moi, je voulais parler de sport. Le rugby.
34:13Ah non !
34:15La radio du rugby, mais en même temps, TF1
34:17également très engagé avec le rugby.
34:19Est-ce que l'offre sport fonctionne ?
34:21Est-ce que c'est adapté ?
34:23En général, on aime
34:25regarder l'instant T.
34:27Vive l'émotion. Mais visiblement,
34:29il y a des clients pour revoir en replay,
34:31par exemple.
34:33Autour des grands événements sportifs
34:35qui nous sont chers, à la fois sur les antennes
34:37et sur le digital, évidemment
34:39que la consommation live
34:41est
34:43auprès de réacteurs. Et il se trouve
34:45que sur TF1 Plus, on a aussi
34:47le live
34:49qui est disponible.
34:51Et par ailleurs, on a développé
34:53une fonctionnalité qui s'appelle Top Chrono
34:55qui permet
34:57à la fin d'une compétition,
34:59en temps réel,
35:01de créer un résumé sur mesure
35:03de la compétition.
35:05L'idée, c'est que l'utilisateur
35:07puisse choisir la durée de ce résumé.
35:09Aujourd'hui, on n'a pas encore
35:11réussi à faire ça. On propose 5, 10
35:13ou 15 minutes.
35:15Si vous avez raté le match de rugby de la Coupe du Monde,
35:17juste après, vous pouvez créer
35:19ce résumé sur TF1 Plus.
35:21Et ça, ça marche très fort.
35:23Mais dites-moi, c'est infini les possibilités ?
35:25C'est ça qui est génial.
35:27On peut vraiment,
35:29à partir d'une ligne de programme,
35:31enrichir tout ça avec des fonctionnalités
35:33qui permettent
35:35de s'adapter à chacun
35:37en fonction des besoins.
35:39Aujourd'hui, c'est la Saint-Valentin.
35:41Vous avez également un autre système qui s'appelle
35:43TF1 Plus Synchro. C'est quoi pour nos auditeurs ?
35:45Synchro, c'est un moteur
35:47de recommandation qui est pensé
35:49pour un groupe.
35:51Et ça, c'est une innovation mondiale
35:53puisqu'en fait, quand on a lancé
35:55TF1 Plus, on s'est dit
35:57quels sont aujourd'hui les besoins qui sont
35:59pas bien couverts ou pas couverts
36:01et qu'on peut adresser. Et on s'est rendu compte
36:03que le sujet du temps passé pour trouver
36:05le bon contenu, c'était un énorme
36:07point
36:09négatif,
36:11y compris sur les plateformes
36:13payantes, puisque en moyenne, les gens
36:15passent 30 minutes à trouver
36:17le bon contenu et cette durée
36:19est particulièrement longue quand on est plusieurs.
36:21Il se trouve que nous, chez TF1,
36:23on est vraiment dans une logique d'écoute conjointe
36:25puisque nos programmes sont pensés pour être regardés
36:27à plusieurs, en famille, avec des amis.
36:29Et donc, on s'est dit, c'est hyper important
36:31qu'on travaille là-dessus et on a travaillé pendant
36:33plusieurs mois avec une cinquantaine
36:35d'ingénieurs, de spécialistes data
36:37et d'intelligence artificielle pour mettre au point
36:39ce moteur de recommandation
36:41qui vraiment, en deux clics, vous dites
36:43qui est devant l'écran, va vous pousser
36:45des recommandations qui sont adaptées
36:47à ce groupe de personnes et puis évidemment, plus on l'utilise,
36:49plus c'est personnalisé. Et donc là,
36:51on le met en lumière avec la Saint-Valentin
36:53où, en fait,
36:55on dit, en fonction de qui est votre
36:57plus-saint, on va vous proposer
36:59les bons contenus à regarder en duo.
37:01Et bien voilà.
37:03On aurait pu continuer encore comme ça parce qu'il y a tellement de choses
37:05à raconter. En tous les cas, on était ravis de vous avoir.
37:07Merci pour les deux ans et bravo.
37:09Félicitations TF1+.
37:11Merci beaucoup Claire Bazigny.
37:13Et si vous avez
37:15la télé connectée à la maison,
37:17effectivement, on peut s'abonner et c'est assez facile.
37:19On peut tout revoir.
37:21Je voulais vous remercier, Christine, pour cette semaine qu'on a passée ensemble.
37:23Comme d'habitude, la route du kif,
37:25vous êtes ma valentine de la semaine.
37:27C'est adorable, merci mon cher.
37:29Lundi, ça sera...
37:31Patrick Roger, ça sera...
37:33Et Valérie revient mardi.
37:35On va vous quitter, Claire.
37:37On va vous laisser.
37:39On est pas très loin des locaux,
37:41donc on va vous laisser retourner
37:43à TF1 et dans un instant,
37:45on va tenter de se mettre d'accord
37:47sur le sujet d'actualité jusqu'à midi.
37:49À tout de suite.