DB - 14-12-2023
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TVTranscription
00:00 (musique)
00:23 (bruit de voiture)
00:50 Passez-moi la gerbe.
00:53 Merci.
00:55 (bruit de pas)
01:24 (bruit de pas)
01:39 Nous sommes venus saluer Madame de Léonard.
01:42 Elle est dans sa bibliothèque.
01:44 Voulez-vous prévenir ?
01:45 Ah mais non.
01:46 Vous ne voulez pas prévenir ?
01:48 J'ai fait mes paquets, je préfère quitter.
01:52 Avec tout ce qui se passe dans cette sale maison,
01:54 il ne faut pas s'étonner que ça tourne mal.
01:56 Vous croyez au pire ?
01:58 Monsieur de Léonard, c'était un homme qui avait perdu sa santé.
02:01 De toute façon, il ne pouvait plus durer bien longtemps.
02:15 Monsieur de Léonard n'était pas dans sa chambre.
02:18 Il se trouvait ici même, dans cette pièce qu'on nomme la bibliothèque.
02:25 Vous lui avez dit "Qu'est-ce que tu fais là ?"
02:27 Il a répondu "Bonsoir, votre coucher."
02:30 Il était minuit quinze, vous ne deviez plus le revoir.
02:33 Pourquoi dites-vous ça ?
02:36 Parce que jusqu'à présent, on ne l'a pas retrouvé.
02:38 Vous l'avez cherché ?
02:41 D'abord, l'enquête.
02:44 Vous avez pris un calmant.
02:47 Vous vous êtes recouché et vous avez dormi profondément.
02:51 Les mauvaises forces s'étaient éloignées.
02:53 Je ne comprends pas l'anglais.
02:56 Bon.
02:58 Le lendemain matin, aujourd'hui même, vous constatez la disparition.
03:05 On est d'accord ?
03:06 Tout à fait d'accord.
03:09 C'est très bien.
03:21 Si vous êtes toujours sans nouvelles du disparu,
03:24 je trouverai quelques volontaires pour fouiller les environs.
03:28 On fera la battue.
03:33 Il est mort ! Mort ! Mort !
03:36 Non, la mort, Madame, ça se constate.
03:45 Mais on a pas parlé.
03:47 Alors, bon courage.
03:48 Mais, mais...
03:49 Et j'espère encore que tout s'arrange.
03:55 Un conseil, apprenez l'anglais.
04:03 Vous êtes prêt ?
04:15 Je vais ouvrir la porte, lieutenant.
04:40 Permettez-moi, ma chère amie, en ces heures tragiques
04:42 dont nous ressentons comme vous toute la tristesse,
04:44 de vous apporter le témoignage de notre amitié vigilante.
04:47 Je parle en mon nom et au nom de mes collaborateurs immédiats
04:50 qui ont tenu à m'accompagner,
04:51 et aussi de former des voeux pour que le pire soit évité.
04:55 Mais la présence à vos côtés du lieutenant Falampain,
04:57 dont nous connaissons, pour l'avoir apprécié en bien des occasions,
05:00 l'efficacité et aussi le dévouement,
05:03 reste pour nous le plus surgarant d'un succès total
05:06 dans cette pénible recherche.
05:08 Aussi, ma chère amie, ces quelques fleurs,
05:10 nous les avons choisis nous-mêmes de couleur vive
05:13 pour bien vous montrer qu'elles ne s'adressent pas à une veuve.
05:18 Je vous en prie.
05:20 Merci, maître.
05:21 C'est tout naturel, voyez.
05:28 Merci beaucoup.
05:34 Excusez-moi.
05:40 Mine, la chère mine.
06:09 Vous êtes un parent ?
06:13 Un ami de la famille.
06:17 Je suis le notaire.
06:20 Je le savais.
06:24 Veillez bien sur elle, la pauvre petite femme.
06:28 Vous pouvez me faire confiance.
06:42 Alors, comment ça va, lieutenant ?
06:45 Tout à fait entre nous, il n'y a plus d'espoir.
06:48 C'était la banqueroute.
06:50 Alors le pauvre homme s'est... paf !
06:52 Il a sauté, quoi.
06:54 Ce n'est pas mon point de vue.
06:57 Le pauvre homme-là a eu un malaise.
06:59 Il est sorti pour respirer.
07:01 Une suffocation.
07:03 Il est tombé.
07:04 Oui, mais vous l'auriez retrouvé ?
07:06 Il a pu rouler.
07:07 Loin.
07:08 Dans un trou.
07:10 Ou derrière un buisson.
07:12 Ce n'est pas très vraisemblable, ce que vous me dites là.
07:23 Je n'ai pas l'air très à votre aise, Charles-Auguste Beauvalais.
07:26 J'avais beaucoup d'estime pour M. Lillard.
07:31 C'est amusant.
07:33 Moi, tout de même, à votre place, je m'arrangerais pour filer à l'anglaise.
07:37 Ce serait plus délicat.
07:39 Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
07:42 Voyez-vous, ma chère amie, il ne faut jamais dramatiser.
07:46 Et à la réflexion, je regrette un peu notre visite,
07:48 dans le moins qu'on puisse dire qu'elle se trouve prématurée.
07:52 Mon cher maître, il faut le reconnaître.
07:54 Nous sommes dans l'expectative.
07:57 C'est un mauvais moment à passer.
07:59 Que chacun en profite.
08:02 Puis-je vous offrir un cigare ?
08:04 Il est mort ! Mort !
08:07 Voyons, chérie, vous exagérez les choses.
08:14 Nous sommes tous ici convaincus que M. Denis est pas bien loin.
08:17 Sortez. Sortez tous. Je veux rester seule.
08:20 Ah bon ?
08:22 Seule.
08:24 Avec lui.
08:29 Qui ça ?
08:34 Avec moi ?
08:36 Lui. Reste.
08:39 Les autres sortent.
08:50 Vous connaissez son caractère.
08:53 Elle ne supporte pas la contradiction.
08:55 Ah oui ?
09:00 Je vous accompagne.
09:02 Permettez, permettez, je veux bien m'en aller, mais...
09:05 Tout de même...
09:12 Cher jeune homme, votre heure va bientôt sonner.
09:17 Alors on s'en va comme ça, sans rien dire, même pas au revoir, rien.
09:21 Ce sont les façons d'une grande dame.
09:24 Eh bien moi je trouve ça cavalier.
09:27 Bon, alors qu'est-ce que vous faites, Beauvalais ?
09:29 Vous restez ?
09:30 Bien sûr. Je reste.
09:33 Et vous en avez pour longtemps ?
09:35 Parce que nous sommes en taxi et le compteur tourne.
09:38 Il est inutile de l'attendre, maître couturier.
09:43 Je ne suis pas collé monté,
09:45 mais tout de même, la nuit tombe...
09:48 Je vous tiens la porte.
09:52 Bonsoir, maître.
10:05 [Musique]
10:34 [Musique]
10:50 Vous avez tué cette nuit, monsieur de Beauvalais.
10:54 J'avais compris.
10:57 Alors ?
10:59 La main gantée qui tenait le revolver, c'était lui.
11:03 Je n'aurais jamais cru capable d'une chose pareille.
11:06 Après ?
11:09 Eh bien, madame, je dirais, si vous le permettez, que je me suis défendu.
11:12 C'était légitime.
11:15 Et ensuite ?
11:20 Je considère la mort de monsieur de Beauvalais comme un accident malheureux.
11:28 Regrettable.
11:38 Vous n'avez pas froid ?
11:41 Je suis sans doute trop éveillé.
11:46 Je vais demander qu'on allume du feu.
11:49 Dans la cheminée ?
11:51 Bien sûr, dans la cheminée.
12:01 Madame Gabrielle ne viendra pas.
12:04 Pourquoi ?
12:05 Parce qu'elle est partie.
12:09 La servante est partie, mon mari est mort, mes amis se sont éloignés et le gendarme n'est plus en service.
12:16 Mais vous êtes là.
12:18 Vous l'avez voulu ?
12:20 Seuls, tous les deux, dans ce grand château désert.
12:46 Les nuits sont longues.
12:51 Vous voulez que je vous tienne compagnie ?
12:53 Je ne demande rien, j'exige.
12:55 Soit.
13:07 Vous êtes un garçon décidé.
13:09 J'aime ça.
13:11 Je ne comprends pas très bien.
13:13 Je m'étais mis dans l'idée que je ne vous étais pas très sympathique.
13:16 La sympathie ?
13:19 Qu'est-ce que c'est que ça la sympathie ?
13:22 Je ne connais pas les sentiments mais les passions.
13:26 Haine ou amour.
13:29 Si je dois choisir.
13:30 Vous n'avez pas à choisir.
13:35 Quoi qu'il en soit, vous êtes une très belle femme.
13:39 Je l'ai été jadis.
13:42 A 20 ans j'étais vraiment charmante.
13:46 Mais le temps fatigue.
13:48 Les femmes médiums vieillissent très vite.
13:53 Vous voulez boire ?
13:54 De l'alcool.
13:56 Quand je ferais boire c'est de l'alcool.
14:03 Vous êtes très près de moi.
14:07 Vous avez toujours été très près de moi.
14:11 Vous êtes un être pur, un être clair.
14:16 Un être généreux.
14:28 Je n'aimais pas mon mari.
14:30 Voilà, je comprends tout.
14:32 Tout s'explique.
14:34 Je ne l'ai jamais aimé.
14:37 Elle ne peut pas être comme moi.
14:40 Elle doit obéir à des forces.
14:43 Je ne l'ai jamais su.
14:47 Qu'en pense Poinceau ?
14:54 Poinceau est un être dépravé intellectuellement.
14:59 Et psychiquement très inférieur.
15:02 Je croyais qu'il existait entre vous une sorte de complicité.
15:05 Très bien, laquelle ?
15:07 Qui a remis à Poinceau la valise de Barbara ?
15:10 Et la photo ? La photo de Barbara ?
15:12 Barbara Anne Price.
15:14 Price était d'ici, un ami de la famille.
15:17 Répondez.
15:23 Je parlerai tout à l'heure.
15:25 Non, maintenant !
15:30 Je ne veux pas parler.
15:37 Si tu veux connaître la vérité,
15:40 va t'asseoir au bureau,
15:42 prends la place de M. Price et ouvre son tiroir.
15:59 Des outils pour graver dans la pierre.
16:02 Ceux de l'église sont servis pour inscrire des noms.
16:06 Rien ne le prouve.
16:10 Voyons, ce n'est pas un travail de femme.
16:15 Regarde mes mains, elles sont fines.
16:19 Regarde mon bras, il est sans force.
16:23 Je suis revenu au château la nuit dernière pour visiter la chapelle.
16:26 Je savais qu'il fallait s'agenouiller devant le prieux pour être entendu.
16:29 Où avais-je trouvé ce renseignement ? Dans la chambre de Poinceau.
16:32 Poinceau connaissait le secret de la chapelle. Comment ? Par qui ?
16:35 Je ne sais rien, tu m'ennuies.
16:36 Qui est-ce qui frappait contre la descente du paratonnerre ?
16:38 M. de Léonard, d'une main, de l'autre il tenait son revolver.
16:40 Je ne vous crois pas et j'ai mieux vous prévenir que ça ne va pas se passer comme ça.
16:42 J'ai hâte, il s'écoute ! Quelqu'un m'appelle !
16:44 Ça va maintenant, finis l'histoire, on s'explique.
16:47 Ne me touche pas, malheureux.
16:49 Tu ne vois pas que je m'endors ?
16:52 Surtout, ne cherche pas à me réveiller, tu peux me tuer.
16:56 Prends garde seulement à ce que je ne prenne pas froid.
16:59 J'ai parfois des gestes désordonnés pendant mon sommeil.
17:02 Mais enfin, qui est Gustave ?
17:06 Qui est Gustave ?
17:08 Il y a ici quelqu'un qui pense à Gustave ?
17:10 Mina, m'entendez-vous ?
17:12 Je ne suis plus rien.
17:15 Une autre est là.
17:17 Ne cherche pas à savoir.
17:19 Qui a décidé ma mort ?
17:21 Qui a organisé l'attentat de la cave ?
17:23 Répondez ! Répondez !
17:26 Tu vas connaître la vérité.
17:29 La lumière ! Dans le noir, je ne sais plus, je ne sais rien.
17:33 Lumière.
17:45 Je ne peux plus.
17:47 Je m'ennuie.
17:58 Je suis toute seule.
18:00 Il n'y a pas de téléphone.
18:02 La rivière de mon enfance.
18:05 Qui êtes-vous ?
18:07 On m'appelle Barbara.
18:09 Je suis une jeune fille très malheureuse.
18:12 Barbara, où êtes-vous ?
18:14 Dans une villa à la campagne.
18:16 Ce n'est pas une villa, c'est une ferme.
18:19 Une ferme qu'on appelle la Villa Rose.
18:23 Chemin du Riu.
18:26 Après le carrefour du Cadran.
18:28 La Villa Rose.
18:30 C'est là.
18:32 Lumière !
18:34 Lumière !
18:37 Lumière !
18:40 Lumière.
18:43 Lumière.
18:46 Lumière.
18:49 Lumière.
18:52 Lumière.
18:54 Lumière.
18:56 Lumière.
18:58 Lumière.
19:00 Lumière.
19:03 Non.
19:06 Non.
19:09 Non.
19:12 Non.
19:15 Non.
19:18 Non.
19:20 <i>Apparences inaudibles</i>
19:48 <i>Apparences inaudibles</i>
19:50 <i>Apparences inaudibles</i>
19:52 <i>Apparences inaudibles</i>
19:54 <i>Apparences inaudibles</i>
19:56 <i>Apparences inaudibles</i>
19:58 <i>Apparences inaudibles</i>
20:00 <i>Apparences inaudibles</i>
20:02 <i>Apparences inaudibles</i>
20:04 <i>Apparences inaudibles</i>
20:06 <i>Apparences inaudibles</i>
20:08 <i>Apparences inaudibles</i>
20:10 <i>Apparences inaudibles</i>
20:13 <i>Apparences inaudibles</i>
20:41 Donne le papier que tu as dans ta poche.
20:43 Donne !
20:45 J'attends.
20:47 Cinq personnes au moins,
20:51 dont un notaire et un officier de gendarmerie,
20:53 peuvent témoigner que je suis resté cette nuit avec Madame de L'Espagne.
20:55 Si on ne me voit pas revenir, la police bougera.
20:57 Vous allez mettre Madame de L'Espagne dans un bien mauvais cas.
21:01 Réfléchissez.
21:03 Madame de L'Espagne, excusez-moi,
21:05 je préfère ne pas connaître.
21:07 Donne ton papier !
21:10 <i>Papier</i>
21:12 Vous ne savez pas lire ?
21:23 C'est une adresse qui est marquée dessus ?
21:26 Oui.
21:27 Une adresse de qui ?
21:28 Une adresse dont j'ai besoin.
21:30 De qui ?
21:32 Barbara.
21:34 Cette petite brune qui fait l'artiste au théâtre ?
21:37 Oui.
21:38 Je l'ai déjà vue.
21:40 Ça ne m'intéresse pas.
21:42 Alors, je peux m'en aller ?
21:46 Puisque je te le dis.
21:48 Vous étiez plus aimable la dernière fois.
21:52 Fils ! Je pourrais me fâcher !
21:55 <i>Voix de l'interprète</i>
21:59 <i>Voix de l'interprète</i>
22:03 <i>Voix de l'interprète</i>
22:07 <i>Voix de l'interprète</i>
22:11 <i>Voix de l'interprète</i>
22:38 Regardez le spectacle.
22:40 Les hommes de bonne volonté se sont formés en ligne de patrouille.
22:44 Voulez-vous voir ça ? Je vous prête mes jumelles.
22:47 On rentre ?
22:58 Pas pour l'instant, ma chérie.
23:00 Ça ne serait pas convenable.
23:02 Tout de même, c'est votre mari qui cherche comme ça sous les feuilles.
23:06 <i>Voix de l'interprète</i>
23:09 Dites-moi un peu, il est toujours dans sa cheminée, bien caché, bien enfermé ?
23:15 Il peut ouvrir et sortir.
23:19 Vous l'avez prévenu.
23:21 Vous lui avez expliqué qu'il était mort. J'espère qu'il a compris.
23:24 Il est capable de se mettre à la fenêtre pour prendre l'air.
23:28 Ça serait en effet déplorable.
23:30 On va voir.
23:31 Vous connaissez les lois françaises d'Elda ?
23:38 Je ne sais pas lesquelles.
23:40 Une femme qui ne retrouve plus son mari.
23:44 Qu'est-ce que c'est ?
23:46 Il faut distinguer.
23:47 Si le mari est parti sans laisser d'adresse,
23:49 la femme est à plaindre parce qu'elle est abandonnée.
23:52 Si la femme a enfermé son mari,
23:54 c'est le mari qui est à plaindre parce qu'il va s'ennuyer.
23:57 Et après ?
23:59 Après, ça se complique un peu.
24:01 Forcément.
24:02 Si le mari demeure absent dans son armoire ou sa cheminée,
24:06 l'épouse légitime se trouve vite dans une situation fausse.
24:10 Pourquoi ?
24:11 Parce qu'elle n'est plus femme, elle n'est pas veuve non plus.
24:14 C'était ne rien du tout.
24:16 Mais alors, qu'est-ce que je dois faire ?
24:18 Vous êtes machamina condamné à l'expectative.
24:21 D'autre part, j'essaierai d'en sortir.
24:23 Je dois vous prévenir, ça peut durer des ans.
24:25 Attention, le gendarme.
24:28 Bonne nuit.
24:29 Où en êtes-vous, lieutenant ?
24:40 Vous avez trouvé quelque chose ?
24:41 Un bout de vêtement ? Une trace ?
24:43 Rien.
24:44 Tant mieux.
24:45 Pas de nouvelles bonnes nouvelles, comme on dit.
24:48 Puis-je vous aider ?
24:50 Restez près de madame.
24:52 Elle a besoin de conversation.
24:54 Je l'avais compris.
24:55 Ma place est auprès d'elle.
24:56 Et pendant des heures d'angoisse,
24:58 la pauvre chère créature devient folle d'inquiétude.
25:01 Lieutenant.
25:02 Madame.
25:03 Vous n'avez plus d'espoir ?
25:10 Si, bien sûr.
25:12 Il y a encore la rivière.
25:14 Dans la rivière ?
25:17 C'est toujours par là qu'on termine.
25:19 Mais s'il est dans la rivière, vous n'avez plus d'espoir.
25:22 Enfin, j'ai l'espoir de le retrouver.
25:25 On le croit mort.
25:27 J'ai vraiment très peur qu'il ne s'en remette jamais complètement.
25:33 Pour tout dire, ma chérie, ce sont là des circonstances exceptionnelles.
25:37 L'occasion est favorable.
25:39 Nous aurions tort sans doute de ne pas en profiter.
25:42 Je suis prête à tout.
25:46 A tout.
25:48 Je suis prête à tout.
25:50 A tout.
25:52 A tout.
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26:35 Sous-titrage MFP.
26:38 Sous-titrage MFP.
26:41 Sous-titrage MFP.
26:44 *musique*
26:46 *Bruit de l'espace*