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NewsTranscription
00:00Les vraies voix Sud Radio, le code projecteur des vraies voix.
00:04Ok les politiques, nous autres les français, on veut bien se faire taper sur les doigts
00:09parce qu'on serait trop absents au travail.
00:11Mais vous, les politiques, vous allez en faire des efforts.
00:14Il n'a voté qu'une seule fois, François.
00:17Donc on a 2000 votes au cours de la semaine que va durer l'examen de la loi.
00:21La Macronie et les amis de M. Wauquiez, les députés républicains, sont en train de saboter le budget.
00:26Ils ne sont pas là.
00:27Nous ici, on vote n'importe quand.
00:29Du coup, ça fait des votes sur des amendements importants qui se passent au milieu de la nuit.
00:33Donc les gens ne comprennent pas. En plus, ça n'a pas de sens.
00:35C'est vrai que ça n'a pas de sens.
00:36Pour rappel, Hollande touche dans les 15 000 euros par mois
00:39entre ses différentes retraites et son job de député.
00:44Et François Hollande, un député peu assis depuis son élection à l'Assemblée nationale,
00:48l'ancien chef de l'État, n'a voté qu'une seule fois en trois mois et demi.
00:51À l'Assemblée, comme au Parlement européen,
00:54les images de votes par des hémicycles quasi-vides provoquent souvent des consternations.
00:58Alors, parlons vrai. Est-ce que l'absentéisme est un des carburants de l'anti-parlementarisme ?
01:03Est-ce que, finalement, la fin du cumul des mandats n'a pas apporté les résultats espérés en termes de présence ?
01:09Et à cette question, faut-il imposer un nom minimal de vote aux parlementaires ?
01:14Vous dites oui. À 93%, vous voulez réagir le 0826 300 300.
01:19Exceptionnellement, je vais commencer par François.
01:21Parce que vous avez râlé, vous, sur les réseaux sociaux.
01:23J'ai râlé beaucoup. Pourtant, François Hollande est quelqu'un que j'aime beaucoup.
01:27Mais j'aimerais bien qu'il s'occupe plus du combat parlementaire et du combat sur le budget.
01:33D'ailleurs, hier, peut-être qu'il nous a entendus, parce qu'on a été assez nombreux à râler,
01:37il est intervenu, comme par émirat. C'est la première fois hier qu'il est intervenu pour parler...
01:40C'est l'effet vrai-voix.
01:41C'est l'effet vrai... Enfin, en tout cas, c'est l'effet...
01:43Action-réaction.
01:44Action-réaction. Il dit, mais qu'est-ce qu'il a encore m'emmerdé, là, de quoi ?
01:47On était assez nombreux à dire, écoutez, c'est pas possible, c'est le primus inter pares.
01:51C'est quand même le premier d'entre nous. Et c'est donc à lui de donner l'exemple.
01:54Il a complètement déserté l'hémicycle.
01:56Je voudrais qu'il fasse ça plutôt que de s'occuper du Parti Socialiste.
01:59J'aimerais bien qu'on ne pense pas, à un moment donné, que François Hollande,
02:01ses cinq ans d'Élysée n'ont été qu'une parenthèse sur son job préféré premier secrétaire.
02:05Qu'il foute la paix aux gens qui gèrent le Parti Socialiste, qu'il laisse les choses se dérouler.
02:10Il y en a marre de ça. Je préférerais l'entendre, parce que quand il intervient, il est extraordinairement intelligent.
02:15De là à être comme un mini tyran de Philippe David, dont on peut remercier chaque jour le ciel,
02:22qu'il ne soit jamais aux commandes d'un pays, parce que lui, c'est tout de suite l'âche-lague.
02:26On punit, on expulse, etc. Est-ce qu'on doit...
02:30On ferait deux.
02:32Mais d'abord, je termine juste pour dire que, sur ce que touche François Hollande, pardonnez-moi,
02:39je ne sais pas qu'est-ce que raconte cette journaliste, mais on sait que c'est écrété, à un moment donné,
02:42tout ce qu'on nulle pas. Vous ne pouvez pas cumuler...
02:45Il y a un maxi.
02:46Mais ce n'est pas une question d'argent, c'est une question d'engagement.
02:49C'est une question de principe. OK, il n'a pas voté. De là à sanctionner, je trouve ça assez très compliqué.
02:55Comment vous allez séparer le bon grain de livret, je ne sais pas comment vous allez faire.
02:58Mais par contre, François Hollande, si tu nous entends, s'il te plaît, ressaisis-toi.
03:02Tu portes l'imam.
03:05Non, mais je comprends qu'on puisse évidemment dénoncer l'absentéisme politique,
03:12même si Frédéric l'a un peu dit tout à l'heure, il ne travaille pas que dans l'hémicycle.
03:17Il y a des choses qui se déroulent, qui montrent leur responsabilité.
03:22Mais je finis en rejoignant François, on ne va pas faire de l'univers politique
03:28une immense école maternelle où on tapera sur les doigts ou sur les têtes.
03:33Non, il faut peut-être trouver un système qui fasse prendre conscience aux politiques
03:38de leurs devoirs, de leurs responsabilités.
03:41Pour François Hollande, c'est fait pendant quelques temps.
03:45Pour les autres, il faut peut-être...
03:47Les claquer.
03:49Souvenez-vous, au début du premier quinquennat d'Emmanuel Macron,
03:54il y avait à l'Assemblée nationale des votes à 11h, à minuit, à 1h du matin.
03:59Il y avait 5 personnes. A quoi ça sert en fait ?
04:01Non, excusez-moi Cécile, pour avoir suivi dans mes jeunes années de journaliste,
04:07on m'a filé la clé du champ de tir, c'est-à-dire que j'ai été à l'Assemblée nationale pendant 3 ans.
04:12Et je m'y suis éclatée parce que la réalité, je ne relève même pas tellement c'est bête,
04:18je m'y suis complètement éclatée parce que la réalité, c'est que la mécanique parlementaire
04:23est passionnante à suivre ainsi que le budget et beaucoup de choses se font quand même en commission.
04:27Ils sont très sérieux les députés en commission.
04:30Vous voyez par exemple la commission des affaires sociales, etc.
04:32Elle est pleine, elle siège fort tard.
04:34Frédéric Bhabhi.
04:35Oui, moi je redis ce que j'ai dit tout à l'heure, il y a un travail qui n'est pas vu, le travail en commission.
04:41Il y a aussi quelque chose qu'il faut avoir en tête, la scène parlementaire est une scène peu visible des Français.
04:45Elle l'est plus que par le passé depuis 2022, depuis cette majorité relative,
04:49depuis ce moment très fort de la réforme des retraites.
04:52Mais ce n'est pas, comment dire, quelque chose de très visible.
04:55Maintenant, c'est vrai que la bordélisation qu'on a vu à l'Assemblée depuis 2022 par les députés et les filles
05:01a, si je puis dire, a aiguisé une mauvaise curiosité sur le mode.
05:04L'Assemblée, c'est ça.
05:05Je peux vous dire aussi qu'il n'y a pas qu'une Assemblée en France.
05:08Il y a le Sénat, où ça travaille énormément, tard, de manière régulière.
05:13Donc j'ai envie de défendre de ce point de vue-là les parlementaires, mais c'est vrai...
05:16Mais vous avez raison, ce qui est visible par les Français n'est pas très en adéquation en tout cas avec ce qu'ils inventent.
05:22Excusez-moi, l'autre jour, j'ai regardé, moi je suis passionné par ça, je suis mordu, j'ai regardé en direct,
05:28pas malheureusement sur les chaînes, mais j'ai regardé, honnêtement, à 3h du matin,
05:32il y a la moitié des parlementaires à 4h du matin qui sont là et qui siègent.
05:37Il ne faut pas, si vous voulez, il y a des moments effectivement où c'est creux et c'est clairsemé,
05:41les bancs sont clairsemés, mais par exemple, pour la fin de l'examen des recettes,
05:49je peux vous dire que c'était plein et les mecs, en plus de ça, ils tweetent pour bien montrer qu'ils y sont.
05:53Donc non, non...
05:55Je voudrais vous poser une question.
05:57Ils bossent les députés, il ne faut pas exagérer.
05:59On nous avait dit que ce qui pénalisait le présentéisme parlementaire, c'était notamment à l'époque où il y avait le cumul des mandats,
06:04qu'on était maire de Grandeville, président du conseil départemental.
06:07On a supprimé le cumul des mandats et finalement ça n'a pas amélioré les choses, non ?
06:10Ce n'était pas pour ça qu'on l'a supprimé.
06:12En partie aussi.
06:13On l'a supprimé parce qu'il fallait faire respirer la démocratie, parce que le cumul des mandats, c'était impossible.
06:17Vous aviez des générations entières de mecs qui étaient sous la coupe d'un type qui, pendant 40 ans,
06:22était président du conseil général, maire, sénateur...
06:25J'entends ça, mais on voit l'opinion qui a fait bouger.
06:29Quand on pose la question, on l'a posée il n'y a pas très longtemps pour Union Centriste,
06:32sur le retour au cumul des mandats, c'est un non de la part des Français.
06:36Pas massif, mais un non à 60%.
06:38En 2012, c'était plutôt un non à 80%.
06:40Mais quand ponctuellement, dans une ville donnée, je pose une question aux habitants d'une ville qui dit
06:45« Votre maire, M. X, était par le passé député-maire, est-ce que c'était une bonne chose pour votre ville ? »
06:50C'est un oui massif.
06:52Parce que c'est quand même l'imaginaire du maire qui va défendre la ville à l'échelle nationale,
06:58qui va faire avancer les projets, parce que les Français ont conscience de l'enchevêtrement des compétences.
07:02Et souvent, le maire... J'ai envie de dire plutôt...
07:06Un porte-voix.
07:07Un porte-voix.
07:08Cette fin du cumul des mandats a plus que jamais, je dirais, cimenté l'étanchéité
07:13entre soeur politique locale et nationale.
07:16Et ça, ce n'est pas bon pour la démocratie.
07:18Là où je rejoins Françoise et Frédéric, c'est le fait que rien ne serait pire
07:24que de continuer à cultiver des reprenses un petit peu absurdes sur la classe politique.
07:30Elle a beaucoup de défauts, mais je ne crois pas qu'on puisse dire qu'elle ne travaille pas.
07:35Et derrière tout cela, derrière ce procès, il y a un peu l'opprobre, un opprobre choquant,
07:42parce qu'il est injuste.
07:44Oui, c'est injuste.
07:45Pardon, je rebondis sur ce que disait François.
07:49François Hollande, c'est quand même une tête de proue.
07:52C'est quand même quelqu'un qu'on regarde plus que les autres.
07:54Donc à un moment donné, quand vous devenez député, vous montrez que vous n'avez pas une échéance prochaine.
08:02Aujourd'hui, vous êtes sur la députation, vous êtes là, vous êtes présent, vous votez.
08:05C'est une erreur de sa part.
08:06Moi, je pense que c'est une faute et il est en train de la corriger parce qu'il s'est rendu compte.
08:10C'est bien dommage, François.
08:11Vous avez montré du doigt et c'est un peu leur travail aussi.
08:14Non, mais je suis d'accord avec vous.
08:16Mais honnêtement, François Hollande est quelqu'un qui, de toute façon, bosse.
08:18De toute façon, vous êtes obligé d'être d'accord avec moi.
08:20Non, mais l'image du président Fénias, ça n'existe pas.
08:23D'abord, quand vous rentrez à l'Elysée, ça n'existe pas.
08:25Moi, c'est pas ce que je dis.
08:26Non, mais je sais bien.
08:27Mais il y a quelque chose.
08:28Il a oublié son objectif, c'est-à-dire qu'il est reparti dans sa gourmandise.
08:31C'est un peu comme les gâteaux au chocolat à François Hollande.
08:33Le PS, c'est comme les gâteaux au chocolat pour lui.
08:35Il ne peut pas s'empêcher, se retenir, si vous voulez, d'avoir quelque chose à dire et à se mêler d'un congrès.
08:40Là, vous avez un congrès qui arrive où François Hollande est comme devant une pâtisserie avec un rideau entier de gâteaux au chocolat.
08:47Ce n'était pas 2027.
08:49Évitez-nous cette torture à 18h48 sur la ville.
08:52Je vous le dis parce que pour son anniversaire, on offre toujours un gâteau au chocolat.
08:56C'est son dessert préféré.
08:57Je vous dis ça, je ne dis rien.
08:58Donc, il a été dans sa gourmandise et je pense que c'est bien.
09:01Et là, vous avez raison parce qu'il doit montrer l'exemple.
09:03C'est bien qu'il se ressaisisse parce qu'effectivement, c'est tout le champ, comment dirais-je, démocratique qui n'est pas abîmé.
09:10Mais on ricane un petit peu.
09:12Il n'y aurait pas derrière ça, c'est pas son genre, une forme d'indifférence voire de mépris pour ces gens qui ne le valent pas dans l'hémicycle.
09:21Pas du tout, parce que moi, tout ce qui me revient vraiment de la réunion de groupe socialiste, mais Frédéric a des échos aussi parce qu'il est très immergé.
09:27Ce qui me revient de la réunion de groupe, c'est qu'au contraire, François Hollande est extrêmement présent.
09:32Il pose des questions, il questionne, il aiguille, il aiguillonne aussi.
09:36Non, non, non.
09:38Voilà, il y a quelque chose.
09:39Il a promis de son livre.
09:40Après, on ne va pas faire des tonnes et des tonnes de François Hollande.
09:43François Hollande est persuadé qu'il pourra être candidat en 2027 et que ce sera lui le meilleur pour la gauche.
09:47Et nous sommes assez nombreux à penser que ce n'est pas possible tout simplement.
09:51C'est les candidatures qui nous le diront.
09:54Non, non, ce que je veux dire c'est que ce n'est pas possible, que ce serait vraiment une très mauvaise solution pour nous.
10:00Vous avez fait un sondage pour François Hollande, candidat en 2027 ?
10:03Il a été testé dans une enquête fiduciale pour le FIGMAG et Sud Radio et il était quasiment au coup d'un coup d'être Jean-Luc Mélenchon.
10:10Dans l'hypothèse où on avait une offre Mélenchon-Hollande.
10:13François Hollande, dans le baromètre match chez Sud Radio, il est quand même, c'est l'homme politique français le plus populaire à gauche.
10:22On prend des sympathisants de gauche.
10:23Et là, il peut remonter ?
10:24Personne ne peut le dire, mais en tout cas il a cette popularité.
10:27Mais une popularité, c'est pourquoi faire ?
10:29Maintenant, si je dézoome sur notre sujet, le drame pour les Français, ce n'est pas l'absentéisme, c'est plutôt l'absence de résultats.
10:35C'est-à-dire que le politique à l'échelle nationale, comme je vous le disais par rapport à mon livre, ne change plus la vie.
10:40Pour les Français, il y a peut-être un lien, l'absentéisme et l'absence de résultats.
10:44Ça commence peut-être par ça.
10:45Mon sentiment, quand même, c'est qu'il faut toujours un lasso à mon défense.
10:48Vous savez, ce pays que j'aime tant, c'est l'Italie.
10:50Renzi s'est amusé, il pensait qu'il allait regagner le pouvoir avec son référendum extrêmement populiste.
10:55Et les questions, vous vous souvenez, portaient sur, justement, l'absentéisme des députés.
11:01Est-ce qu'il faut réduire leurs primes ? Est-ce qu'il faut réduire leur pouvoir ?
11:04Il était persuadé qu'il allait gagner ce référendum.
11:07Ce référendum-là, les Italiens comme les Français étant souvent plus intelligents que les gens qui les dirigent,
11:12il a sèchement été battu.
11:14Il a quitté le pouvoir sur un référendum de questions populistes.
11:19Cameron a fait la même chose.
11:21Il a voulu s'amuser avec le Brexit.
11:23Opinion populiste.
11:24Mais ce n'est pas populiste le Brexit, c'est un référendum.
11:26Non, ce n'est pas ce que je veux dire.
11:27C'est qu'il a voulu faire un référendum avec des arguments qui sont extrêmement populistes.
11:31D'ailleurs, les Anglais regrettent aujourd'hui d'avoir voté pour le Brexit.
11:35C'est-à-dire par là que les hommes politiques ne s'amusent pas à utiliser ce genre d'arguments
11:39qui, à un moment donné, se retournent contre eux.
11:41Renzi, Cameron, c'est vraiment deux exemples criants dans les dernières années.
11:45Merci beaucoup, Philippe Bilger.
11:47Merci beaucoup, Françoise de Gaulle.
11:49Merci beaucoup, Frédéric Dhabi.
11:51Je vous rappelle, ce livre « Parlons-nous tous la même langue ? » aux éditions de l'Aube,
11:55« Comment les imaginaires transforment la France ».
11:57C'est un livre qui est co-écrit avec Brice Socol.
12:00Merci beaucoup d'avoir été avec nous.
12:02On revient dans un instant.
12:03Un sujet important puisqu'on va parler de la pêche.
12:06La pêche au thon rouge, la souveraineté nationale.
12:09Et puis, vous avez vu cette enquête, bien entendu, de Blum, de cette ONG,
12:14qui nous dit que le mercure est dans toutes les boîtes de conserves de thon.
12:19On va en parler dans quelques instants avec Philippe David et nos invités.
12:22Soyez les bienvenus. On revient dans un instant.