Les Vraies Voix avec André Kotarac
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00:00Merci beaucoup Farid Demsamani, vous restez avec nous dans un instant, c'est un retour sur les deux motions de censure qui seront soumises au vote demain, Marine Le Pen doit-elle passer outre les insultes pour voter la censure ?
00:10Alors parlons vrai, est-ce que le texte de la motion de censure ne devrait pas servir de repoussoir au RN ? Ou le fond doit-il primer sur la forme ? Et à cette question, vides obsessions extrême droite, le RN peut-il voter une motion de censure qu'il insulte ?
00:22Vous dites-vous à 75% voulait réagir, où délivrez-vous à temps de vos appels au 0826 300 300 ?
00:28Une autre invitée qui est avec nous, Andrea Cotarac, bonsoir, merci d'être avec nous, vous êtes porte-parole du RN, est-ce qu'il y a dit, vous l'avez peut-être entendu ce matin sur ceux de radio, Guillaume Gasparian a dit qu'il y avait un pacte entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ?
00:42C'est complètement faux et stupide, une motion de censure, c'est un texte qui vise à faire tomber le gouvernement, ni plus ni moins, il n'y a pas de fond, quand vous votez une motion de censure, vous ne votez pas le texte qui va avec.
00:53Et les insultes qui sont indiquées dans la motion de censure de la France Insoumise démontrent tout simplement leur caractère puéril, infantile, c'est-à-dire qu'ils ont besoin des voix du RN pour faire tomber le gouvernement et ce qu'ils trouvent à faire, c'est insulter et vomir le RN.
01:11Franchement, pour nous, on a un objectif, c'est de défendre l'intérêt des Français et donc ce n'est pas le véhicule qui compte, c'est l'objectif.
01:19On en parle dans un instant, soyez les bienvenus, 0826-300-300, à tout de suite.
01:23Les vraies voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
01:31On vous souhaite la bienvenue dans les vraies voix, on est ensemble jusqu'à 19h avec Philippe David, autour de cette table, Philippe Bilger, Mickaël Sadoun, Farid Temsamani et vous au 0826-300-300, soyez les bienvenus, tout de suite, le coup de projecteur des vraies voix.
01:44Les vraies voix Sud Radio, le coup de projecteur des vraies voix.
01:48Sur le fondement de l'article 49, alinéa 3 de la Constitution, j'engage la responsabilité du gouvernement, de mon gouvernement.
01:59Désormais, mesdames et messieurs les députés, chacun doit prendre ses responsabilités et je prends les miennes.
02:06Nous déposerons une motion de censure et nous voterons la censure du gouvernement.
02:10Face à cet énième délit de démocratie, nous censurerons ce gouvernement.
02:15C'est moi qui porterai cette motion de censure pour France Insoumise et donc le NFP.
02:19En règle générale, quand on présente une censure et qu'on souhaite qu'elle soit votée, on évite d'insulter ceux qui sont amenés à la voter.
02:26La gauche et l'extrême gauche n'aurait pas tellement envie que le Rassemblement National permette le vote de cette censure.
02:33Peut-être ont-ils envie que ce budget s'applique pour pouvoir bénéficier du chaos que ça entraînerait sur le plan économique et social.
02:40Deux motions de censure soumises au vote demain.
02:43Mais pour renverser le gouvernement, il faudrait que le RN vote seule de la gauche, l'inverse n'ayant jamais été une option.
02:48Or, dans ce texte, le NFP accuse le gouvernement Barnier d'avoir cédé, je cite,
02:53« aux viles obsessions de l'extrême droite et de poursuivre la faillite morale et politique des lois immigration ».
02:59Marine Le Pen accuse la gauche d'insulter ceux qui pourraient voter sa propre motion de censure.
03:04Alors parlons vrai, est-ce que le RN ne devrait pas faire comme le NFP qui ne vote jamais une de ses motions de censure ?
03:09Est-ce qu'en votant avec le NFP, le RN ne va pas rompre définitivement avec des électeurs de droite en vue d'un second tour à la prochaine présidentielle ?
03:16Et à cette question, « viles obsessions, extrême droite », le RN peut-il voter une motion de censure qu'il insulte ?
03:23Vous dites oui à 75%, vous voulez réagir le 0826 300 300.
03:28Notre invitée pour en parler, Andréa Cotarac, est avec nous, porte-parole du Rassemblement National.
03:32Merci d'avoir accepté notre invitation. Philippe Bigère.
03:35Je trouve que les indignations sont totalement hypocrites.
03:42Combien de fois dans notre histoire, on a vu des adversaires apparents, parce qu'ils avaient un but commun,
03:50se réunir, quelle que soit l'attitude, l'opprobre, déversé par l'un sur l'autre ou réciproquement.
03:58Alors en ce qui concerne le RN, très vite, d'abord, j'estime, mais ce sentiment est peu partagé, qu'il a été maltraité par Michel Barnier,
04:12qui a attendu d'une toute dernière extrémité pour proposer des mesures, pour tenter de régler le deuxième élément.
04:21Il ne faut pas oublier que le Nouveau Front Populaire et en tout cas LFI et le Rassemblement National me semblent avoir une visée commune,
04:32c'est-à-dire faire partir le plus rapidement possible Emmanuel Macron.
04:37Et donc à partir de là, ça induit qu'ils ont une stratégie qui peut apparaître commune, malgré l'injure que LFI et le NFP déversent sur le RN.
04:53La différence d'attitude entre le RN et la France Insoumise ou le Nouveau Front Populaire traduit deux manières de faire de la politique.
05:02Il y a une manière de faire de la politique comme un gosse, c'est-à-dire globalement en se bouchant le nez, en disant un tel ou un tel est un nazi,
05:09et finalement en votant des choses qui ne sont pas conformes à ce qu'on vient de dire, puisque finalement ils auront besoin du RN,
05:16donc c'est aussi une posture d'hypocrisie.
05:18Du côté du RN, je dirais que c'est plus une politique d'adulte, c'est-à-dire on compare des opinions, on rapproche des intérêts,
05:23et puis on fait les choses de manière un peu cynique, un peu machiavélienne et non pas machiavélique.
05:30Donc c'est une posture que je dirais plus honnête.
05:32Derrière ça, est-ce que le RN a raison de voter cette censure ?
05:36Moi, je ne le pense pas.
05:38Il sera rendu responsable du chaos politique qui s'en suivra.
05:41S'il y a chaos politique, on verra bien.
05:43Et puis surtout, je pense que toute situation d'instabilité politique est en général profitable aux partis centristes,
05:49donc je pense que le RN aurait eu beaucoup plus d'intérêt à composer avec le gouvernement, à imposer quelques mesures supplémentaires
05:55et à se mettre au centre du jeu politique et parlementaire qu'à voter cette motion de censure.
06:00L'histoire nous dira si finalement il y a chaos ou non.
06:04Effectivement, Michael l'a parfaitement résumé.
06:08C'est que d'un côté, vous avez une extrême gauche qui se donne des leçons.
06:13Alors un tel, même si finalement va amener de l'eau au moulin de l'extrême gauche de cette motion de censure,
06:20mais finalement n'est pas apte à les rejoindre.
06:23Et de l'autre côté, effectivement, vous avez un parti, le RN, qui lui, Marine Le Pen l'explique parfaitement,
06:31c'est-à-dire que l'intérêt de la France...
06:33Alors là où je nuancerais, c'est que le budget de Michel Barnier n'aurait pas amené forcément le chaos économique et social tel qu'il est prédit.
06:41Mais je pense que c'est responsable, c'est au moins honnête.
06:44Même si l'histoire, et j'espère que les historiens feront ce travail-là, avions-nous un autre choix que celui-ci ?
06:50C'est ça, moi, qui m'intéresse.
06:52Maintenant, il y a une chose extraordinaire, j'en parlais tout à l'heure avec Philippe Orantel,
06:56c'est que moi qui ai étudié un certain nombre de choses en droit constitutionnel lorsque j'étais étudiant,
07:02on le vit d'une certaine manière.
07:04Et je pense qu'il ne faut pas dramatiser.
07:06Je pense que la responsabilité, on en a beaucoup parlé tout à l'heure,
07:10je pense que l'hypocrisie, ce sont les gens qui se rassemblent au second tour en prenant un pseudo-front républicain
07:16et qui aujourd'hui se retrouvent au gouvernement, je pense notamment à la droite classique.
07:22– Andréa Cotarac, est-ce que tout ce brouhaha ne masque pas un petit peu ce qui est important ?
07:31– Le plus important, c'est quand même l'héritage dont a eu M. Barnier,
07:37c'est-à-dire le bilan de cette année de Macronie.
07:39Parce que là, si la situation budgétaire est tendue dans notre pays,
07:42c'est parce qu'on a eu 7 ans de macronisme, 1000 milliards de dettes,
07:4524 milliards de déficits rien qu'au mois de janvier,
07:4930 milliards de fraudes sociales,
07:52plusieurs centaines de milliards de fraudes fiscales qui ont échappé aux caisses de l'État,
07:56ça c'est le bilan de la Macronie.
07:58Un record de défaillance d'entreprise, c'est la Macronie.
08:00Une électricité, une énergie multipliée par 3 dans son prix depuis 2019.
08:04Donc si vous voulez, c'est ça dont a hérité M. Barnier.
08:07– Dans tout ça, il y a eu le quoi qu'il en coûte.
08:09– Et le seul chantage qu'il y a eu, pardon, le quoi qu'il en coûte,
08:13c'est un tiers seulement des 1000 milliards de dettes.
08:18– Mais c'est quand même une grosse somme d'argent.
08:20– C'est une grosse somme, mais il y a deux tiers finalement de catastrophes
08:23que la France n'a jamais vues.
08:25Maintenant, le véritable chantage qu'on a eu, c'est celui de M. Attal.
08:28C'est M. Attal qui a opéré un chantage sur Michel Barnier
08:32pour qu'il ne donne pas de gage au RN,
08:35pour faire en sorte qu'il piétine 11 millions d'électeurs du RN,
08:38pour lui dire, l'extrême droite c'est pas bien, tu ne devrais pas,
08:41alors que son seul objectif à lui c'était que Michel Barnier tombe.
08:43Voilà la politique telle qu'elle est, nous on est responsables,
08:46il y a une gravité, si on votera la motion de censure,
08:49c'est précisément parce que ce budget est chaotique et catastrophique.
08:52– C'est une info qui vient de tomber, le chef de l'État vient de déclarer
08:55« je serai président jusqu'à la dernière seconde,
08:57je ne peux pas croire que le RN vote une motion de censure du NFP ».
09:01Hier, Jordan Bardella a dit qu'il faudrait un miracle
09:04pour que le RN ne vote pas la censure,
09:06est-ce qu'il peut encore y avoir un miracle Andréa Kotarac ?
09:09– Ecoutez, ce n'est pas à nous de dire, je crois quand même…
09:11– Ah ben si, c'est vous qui votez ou pas.
09:13– Quand M. Barnier a clos ses négociations,
09:16on lui a demandé quand même la désindexation des retraites,
09:19c'est 0,5%, 0,5% du budget de la Sécurité Sociale, il a dit non.
09:25C'est lui qui a déclenché le 49-3, c'est lui qui a voulu passer en force,
09:29donc le miracle vraisemblablement il n'est pas là.
09:31– Mais c'est quoi cette posture politique ?
09:33– C'est tout simplement qu'on est dans une situation inédite
09:35où le gouvernement n'est soutenu par absolument personne,
09:38y compris par les propres partis qui sont censés le soutenir.
09:40J'ajoute juste un point sur Emmanuel Macron,
09:42qui nous dit, mais je ne peux pas croire que le RN s'allie au nouveau Front Populaire.
09:46Mais pardon, la véritable alliance qui a eu lieu, c'est aux législatives.
09:50Si le Rassemblement National n'est pas majoritaire dans ce pays,
09:52c'est parce que la France Nation Soumise s'est désistée au profit de Mme Borne.
09:56C'est parce que la France Insoumise s'est désistée pour faire réélire M. Darmanin.
09:59C'est parce que M. Wauquiez a été réélu dans son FIEF,
10:01parce qu'Europe Écologie Verte s'est désistée à son profit contre le RN.
10:05Donc ceux qui ont, si vous voulez, ramolli la démocratie,
10:09ceux qui l'ont contournée, c'est précisément les macronistes, avec Jean-Luc Mélenchon.
10:14Le propos d'Emmanuel Macron est tout de même singulier.
10:17C'est tombé à l'instant.
10:18Oui, mais c'est très intéressant.
10:20D'abord, peut-être que ce n'est pas lui qui décidera du moment où il partira ou non.
10:25Et la seconde partie du propos me choque encore plus.
10:30Qu'est-ce qui lui permet de donner une leçon de stratégie et de morale politique,
10:36alors que c'est lui qui nous a mis, cette République, j'allais dire une grossièreté,
10:42véritablement dans le désordre le plus complet,
10:46avec une dissolution faite par pur esprit ludique ?
10:50Je trouve ceci dit.
10:52Mais je demande à Adrien Cotard quand même.
10:54Est-ce que vous ne pensez pas qu'il y a eu, de la part du RN,
10:57un peu trop de demandes et parfois un peu trop irréalisables ?
11:00Vous demandez des économies et vous parlez de la réindexation des retraites sur l'inflation.
11:04Vous parlez de 0,5% du budget de la Sécurité sociale.
11:07Ça fait quand même déjà quelques milliards, je crois que ça doit faire.
11:093,5.
11:103,5, j'allais vous dire 3-4 milliards.
11:12600, je ne sais combien.
11:13Voilà, j'allais vous dire 3-4 milliards.
11:14C'est déjà quand même quelque chose.
11:16Quand on sait que vous voulez absolument supprimer l'AME,
11:18qui ne représente qu'un milliard par an,
11:20vous voyez que les enjeux financiers ne sont déjà pas les mêmes.
11:22Et en plus, je vais vous dire, je pense que derrière…
11:24Mais l'AME d'ailleurs, pardon je rebondis, c'est une posture en fait ?
11:27Je pense que c'est plus politique que budgétaire.
11:31C'est 1,2 milliard l'AME.
11:33M. Mardin nous a offert 100 millions ou 200 millions.
11:36Rien du tout, c'est-à-dire se moquer du monde.
11:38Moi, je vais vous dire une chose.
11:40Le Rassemblement national a été dans la construction
11:42parce que pour nous, ce n'est pas un jeu.
11:44Pour LFI peut-être, mais pour nous, ce n'est pas un jeu.
11:46Depuis 1962, une motion de censure n'a jamais été validée.
11:50Depuis 1962.
11:52Et si vous voulez ce qu'on a fait, nous, on était dans la construction.
11:54On a proposé un contre-budget financé.
11:57On proposait par exemple de taxer les rachats d'actions.
12:00Quelque chose qui est une ineptie en économie.
12:02Une entreprise vend ses actions, les rachète pour faire augmenter le prix.
12:05M. Barnier souhaite les taxer à 8%.
12:08On souhaite les taxer à 33%.
12:10Et je vais vous dire, on a la France qui est aujourd'hui un cadavre budgétaire.
12:13Et on nous dit, soyez raisonnable, tirez le cadavre.
12:16Ben non, je pense qu'aujourd'hui, il faut quelqu'un qui dise stop.
12:19Il faut s'attaquer au train de vie de l'État.
12:21Il faut baisser la contribution de la France à l'Union Européenne.
12:23Tous les autres pays le font, sauf nous.
12:25Il faut s'attaquer à l'immigration, 4 milliards.
12:28Il faut s'attaquer aux rachats d'actions, aux revenus spéculatifs.
12:31Bref, on avait 59 mesures.
12:33On a demandé simplement 5.
12:35Il n'a pas voulu.
12:36Ma foi, quand on est minoritaire, on est censuré.
12:38Est-ce qu'au fond, vous n'avez pas un point commun avec LFI ?
12:41C'est que vous dévirez faire partir rapidement Emmanuel Macron
12:45pour avoir des présidentielles anticipées.
12:47Qui viennent dire qu'il ne partira pas, je vous le rappelle.
12:49Oui, mais je rejoins ce que vous avez dit.
12:51C'est-à-dire que parfois, quand un président de la République démissionne,
12:54ce n'est pas forcément de sa propre volonté.
12:56On est légaliste.
12:59On dit que la Constitution nous offre 3 possibilités en cas de crise.
13:02La première, c'est la dissolution.
13:04Ce n'est plus possible, en tout cas d'ici au mois de juillet.
13:06La seconde, c'est un remaniement d'un gouvernement.
13:08Le gouvernement tombe, il y en a un autre.
13:10Si ça, ce n'est plus possible, il y a une troisième possibilité,
13:12encore une fois, que nous offre la Constitution.
13:14C'est la démission du président de la République.
13:16On ne dit pas qu'on est pour.
13:17On dit simplement qu'il y a 3 hypothèses que nous offre la Constitution.
13:20Ce sont ces 3 hypothèses-là.
13:21C'est Emmanuel Macron qui est le responsable de ce chaos budgétaire.
13:24Le responsable d'une Assemblée où il n'y a pas de majorité.
13:27Ma foi, si la France n'arrive pas à se relever,
13:29la troisième hypothèse devrait être activée.
13:31– Je réponds simplement sur un point,
13:32c'est que les rachats d'actions peuvent avoir un intérêt réel pour une entreprise.
13:35C'est-à-dire que si elle n'a pas de projet d'investissement
13:37qui soit rentable dans l'immédiat, elle peut racheter ses actions.
13:39Ça peut avoir une forme de rationalité économique.
13:41– Un rachat massif d'actions est une népsie en économie,
13:43mais de toute façon, M. Barnier veut les taxer à 8,
13:45on veut les taxer à 33, c'est 9 milliards par exemple.
13:47– Merci beaucoup Andréa Cotaraglia d'avoir été avec nous,
13:49porte-parole du Rassemblement National.
13:51Merci beaucoup Philippe Bilger, merci beaucoup Mickaël Sadoun,
13:53merci Farid Temsamani.
13:55Philippe, on vous retrouve dans une heure.
13:57– Oui, pour les vrais voix du foot, on va affûter les crampons.
14:00– Moi je peux rester, si ça m'intéresse.
14:02– Vous voulez du menu, on va parler du PSG.
14:04Est-ce que c'est la faute ? Un affaire.
14:06On va parler de la Ligue 1, on va parler de l'arbitrage
14:08qui pose problème en Ligue des champions et en Ligue 1,
14:11et on va parler également d'un drame qui a été le drame du joueur Eduardo Bové
14:17qui est tombé, qui a fait un malaise cardiaque avec un médecin du sport
14:20parce qu'il y a de plus en plus d'accidents cardiaques
14:22notamment chez les sportifs professionnels et en particulier les footballeurs.
14:25– On en parlera, en attendant, dans un instant,
14:27la course au talent vert s'intensifie dans le monde,
14:29on va vous parler du nucléaire avec plein d'opportunités,
14:32près de 100 000 postes à pourvoir,
14:34et on vous expliquera toute la stratégie de 4 entités
14:38qui seront avec nous dans quelques instants
14:40pour vous dire que ce sera peut-être vous demain, à tout de suite.
14:43– Sous-titrage Société Radio-Canada