Permettre aux jeunes entrepreneurs à impact de profiter du savoir-faire des plus expérimentés, c’est la mission d’Impactus. La société a créé un prix afin de mettre en lumière leur potentiel. Les fondateurs de deux start-up finalistes sont sur le plateau de SMART IMPACT avec la dirigeante d’Impactus.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Générique
00:00Le débat de ce Smart Impact, on découvre les prix Impact Us avec Alexia De Bernardi, bonjour.
00:13Bonjour Thomas.
00:13Bienvenue, vous êtes la fondatrice d'Impact Us, Clément Javel, bonjour.
00:17Bienvenue, directeur général de DoctoKit et Annabelle Truchon, bonjour.
00:21Bonjour Thomas.
00:21Bienvenue à vous aussi, directrice générale de Luciole Conseil.
00:24Vous étiez venue, c'était je crois au mois de décembre dernier,
00:26nous présenter votre dernier livre, Entrepreneurs Engagés, Passer à l'Action, c'était aux éditions EMS.
00:32Est-ce que ces prix Impact Us, c'est une autre façon de passer à l'action ?
00:35Exactement, exactement, puisque moi je suis repeat entrepreneur et je veux contribuer à un monde meilleur
00:41et notamment je m'intéresse aux innovations à impact positif et les entrepreneurs early stage surtout
00:48qui veulent avoir un impact positif pour le monde ont des difficultés spécifiques qui nécessitent des solutions spécifiques.
00:53Et donc c'est pour ça que j'avais sorti l'ouvrage, c'est pour ça que j'ai créé Impact Us qui est à la fois une communauté
00:59où il y a des repeat entrepreneurs qui aident des primo-entrepreneurs et puis aussi des outils
01:04et c'est effectivement pour ça qu'on a créé le Grand Prix Impact Us pour mettre en visibilité,
01:10alors avec des critères spécifiques, les entrepreneurs à fort potentiel
01:13mais qui sont encore early stage et qui ont des difficultés qui nécessitent qu'on les mette en valeur.
01:18Impact Us, vous l'avez créé il y a combien de temps et qui vous accompagne parce que vous dites
01:23il faut des serial entrepreneurs pour aider ceux qui démarrent ?
01:29Oui, oui, tout à fait. Alors on a maintenant une année d'existence et en fait moi j'ai en tant que repeat entrepreneur
01:36un impact et investisseur, j'ai tout un écosystème et donc on a fédéré des entrepreneurs en activité
01:41qui sont repeat entrepreneurs et en parallèle on a aussi créé un outil parce qu'on souhaite démocratiser
01:46pour rendre accessibles au plus grand nombre les bonnes pratiques des entrepreneurs qui démarrent.
01:51Parce qu'on a identifié des pain points, des points de douleur des entrepreneurs à impact qui démarrent
01:56qui sont notamment un gros problème de solitude, donc on est là aussi pour créer des communautés,
02:01des partages entre pairs, une difficulté à être focus, c'est quoi ma priorité en termes de gestion du temps,
02:06en termes de gestion du cash et puis beaucoup d'entrepreneurs sont un peu en dehors
02:10des critères de sélection de tout l'écosystème type station F, etc. et ont besoin d'être accompagnés.
02:16Donc nous on a choisi tout secteur à impact, donc ça va du bâtiment à la santé, l'éducation, l'écologie,
02:24des entrepreneurs qu'on va identifier toute l'année, on source ces entrepreneurs dans des labos,
02:31plateau de Saclay, dans les écoles mais aussi hors de l'île de France et on cherche surtout des entrepreneurs
02:37qui ont le facteur clé de succès ultime qui est leur coachabilité, c'est-à-dire qu'est-ce qu'ils vont écouter,
02:44est-ce qu'ils vont apprendre des autres.
02:45Et alors on en a deux, quelle chance qui nous accompagne aujourd'hui, deux des six finalistes,
02:51le résultat ce sera le 6 mai.
02:54Annabelle Truchon, je veux bien que vous nous présentiez tout simplement Luciol Conseil pour démarrer.
02:57Alors chez Luciol, on est des experts en éco-conception et mesures d'impact environnemental.
03:02Je ne sais pas si vous êtes au courant, la loi climat et résilience implique un coût environnemental
03:06qui va apparaître sur les étiquettes dès l'an prochain.
03:09Étiquette des vêtements notamment, c'est ça ?
03:11Oui, c'est le premier secteur concerné.
03:13Donc ça veut dire pour les marques la nécessité de s'y préparer, de collecter des données sur la composition,
03:19le pays de fabrication, la masse aussi.
03:21Mouliner ces données pour sortir un coût environnemental
03:24et les mettre sur les fiches articles des sites internet et aussi sur les étiquettes physiques en magasin.
03:29Et donc vous les aidez à faire ça ?
03:30Parce que cet affichage environnemental, on en a déjà parlé dans cette émission,
03:33il n'est pas si simple à mettre en œuvre.
03:34En effet, parce qu'il y a beaucoup de données à collecter qu'elles ne disposent pas aujourd'hui.
03:38Ça veut dire remonter les filières de traçabilité.
03:40C'est compliqué dans le textile, une filière assez opaque d'obtenir toutes ces données.
03:45Donc concrètement, depuis trois ans, j'ai accompagné plus de 50 marques
03:49comme ça à calculer leur score environnemental.
03:53Celui-là a beaucoup évolué aussi ces derniers mois.
03:55Et par exemple, Bernard Zins, l'ingénieur pantalonnier,
03:58on lui a montré que pour un pantalon fabriqué proche Europe en coton conventionnel,
04:03si on change les paramètres, si on le fait en coton biologique
04:06et qu'on rapatrie les étapes de tissage, teinture, confection en France,
04:10on va gagner comme ça 37% de points d'impact sur son score final.
04:15– Oui, donc on est vraiment dans des solutions proposées aux entreprises.
04:19Présentez-moi, présentez-nous, DoctoKit, Clément Javel.
04:22– Alors bonjour, moi je suis le docteur Clément Javel,
04:24je suis médecin régulateur dans le SAMU des Yvelines, en 78.
04:29Et je fais le constat au quotidien que lorsqu'on est malade,
04:33on se pose tous la même question, à savoir est-ce que c'est urgent, est-ce que c'est grave ?
04:38D'autant plus quand ça concerne un proche.
04:41Et on a difficilement des réponses et on s'oriente malgré soi vers des urgences,
04:47très souvent saturées, alors que médicalement ce n'est pas justifié.
04:52Ça représente à peu près 70% des consultations dans des services d'urgence.
04:56– Dans les services d'urgence, c'est-à-dire que c'est des gens qui vont aux urgences spontanément,
05:00sans passer forcément par les numéros d'appel.
05:03– Exactement.
05:03– Et à qui on va dire, après des heures d'attente, vous auriez pu ne pas venir ici, c'est ça ?
05:08– C'est exactement ça. On appelle ça des urgences ressenties.
05:10On a l'impression que c'est très grave, alors que médicalement ça ne l'est absolument pas.
05:14– Et alors DoctoKit c'est quoi ?
05:16– Alors DoctoKit c'est une application mobile, conçue par des médecins,
05:20qui permet en quelques secondes, en évaluant le degré d'urgence de vos symptômes,
05:25d'être accompagné vers la meilleure solution.
05:28Et ça permet d'éviter, dans la plupart des cas, des heures d'attente
05:33dans des salles d'urgence pleines à craquer.
05:36– Alors vous en êtes où du développement de DoctoKit ?
05:38Puis après on va voir ce que peut apporter la caisse de résonance d'un prix comme un Pactos ?
05:44– Alors je suis vraiment en phase early stage.
05:47– Oui, c'est une toute jeune entreprise.
05:49– On continue à développer justement tout l'écosystème au sein de DoctoKit.
05:55On a par exemple une fonctionnalité qui est très intéressante,
05:59c'est le fait d'être en capacité d'accélérer l'intervention des secours
06:03via un protocole interne à l'application qui permet en fait,
06:06lorsqu'on l'application identifie une urgence vitale,
06:11de passer un appel au centre 15 sur une ligne prioritaire
06:15et ça permet de préserver des minutes précieuses.
06:19– Qu'est-ce qui vous a séduit dans ces deux projets ?
06:23Il y en a quatre autres des finalistes mais je commence avec Luciole
06:26et puis ensuite on parle de…
06:26– Oui, alors chez Annabelle, donc Luciole, ce qui nous a plu,
06:29c'est qu'elle a déjà cette expertise conseil
06:31mais ce qu'elle n'a pas dit c'est qu'elle est en train de pivoter
06:33vers aussi un outil technologique et elle devient donc une start-up technologique
06:37et on va l'accompagner dans ce pivot pour être moins dépendante des subventions
06:42et pouvoir traiter beaucoup plus de solutions
06:45et donc c'est l'expertise entrepreneuriale start-up qui va l'aider à faire ce pivot.
06:48Chez Clément, c'est très différent, c'est un médecin qui n'est pas dans le business
06:53et ça on a beaucoup d'entrepreneurs early stage qui viennent comme ça
06:56d'écosystèmes un peu plus éloignés que le monde des affaires
07:00et donc notre rôle, ça va être de lui apprendre et d'optimiser ses chances de succès.
07:04Je prends un exemple, comment motiver ses patients, les gens comme vous et moi,
07:10à utiliser une application plutôt que de se dire
07:13je vais quand même aller aux urgences patienter même si c'est trois quarts d'heure.
07:16Donc ça va être de l'ouvrir et c'est le prix du Grand Prix Impactus
07:20puisque le jury est composé de dix repeat entrepreneurs
07:23qui vont donner du temps gratuitement
07:26alors que ce sont des repeat entrepreneurs investisseurs en activité
07:29pour aider le grand lauréat à doubler ses chances de succès.
07:34Vous parliez de la solitude, les points de douleur d'une certaine façon
07:39des jeunes entrepreneurs ou des nouveaux entrepreneurs
07:43des créateurs de nouvelles entreprises
07:46et notamment quand il y a cet enjeu de l'impact.
07:48On a fait une émission là-dessus avec une enquête qui a été publiée
07:51avec une sorte de responsabilité supplémentaire.
07:54Est-ce que vous ressentez ça ?
07:56Oui forcément, on le sait, on est tous des écologistes au fond de nous-mêmes
08:00on sait que la planète va mal
08:01donc le moyen de passer à l'action en créant une entreprise
08:04c'est quand même ce qui a le plus de chances
08:06d'orienter le monde dans la meilleure direction.
08:09Donc là, en l'occurrence, c'est une obligation réglementaire
08:12cet affichage environnemental qui a été voulu par des citoyens
08:14lors de la Convention citoyenne pour le climat
08:16pour des citoyens consommateurs, consomacteurs.
08:21Donc oui, c'est avec plaisir que je mets mes compétences
08:24au service de cette transition.
08:25Quand vous voyez le combat qui est mené en ce moment
08:28par les marques françaises contre l'ultra fast fashion
08:31qu'on voit difficile d'ailleurs
08:32on voit que le vote a été retardé
08:36que le lobbying a bien fonctionné
08:38vous êtes dans quel état d'esprit ?
08:41Vous comptez sur les parlementaires pour faire le job ?
08:43Je pense que c'est aux citoyens avant tout
08:45d'être des bons acteurs dans leurs actes de consommation
08:48qu'on ne peut pas tout attendre comme ça
08:49de la législation et de l'État
08:51et donc c'est oui par des exemplarités
08:54des uns des autres
08:56qu'on peut changer les grandes tendances de fond
08:58Il y a une question quand on crée une appli comme la vôtre
09:02moi je pense à mes données personnelles et à mes données médicales
09:05je suis particulièrement sensible à ça
09:08je prends toujours le temps de décocher sur les sites
09:12qu'est-ce que vous me garantissez si j'utilise DoctoKit ?
09:15Alors moi je n'ai pas besoin de vos données
09:16tout est pseudonymisé
09:18vos données sont déjà stockées en fait
09:21dans le dossier médical partagé
09:22via mon espace santé
09:24et je n'ai pas besoin d'y accéder
09:26Il n'y a pas un questionnaire à remplir supplémentaire
09:29qui finalement donnerait de la valeur aussi à ces données ?
09:33Vous voyez ce que je veux dire ?
09:34C'est même dans la valorisation de l'appli et de l'entreprise
09:36Moi je m'intéresse simplement à vos symptômes
09:37ou aux symptômes de vos proches
09:38Je suis un symptôme checker
09:41et en fonction du degré d'urgence des symptômes
09:44je vous oriente
09:45Les données qu'on va générer
09:48c'est des parcours utilisateurs en réalité
09:50et ça a une forte valeur épidémiologique
09:52et ça donne aussi de la tendance des marchés
09:55d'un point de vue pharmacologique et médical
09:58Qu'est-ce que vous attendez d'un environnement
10:02comme celui d'Impactus ?
10:04Justement réussir
10:07déjà avoir des bases business
10:08parce que ce n'est pas mon métier
10:09Ce n'est pas votre métier, vous restez un médecin
10:11Surtout ça me permet, l'expertise d'Alexia
10:14me permet vraiment de me recentrer sur l'utilisateur
10:17savoir comment accéder au marché
10:20comment entraîner de la récurrence des utilisateurs
10:24sur l'application d'Octokit
10:26et ça me permet vraiment d'apprendre énormément de choses
10:32et de les mettre en pratique assez rapidement
10:35Il y a un autre finaliste je crois parmi les nominés
10:37qui est dans l'univers de la santé
10:40c'est ça ?
10:41Oui tout à fait
10:41C'est Retras ou Retras ?
10:42Oui Retras qui aide par de l'IA
10:45donc là c'est une deep tech
10:46qui est au laboratoire de l'INRIA
10:49au start-up studio de l'INRIA
10:50c'est de l'IA qui permet via son smartphone
10:53de pouvoir s'entraîner à faire de la rééducation de la main
10:56quand on est victime d'un AVC
10:58parce qu'en fait quand on est victime de quoi que ce soit
11:01qu'on doit faire de la rééducation
11:02autant on le fait quand on est chez son kiné, chez son médecin
11:05mais une fois chez soi on ne le fait plus du tout
11:06donc il utilise de l'IA
11:09et c'est assez impressionnant de voir
11:10comment fonctionne l'outil
11:13au regard d'un geste qu'on fait dans la vraie vie
11:16et qui est reporté sur le téléphone
11:17on a également une société dans le domaine de l'upcycling
11:20puisque le marché de la basket est extrêmement florissant
11:24mais la plupart des consommateurs
11:26je crois plus de 80%
11:27jettent régulièrement leur basket
11:29et ne pensent pas ni à les entretenir
11:32ni à leur donner une seconde vie
11:33et donc c'est le job de Bitters
11:36et puis on a également une autre entrepreneur
11:38alors moi je suis ingénieur de formation
11:40donc j'aime beaucoup les deep tech
11:41une chercheuse qui est aussi à l'INRIA
11:44et qui développe une machine
11:46qui est une sorte de gigantesque imprimante 3D
11:48pour concevoir des circuits imprimés in-house
11:51et à l'époque, en période de besoin de souveraineté
11:54où on n'a pas envie d'envoyer nos circuits imprimés
11:57quand on s'appelle Safran, Télécom ou Dassault
12:01on n'a pas envie d'envoyer ces plans de circuits imprimés
12:04à l'étranger
12:04et bien elle va résoudre un problème
12:06à la fois de limitation de transport
12:08mais aussi de souveraineté de la France
12:10c'est ce que je trouve chouette
12:12dans les deux exemples aussi pour compléter
12:13c'est que Annabelle
12:14elle va surfer sur une réglementation
12:17qui impose son marché déjà très captif
12:19ce qui est une partie du marché de l'impact
12:21finalement c'est l'État qui va faciliter
12:24toutes ces solutions
12:25Oui c'est vrai qu'il y a la loi climat et résilience
12:28mais il y a aussi la loi AJEC
12:29anti-gaspier économie circulaire
12:31on voit que ça a vraiment créé
12:32des modèles de business qui n'existaient pas auparavant
12:35Exactement
12:36et pour éviter de tomber dans le fameux triangle de l'inaction
12:39il y a un moment entre l'État, les industriels, les consommateurs
12:41il y a bien un des trois qui doit bouger
12:42alors que Clément s'adresse plus directement
12:45aux Français ou même aux malades
12:47potentiellement partout dans le monde
12:49et donc il va falloir trouver justement
12:50qui on va mettre en action dans son modèle
12:52est-ce que c'est les mutuelles, est-ce que c'est l'État
12:54est-ce que ce sont les hôpitaux
12:56pour quelque part faire en sorte que le citoyen bouge
12:58Alors effectivement on est dans des enjeux de conformité
13:01de respect des législations
13:03est-ce que ça passe par de la formation ?
13:05Est-ce que vous proposez ça ?
13:06Oui bien sûr, on commence par sensibiliser les marques
13:09donc déjà à la fabrique de la loi
13:11et puis ensuite à l'éco-conception
13:13finalement on va voir que c'est une discipline
13:14que tout le monde peut s'approprier à son niveau
13:16chacun peut penser environnement
13:18en plus de coût, qualité, délai
13:20c'est quelque chose à intégrer vraiment dans le business
13:22sortir du business as usual
13:24vers le business qui intègre l'environnement
13:27Et bien voilà
13:29il y a une logique de prévention
13:33chez DoctoFit
13:34C'est les meilleurs
13:36on parle de réglementation
13:39finalement d'utilisation
13:41de l'argent public
13:42est-ce que vous avez le sentiment
13:45que l'accent est suffisamment mis
13:47sur cette prévention
13:47et qu'est-ce que vous, vous pouvez provoquer
13:52comme cercle vertueux
13:55avec une appli comme la vôtre
13:56en matière de prévention ?
13:57En fait DoctoFit a la possibilité
13:59vraiment de guider les utilisateurs
14:02dans l'accès aux soins
14:03et en gros on a sur son téléphone
14:06qu'on a tout le temps sur soi
14:07des informations très utiles
14:11et notamment la possibilité
14:12pour notre gouvernement
14:14et nos institutions
14:15de diffuser des messages de santé publique
14:17à titre préventif
14:19on fait aussi énormément d'éducation
14:21parce que
14:23les patients sont généralement
14:25perdus face à leurs symptômes
14:27et il y a des petits éléments simples
14:31qui permettraient
14:33de débloquer
14:34beaucoup de situations
14:35et j'aimerais pouvoir
14:37leur donner accès
14:38à ces connaissances
14:40Merci beaucoup
14:41ça se passe le 6 mai
14:42ça se passe où et comment ?
14:43Alors ça se passe le 6 mai
14:45à l'Escalator
14:45qui est le partenaire
14:46notre partenaire
14:47qui est l'incubateur
14:48de Maurice Lévy
14:49qui a aussi un impact
14:50sociétal et social
14:51et on est en recrutement
14:53permanent de sourcing
14:54de nouveaux entrepreneurs
14:55à impact
14:56et donc le prochain Grand Prix
14:57pour ceux que ça intéresse
14:58sera dans 6 mois
15:00où on continue
15:01perpétuellement
15:02d'aller sourcir
15:02des futurs entrepreneurs
15:04à impact
15:04à fort potentiel
15:06Merci beaucoup à tous
15:07bravo de faire déjà partie
15:09des 6 finalistes
15:10et à bientôt
15:11sur BeSmart for Change
15:12Voilà c'est la fin
15:13de ce Smart Impact
15:14Merci à toutes et à tous
15:15de votre fidélité
15:16à la chaîne des audacieuses
15:17et des audacieux
15:18Salut et à demain