• il y a 4 mois
Les Vraies Voix des JO avec Pascal Eouzan, Sébastien Deleigne, Marion Clignet, Antoine Mazère et Arnaud Benedetti, politologue, au micro de Christine Bouillot.

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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2024-07-25##

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Transcription
00:00Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Christine Bouillaud.
00:04Les Vraies Voix des JO sur Sud Radio pendant toute la durée de la compétition avec le collectif des championnes et des champions français.
00:11Ce soir, Marion Cligné, double médaille et d'argent aux Jeux de 1996 et 2000.
00:16Sébastien Delen, double champion du monde de pentathlon moderne, quatre JO à son actif.
00:22Et également, Pascal Héhouzan, quadruple champion du monde de tumbling et président du collectif des champions et des champions français.
00:28Alex Darmont, journaliste politique avec votre chaîne YouTube Les Indécis, le ministre qui ne devait pas l'être.
00:34On l'entend plus, M. Dupond-Moretti, là ?
00:37Non, mais oui, il va falloir qu'il fasse ce qu'il dit. Je pense qu'il n'a rien à dire en ce moment.
00:41Il gère les affaires courantes ?
00:42Il gère les affaires courantes, oui, il y travaille.
00:44Il y travaille, vous avez la confirmation ?
00:46J'ai confirmation.
00:46Oui, il peut se passer des choses graves ?
00:48Ah non, mais lui, en tout cas, il est sur le pont, c'est sûr.
00:50Oui, ça m'étonnerait qu'il abandonne le navire comme ça en partant en courant.
00:54C'est un fan de sport, d'ailleurs, le ministre ?
00:57Pas trop, pas trop.
00:58Il aime la corrida, ça, on sait.
01:00Oui, moi, je n'aime pas, donc on n'en a pas parlé.
01:02Par contre, on avait parlé un peu de football, quand même, avec le ministre.
01:06Notamment quand je l'avais suivi pour les régionales, le RC Lens remontait en Ligue 1.
01:10À ce moment-là, c'était il y a trois ans, je crois, ou quatre ans.
01:12Et Nord, c'était le début.
01:15Il supporte Lens ?
01:16Il vient du Nord, il est né juste à côté.
01:18C'est la guerre, Lille-Lens, il ne faut pas se tromper.
01:20Mais il est plus pour Lens que pour Lille.
01:22Il ne faut pas être pour les deux.
01:23Non, parce qu'en fait, son cousin, c'est Jean-Guy Wellem.
01:27Son cousin, c'est Jean-Guy Wellem, qui était une légende du Racing Club de Lens
01:31et qui était venu le voir plaider.
01:34Cette cérémonie d'ouverture, demain, tous les voyants sont au verre, on vous le disait,
01:38pour ce spectacle qui doit commencer à 19h30 jusqu'à 23h.
01:44Une cérémonie qui est inédite dans l'histoire de l'olympisme.
01:47Jamais une cérémonie d'ouverture ne s'était faite en dehors d'un stade.
01:50Alors, on a tout dit sur cette cérémonie d'ouverture,
01:54que ça n'était pas possible.
01:55Il y a des problèmes de sécurité, d'abord, qui se sont imposés aux autorités françaises
01:59et aux organisateurs, ainsi qu'à toute l'opération et à toute l'équipe
02:05qui est chargée sur le plan chorégraphique de l'organiser.
02:09Faire une file indienne de 80 bateaux, ça ne s'est jamais vu sur la scène.
02:14Il y a des problèmes de sécurité, il y a eu des problèmes de logistique,
02:17il y a eu des problèmes aussi, donc on se demandait si la scène n'allait pas être trop haute
02:20à un moment donné, parce qu'il a beaucoup plu.
02:22Bref, on s'est dit à plusieurs reprises qu'il fallait un plan B, un plan C, un plan D.
02:26Non, cette cérémonie d'ouverture se déroulera bien demain soir sur la scène.
02:31Petite question géopolitique, il y a des indiscrétions aussi, Antoine Mazère,
02:36qui circulent avec des noms de stars qui vont défiler tout au long de la soirée,
02:41à commencer par du côté de la musique, de celles ou ceux qui vont prendre le micro pour chanter.
02:46Oui, on l'a entendu beaucoup, ça a fait des débats, ça a fait beaucoup parler.
02:49Il y a eu énormément de polémiques, notamment autour de son nom.
02:51Ça a enflammé les débats.
02:52C'est Ayana Kamoura qu'on a entendu dans un petit reportage.
02:55C'est une interprète Fly, c'est un de ses hits, c'est un de ses hits, Ayana Kamoura.
03:05Alors peut-être qu'on...
03:06Là, on explique à nos auditeurs, c'est un petit bout d'extrait pris au téléphone
03:11qui circule sur les réseaux sociaux, mais elle est avec un orchestre symphonique.
03:14Exactement.
03:15Donc on se doute que demain soir, elle devrait chanter cette chanson qu'on connaît.
03:17Fly, qui veut dire voler en anglais.
03:19Elle le dit dans une interview, c'est une des chansons qu'elle est le plus fière.
03:24Et sûrement, peut-être la surprise qu'on risque de l'entendre chanter demain.
03:27Également, on en parlait tout à l'heure, Céline Dion, qui est arrivée à Paris,
03:30qui risque de chanter.
03:31Lady Gaga également.
03:33Philippe Catherine serait également de la partie.
03:36Et l'une des révélations françaises de ces dernières années, Juliette Armanet.
03:40Alors, ces Jeux Olympiques, c'est une semaine décisive.
03:43Ce sont les mots d'Emmanuel Macron.
03:44Il l'a répété en boucle ces derniers jours.
03:46Ça fait des années que nous travaillons à ça et nous y sommes.
03:49Cette semaine est donc décisive pour la France.
03:52A dit le chef de l'État lors de son interview mardi soir à la télévision.
03:56Son interview avant l'ouverture de la session olympique.
03:59Arnaud Benedetti. Bonsoir, Arnaud Benedetti.
04:00Bonsoir.
04:02Alors, cette cérémonie d'ouverture et cette séquence olympique qui s'ouvre,
04:05en tous les cas, la réussite, le succès de cette cérémonie.
04:09Est-ce que ça peut bénéficier ?
04:11Est-ce qu'Emmanuel Macron peut, en termes politiques, en tirer profit ?
04:15Un événement sportif de ce type, qui est un événement planétaire,
04:18c'est potentiellement, a priori, fédérateur, rassembleur.
04:22Ça permet parfois de prendre de la distance et de la hauteur
04:25pour un chef de l'État ou pour un chef du gouvernement.
04:28Là, le problème, c'est qu'on se trouve en France dans une situation politique
04:32que l'on connaît, une séquence particulièrement difficile.
04:35Et même, je dirais, plus qu'une séquence,
04:37une période totalement inédite de la Ve République
04:41après une double élection européenne et législative
04:48qui a quand même sonné comme un échec pour le président de la République,
04:54même si, in fine, il est parvenu, notamment grâce à son Premier ministre,
05:00à sauver, peut-être plus que prévu, une partie de son bloc de parlementaires.
05:06Mais il n'en demeure pas moins que, si vous voulez,
05:09ça sera quand même très compliqué pour le président de la République,
05:11compte tenu du contexte de pouvoir profiter,
05:14comme il essaie vraisemblablement de le faire,
05:16des Jeux Olympiques comme un levier pour rebondir.
05:19Alors, il s'en sert, manifestement, comme un levier pour gagner du temps
05:23dans une crise politique qui, pour l'instant, est loin d'être résolue.
05:27Mais est-ce que c'est suffisant, ensuite,
05:30pour lui permettre, d'une certaine manière, de rebondir ?
05:34La question reste ouverte.
05:35Vous savez, le sport est éminemment politique, qu'on le veuille ou non.
05:40En tout cas, les politiques l'utilisent comme un objet de communication,
05:44comme un objet, parfois, de propagande.
05:46Mais ça fonctionne surtout dans les régimes qui ne sont pas démocratiques, en général.
05:51Ça donne l'impression de fonctionner dans les régimes qui ne sont pas démocratiques.
05:55Dans les démocraties, c'est évidemment beaucoup plus compliqué.
05:59Oui, c'est une séquence qu'il souhaite, certains lui disent.
06:03Il espère, en tous les cas, qu'après cette dissolution,
06:08si jamais ça se passe bien, il espère en bénéficier.
06:13Mais, le moindre quoi qu'en tous les cas,
06:16il peut emporter tout le poids, également, Arnaud Benedetti.
06:20Oui, alors, en effet, il y a le contexte de ces Jeux Olympiques
06:24qui ont été l'objet de nombreuses controverses, de nombreuses polémiques,
06:28qui, d'ailleurs, continuent et qui demeurent, malgré tout.
06:33Et il est évident que, si les choses ne se déroulaient pas comme prévu,
06:37et il faut souhaiter, bien évidemment, qu'elles se déroulent de la meilleure manière qui soit
06:40et de la manière la plus optimale,
06:42si elles ne se déroulaient pas comme prévu,
06:45évidemment, inévitablement, la responsabilité de l'État serait pointée.
06:51Et, évidemment, celui qui, aujourd'hui, porte cette responsabilité au plus haut niveau,
06:55c'est le chef de l'État, c'est le Président de la République.
06:57Donc, il y a, évidemment, si vous voulez, une forme d'exposition du Président de la République
07:02à travers cet événement, d'autant plus que nous nous retrouvons dans une situation, encore une fois,
07:08tellement atypique sous la Ve République.
07:10Il faut quand même se rendre compte que la France, aujourd'hui, ne dispose plus de gouvernement,
07:13même s'il y a un gouvernement qui gère les affaires courantes,
07:16mais, j'allais dire, sur un plan politique,
07:19ce gouvernement a une responsabilité qui reste fortement limitée
07:24du fait qu'aujourd'hui, il n'y a pas un gouvernement de plein exercice
07:29dans un moment qui est un moment, en effet, difficile à organiser.
07:32Un événement comme les Jeux Olympiques, c'est un événement qui nécessite la mobilisation de tous les moyens de l'État,
07:38qui nécessite d'avoir, justement, un gouvernement qui soit en mesure de pouvoir travailler pleinement.
07:44Là, en l'occurrence, évidemment, la situation politique qui est la nôtre
07:47rend beaucoup plus difficile cet exercice.
07:49– Arnaud Benedetti, vous restez avec nous,
07:51les vrais voix, là, ce soir, les vrais voix des JO.
07:53Sébastien Delegne, est-ce que le Président peut en tirer profit ?
07:58En tous les cas, est-ce qu'il peut aussi tirer vers le haut ?
08:00J'allais dire, la France du sport, est-ce que vous l'espérez ?
08:05Comment vous voyez les choses ?
08:07Est-ce que ça peut être sa réussite si tout se passe merveilleusement bien jusqu'à la fin de la compétition ?
08:12– Alors, concernant la personne ou l'identité,
08:16j'espère, effectivement, que ça va changer les choses.
08:20Maintenant, se servir de l'outil des Jeux pour tirer profit,
08:25je ne pense pas que ce soit non plus judicieux, on ne l'attend pas là.
08:29On n'attend pas qu'il se fasse des Jeux pour changer de fusil d'épaule,
08:36j'ai envie de dire, mais qu'il nous prouve ailleurs ce qu'il est capable.
08:41Je pense que ce ne sont pas les Jeux qui vont lui permettre de redorer son blason,
08:49je n'ai pas l'impression, au moins.
08:51– Nous renouons un lien avec les Français.
08:53– Moi, je pense que si c'était son but, il s'est gouré,
08:58parce que, comme le disait ce matin sur BFM,
09:02la com' des JO, elle a été plombée par l'impasse politique dans laquelle on est,
09:06par le marasme politique qu'il y a juste avant les Jeux et qui l'a provoqué.
09:09Et moi, je pense que connaissant un peu le monde sportif,
09:13on lui en voudra un petit peu.
09:15Donc, ce n'est pas une affaire de cérémonie d'ouverture.
09:18Une cérémonie d'ouverture, c'est quelque chose d'artistique,
09:20ce n'est pas quelque chose, c'est quelque chose d'imaginaire.
09:22Je pense qu'il ne pourrait plus se servir des résultats des JO.
09:25Si, effectivement, on faisait 80 médailles,
09:27il pourrait dire, vous avez eu ça grâce à moi,
09:29parce que j'ai mené une politique pendant 5 ans
09:31où j'ai favorisé l'entraînement des sportifs de haut niveau.
09:33– Oui, je suis d'accord.
09:35– Mais il faut qu'ils fassent le record,
09:37il faut qu'ils battent le record de 43 d'Atlanta.
09:39Et pour l'instant, on n'y est pas.
09:41Et puis, le rapport qu'il peut y avoir entre un président de la République
09:47et ses sportifs, et là, je pense que mes collègues,
09:49mes copains, plutôt, ne me démentiront pas,
09:52c'est que ça s'inscrit dans le temps et dans la durabilité.
09:55On a tous adoré Jacques Chirac,
09:57parce que Jacques Chirac, il était près de nous tout le temps.
09:59À chaque compétition, on avait un télégramme.
10:01Tout à l'heure, tu en as parlé.
10:03– Un appel à la famille.
10:05– Et on en parlait, et on en parlait encore le lundi dernier,
10:10il y avait un ministre pendant 5 ans,
10:12il y avait une vraie politique du sport.
10:14Jacques Chirac, c'était un fan des sportifs,
10:17il adorait les sportifs,
10:19il adorait les champions,
10:21il ne se réveillait pas au dernier moment.
10:23– Non, il nous recevait à l'Elysée,
10:25en dehors des événements,
10:27pour un repas, avec des têtes d'affiches de chaque sport,
10:31parce qu'il voulait profiter de ce moment-là.
10:33Et c'est chargé de com' il nous le disait,
10:35il nous disait d'essayer d'éviter,
10:37de le faire traîner,
10:39parce qu'il a quand même un emploi du temps assez chargé.
10:41Mais il ne voulait pas partir,
10:43il était minuit, il restait avec nous.
10:45Donc, il voulait nous laisser l'Elysée,
10:47enfin, il voulait nous laisser l'Elysée.
10:49En fait, les conseillers nous disaient
10:51on va vous laisser, vous restez une petite demi-heure,
10:53une heure et vous partirez après,
10:55mais laissez-le partir, il ne voulait pas partir.
10:57– Je vais vous raconter une anecdote
10:59où je l'ai rencontré, comme ça, de visu,
11:01donc c'était à la mairie de Paris,
11:03c'était pour le départ de Alain Prost,
11:05sa fin de carrière,
11:07donc il avait invité tous les sportifs
11:09et forcément tous les grands hommes du sport
11:11et moi je me retrouvais avec Emmanuel Panda,
11:13et tous ces champions qui étaient quand même
11:15des stars du sport français.
11:17Et moi, je sortais de mon accident,
11:19j'avais eu un accident très grave,
11:21je venais juste de revenir en compétition
11:23et de commencer à remarquer les premiers résultats
11:25et quand il est venu devant moi, je lui ai dit
11:27écoutez, il fait la bise à Pribourg, etc.,
11:29enfin c'est très proche,
11:31et puis moi je lui ai dit, monsieur le président,
11:33vous ne devez pas savoir qui je suis,
11:35il me fait, comment ça, je ne sais pas qui vous êtes,
11:37monsieur Pascal, vous êtes un exemplaire,
11:39vous avez eu un très grave accident,
11:41vous prenez à témoin les autres et vous étiez devant lui au garde-à-vous,
11:43c'est quelqu'un qui connaissait ses fiches.
11:45Il connaissait ses fiches.
11:47Ce rapport au sportif
11:49et au monde sportif,
11:51on le sent aussi,
11:53j'imagine, et c'est en deux,
11:55Alex Darmon,
11:57est-ce que ce lien aussi, Emmanuel Macron,
11:59il a eu un peu, parce qu'on l'a beaucoup critiqué aussi,
12:01sa façon par exemple d'embrasser
12:03Emmanuel Mbappé,
12:05de s'octroyer, tout ça, cette espèce de...
12:07Emmanuel Macron, il a un rapport au sport
12:09très important, il est pour l'Olympique de Marseille,
12:11tout le monde le sait, et il a un rapport au sport
12:13très important, et dès qu'il peut venir
12:15à une finale de compétition sportive nationale,
12:17il vient, il se fait siffler d'ailleurs.
12:19Et demain, Emmanuel Macron, il va quand même jouer
12:21beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses
12:23au niveau national et au niveau international.
12:25Je vous rappelle une chose, en octobre,
12:27septembre dernier, il y a eu la Coupe du monde de rugby,
12:29il a ouvert la Coupe du monde de rugby sous les sifflets.
12:31Et pour avoir parlé avec
12:33des proches du Président de la République,
12:35mais de la majorité en tout cas,
12:37il ne voulait pas avoir cette image-là, demain,
12:39pour la cérémonie d'ouverture
12:41des Jeux olympiques. Donc peut-être que dans sa tête,
12:43la dissolution,
12:45je ne dis pas que c'est ça qui a motivé la dissolution,
12:47mais peut-être que dans sa tête, il s'est dit aussi,
12:49il y a un événement qui arrive, je ne veux pas que les Français me sifflent,
12:51je ne veux pas être sifflé le soir
12:53de cette cérémonie d'ouverture, il faut que je réagisse.
12:55Il a mal réagi, ça c'est une analyse politique,
12:57il a mal réagi, mais en tout cas,
12:59pour lui, la cérémonie demain va vraiment
13:01beaucoup, beaucoup compter.
13:03Merci beaucoup Arnaud Benedetti,
13:05merci infiniment d'avoir été avec nous
13:07ce soir, merci
13:09beaucoup Politologue, merci
13:11les vrais voix des JO ce soir,
13:13Pascal Ehousan,
13:15Marion Cligny et Sébastien Delaigne,
13:17je vous embrasse tous les trois.
13:19On va se retrouver demain,
13:21Alex Darmon, merci Alex.
13:23Antoine, nous on se retrouve... Dans moins de
13:25deux heures maintenant. Dans moins de deux heures, absolument.
13:2721 heures pour suivre
13:29cet avant-match entre l'équipe de France
13:31et l'Argentine, le quart de finale historique
13:33pour l'équipe de France qui n'a jamais atteint ce statut-là
13:35de la compétition et qui jouera face à
13:37peut-être ce qui se fait de mieux aujourd'hui sur la planète, rugby
13:39à 7, l'Argentine, coup d'envoi 21h30
13:41mais bien sûr tous nos spécialistes, Daniel Herrero
13:43sera avec nous tout à l'heure à partir de 21h
13:45sur Sud Radio. Merci chers vrais voix,
13:47je vous dis à demain bien sûr
13:49pour les vrais voix des JO
13:51dès 17h. Très bonne soirée,
13:53dans un instant vous avez retrouvé
13:55Joseph Ruiz
13:57avec les JO dans
13:59tous leurs états sur Sud Radio, juste après l'info,
14:01très belle soirée, on se retrouve à 21h
14:03en direct pour suivre ce quart de finale
14:05des JO en rugby à 7.
14:07A tout de suite.

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