• il y a 2 mois
Regardez Les auditeurs ont la parole avec Céline Landreau et Vincent Parizot du 13 septembre 2024.

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00:00Jusqu'à 14h, les auditeurs ont la parole. Vincent Parizeau et Céline Landreau sur RTL.
00:08Devant des mencelles et des menceaux qui sont restés tout au long de cette émission.
00:12Et on vous applaudit aussi. Merci de votre présence. Merci de votre fidélité à RTL.
00:17Ça nous fait vraiment chaud au cœur d'être venu à votre rencontre.
00:22On va parler évidemment avec les auditeurs d'RTL. Ici, vous pouvez prendre la parole si vous le souhaitez.
00:27Mais aussi aux 30 de 10. Et d'ailleurs, Sabrina, vous avez fait le 30 de 10. Bonjour, Sabrina.
00:33Bonjour, Vincent. Bonjour, Céline. Bonjour.
00:36Pour évoquer l'éventualité de cette prime pour ceux qui ne prennent pas d'arrêt de travail.
00:41Qu'est-ce que vous en dites ? Moi, je suis plutôt favorable et je pense que c'est quelque chose qui va se développer.
00:47Vous allez nous expliquer pourquoi dans un instant. Le temps de rappeler tout d'abord, Céline,
00:52l'essentiel de l'actualité de ce vendredi. De ce vendredi 13. Je rappelle aussi qu'on peut parler,
00:58si vous ne passez pas sous les échelles ou si le vendredi 13, vous jouez au loto.
01:06N'hésitez pas à nous le dire. On vous attend. L'actualité, Céline.
01:09Avec cette menace de Vladimir Poutine, un avertissement pour les Occidentaux.
01:15S'ils autorisent l'Ukraine à tirer des missiles plus en profondeur dans son pays, cela équivaudrait, selon lui,
01:20une entrée en guerre de l'OTAN. C'est une demande de Volodymyr Zelensky, on le rappelle.
01:24Et le sujet est au menu des discussions aujourd'hui entre le Premier ministre britannique et le président américain Joe Biden.
01:31Y aura-t-il des personnalités de gauche dans le gouvernement de Michel Barnier ? Le Premier ministre le souhaite.
01:37Mais pour l'instant, ceux qui l'a appelé semblent avoir dit non. C'est le cas de Stéphane Le Foll qui nous l'a confié ce matin sur l'antenne d'RTL.
01:44Un autre ancien ministre de François Hollande, François Rep, s'amène à lui aussi décliner la proposition.
01:51Et puis, 4 000 policiers et gendarmes seront mobilisés demain à Paris pour la grande parade des athlètes olympiques et paralympiques.
01:59Ce sera sur les Champs-Elysées. 70 000 personnes sont attendues pour les acclamer.
02:05Tout à l'heure, je disais qu'il fait froid au Mans, mais en fait, il fait un temps magnifique. On est sous un beau soleil.
02:10Mais si ça ne vous fait rien, on va demander à Valérie Quintin de vous défendre.
02:12Oui, parce que c'est une experte.
02:14Valérie, parlez-nous du temps, s'il vous plaît.
02:16C'est vrai qu'il fait beau au Mans, mais à Nantes aussi, à Bordeaux également, à Marseille jusqu'à Nice, au Havre, à Saint-Malo et même du côté de Reims.
02:23Alors, on a quelques petits points orageux qui persistent encore entre le Massif central, les Alpes et les Jura.
02:28Encore, c'est une salve orageuse qui descend par le nord, qui touche le Pas-de-Calais, qui va gagner l'Île-de-France au fil des heures.
02:33Mais partout ailleurs, la journée sera plutôt bien ensoleillée.
02:36Ce qui va nous permettre de supporter les tout petits 14 degrés prévus à Besançon, au Clermont-Ferrand, au plus chaud de l'après-midi.
02:4216 à Lille, 17 à Paris, 18 degrés pour Agen, comme au Mans, 19 à Nantes et à Marseille.
02:47Merci Valérie.
02:57Il y a beaucoup d'autres santéismes maladie en France.
03:00Écoutez, moi je vous propose la chose suivante, pour une fois qu'on va être les premiers au monde.
03:04L'employé n'aura pas besoin de venir travailler.
03:06On ira lui faire un café au lit, un petit bisou sur le tronc et puis ça ira bien comme ça.
03:13Voilà, un petit bisou.
03:14Tout de suite, ça va mieux ?
03:15Bah oui.
03:16J'essaierai avec vous Céline, un de ces jours.
03:19Mais je suis toujours là quand même.
03:20Toujours là.
03:21Bonjour Sabrina.
03:22Bonjour.
03:23Bonjour.
03:24Sabrina, vous avez appelé au 3210 pour réagir à ce sujet et ce qu'évoquait François Langlais ce matin,
03:31cette proposition de rémunérer ceux qui ne prennent pas d'arrêt de travail.
03:35Qu'est-ce que vous en pensez ?
03:36Je pense que ça existe déjà dans pas mal de secteurs de l'industrie ou des services.
03:40C'est une forme de prime d'assiduité ou prime de présence.
03:43Et ça va se développer selon moi parce que c'est une façon de faire réfléchir ceux qui se mettent en arrêt trop facilement,
03:50de voir ce qu'ils ont à y perdre.
03:52Vous n'avez quand même pas l'impression qu'on marche un peu sur la tête, qu'on récompense finalement la normalité ?
03:58Parce que la normalité, c'est d'aller bosser.
04:00Malheureusement, ce n'est plus le cas actuellement, je pense.
04:03Ça, vous le sentez aujourd'hui ?
04:06Alors, on ne va pas accabler forcément les nouvelles générations, mais peut-être est-ce que c'est un effet du temps, du post-Covid ?
04:14Je pense qu'en fait, il faut revoir le rapport au travail.
04:23Mais ça, c'est un vaste chantier dans l'immédiat pour lutter contre le nombre d'arrêts de travail qui explose,
04:30comme s'en alarmait l'assurance maladie cette semaine avec les coûts qui vont avec.
04:34Repenser le rapport au travail, ça risque de prendre beaucoup de temps dans l'immédiat des primes d'assiduité.
04:39C'est une solution pour vous ?
04:42En fait, il n'y a plus que des avantages à être en maladie.
04:44C'est simplement de reprendre le dessus et de permettre aux employeurs de ne pas trop y perdre.
04:56Ça leur coûte énormément.
04:58Vous êtes salarié vous-même, Sabrina ? Vous êtes chef d'entreprise, employeur.
05:02Et vous avez l'impression d'avoir des salariés qui abusent de ces arrêts de travail ?
05:06J'ai de la chance, je n'ai pas ces cas-là en entreprise.
05:10Vous n'avez pas encore mis en place cette prime ?
05:13Non.
05:15Restez avec nous, Sabrina. On a compris que vous étiez favorable.
05:18Je vous présente Alain, qui est à Saint-Nazaire.
05:20On traverse la France puisque vous êtes à Mulhouse.
05:22Bonjour, Saint-Nazaire. Bonjour, Alain.
05:25Bonjour.
05:26Alors, cette prime, qu'est-ce que vous en pensez ?
05:29J'ai eu un flash tout à l'heure.
05:34Non, mais bon, sans commentaire.
05:36J'ai eu un flash tout à l'heure. Je me dis que les gens de la SNCF, c'est sûr qu'ils n'en auront pas.
05:40Fermez les guillemets.
05:42Non, c'est n'importe quoi.
05:43Il est où le travail ? Il est où le plaisir du travail ?
05:46Il est où le plaisir de montrer à ses enfants que le matin, on se lève ?
05:49Moi, depuis 1975 que je suis dans le métier de traiteur, je me suis peut-être arrêté 4 mois.
05:574 mois.
05:58Je n'ai pas de prime, moi.
05:59Je n'ai rien.
06:00J'ai eu un bon salaire, j'aime mon métier, c'est une passion.
06:02Quand on n'aime pas son métier, quand on y va à reculons, c'est sûr qu'on a des avantages.
06:06Il y a trop d'avantages en France.
06:07Maintenant, on va encore créer une prime.
06:09Faut penser au patron.
06:10Moi, je suis désolé.
06:11Moi, je n'aime pas le mot patron.
06:12Je n'aime pas le mot employé.
06:13Je dis des associés.
06:14Et moi, je suis là avec tous les emmerdes, les comptes, les recomptes, les machins.
06:19Il faut encore donner 1 000 euros pour...
06:20Excuse-moi, mon petit poussin, tu peux éviter d'être malade trop souvent cette année ?
06:25Non, mais c'est quoi l'histoire ?
06:27Vous avez des problèmes ou pas, Alain, avec vos associés ?
06:31Parce que vous ne voulez pas qu'on les appelle des salariés.
06:33Non, non, ils sont bien.
06:36Non, je vous explique.
06:37J'ai eu une grosse affaire à Rennes.
06:39Ça m'a dégoûté d'avoir du personnel.
06:41Maintenant, je dis du personnel.
06:42Par contre, ici, à Saint-Nazaire, je suis traiteur événementiel.
06:45J'ai beaucoup, beaucoup de travail.
06:47Ça n'a rien à voir avec le fait que c'était des Bretons.
06:49On est bien d'accord.
06:51Ah, ce n'est pas sûr, madame.
06:54Moi, je suis un pur Breton.
06:57Ici, je travaille au coup par coup avec des extras.
07:00Parce que je ne veux plus retomber dans...
07:02Excuse-moi, il y en a une fois...
07:04J'ai une petite histoire, deux secondes.
07:05Il y en a une fois, mon second de cuisine, il me dit...
07:08Chef, dans deux semaines ou trois semaines, je ne serai pas là.
07:11Je dis pourquoi ? Qu'est-ce qui se passe ?
07:13Il me dit parce que je vais écouter le chant du Brame dans la forêt de Paimpont.
07:16Le chant du Brame, c'est le cerf, je ne sais pas trop quoi.
07:18C'est magnifique.
07:19En même temps, il faut se lever tôt pour y aller.
07:21Il avait quand même deux jours de repos.
07:23Il ne travaillait pas le soir.
07:24Eh bien, j'ai dit non.
07:26Le monsieur s'est mis en maladie.
07:28Est-ce que les médecins, là-dedans, ne seraient pas un peu responsables de tout ça ?
07:31Très bonne question, Alain.
07:32Ça me donne l'occasion d'inciter éventuellement les médecins à nous faire le 32-10.
07:38Parce qu'ils sont un peu mis en cause aussi régulièrement.
07:40Est-ce que certains ne donnent pas les arrêts de travail un peu facilement ?
07:44Tout cela, évidemment.
07:45Vous parliez de conditions de travail difficiles.
07:48Il y a des conditions de travail qui sont particulièrement dures.
07:51Je pense aux agents pénitentiaires.
07:53On a la chance d'avoir ici, dans le public, Vincent qui est à mes côtés.
07:59Bonjour, Vincent.
08:00Bonjour.
08:01Merci de m'accueillir.
08:02Bonjour.
08:03Bienvenue.
08:04Agent pénitentiaire, on sait que ce sont des conditions de travail particulièrement difficiles.
08:07Il y a beaucoup d'arrêts de travail dans la profession ?
08:09Il y en a régulièrement.
08:11Mais parfois, c'est aussi par vague.
08:13Je ne mettrai pas tout le monde dans le même panier.
08:16Depuis tout à l'heure et depuis ce matin, j'entends ce débat.
08:19Ce n'est pas parce qu'il y a potentiellement quelques arrêts de complaisance
08:24qu'il faut mettre tout le monde dans le même panier.
08:26Je me dis aussi que ça peut avoir un effet pervers
08:29avec des gens qui touchent des faibles salaires, peut-être parfois,
08:32qui se disant, comptant sur cette prime qu'on leur mettrait en place,
08:37par peur de perdre cette prime, viendraient travailler malades.
08:41Et mettraient encore plus leur santé en danger.
08:43Leur santé, celle des autres.
08:44On a eu une période de Covid, vous voyez.
08:46Il y a des virus qui traînent, etc.
08:48Mais en fait, vous venez de travailler malade,
08:50vous pouvez aussi contaminer d'autres personnes si c'est viral, par exemple.
08:53C'est pour ça que je suis totalement opposé à cette idée.
08:56Je trouve ça complètement ridicule.
08:59Sur le salaire, quand on est en arrêt maladie,
09:01on perd déjà le jour de carence.
09:04Alors, ils ne sont pas les mêmes.
09:06Oui, d'une profession à l'autre.
09:08D'une profession à l'autre, que vous soyez fonctionnaire
09:10ou que vous soyez dans le privé.
09:12Vous avez déjà une répercussion sur le salaire.
09:14Et d'autant plus sur les arrêts courts.
09:16Parce que que vous preniez un arrêt de 5 jours,
09:18ou vous en preniez un arrêt d'un mois,
09:20le nombre de jours de carence est le même.
09:22Donc, il ne faudrait pas qu'il y ait un effet inverse.
09:24N'empêche qu'on parle de plus en plus des arrêts de travail de complaisance.
09:28Vous entendiez aussi cet auditeur.
09:30C'est dans l'air.
09:31Moi, je vais revenir à ce que vous venez de dire.
09:33Parce qu'en fait, c'est vous qui avez employé le mot et personne avant.
09:35Effectivement, il faut aussi peut-être regarder d'abord, avant tout,
09:38les conditions de travail.
09:39Mais je ne parle pas pénitentiairement parlant.
09:41Je parle de la société en général.
09:43On en demande de plus en plus aux gens.
09:45Dans leur métier, on leur demande de faire de plus en plus d'heures.
09:48On a du mal à recruter dans certaines professions.
09:50Et après, on s'étonne que les agents s'en arrêtent maladie.
09:52Ou les personnels s'en arrêtent maladie.
09:54Mais il faut peut-être aussi revoir
09:56pourquoi on tire sur la corde de ces gens-là.
09:58Écoutez, c'est très juste en tout cas.
10:00Merci de nous avoir éclairé.
10:02Vous habitez en périphérie du Mans.
10:04Surveillant pénitentiaire. Dans quel établissement ?
10:06C'est la maison d'arrêt du Mans de Coulaines, juste à côté.
10:09Merci d'être venu nous voir.
10:11Vous avez des applaudissements.
10:14Ce n'est pas évident de venir,
10:16de prendre la parole quand on n'a pas l'habitude.
10:18Merci de l'avoir fait.
10:20En plus, c'était limpide. Merci beaucoup.
10:22Franck aussi nous a appelé au 3210.
10:24Bonjour Franck.
10:26Oui, bonjour.
10:27Bonjour Franck, cadre commercial.
10:29Vous êtes à Strasbourg.
10:30Exactement. Bonjour à toutes et à tous.
10:32Je vais faire court.
10:34Il y a quelques années, je travaillais pour une société,
10:36un patron qui a tout compris.
10:38Il s'est dit, je perds de l'argent,
10:40parce que j'ai un taux d'absentisme qui est trop important.
10:42Qu'est-ce que je vais faire ?
10:44Je vais arrêter de maintenir le salaire.
10:47Je peux vous assurer que ça fonctionne.
10:49C'est-à-dire arrêter de maintenir le salaire.
10:51Le patron faisait des retenues sur le salaire ?
10:56Non, il ne faisait pas de retenues, pas du tout.
10:58Ce n'est pas très légal ça, si ?
11:00Attendez, je vais vous expliquer.
11:02On n'a pas bien compris là, Franck. Allez-y.
11:05En fait, c'est l'entreprise qui prévoit ou non le maintien du salaire
11:08et se fera rembourser par la suite,
11:10par la caisse primaire d'assurance maladie.
11:12C'est comme ça que ça fonctionne.
11:14C'est comme ça, c'est le fonctionnement normal.
11:16C'est le fonctionnement normal.
11:18L'entreprise n'est pas obligée de maintenir le salaire.
11:21Il n'y a aucune obligation.
11:23Si à la fin du mois, vous êtes absent deux ou trois fois,
11:26voire une dizaine de jours,
11:28je parle uniquement des arrêts de complaisance.
11:31Parce qu'il y a des pathologies lourdes
11:33dont on ne peut pas en parler,
11:35qui n'ont rien à voir là-dessus.
11:37Mais les arrêts de maladie de complaisance,
11:39je peux vous garantir que quand, à la fin du mois,
11:41le salarié se rend compte qu'il lui manque un petit peu de sous
11:43pour boucler à la fin du mois,
11:45son rapport au travail va totalement changer.
11:47Bien sûr.
11:49Et puis il y a la question des arrêts maladie du vendredi après-midi
11:51ou du lundi matin.
11:53On est bien d'accord.
11:55Je ne peux pas venir parce que j'ai mal à la tête.
11:57Je ne peux pas venir parce que...
12:00C'est la question du rapport au travail aussi.
12:02Elle a été soulevée par de nombreux intervenants depuis le début.
12:05Et Vincent, qui était avec nous tout à l'heure,
12:08qui était dans le public,
12:10nous parlait aussi de salariés
12:12qui sont aussi davantage mis sous pression.
12:14Je voudrais juste vous redonner ce chiffre de cette étude
12:17qu'Artel vous révélait il y a quelques jours.
12:1942% des salariés français aujourd'hui
12:21se disent en détresse psychologique.
12:24Et ça, peut-être que ça joue aussi
12:27dans le fait de demander plus ou moins vite des arrêts de travail
12:31lorsqu'il y a un virus qui se rajoute
12:33sur un état psychologique déjà un petit peu difficile.
12:36Vous le ressentez ça, Franck ?
12:38C'est du bon cas. Je l'ai vécu.
12:40J'ai vécu une pression commerciale
12:42comme tous les commerciaux peuvent la connaître.
12:44De l'oppression même. C'est allé jusqu'à de l'oppression.
12:47C'est-à-dire le matin, pas envie d'y aller.
12:50Non, c'est vos frères de cuisine qui vous appellent à 7h du matin
12:53qui vous disent « T'as vu, je t'ai envoyé un mail hier soir.
12:56Pourquoi tu m'appelles pour me dire que je t'ai envoyé un mail ?
12:59J'aurais le temps de le lire. »
13:01Qui vous appellent à 18h30, 19h pour voir
13:03si vous avez bien rempli votre journée.
13:05Tout ça, à un moment donné, on se dit que ça suffit.
13:07Le dimanche soir, je n'ai pas envie d'aller bosser
13:09avec la boule au ventre. Je vais y aller.
13:11Donc, j'ai arrêté. J'ai 57 ans.
13:13J'ai décidé d'arrêter avec cet employeur.
13:15Je continue à travailler parce que je retrouve un nouvel emploi.
13:20Parce qu'il y a encore des gens, des employeurs en France
13:22qui font confiance aux Français.
13:25Dans ma vie, j'ai dû être arrêté 2 ou 3 fois maximum
13:28pour des opérations chirurgicales.
13:31Encore une fois, c'est le rapport au travail.
13:33Je pense que donner des gens en leur disant
13:35« T'auras une petite prime si tu viens travailler,
13:37si tu n'es pas malade. Mais attendez, on signe un contrat
13:40avec un nombre d'heures qu'on doit respecter.
13:44Donc, pourquoi toujours donner de l'argent ? »
13:46Ça a des répercussions inimaginables.
13:49Ça va augmenter le coût du travail.
13:51Ça va augmenter les prix, etc.
13:53C'est votre avis et vous l'avez donné avec brio, Franck,
13:56sur l'antenne d'RTL.
13:58Les avis sont partagés.
14:00On a Jacqui et Vincent, par exemple, qui veulent intervenir
14:03et qui ne pensent pas forcément la même chose.
14:06Ils vont pouvoir le dire tranquillement dans un instant.
14:09Je sais aussi qu'on peut, si vous le souhaitez,
14:12parler des nouveaux modes de chauffage.
14:16Si vous avez décidé à l'occasion des mesures
14:19qui ont été annoncées il y a quelques temps
14:21de changer votre chaudière, de passer au chauffage à bois
14:25ou avec… comment ça s'appelle ?
14:27Aidez-moi un petit peu…
14:28Un poêle ?
14:29Un poêle…
14:30La géothermie ? Je ne sais pas.
14:32Voilà, il y a les poêles appelées.
14:34Bref, je n'ai pas tout en magasin.
14:37Mais en tout cas, tous ces modes de chauffage alternatifs,
14:40vous n'hésitez pas, vous nous en parlez au 3210.
14:42On vous attend ici en direct du Mans.
14:44À tout de suite.
14:46Envoyez-nous vos messages sur l'application RTL
14:48ou appelez-nous au 3210.
14:5050 centimes la minute.
14:5213h-14h.
14:54Les auditeurs ont la parole
14:56avec Vincent Parizeau et Céline Landreau.
14:59Je suis le gérant du contrôler de 60 salariés sur 60 personnes.
15:04J'ai à peu près une dizaine de personnes
15:07qui sont régulièrement en arrêt maladie,
15:09qui sont des arrêts maladie fantômes.
15:12J'ai un salarié qui a un accident de travail
15:14pour une entente à la cheville depuis deux ans.
15:16Ceci n'est qu'un exemple.
15:18Et je pourrais en donner une dizaine de plus.
15:21Voilà, exemple concret d'abus d'arrêt maladie
15:25par Luigi qui a fait le 3210
15:28et laissé ce message sur le répondeur d'RTL.
15:32On a Jacqui qui a fait le 3210 également,
15:35qui est à Douai, qui est chauffeur-livreur.
15:38C'est ça, Jacqui ?
15:39Oui, c'est ça, monsieur Parizeau. Bonjour.
15:41Bonjour. Ce n'est pas un métier facile non plus, ça ?
15:43Non, non, non. Et vous savez quel âge que j'ai ?
15:46J'ai 63 ans, prenez soin, je continue encore.
15:49Ah ben, chapeau.
15:50Ça va ? Pas trop mal au dos quand il faut charger et décharger ?
15:53Bon, écoutez, de toute façon,
15:55quoi qu'il arrive dans la vie, il faut travailler.
15:57Oui. Du coup, quelque chose me dit
15:59que cette prime, ça vous énerve.
16:02Oui, il faut arrêter de penser les patrons,
16:04les patrons, ils disent qu'ils ne gagnent pas de l'argent.
16:06Si on ne gagne pas de l'argent, on rentre dans la boutique et on vit.
16:08Après, il faut penser un petit peu aux générations d'ailleurs.
16:10Bon, c'est vrai qu'une petite prime
16:12qui tomberait à la période avant Noël,
16:14ça donnerait à réfléchir à certaines personnes
16:17qui s'arrêtent pour une vie, pour un an.
16:19Ceux qui sont gravement malades, OK, il n'y a pas de problème.
16:21Mais il y en a qui s'arrêtent parce qu'ils se fêtent de travers
16:24ou ils n'ont pas mis de fric, ils pleuvent dehors ou qu'ils niaisent.
16:26Finalement, ça serait injuste,
16:28ceux qui sont véritablement gravement malades,
16:30parce que pour la prime, ça serait ceinture.
16:33C'est en fait double peine.
16:34Non seulement ils sont malades et en plus, ils n'ont pas la prime.
16:37Pourquoi pas ?
16:39Si c'est justifié, si le mec a un cancer,
16:42ou il a un bruit au cœur, ou un truc comme ça,
16:44là, ce n'est pas juste.
16:46Mais ceux qui s'arrêtent pour une vie,
16:48ben non, parce qu'ils ont tordé la cheville,
16:50ils ont mal à la tête.
16:51Le lundi matin, c'est 14h00,
16:53beaucoup ne viennent pas travailler parce qu'ils ont fait la fête.
16:55Il y en a qui s'embrouillent.
16:58Là, Jackie, c'est plus un problème de contrôle
17:00de la justification de l'arrêt de travail
17:03qu'une question de prime pour ceux qui sont là plus souvent.
17:06C'est pour ça que je vous dis qu'à la fin du mois,
17:08à la période de Noël,
17:10ceux qui n'ont pas arrêté beaucoup, qui ont une prime,
17:12on devrait réfléchir à ceux qui s'arrêtent
17:14pour une vie, pour un an.
17:16Et ça ne ferait pas de mal, ça mettrait un peu de beurre
17:18dans les épinards.
17:20Voilà, parce qu'au moment de Noël,
17:21si en plus, il y avait une petite prime,
17:22on va dire 80 euros,
17:24ça permettrait d'acheter des cadeaux
17:26ou faire Noël tranquillement.
17:28Ça ne sortirait pas du budget.
17:30Voilà, effectivement, Jackie,
17:32une prime qui pourrait être bienvenue
17:34à condition de savoir à qui
17:36l'a distribuée.
17:38Merci, Jackie.
17:39Vous savez que cette émission d'Airtel Midi,
17:41les auditeurs ont la parole, est un peu particulière
17:43parce qu'on est au direct du Mans et donc les gens
17:45dans le public peuvent aussi intervenir.
17:47C'est le cas de Martine.
17:50Bonjour Martine.
17:51Bonjour Martine, approchez-vous du micro.
17:53Martine, vous vouliez réagir
17:55aussi à ce sujet parce que vous avez travaillé,
17:57je crois, dans des endroits où ces primes
17:59de la sécurité existaient.
18:01Et en fait, on avait une prime
18:03si on était tout le temps au travail
18:05et si on avait à chaque fois un arrêt,
18:08la prime baisse.
18:10D'accord.
18:11C'est-à-dire que si on a un long arrêt,
18:13on n'a pas de prime.
18:14D'accord.
18:15Et d'une certaine manière,
18:16vous trouvez ça juste ou pas ?
18:18C'est le fond…
18:21Normalement, si on a un long arrêt,
18:23c'est qu'on est assez gravement malade.
18:26En fait, moi, je pense
18:28qu'on ne choisit pas d'être malade
18:30parce qu'il y a des personnes
18:32qui se sentent fatiguées,
18:33qui ne savent pas pourquoi.
18:34On va dire qu'il y a des manières,
18:36comme la fibromalgie,
18:37il y a des maladies qui sont…
18:39Il y a des maladies qu'on ne voit pas.
18:41Qu'on ne trouve pas tout de suite.
18:42Et les personnes qui sont fatiguées
18:44ont des douleurs.
18:45C'est de la comédie.
18:46Donc, c'est difficile de porter un jugement.
18:49Il y a les handicaps invisibles.
18:51Voilà.
18:52Qui sont difficiles.
18:53Exactement.
18:54Qu'ils soient garçons ou…
18:55Et je pense que
18:57de donner une prime
18:59à une personne qui travaille toujours,
19:01elle peut de jour en lendemain
19:03se retrouver dans cette situation.
19:05Et au final,
19:07elle se rendra compte
19:08que tout le monde peut être amené à être malade.
19:10Martine, vous personnellement,
19:12est-ce que,
19:13et peut-être certains de vos collègues,
19:14si vous en avez discuté avec eux,
19:15ça vous a incité,
19:16certains jours,
19:17où on est un peu fiévreux,
19:18pas trop bien,
19:19et qu'on se dit,
19:20bon, en même temps,
19:21il y a la prime si…
19:22J'y vais pour la prime.
19:23C'est même pas la prime
19:24qui nous fait travailler.
19:25C'est la passion, plus ?
19:26C'est le fait qu'on ne voulait pas
19:28laisser les collègues dans l'embarras.
19:30Oui.
19:31C'est plus ça.
19:32Un poste en moins,
19:33qui n'est pas remplacé.
19:34Voilà.
19:35Et puis,
19:36généralement,
19:37on était,
19:38on est au travail, oui.
19:39Mais ce n'est pas la prime en priorité,
19:41sûrement pas.
19:42Parce qu'on le savait, donc…
19:44C'était quelque chose
19:45qui était apprécié dans l'entreprise ?
19:47Je n'ai jamais eu d'écho par rapport à ça.
19:49Oui.
19:50C'était normal,
19:51on a signé pour, voilà.
19:52Et c'était combien, par curiosité ?
19:54Vous vous en souvenez ?
19:55Alors,
19:56je ne sais pas si ça faisait un mois de salaire,
19:59mais je ne suis pas certain.
20:00Ah, quand même !
20:01Non, je ne suis pas sûre.
20:02Non, un peu moins.
20:03Mais alors,
20:04ça faisait,
20:05c'était calculé sur 140 jours d'absentéisme.
20:07Ah oui, effectivement.
20:09Donc, ça fait quand même une grande…
20:11C'était,
20:12si on arrivait à 140 jours dans l'année,
20:14on n'avait plus du tout de prime.
20:15Voilà.
20:16Oui.
20:17Ça fait un jour sur trois, à peu près,
20:19si je ne me trompe pas.
20:20Donc,
20:21bon,
20:22c'est rare qu'on était en arrêt aussi long,
20:25à moins d'être en longue maladie, quoi.
20:28Eh bien, merci, en tout cas,
20:29de ce témoignage, Martine.
20:31Mancelle d'adoption,
20:33vous nous avez dit.
20:34Oui, moi, je suis Angevine, en fait.
20:36Ah, pas très loin non plus, ça va.
20:39Vincent a fait le 32-10.
20:41Merci encore,
20:42et bravo pour votre intervention.
20:43Vincent a fait le 32-10,
20:44du côté de Caen.
20:45Bonjour, Vincent.
20:46Oui, bonjour.
20:47Courtier en assurance.
20:49C'est ça, exactement.
20:51Et alors,
20:52pour vous,
20:53cette prime, c'est non ?
20:54Ce n'est pas, si vous voulez,
20:55ce n'est pas aussi simple que ça,
20:56mais c'est,
20:57d'abord, ce que vous avez dit juste avant,
20:59en train de mon sens.
21:01Vous êtes malade,
21:02donc c'est la double peine.
21:04Puisque, comme vous êtes malade,
21:06vous n'avez pas accès à la prime.
21:08Donc, déjà, rien que ça,
21:09moi, ça m'interpelle.
21:11Ensuite, il ne s'agit pas de...
21:14Je vous donne un exemple.
21:15Moi, je suis courtier en assurance.
21:16J'assure essentiellement
21:18des travailleurs indépendants.
21:19Alors, ça peut être des commerçants,
21:21des artisans, des libéraux,
21:22alors bouchers, plombiers,
21:24carleurs, experts comptables, avocats,
21:26enfin, bref,
21:27que des gens qui dépendent d'un régime
21:29qui s'appelle la sécurité sociale des indépendants.
21:31Pour ces gens-là,
21:32la carence en maladie,
21:34on arrête le travail des 3 jours.
21:36Sur 400 clients que nous suivons depuis 5 ans,
21:39des arrêts de travail de moins d'une semaine,
21:42vous m'entendez,
21:43sans hospitalisation,
21:44on en a zéro.
21:46Zéro.
21:47Ça veut dire quoi ?
21:48Ça veut dire, bien sûr,
21:49quand on a supprimé la carence,
21:51le jour de carence chez des fonctionnaires,
21:53il y a une quinzaine d'années de ça,
21:55qu'on a supprimé le jour de carence,
21:57qu'est-ce qui s'est passé l'année qui a suivi ?
21:59Eh bien, le taux d'absentéisme a fondu.
22:01On a vu les effets spectaculaires dans la foulée,
22:04oui, c'est vrai.
22:05Exactement.
22:06Ce que vous disiez est tout à fait vrai.
22:07Pour quelqu'un qui a une pathologie lourde,
22:08une infection longue durée,
22:09ou qui souffre même d'une dépression chronique,
22:11ou du burn-out qu'on rencontre tout le temps,
22:13la question ne se pose pas.
22:15Si on n'est plus sur les arrêts de courte durée.
22:18Vous restez avec nous, Vincent,
22:19on vous reprend dans un instant.
22:21Mais Jean-Alphonse Richard,
22:23vous ne voyez pas, Vincent,
22:24vous n'êtes pas là,
22:25mais le public,
22:26il a déjà acclamé,
22:27il a reçu un accueil chaleureux,
22:28qu'on peut peut-être doubler, effectivement.
22:30Il le mérite.
22:31Pour la première émission de radio,
22:33100% fait d'hiver.
22:34100% fait d'hiver au Mans,
22:36avec une histoire qui se passe au Mans aujourd'hui,
22:38parce qu'on va rester dans cette belle ville
22:40où on est si bien accueillis depuis hier soir,
22:43avec un assassinat, il faut le dire comme ça,
22:47l'assassinat de celui qu'on surnommait
22:49le roi de la rillette.
22:51Il s'appelle Frédéric Guittard,
22:52c'est un ancien directeur d'une charcuterie locale
22:55très renommée que tout le monde connaît ici.
22:57C'était à l'été 2015.
22:58Alors les enquêteurs,
22:59ils vont penser tout de suite à une affaire privée.
23:02L'épouse, eh oui, l'épouse,
23:04elle va apparaître dans le paysage.
23:05Elle était certes en colère
23:07parce que son mari voulait divorcer,
23:09mais de là à tuer Fred,
23:10comme elle l'appelle,
23:11elle l'appelle Fred,
23:12il y a un pas qu'elle jure ne pas avoir franchi.
23:15Et pourtant,
23:16c'est bien dans un piège machiavélique
23:18qui s'est refermé sur le mari.
23:21Quel piège ?
23:22Il faut que vous restiez avec nous dans l'heure du cri,
23:24parce que je vous raconte tout ça à 14h,
23:26en direct du Mans,
23:27encore une fois, bien sûr,
23:28l'assassinat du roi de la rillette.
23:3014h, RTL.
23:32En direct, évidemment, du Mans,
23:34devant ce public magnifique et chaleureux.
23:37Vous allez en profiter.
23:38Dans un instant,
23:39on va faire une courte pause.
23:41Vous avez toujours la parole.
23:43A tout de suite.
23:45Pendant 24h,
23:46RTL est en direct du Mans.
23:50Les auditeurs ont la parole.
23:51Vincent Parizeau et Céline Landau sur RTL.
23:54Toujours en direct du Mans.
23:56On va aller faire un petit tour.
23:58Gardez vos applaudissements au frais,
24:00parce que je vais vous solliciter dans un instant.
24:02On va aller au 3210
24:04et regarder les messages avec Victor.
24:07Victor Darcas,
24:08j'en profite pour saluer et vous faire applaudir
24:10ceux qui préparent cette émission.
24:12Victor Darcas.
24:14Il y a Théo,
24:15qui est là,
24:16qui est à la régie,
24:17en régie également à Paris.
24:19Damien.
24:20On salue Enzo.
24:21On salue Cerise et Alexia,
24:23qui reçoivent vos coups de fil au 3210.
24:27Moi, je salue aussi Olivier G,
24:29qui est là,
24:30bien sûr,
24:31directeur adjoint de la rédaction d'RTL.
24:33Est-ce que j'ai été complet ?
24:35Sophie Orange,
24:36que vous pouvez voir ici au travail,
24:38à ses côtés brise du génie.
24:39Mais je n'ai oublié personne.
24:41C'est un travail d'équipe.
24:43Voilà.
24:44En général,
24:45ce que vous voyez,
24:46que vous entendez,
24:47c'est une infime partie
24:48de tous ceux qui travaillent
24:49pour assurer cette antenne.
24:50Victor Darcas,
24:51des messages.
24:52Des messages sur nos réseaux sociaux
24:53et sur l'application RTL.
24:54On commence avec Marie-Ève,
24:56qui nous dit,
24:57écoutez,
24:58cette prime,
24:59si elle peut remotiver
25:00certains employés
25:01qui manquent de conscience professionnelle,
25:02pourquoi pas ?
25:03Dominique,
25:04lui,
25:05est moins convaincu.
25:06Ces primes,
25:07sont-elles une bonne solution ?
25:08Visiblement pas,
25:09puisqu'en Allemagne,
25:10elles ont eu l'effet inverse.
25:11Et puis,
25:12on termine avec Sandrine,
25:13qui dit qu'il y a cinq ans
25:14que dans son entreprise,
25:15il y a une prime d'assiduité
25:16qui est en place
25:17et cette prime est trimestrielle
25:18et qu'elle saute
25:19si on a un seul jour d'arrêt.
25:20Merci beaucoup.
25:21On est toujours en ligne avec Vincent.
25:22Vincent,
25:23vous êtes là ?
25:24Oui.
25:25Pardon ?
25:26Oui.
25:27Allez-y,
25:28allez-y.
25:29Non,
25:30non,
25:31mais...
25:32Est-ce que vous avez tout dit ?
25:33On avait l'impression
25:34de vous avoir coupé,
25:35alors...
25:36Non,
25:37non,
25:38mais vous avez tout résumé.
25:39Je pense qu'encore une fois,
25:40le souci se pose
25:41sur des arrêts courts
25:42et qu'à partir du moment
25:43où on revoit le principe
25:44des jours de carence,
25:45ça se résoudra
25:46sans question de prime
25:47pour ceux qui ne sont pas malades.
25:48C'est ce qu'on va faire, Vincent.
25:49On va aller...
25:50Et vous pouvez rester avec nous,
25:51évidemment,
25:52pour réagir.
25:53On va aller demander
25:54son avis à Emmanuel
25:55parce qu'Emmanuel
25:56le vit,
25:57ça,
25:58ce système
25:59de prime
26:00et d'arrêt maladie
26:01dans son entreprise.
26:02On va dans le Nord,
26:03c'est ça,
26:04du côté de brouiller
26:05sur l'ESCO.
26:06Bonjour, Emmanuel.
26:07Bonjour.
26:08Bonjour.
26:09Bonjour.
26:10Bonjour.
26:11Bonjour, Emmanuel.
26:12Oui, bonjour.
26:13Bonjour, Vincent.
26:14Bonjour, tout le monde.
26:15Bonjour à tous les auditeurs.
26:16Quel type d'entreprise
26:17et quel type de prime, alors ?
26:18Alors, en effet,
26:19moi, j'ai une pizzeria
26:20pas très loin de Valenciennes,
26:21à Rheim.
26:22Et donc,
26:23depuis que je suis
26:24le gérant de l'entreprise,
26:25je mets une prime trimestrielle
26:26qui est en sang,
26:27qui fait un global
26:28sur l'assiduité,
26:29sur l'assiduité
26:30et sur l'assiduité
26:31et sur l'assiduité
26:32et sur l'assiduité
26:33et sur l'assiduité
26:34et sur l'assiduité
26:35et sur l'assiduité
26:37en sang
26:38qui fait un global
26:39sur l'assiduité,
26:40sur le travail,
26:41sur la qualité du travail
26:42et sur l'ensemble.
26:43D'accord.
26:44Malgré tout,
26:45après 20 ans
26:47de collaboration
26:49avec mes salariés,
26:50il s'est mis
26:52en arrêt de travail
26:54ça fait trois ans aujourd'hui.
26:56Pourquoi ?
26:57Parce qu'il s'était mis
26:59à boire
27:00et je lui ai dit
27:02plutôt que lui envoyer
27:04un courrier
27:05et qu'on se connaissait depuis 20 ans, je lui ai dit écoute vaut mieux arrêter tout de suite et
27:11sinon ça devra passer par des lettres et puis ça risque de finir faute grave ou autre. Et depuis
27:19il s'est mis en arrêt de travail pour burn-out. Donc il a dit à son médecin, lui il dit à son
27:27médecin prétend en effet qu'il reconnaissait qu'il y avait des petits problèmes d'alcool
27:31et que par contre il s'était suite au burn-out du travail. Or ce n'était pas du tout le cas.
27:38Et malgré ça, ça fait trois ans aujourd'hui qu'il est en arrêt maladie chez nous.
27:46Est-ce qu'il a des contrôles ? Est-ce que vous savez s'il a été contrôlé ?
27:51Alors il n'a pas été contrôlé parce qu'en fait moi j'ai contacté la médecine du travail et la
27:57médecine du travail l'a convoqué et il a dénié pas aller au rendez-vous parce qu'il y avait ce
28:04jour-là d'autres choses à faire. Donc il n'a pas été contrôlé. Ici aujourd'hui j'ai reçu un
28:11courrier de la sécurité sociale qui dit qu'il est en fin de droit sécurité sociale et j'ai
28:27appris qu'il pouvait réintégrer l'entreprise un mois et reprendre encore jusqu'à trois ans d'arrêt
28:36maladie. Et donc vous allez l'accueillir quand il va revenir Emmanuel ? Comment ça va se passer ?
28:41On va l'accueillir, on va l'envoyer nous, on va l'envoyer à la médecine du travail. Après par
28:48obligation on est obligé de l'accueillir par l'obligation mais de voir un petit peu. Oui vous
28:53appréhendez un peu le retour. Gislaine aussi nous a appelé au 3210. Bonjour Gislaine. Oui bonjour
28:59à tous. A votre point de vue ? Ah bah non mais alors moi ça me fait bondir. Attendez puis quoi
29:07encore ? Les petites entreprises comment ils vont faire pour donner les primes ? Comment ils vont
29:15faire ? Il n'y a que les grosses entreprises qui vont pouvoir. Alors ça dépend de la taille de
29:20l'entreprise, ça dépend du montant de la prime, ça dépend de beaucoup de choses. Oui bah attendez,
29:24si vous n'êtes pas content de votre boulot, que vous traînez les pieds parce que vous êtes toujours
29:28en arrêt de travail. Moi je suis indépendante, je travaille, je suis poissonnière, je fais les
29:35marchés. Mais c'est quoi cette histoire là ? Ça vous arrive d'aller travailler Gislaine en étant
29:41fiévreuse, fatiguée ? Mais à crever, mais complètement, je m'arrête pas. Mais nous quand
29:47on est en arrêt de travail, c'est parce qu'on ne peut pas faire autrement, c'est une opération,
29:51c'est un problème grave. Mais qui c'est qui nous donne des primes nous quand on travaille pendant
29:5610 ans, 15 ans, sans arrêt de travail ? Qui c'est qui nous donne des primes nous ? Personne. Et pourtant
30:04il y a une pénibilité du travail quand on fait les marchés en étant poissonnière là-dessus,
30:09il n'y a aucun doute. Merci beaucoup Gislaine de votre témoignage. Dans un instant, on va
30:15rallumer le chauffage. Parce que même si on est très bien ici, on est au chaud, là sous la tente,
30:21RTL, vous n'avez pas froid quand même. Et puis il y a du soleil. En plus c'est très chaleureux et
30:26puis il y a du soleil. Mais ce matin on avait un petit 9-10 degrés, je crois, au Mans. Ça piquait
30:32un peu quand même, un peu moins. 7-8 degrés. Moi j'ai mis effectivement 6 degrés me dit Sophie
30:39Orange qui s'est levée à l'aube avec les équipes d'RTL petit matin. Bon, il fait froid, il fait
30:46froid dans toute la France. On rallume le chauffage et c'est l'occasion d'ouvrir avec vous le dossier
30:52de ces chauffages, disons alternatifs, voire quasiment pas de chauffage. Vous avez entendu
30:57parler, j'imagine Céline, de cet immeuble à Lyon qui va ouvrir sans chauffage et sans climatisation.
31:05À la Ruison 2026 où il y a un immeuble sans chauffage ni climatisation première en France qui pourrait être suivi dans
31:10d'autres villes si l'expérience est concluante. Mais ça, on vous en parle dans un instant.
31:14Pour encore quelques minutes en direct du Mans, devant ce public magnifique, chaleureux que je
31:35remercie. C'est vrai qu'on parle de chauffage maintenant. Pourquoi ? Parce qu'on a pris un
31:40gros coup de froid sur la France. Vous êtes très nombreuses sans doute à avoir rallumé la
31:45chaudière. Le chauffage, c'est l'un des principaux postes budgétaires dans une famille. Il y a eu la
31:52fin des chaudières off-fuel qu'il a fallu remplacer, l'arrivée d'un certain nombre de modes de
31:57chauffage alternatifs, voire parfois, vous le disiez Céline, de l'idée de bâtiments sans
32:04chauffage et sans clim l'été. C'est l'ambition en tout cas d'un immeuble qui sera livré dans deux
32:09ans maintenant, quartier de la Confluence à Lyon. Immeuble sans chauffage ni climatisation grâce à
32:14des matériaux qui doivent permettre de conserver toute l'année une température clémente, été
32:20comme hiver, à l'intérieur. Le chauffage, c'est un sujet qui vous a fait réagir aussi au 3210.
32:26Exactement. On peut commencer à appeler Thierry qui est à Bergerac. Bonjour Thierry.
32:32Oui bonjour. C'est génial de t'avoir Vincent. Tu es la quintessence absolue et totale de l'eau
32:49dimanche. Et ça, je t'adore. Ecoutez, vous n'êtes pas de ma famille. Je tiens à le préciser Thierry.
32:56Merci du compliment. C'est vraiment très gentil. Mais comme le disait Céline, c'est une émission,
33:04je ne vais pas reciter tout le monde, mais franchement qui se fait en équipe. Alors Thierry,
33:08vous, votre maison, vous l'avez construite tout seul de A à Z. C'est quoi cette histoire ?
33:15C'est génial. Il m'a rappelé, il m'a dit. Oui, vous avez créé votre maison. C'est vrai,
33:27à 100%. Et aujourd'hui, j'ai créé cette maison. Je l'aurais voulu passive, mais malheureusement,
33:37mes moyens ne me l'ont pas permis. Donc, on va dire qu'elle est demi-passive. Passive,
33:45on rappelle Thierry, ça veut dire qui ne consomme pas d'énergie, qui est autonome en fait. Voilà,
33:52absolument génial. Vous êtes absolument formidable. Merci, parce que j'étais un peu jalouse du
33:59compliment que vous aviez fait à Vincent. Non, on plaisante. Mais comment vous avez fait Thierry ?
34:05Quel matériau vous avez utilisé ? Comment on cherche à faire une habitation passive aujourd'hui ?
34:09C'est quoi les règles ? Alors, les règles, on va dire, elles sont simples. Bon, à part qu'il
34:17faut un petit peu de sous ou un peu de connaissances. Et quand j'ai fait cette maison avec
34:26cette fameuse brique allemande, et j'espère que je peux la nommer. Oui, non ? Surtout si elle est
34:32allemande, ce n'est pas grave. Allez-y. Voilà. Donc, cette brique, elle s'appelle la brique
34:37Bellenberg. C'est quoi ? C'est de la cellulose ? C'est quelque chose comme ça ? Voilà. Donc,
34:47c'est une brique, on va dire, inertive sur son épaisseur, sur sa largeur et tout ce que vous
34:56voulez. Et en plus, au-dessus du toit, dans les combles, la ouate de cellulose. Ah, c'est ça.
35:08D'accord. C'est des isolants particuliers pour permettre cette passivité. Et donc,
35:12vous chauffez très peu ? Qu'on sache Thierry, on va aller droit au but. Vous chauffez très
35:17peu et l'été, il ne fait pas trop chaud ? Non. Là, quand vous me rappelez, Enzo m'a posé une
35:28question totalement perturbante. J'ai dit que j'avais 22 degrés. Là, je regarde encore,
35:39j'ai 23 degrés avec de la brique monomure. Et on rappelle qu'Enzo qui pose des questions
35:50perturbantes, il travaille au standard. Ça fait partie de ce qu'il décroche quand vous
35:53composez le 32-10 et on les en remercie. Merci beaucoup Thierry. En tout cas,
35:58on a compris que c'était quelque chose qui pouvait effectivement amener à utiliser des
36:05techniques innovantes même si elles viennent d'Allemagne. Merci beaucoup. Beaucoup d'appels
36:14qui concernent les nouveaux modes de chauffage avec les granules, les granulés. Et on a un
36:19installateur qui est avec nous. Bonjour Olivier. Bonjour Vincent. Bonjour Céline. Bonjour. C'est
36:25la grosse tendance depuis quelques années. Oui, c'est une tendance. Certaines régions connaissent
36:31le bois, le chauffage au bois qui est quand même générationnel dans certaines régions comme l'Alsace
36:35où je suis. Et c'est un système de chauffage qu'on connaît depuis les premiers temps. Olivier,
36:42pardon de vous couper, je suis vraiment désolée. Je pense que vous êtes sur Haut-Parleur, non ? Non,
36:46non, non. Alors, on va marquer une courte pause. Vous allez discuter avec Damien qui est en régie
36:53à Neuilly pour qu'on vous entende un petit peu mieux parce que là, c'est un peu lointain et le
36:56public du Mans, je crois, n'entend pas tout et ça, c'est bien dommage. On se retrouve dans un instant
37:01à tout de suite, Olivier. RTL, journée spéciale au Mans. Les auditeurs ont la parole. Vincent
37:09Parizeau et Céline André sur RTL. Pour encore quelques minutes en direct du Mans et toujours
37:15en ligne avec Olivier, est-ce que la liaison est meilleure, Olivier ? Apparemment, ça va mieux.
37:19Un petit peu mieux. On disait, c'est la grosse tendance, les poêles à granules. Oui, alors,
37:23poêles à granules et poêles à bois, bois bûche, effectivement. C'est surtout le système de
37:27chauffage qui est efficace quand il est bien installé, bien utilisé avec du bon bois de
37:32chauffage ou du bon granulé. On arrive à chauffer des maisons, toute une partie des maisons pour
37:36des coûts qui sont relativement faibles en comparaison des systèmes existants comme
37:41l'électrique, le fioul, le gaz. Coups annuels, enfin, il faut amortir quand même toute l'installation.
37:45Alors, l'installation, il faut l'amortir. On l'amortit assez vite. Vous avez toujours des
37:50primes qui sont associées à la gouvernementale, qui peuvent passer par l'ADA. Donc, les gens
37:55peuvent passer par l'ADA pour bénéficier de certaines primes. Mais il y a surtout le fait de
38:00pouvoir se chauffer sans avoir de limites. C'est-à-dire que quand on va arriver à nouveau
38:04sur l'hiver, on va avoir des conseils, ne dépassez pas les 19 ou ça avec un poêle à bois, un poêle
38:09à granulé. Vous pouvez chauffer à 22, 23, 24 degrés votre maison sans aucun problème. C'est
38:13d'ailleurs même le concept de ce système de chauffage, c'est de pouvoir avoir des températures
38:17à l'extérieur. Merci, Olivier Guillaume aussi a fait le 30-20. Bonjour Guillaume. Bonjour,
38:23bonjour Vincent, bonjour Céline et puis bonjour le monde. Vous avez opté pour un autre système je
38:29crois. Alors oui, on a fait installer maintenant en 2019, 2018, une chaudière hybride, c'est-à-dire
38:38qu'il y a une PAC installée à l'extérieur, RR. Donc, on va récupérer les calories de l'air pour
38:44les transférer dans la maison. Et à côté, on est en Bretagne pour situer. Du coup, quand les
38:52températures descendent en dessous de zéro, c'est la chaudière fuel qui prend le relais. Et du coup,
38:59ça nous permet de... Alors à l'époque, le fuel n'était pas aussi élevé qu'aujourd'hui. Du coup,
39:05on pensait qu'on avait choisi la bonne option. Et finalement, non. Avec le recul, on se dit que
39:12ce n'était pas forcément la meilleure idée. Et pour parer à l'augmentation d'électricité aussi,
39:18aujourd'hui même, on a les techniciens qui sont sur la toiture en train de nous poser des panneaux
39:22solaires pour arriver à maîtriser notre facture d'Energie. Oui, je comprends. On a compris,
39:29ne vous inquiétez pas. Merci Guillaume. En tout cas, on comprend bien que l'idée d'un jour n'est
39:35pas forcément la bonne idée du lendemain. On va conclure très rapidement avec Lydie,
39:41chef d'entreprise chauffagiste. Vous voulez nous dire, Lydie, c'est l'isolation qui prime,
39:46c'est vraiment le plus important. Je crois aussi que, évidemment, le lieu de l'installation,
39:51selon qu'on soit au sud, en Bretagne, au nord ou dans l'Est, ça compte aussi, j'imagine.
39:55Oui, bonjour à tous. Oui, effectivement. Comme le disait votre auditeur précédent,
40:02tout moyen de chauffage peut être bon aujourd'hui, ne sera plus bon dans six mois. Tout dépend de la
40:08conjoncture économique, bien sûr. Mais ce qu'il faut appuyer vraiment, c'est sur l'isolation.
40:13Vous pouvez avoir une maison très mal isolée avec une pompe à chaleur, puisque maintenant,
40:18il n'y en a que pour la pompe à chaleur, qui va vous coûter très cher en électricité. Surtout,
40:23si elle a été posée par des gougnafiers qui ne sont pas chauffagistes, mais juste baratineurs.
40:26Ah oui, il faut ouvrir l'œil. Il faut ouvrir l'œil. Là, il y a tout à voir. Mais bon,
40:31tant qu'il gagne, il continue. C'est ça le problème. Et je disais, vous pouvez avoir deux
40:36maisons côte à côte. Tout dépend aussi de la région. Si vous êtes en bordure d'une rivière,
40:42quand on approche aux bordures d'une rivière ou d'un ruisseau, l'hiver, on perd facilement
40:47deux degrés la nuit. Oui, c'est ça. Chaque situation est vraiment très particulière.
40:52Que vous habitiez dans les Alpes-Maritimes, ou que vous habitiez au fin fond de la Bretagne ou dans
40:57le Nord-Cotentin, on n'aura pas la même... Il faut faire, impérativement déjà, une étude
41:01thermique. On ne peut pas vous poser un moyen de chauffage comme ça, sans avoir étudié auparavant
41:07votre maison, l'état des murs, la conception, est-ce qu'il y a une DNC, quoi que ce soit, et l'énergie.
41:12Il faut vraiment prendre le temps de faire ça avant de choisir son moyen de chauffage. Merci beaucoup, Lydie.
41:17Merci beaucoup, Lydie. On doit malheureusement vous couper, interrompre la discussion, parce que le
41:24temps nous est compté. Jean-Alphonse Richard est déjà en train de piaffer d'impatience. Et je ne voudrais
41:29pas vous quitter ici, au Mans, sans saluer Yohann, qui est là. Bonjour Yohann. Bonjour. Bonjour Céline,
41:35bonjour Vincent. Et pourquoi on accueille Yohann, Céline ? Parce qu'il a une très belle voiture, et ce n'est pas
41:41une blague. On peut l'entendre, la voiture ? Oh, avec la magnifique pépette italienne, comme on dit. Elle est incroyable.
41:49C'est une 4L, aux couleurs d'RTL. C'est votre voiture, vous-même, vous l'avez décorée ?
41:54Tout à fait, oui. C'est ma voiture, que j'ai acquise il y a deux ans et demi, maintenant. Parce que vous êtes un
41:58fan d'RTL. Je suis fan de 4L, à la base. Bien essayé, Vincent. J'ai tenté le coup. Mais je deviens de plus en plus
42:06fan d'RTL. Je commence à avoir l'âge, donc c'est bon. Ça va faire plaisir. Donc, vous avez 28 ans, Yohann, et on est vraiment
42:13ravis de vous accueillir. Exactement. Tout est parti d'une blague. Il y avait un enregistrement des
42:18Grosses Têtes, le 29 août, à Angoulême. Moi, j'habite à côté de Périgueux. Je me suis rendu à Angoulême,
42:24avec ma voiture, floquée avec des magnètes RTL. J'ai écrit à l'adresse mail des Grosses Têtes, en disant
42:30« J'ai une voiture floquée RTL. Est-ce que vous accepteriez de faire une photo avec l'équipe d'RTL des Grosses Têtes ? »
42:35Et depuis, vous nous suivez partout. J'ai été congé, en fait, à venir ici. On vous retrouve sur Facebook ?
42:42Exactement. Renaud 4L Ladybug. Vous me retrouvez sur Facebook. Il y a également une cagnotte Litchi, pour les
42:47personnes qui veulent m'aider à continuer de la restaurer. Encore un petit coup de pépette, peut-être ? Est-ce qu'on peut
42:51la voir assez rapidement ? Parce que ça met toujours un petit peu d'ambiance. C'est plutôt sympa.
42:55Merci à vous, Jusqu'à remercier nos partenaires sur cette opération. Ouest France, Le Mène Libre et la Ville du Mans qui nous accueillent.
43:05Merci à vous tous, surtout, d'être venus nous voir. Ça fait chaud au cœur. Restez, restez, parce que ça continue.
43:13Jean-Alphonse Prichard est là pour l'heure du crime, en direct du Mans, avec une histoire menselle. Jean-Alphonse ?
43:20Eh oui, une histoire menselle. Aujourd'hui, il va faire Frédéric Guittard. À tout de suite.

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