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Mardi 5 décembre 2023, SMART BOURSE reçoit Matthieu Rolin (Co-gérant, Thematics Safety)

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00:00 Le dernier quart d'heure de Smart Bourg chaque soir c'est le quart d'heure thématique.
00:13 Nous allons parler justement ce soir de la gestion thématique en général et du thème
00:17 de la sécurité, de la safety, en particulier avec Mathieu Rollin qui est gérant chez Thematics
00:22 Asset Management.
00:23 Bonsoir Mathieu.
00:24 Bonsoir Grégoire.
00:25 Et vous pilotez notamment la stratégie, le fonds dédié à la safety qui s'appelle
00:28 Safety chez Thematics AM Mathieu.
00:31 Un mot quand même de l'ambiance générale au terme de cette année 2023 pour la gestion
00:38 thématique notamment après une année 2022.
00:40 Je rappelle la gestion thématique assise sur les grandes tendances séculaires, les
00:46 méga trends, c'est des gestions qui sont globales, multisectorielles, appuyées sur
00:53 ces grandes tendances démographiques de consommation, etc. de digitalisation également.
00:59 Plutôt des thématiques de croissance séculaire comme on dit.
01:03 2022 a été une année très dure pour la gestion thématique, peut-être la plus dure
01:08 depuis que la gestion thématique a pris la place qu'elle a aujourd'hui.
01:12 Qu'est-ce qu'on peut dire de cette année 2023 après l'année 2022 qu'on a connue ?
01:17 2022 c'était l'année horrible.
01:19 C'est-à-dire qu'on avait tous les vents contre nous.
01:22 Qu'est-ce qui marchait quand on a vu l'inflation et la hausse des taux ?
01:26 Tout ce qui était value, les matières premières, l'énergie, un peu de financière, les banques
01:31 d'assurance, etc.
01:32 Structurellement, on n'est pas exposé à ce secteur-là, on n'est pas exposé à ce
01:36 type d'entreprise.
01:37 Déjà il nous manquait ça.
01:38 En plus le marché s'est dit, pour financer ces achats, je vais aller vendre les sociétés
01:43 de qualité, bonne visibilité, croissance, tout ce que nous on aime bien, tout ce qui
01:47 fait l'essence de nos portefeuilles.
01:49 Et donc tout a été vendu massivement, sans faire trop attention à la qualité des fondamentaux.
01:54 C'est-à-dire qu'on a eu un mouvement de vente massif, mais que moi quand je regardais
01:58 les fondamentaux de mes entreprises, je me disais, mince, il y a quand même quelque
02:02 chose qui ne va pas.
02:03 Parce que moi les fondamentaux sont bons, mes rythmes de croissance ne sont pas impactés.
02:06 On parlait d'inflation, moi la plupart de mes entreprises, toutes les entreprises de
02:10 mon portefeuille avaient plutôt soit des marges stables, voire en légère hausse,
02:14 parce qu'elles ont ce fameux pricing power, cette capacité à dicter leur prix.
02:17 Donc c'est qu'on était en 2022, une situation un peu ubuesque, où on avait des valorisations
02:22 qui étaient au tapis, on avait enfoncé tous les planchers de valorisation, et des fondamentaux
02:26 qui étaient bons.
02:27 Alors c'est vrai que 2023, moi quand j'ai… alors fin 2022, on regardait ça avec Frédéric
02:32 Duprac et mon co-gérant, et on se disait, bon il y a quand même quelque chose qui ne
02:35 tourne pas rond, donc on a commencé à se repositionner.
02:38 Parce que nous notre métier, et vous le savez, c'est d'investir selon les fondamentaux
02:41 des entreprises.
02:42 On valorise nos entreprises, et quand je regardais les fondamentaux et les valorisations, on
02:45 s'est dit, il y a des affaires à faire.
02:46 Et 2023 nous a donné plutôt raison, parce que depuis le début de l'année, le fond
02:51 est en hausse de quasiment 25%, donc on a bien repris, après une année très dure
02:55 2022.
02:56 Et 2023, ce qu'on revoit, c'est que le marché a en quelque sorte reconnecté les
03:01 fondamentaux d'un côté, toujours très bons, et la valorisation qui était au tapis
03:05 en début d'année.
03:06 Donc on a une revalorisation, ça peut être la cybersécurité, le paiement fonctionne
03:11 aussi bien, la sécurité au travail fonctionne très bien, donc différents sous-thèmes
03:14 comme ça, qu'on développe dans le fond, qui se comportent très bien depuis le début
03:17 de l'année.
03:18 C'est important quand même, parce que ces moments de stress test, je trouve que c'est
03:21 toujours très riche d'enseignement pour la suite.
03:24 Ça permet de tester quand même les convictions et les modèles d'investissement sur la base
03:30 desquels on a construit les portefeuilles.
03:33 Ça permet de valider aussi, tout simplement, que les tendances qu'on a identifiées comme
03:37 étant des tendances séculaires, sont bien des tendances solides qui peuvent justement
03:42 traverser des épisodes comme 2022 Mathieu.
03:44 Alors il faut savoir faire le dos rond.
03:47 C'est vrai que là je suis ravi, j'ai un sourire aujourd'hui, je suis ravi de vous
03:50 voir.
03:51 2022 n'est pas le même.
03:52 Ça a dû trotter dans la tête.
03:53 Ça a trotter, on se met en question, mais l'avantage, c'est vrai que chez Tematics,
03:56 on a un process qui est extrêmement structuré, et nous notre job c'est d'appliquer notre
04:01 process.
04:02 Donc on n'a pas changé notre style d'investissement, parce que si en 2022 on s'était amusé à
04:06 aller acheter des banques, aller acheter des matières premières ou de l'énergie,
04:10 c'était le mieux en moins de se prendre les portes de saloon.
04:11 Ce qu'on a fait, c'est que bien sûr on est resté sur nos entreprises, on a réduit
04:16 la voilure quand on a vu le vent tourner naturellement, on a réduit la voilure.
04:19 Alors quand on regarde dans le rétro, on se dit peut-être pas assez.
04:21 Ça c'est un fait, mais malgré tout on a réduit la voilure certains titres, on a renforcé
04:27 les titres plus défensifs, c'est-à-dire ce qu'on a fait au sein de notre univers
04:30 d'investissement, mais on n'a pas dérogé notre process d'investissement.
04:33 Ce qui fait que depuis le début de l'année, le rebond est là, et ce qui fait que depuis
04:37 la création du fonds, on affiche une perf annualisée de plus de 12%, donc plus de 12% par an,
04:42 ce qui me paraît plutôt pas mal.
04:44 Vous fêtez les 5 ans ?
04:46 Oui, bientôt, dans quelques jours.
04:47 Vous allez fêter les 5 ans pour Thematics et pour les fonds originaux de la gamme Thematics.
04:52 C'est ça.
04:53 Le mois de décembre marque les 5 ans d'histoire.
04:56 C'est l'anniversaire.
04:57 Toujours un track important, effectivement, les 3 ans, les 5 ans, c'est des tracks…
05:00 C'est les étapes fondamentales.
05:01 Exactement, qui sont très regardées par les investisseurs, les partenaires, les clients
05:05 et les distributeurs.
05:06 Qu'est-ce qu'on peut dire en matière d'investissement pour le thème que vous
05:10 gérez, Mathieu ?
05:11 C'est safety et cyber, c'est ça, c'est les deux.
05:14 C'est la sécurité au sens très large.
05:16 Et donc, dedans, il y a aussi la cybersécurité.
05:19 Il y a de la cybersécurité.
05:20 Qu'est-ce qu'on peut dire des perspectives générales du thème safety ?
05:23 Effectivement, je ne veux pas résumer à la cybersécurité, parce que vous l'avez
05:26 dit, il y a plusieurs sous-thèmes et il y a plusieurs segments de marché qui composent
05:30 ce thème de la sécurité.
05:31 La diversification est absolument essentielle dans notre thématique, parce que si on était
05:33 uniquement un fonds cyber, on aurait un biais tech beaucoup trop important, pas assez de
05:38 diversification à la fois des moteurs de croissance, des moteurs de performance et
05:40 des risques.
05:41 Très monosectoriel.
05:42 Je fais une petite parenthèse.
05:43 La gestion thématique, ce n'est pas une gestion sectorielle, ce n'est pas une gestion
05:46 industrielle.
05:47 Un fonds cyber, c'est un fonds industriel.
05:49 Moi, je gère un fonds sur la sécurité.
05:51 J'ai de la cybersécurité, j'ai de la sécurité des paiements, j'ai de la sécurité
05:54 sanitaire, j'ai de la sécurité des transports, de la sécurité de la vie quotidienne et
05:58 de la sécurité du travail.
05:59 J'ai six sous-thèmes qui me permettent d'avoir quelque chose d'extrêmement diversifié.
06:03 Il est vrai que les perspectives sont bonnes.
06:05 Il y a une phrase que j'aime bien dire, c'est que la sécurité, c'est partout, tout le
06:08 temps.
06:09 Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on ne peut pas se passer de sécurité.
06:11 Ce qui veut dire que j'ai en permanence une demande pour les produits, les services fournis
06:17 par les entreprises dans lesquelles je vais investir.
06:19 En ce moment, ce qui marche très bien, c'est tout ce qui est cybersécurité.
06:24 J'ai la chance de revenir d'une conférence aux États-Unis où j'ai pu voir beaucoup
06:27 de patrons d'entreprises, dans le domaine digital principalement, à la fois dans le
06:31 domaine cybersécurité, data center, sécurité des paiements.
06:33 Et on voit que tout ce qui est lié à la sécurisation des données est impulsé par l'intelligence
06:39 artificielle.
06:40 On voit bien que ça, ça crée de nouveaux besoins en termes de sécurisation des données,
06:44 d'accès aux données et de stockage des données.
06:47 J'ai eu la chance de voir une entreprise américaine qui spécialise dans les data
06:51 centers, les centres de données.
06:53 Et le directeur financier me disait si je pouvais multiplier par 4 la vitesse de construction
06:57 des data centers, je le ferais.
06:58 La demande est intarissable.
07:00 Donc on a vraiment des domaines où la demande est très très forte et on traite toujours,
07:06 je dois le reconnaître, malgré l'année 2023 qui a été très bonne pour ces entreprises,
07:10 sur des niveaux de valorisation qui sont toujours très attractifs.
07:12 Donc on a toujours un vivier de valeurs sur 2024 qui vont être toujours extrêmement
07:17 attractives.
07:18 Quand vous dites l'IA est un push pour le thème de la cybersécurité, qu'est-ce que
07:21 ça veut dire précisément Mathieu ? Est-ce que ça veut dire qu'effectivement il y aura
07:25 besoin de sécuriser toujours plus de serveurs dédiés à l'IA, aux usages de l'IA, de
07:31 l'IA générative notamment ? Je rappelle, ce n'est pas l'IA qu'on a inventé en 2022,
07:36 c'est les développements dans l'IA générative qui ont donné une nouvelle dimension aux
07:40 outils générés par l'intelligence artificielle.
07:44 Ou est-ce que c'est l'idée que finalement le développement de l'IA générative multiplie
07:51 le risque d'attaques informatiques dans le monde ?
07:55 En fait, c'est assez bien résumé, c'est à la fois une menace et une opportunité.
07:58 C'est une menace parce que l'IA générative, ça va permettre une chose fondamentale, c'est
08:03 de diminuer le coût des cyberattaques.
08:04 Ça c'est le nerf de la guerre.
08:06 C'est-à-dire qu'avant qu'on ait tous ces développements avec Chatty, Dpt, etc., on
08:10 pouvait quand on était un pirate un petit peu chevronné quand même aller sur Dark
08:14 Web, ce fameux Dark Web, et acheter comme des petits modules de cyberattaques.
08:18 C'est-à-dire qu'il y a des groupes de pirates qui sont organisés comme des multinationales
08:20 et qui vous vendent des modules, vous mettez comme des briques, vous mettez ces briques
08:23 ensemble et ça vous permet de mettre en place une cyberattaque.
08:26 Donc, il faut un peu de connaissances techniques mais on s'en sort.
08:29 Résumons à Chatty, Dpt, l'IA générative, maintenant vous pouvez générer automatiquement
08:36 des lignes de code.
08:37 Alors, quelqu'un comme moi qui ne connaît pas grand-chose, à la limite je pourrais
08:40 presque mettre en place une cyberattaque parce qu'avec cette IA générative, le système,
08:47 l'IA, écrit les lignes de code pour moi.
08:49 Je ne vais pas le dire trop fort mais ça démocratise le piratage informatique.
08:52 Complètement.
08:53 Ce qui veut dire que le coût des piratages, c'est au ras des paquettes.
08:56 Donc, ça devient très facile de mettre en place des attaques.
08:59 Mais ce qui veut dire qu'à côté de ça, la demande pour les solutions de cybersécurité
09:04 va continuer à exploser.
09:05 Parce qu'on voit bien qu'on a à la fois cette évolution technique, technologique
09:09 et puis il y a la réglementation.
09:10 Il y a une réglementation aux Etats-Unis qu'on peut mentionner, vous l'avez certainement
09:13 déjà mentionné, mais qui oblige les entreprises à déclarer au bout de quelques jours quand
09:18 elles sont victimes d'une cyberattaque.
09:20 Imaginez la pression sur les entreprises, parce qu'avant elles le cachaient un peu
09:24 sous le tapis.
09:25 Maintenant, elles n'ont plus le choix.
09:26 La SIC les oblige à divulguer ça.
09:27 Imaginez la pression sur les PDG d'entreprises américaines pour s'équiper en solution
09:32 de sécurité parce qu'ils ne veulent pas faire les gros titres en disant "un tel,
09:36 un tel, un tel a été piraté".
09:37 Donc ce qui fait que structurellement, on a une demande qui va rester extrêmement forte
09:41 pour les années à venir.
09:42 C'est la fameuse croissance séculaire, croissance de très long terme qui s'illuse
09:45 parfaitement dans le domaine de la cybersécurité.
09:46 Et c'est bien perçu de la part des entreprises décorporées comme un investissement.
09:50 C'est plus le côté coût informatique, on a appelé ça sécurité informatique.
09:56 Ça me coûte cher, mon DSI me demande de changer mes logiciels, mes trucs, mes machins.
10:02 Je vais attendre un an de plus, économiser un peu sur ma trésor, je reporte un peu l'investissement
10:07 parce que je vois que c'est un coût et un coût qui n'est pas productif forcément
10:11 pour mon entreprise.
10:12 De ce point de vue-là, le regard des dirigeants d'entreprises, parce que j'espère que ça
10:16 joue au plus haut niveau quand même ce genre de décision aujourd'hui, le regard a changé.
10:19 C'est un bon point, c'est exactement ce qui a changé.
10:21 Ça fait quelques années maintenant, les dossiers de cybersécurité sont tombés sur
10:25 le haut de la pile des PDG, des directeurs financiers, tout ce qui est ce qu'on appelle
10:30 le C-level.
10:31 Alors, Arkema, c'était en effet juste un département IT.
10:34 Maintenant, il y a un petit effet négatif qu'on a vu depuis quelques trimestres, c'est
10:38 que ça rallonge un petit peu les durées de négociations.
10:41 Donc, on a eu quelques entreprises qui d'un trimestre sur l'autre, présentaient des
10:45 résultats un petit peu plus faiblards que ce qui était attendu.
10:48 Ce n'est pas qu'ils aient perdu du business, c'est juste que ça prenait 2, 3, 4 semaines
10:51 de plus parce que c'était le CEO, le CFO qui devait signer.
10:55 Et le temps qu'ils comprennent qu'ils intègrent tout ça, parce que c'est des gros investissements,
10:59 ça prenait un peu de temps.
11:00 Mais voilà.
11:01 Mais en effet, maintenant, c'est une priorité absolue des entreprises.
11:03 Donc, cybersécurité, c'est un thème où vous serez ambitieux, agressif pour 2024.
11:09 Il n'y a pas de raison.
11:10 On l'a été en 2023 et il n'y a pas de raison pour que ça change en 2024.
11:13 Dans les autres thèmes, s'il faut imaginer peut-être l'idée aussi de thèmes autour
11:18 de la sécurité, qu'ils soient des thèmes peut-être un peu moins volatiles ou avec
11:23 un peu moins de bêta de marché.
11:25 Qu'est-ce qui vous intéresse ?
11:27 On a une entreprise, par exemple, c'est une entreprise que j'aime beaucoup, qui s'appelle
11:31 API Group.
11:32 Et API Group, en fait, ils font de l'inspection des installations incendies.
11:35 D'accord.
11:36 Alors, c'est vrai que quand on écoute les économistes, et vous en recevez souvent
11:38 sur ce plateau, 2024 récession par récession, est-ce que ce sera 2025 ? En tout cas, le
11:44 sens est plutôt un ralentissement de l'économie.
11:46 Je crois que tout le monde se met d'accord là-dessus.
11:47 Donc, ça, c'est le genre de business qu'on aime beaucoup, parce que même si demain,
11:50 on a un ralentissement économique marqué et admettons que vous soyez patron d'un hôtel
11:53 ou même d'un immeuble, etc., si vous voulez que cet immeuble, cet hôtel reste ouvert
11:59 au public, qu'on soit en récession, en expansion économique, vous devez faire venir
12:03 une société qui va inspecter les installations incendies, les sprinklers, les détecteurs,
12:07 etc.
12:08 Ce qui veut dire que ce n'est pas complètement immunisé en cas de récession, mais en tout
12:11 cas, c'est beaucoup plus protégé que beaucoup d'autres business en cas de récession.
12:15 Et ça, c'est le genre d'entreprise qu'on aime beaucoup en amont d'un ralentissement
12:18 économique.
12:19 Donc, on trouve de la récurrence quand même beaucoup dans ces business de sécurité.
12:22 On a beaucoup de récurrence.
12:23 On a un autre exemple parce que je sais que Paris est plutôt un problème de rats, de
12:28 puces de lit.
12:29 J'entends ça dans les médias, on a beaucoup de problèmes comme ça.
12:32 On le lit, on le voit.
12:34 On a des entreprises comme Rollins par exemple aux États-Unis ou Rentokil au Royaume-Uni
12:39 qui sont des sociétés de lutte contre les nuisibles.
12:43 Donc, vous avez des rats, des puces de lit, des cafards, etc.
12:46 Vous faites appel à ces genres d'entreprises.
12:47 Vous avez des moustiques par exemple.
12:49 Vous êtes en Floride, une super ville, vous avez des moustiques.
12:51 Vous faites appel à Rollins pour faire partir ces moustiques, pour profiter de la piscine
12:54 et du jardin.
12:55 Sauf que si le mois d'après, vous ne faites plus appel à Rollins, devinez qui revient
12:58 ? Les petites bêtes reviennent.
12:59 Donc là aussi, vous avez une récurrence, une visibilité et c'est rudement efficace
13:03 d'un point de vue investissement.
13:04 Du moustique aux attaques informatiques.
13:07 Voilà, c'est le thème, le spectre du thème de la sécurité.
13:10 Comment vous dites Mathieu, la sécurité c'est partout et tout le temps.
13:13 C'est ça, voilà.
13:14 Des moustiques en Floride aux attaques informatiques.
13:16 Merci beaucoup Mathieu d'être venu nous éclairer sur la gestion thématique et sur
13:20 le thème que vous pilotez plus précisément chez Thématiques AM autour de la sécurité.
13:25 Safety, gérant chez Thématiques à cette manette, Mathieu Rollins qui était l'invité
13:28 du quart d'heure thématique de Smartboard ce soir.
13:31 Merci Mathieu.
13:32 Merci à vous.
13:33 Merci à vous.
13:33 ♪ ♪ ♪

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