• il y a 7 mois

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00:00 [Générique]
00:08 Bonjour et bienvenue sur InvestirTV, notre émission bourse où les gérants viennent nous partager leurs convictions, attirer notre attention sur des valeurs qu'ils apprécient.
00:20 Aujourd'hui c'est Julien Fauvel, gérant actions associés chez Talents Suggestions qui nous a rejoint.
00:25 Bonjour Julien, bonjour. Peut-être deux mots sur votre maison, bien que vous soyez habitué du plateau, j'ai reçu Romain, Régis, Lefort, donc c'est votre tour.
00:35 Mais rappelez-nous ce que fait Talents Suggestions.
00:37 Parfait, un petit rappel en quelques mots. Talents Suggestions, créée il y a plus de 10 ans maintenant, société de gestion entrepreneuriale qui s'est bâtie autour de deux métiers principalement.
00:46 Le premier pôle c'est la gestion privée, donc on conseille patrimonialement plus de 1500 clients.
00:52 Et puis un deuxième pôle c'est la gestion collective avec une gamme de fonds, dont quatre principalement ouverts, l'action, notre expertise historique.
01:01 D'accord, et aujourd'hui vous allez mettre un peu la lumière sur l'argument sur Empreinte Emploi France.
01:06 Exactement, donc qui est un peu notre dernier lancement, donc Empreinte Emploi France, qui est un fonds d'action française et qui a cette conviction d'aller investir sur notre territoire français
01:19 par la contribution à la création d'emplois, donc des entreprises que l'on sélectionne et toute la dimension retombée socio-économique.
01:28 Et donc ça, cette dimension, on la travaille depuis maintenant plus de deux ans avec nos deux partenaires clés, Etifinance et Vertigo Lab.
01:36 Donc deux ans d'investissement, deux ans de R&D. Et puis voilà, pour continuer, c'est notre innovation dans l'investissement responsable.
01:44 Un petit rappel, nous avions lancé en 2016 Talents Épargne Utile, qui investissait sur les petites et moyennes capitalisations françaises.
01:52 En 2020, en plein Covid, nous avions lancé Talents Impact Emploi France, pour justement soutenir les filières et les politiques sociales des meilleurs acteurs en France.
02:01 Et donc là, concrètement, c'est la fusion, c'est la réunion de ces deux fonds pour justement soutenir ces filières stratégiques.
02:07 D'accord, c'est un fonds qui comporte combien de lignes ?
02:11 Donc là, aujourd'hui, on a 43 positions. Structurellement, c'est un fonds qui est bâti autour d'une petite quarantaine de positions.
02:17 Assez concentré, donc ?
02:18 Assez concentré, réparti à peu près sur un équilibre grande valeur et petite et moyenne valeur. On pourra en reparler.
02:26 Et donc voilà, structurellement, une petite quarantaine de positions.
02:28 D'accord. Alors parmi ces quarantaines de positions, vous avez choisi trois, de présenter trois aujourd'hui.
02:32 La première, c'est Le Grand. C'est un des leaders mondiaux du matériel, de l'équipement électrique.
02:39 Alors totalement. Donc là, une société bien connue, Centenaire, qui est basée à Limoges.
02:45 Et donc, c'est pas pour rien que je prends quand même ce secteur industriel qui fait partie des...
02:49 À l'heure où beaucoup de signaux politiques, justement, se réveillent pour réindustrialiser notre pays.
02:54 Relocaliser.
02:55 Relocaliser, réindustrialiser. Donc c'est un secteur qui est fortement pondéré dans le fonds et donc où Le Grand fait partie.
03:02 Donc, vous l'avez dit, un expert des produits électroniques, des systèmes électriques à travers plus de 300 000 produits.
03:09 Une couverture géographique très large. Retenir à peu près 70% des ventes sur l'Europe et les États-Unis.
03:15 Et de plus en plus, une exposition vers des pays à plus forte croissance, comme l'Inde.
03:21 On peut retenir un ADN RSE assez fort, puisque la société a déjà... Enfin, communique depuis 2007 sur ses feuilles de route,
03:29 en se fixant des objectifs, notamment des objectifs sociaux. Et là, on est à la 5e feuille de route en 2023.
03:36 Et retenir également que c'est un maillage territorial assez puissant, puisque la société affiche plus d'une dizaine de sites de production en France.
03:45 Pour information, ils ont une stratégie locale de production à travers les pays. Et donc, c'est à peu près 5 500 collaborateurs en France.
03:54 Vous voyez, c'est ça. Et qui représente à peu près 15% de l'effectif du groupe. Donc une forte conviction, dans le fond, qui est aujourd'hui dans les 10 premières positions.
04:05 — D'accord. Alors au niveau de la valo et du potentiel, parce que quand même, même si les stéthos sont sensibles, ils sont aussi sensibles à la performance.
04:12 Quel potentiel, voyez-vous ? — Alors je suis positif pour 3 raisons, principalement. La première, c'est la politique de M&A qui va continuer, historiquement.
04:22 C'est un groupe qui... — Beaucoup de croissance externe. — Voilà, qui fait pas mal de croissance externe, assez ciblée sur des métiers de niche.
04:28 Donc c'est à peu près 5 par an depuis une dizaine d'années. Donc là, on voit pas de raison que ce trend ne se poursuive pas.
04:36 Et elle a le bilan largement pour le faire. — Et ils s'intègrent bien. Enfin ils choisissent bien, ils s'intègrent bien, ils se surpayent pas.
04:41 Les synergies se réalisent. — Exactement, avec une équipe dédiée. Il y a plus d'une centaine par an de dossiers qu'ils regardent.
04:48 La deuxième raison, c'est la diversification vers des métiers justement à plus fort potentiel. On peut évoquer le segment du data center,
04:57 qui représente 15% des ventes du groupe. Et donc ça, c'est un gisement très fort que le groupe a su prendre justement depuis plusieurs années,
05:05 juste en quelques chiffres. La demande d'électricité pour les data center devrait doubler entre 2023 et 2026.
05:13 Donc vraiment une puissance générée par ce secteur, notamment tirée par les États-Unis, où le groupe a figé...
05:20 — On se rend pas compte, mais l'incontention de nos usages numériques nécessite effectivement des nouveaux data center.
05:25 — Exactement. Et la troisième raison, c'est un peu plus contrariant. C'est l'aspect cyclique de la valeur, je le disais.
05:31 Une exposition forte à la construction. Et donc là, on se positionne dans une optique...
05:36 — Qu'on tire une reprise de la construction. — Exactement.
05:38 — Et puis il y a la construction, et puis il y a aussi toute la rénovation, parce qu'en général, quand on refait un bâtiment, on refait aussi l'électricité.
05:43 — Exactement. Donc là, sur les 80%, effectivement, vous avez à peu près moitié-moitié réno et résidentiel neuf.
05:49 Et donc ça, ça pénalisait le groupe depuis 2 ans. Et là, on est serein sur ces prochaines années, dans l'anticipation d'une reprise de cycle.
05:58 Je précise que c'est un groupe qui a su compenser aussi par son pricing power. C'est à peu près plus de 2% par an depuis 10 ans.
06:03 — Ils arrivent à suivre la flèche de l'éthique. — Donc la valo est justifiée concrètement à peu près 15 fois le V&B.
06:12 — Alors les bonnes perspectives sont pas totalement dans les cours. Les bonnes sont encore bien plus vers les 5.
06:15 — Non, exactement, qui est légèrement décotée par rapport à l'historique.
06:19 — Alors deuxième valeur dans un autre secteur, c'est... Steph, c'est un leader des transports logistiques frigorifiques.
06:25 — Exactement. Donc là, on descend un peu en capitalisation. On est un peu en dessous de 2 milliards sur le secteur du transport,
06:32 de la logistique, sur le segment, le sous-segment de la température dirigée. Donc ce qu'on appelle la température dirigée,
06:39 c'est les produits frais, concrètement. Le groupe est très exposé principalement à l'alimentaire.
06:44 Retenir qu'on peut descendre jusqu'à -25°C pour déplacer des produits. Le frais, on parle entre 0 et 8°C.
06:51 — Oui, il y a le froid positif et le froid négatif. Mais on est toujours entre 4°C et -25°C, quoi.
06:57 — Exactement. Donc là aussi, il y a une société qui est bien connue avec un maillage territorial très très puissant,
07:03 une société centenaire, une société familiale. — Une part d'export importante, ou c'est plutôt très français, Steph ?
07:09 — Alors donc à peu près 60% du chiffre d'affaires est sur la France. Clairement, le cœur du réacteur, je dirais, est sur la France,
07:18 avec à peu près 30% de parts de marché. Donc le grand leader... — Oui, c'est le grand leader.
07:25 — Voilà. C'est à peu près cohérent avec sa part d'effectifs, parce que sur à peu près 22 000 collaborateurs, vous avez 2/3 qui sont en France.
07:31 Donc là, vous pouvez relier avec ce que je disais une deuxième filière stratégique importante. C'est donc le transport et la logistique.
07:39 En France, ça représente plus de 800 000 emplois quand même. Donc c'est un secteur très très contributeur.
07:45 Et Steph, donc je l'ai dit, contribution à l'emploi très importante avec des retombées socioéconomiques qu'on arrive à mesurer,
07:51 qui sont très fortes. Et le deuxième point important pour connaître le groupe et son ADN, c'est donc la gouvernance et son partage de la valeur,
08:00 notamment, puisque le groupe affiche à son capital plus de 18% qui appartient aux salariés.
08:07 — D'accord. 18% du capital qui appartient... Ah oui, c'est... — Exactement. Donc c'est très important. C'est retenir un salarié sur deux.
08:13 Donc c'est nettement supérieur à la moyenne des entreprises qu'on peut croiser.
08:18 — OK. Pareil, Valo, Upside, enfin Potentiel ? — Alors donc Potentiel, deux raisons d'être positifs. Malgré...
08:26 Là, je sais pas si vous avez le cours qui s'affiche, mais une très bonne performance depuis quelques mois. On reste positif.
08:32 La valeur est comprise encore dans notre top 5 des positions, donc grosse conviction. Donc là, c'est une perspective de croissance
08:40 qui va se dynamiser et est crédible au-dessus de 5% par an ces prochaines années pour deux raisons, principalement.
08:47 Organique, avec... On va dire aidé par un contexte moins anxiogène sur la consommation d'enrées alimentaires.
08:55 L'inflation a fait très mal depuis 2 ans, là aussi. Et donc là, un pessimisme quand même assez important du marché.
09:01 Et deuxièmement, c'est... Et tiré également l'organique par le food services, en fin de parlait.
09:07 Et deuxièmement, c'est sa politique du M&A qui se réveille un peu. — Leux aussi, croissance externe.
09:12 — Voilà. Le groupe a fait 12 acquisitions en Europe, en Belgique, aux Pays-Bas l'an dernier. Et ça devrait continuer.
09:18 — OK. Troisième et dernière valeur, donc un autre registre, même si on repasse un peu vers les tas de centeurs, c'est Neurone.
09:26 Donc c'est un leader français des ESN. — Exactement. Donc là aussi, on descend encore un peu en capi autour d'un milliard de tailles.
09:34 Donc Neurone, une vraie success story, je dirais, au sein des technologies. Donc là aussi, troisième secteur...
09:41 — Oui, vous n'êtes pas le seul gérant à l'apprécier. On a pas mal de gens qui viennent ici et qui parlent de Neurone.
09:45 — Oui, je confirme. Donc effectivement, positionné dans le secteur des entreprises du service numérique,
09:51 donc vraiment cette niche des ESN, la société arrive remarquement... Pardon.
09:57 Arrive très bien à surperformer son marché, puisque là encore, en 2023, c'était une croissance à deux chiffres près de 3 fois supérieure au marché.
10:05 — À fond sur l'IA ? — Pas que l'IA. Chez Neurone, on est plutôt sur des fondamentaux solides comme le cloud, je dirais.
10:15 L'IA aussi peut être un contributeur. On en parle un petit peu moins encore. Donc le cloud sur la division infrastructure,
10:22 qui représente à peu près 60% des ventes. Un deuxième sur les applicatifs, un deuxième pôle important.
10:28 Ça peut être tout ce qui est implémentation de ERP ou migration d'SAP, notamment. Et une petite division qui se réveille, je dirais,
10:36 c'est sur la partie conseil, avec près de 300 consultants, sur un groupe qui comprend à peu près 7 000... Un peu moins de 7 000 personnes.
10:43 — Alors très français, où il y a un peu d'export, ou... — Très français. On peut dire que c'est parmi les premiers recruteurs...
10:50 — Justement, en termes de croissance, le marché français est quand même grand et petit à la fois.
10:55 — Oui. Donc ils arrivent à gagner des parts de marché. — C'est sur la part de marché que la croissance s'effectue, même.
11:01 — Mais également aussi des segments qui sont structurellement en croissance. On peut citer leur exposition à la cybersécurité,
11:08 notamment, tout ce qui est analytics ou data. Et puis un point que j'aime beaucoup dans ce dossier, c'est leur capacité à investir un peu plus
11:18 sur notamment le cloud, et en particulier le cloud souverain. Donc ça, c'est quelque chose qu'on va entendre parler de plus en plus
11:25 ces prochaines années. Très peu d'acteurs, il faut savoir, très peu d'acteurs en France ont la certification, ce qu'on appelle SECNUMCloud.
11:32 Donc ça, c'est vraiment une qualification donnée par une agence française qui s'appelle l'ANSI. Donc seulement 4 acteurs en France l'ont.
11:39 Neuron, c'est plus de 10 millions d'investissements dans cette partie. — C'est-à-dire que Neuron, c'est propre d'un certain terme,
11:44 parce que le seul cloud souverain aujourd'hui qu'il met à l'esprit, c'est OVH. — Exactement. Donc ils se retrouvent face à OVH.
11:50 — D'accord. Mais ils ont leur propre d'un certain terme. D'accord. Enfin, leur propre cloud. — À travers la filiale Cloud Temple.
11:58 — D'accord. — Et je reviens sur ce qui fait aussi la particularité de Neuron, c'est sa gouvernance et sa faculté familiale.
12:08 D'avoir mis en place une décentralisation des organes de décision de manière assez remarquable et de savoir cultiver l'agilité...
12:17 — D'accord. — ...et toujours permettre de donner envie, je dirais, aux jeunes ingénieurs de rentrer dans...
12:23 — De les rejoindre, de rester. C'est agile et attractif. — Et attractif dans un métier où il faut bien comprendre que c'est le capital humain
12:31 qui est essentiel pour ces métiers. — Oui, c'est sûr. C'est le cerveau, quoi. — Principalement.
12:35 — Et puis avec un mercato, j'imagine, qui est... On passe de l'un à l'autre. Donc assez facilement. Tous les gens de l'IT que je connais,
12:42 c'est vrai que les changements de boîtes sont assez... — ...sont assez fréquents. — ...signoratisés, quoi.
12:46 — Et on l'a vu après Covid, effectivement, avec des turnovers assez importants. Puis voilà. Et deuxième point, je reviens sur les aspects...
12:55 Ce pourquoi je suis positif. Donc je parlais de dimension de croissance organique. Et c'est... Donc deuxième point, c'est le bilan qui est extrêmement solide.
13:03 Donc une situation de trésorerie nette, complètement, qui est très élevée. On se dirige vers 300 millions à peu près de cash à horizon de la fin de l'année.
13:13 — Donc il faut qu'ils en fassent des choses. Il faut qu'ils achètent. S'ils les achètent, ils se distribuent. Mais ils vont pas laisser 300 millions
13:17 dans les caisses. Ça prend de le court. — Exactement. Et c'est une raison, effectivement, pourquoi le marché aussi est intéressé par cette valeur.
13:24 Donc plusieurs leviers de création de valeur identifiés. Donc une faculté à investir encore plus sur le territoire français et puis peut-être encore plus sur le cloud
13:34 pour rivaliser avec certains concurrents américains qu'on connaît bien. — D'accord. — Une partie M&A qui pourrait aussi se réveiller.
13:43 Donc ils ont l'habitude de faire plutôt des petites acquisitions et de cultiver l'entrepreneuriat, je dirais. Et le troisième levier potentiel serait d'amplifier, je dirais,
13:53 poursuivre la fidélisation de la communauté actionnariale, donc par le dividende ou autre. — Parce qu'il distribue pas, s'il... — Si, si, si. Il distribue.
14:02 Et puis avec une partie exceptionnelle qui pourra intervenir aussi ces prochaines années. En attendant, le cash est quand même placé à bon compte, je dirais,
14:11 et va une nouvelle fois dynamiser le résultat financier cette année. — D'accord. Ah oui. S'ils ont trouvé 300 millions en DAT à 3, 4%, effectivement,
14:19 ça fait un résultat financier intéressant. Pour conclure, du meilleur général, comment voyez-vous les marchés sur 2024 ?
14:25 — Donc si on voit, je dirais, dans les prochains mois, on va dire, à court terme, des potentiels limités... — Jusqu'à l'été, voilà.
14:33 — ...sur les grands indices, principalement, on voit que le marché nous offre quand même beaucoup d'opportunités. Nous, qui avons chez Talens aussi
14:41 une vision assez large en matière de taille de capitalisation, ça, on peut le dire. — Oui. Vous avez pas investi sur les 7 magnifiques, donc il vous reste du potentiel
14:48 en France, quand même. — En tout cas, on l'a fait. Mais on a fait aussi d'autres choix sur des plus petites tailles. Donc des opportunités, je disais.
14:56 Nous préparerons les portefeuilles, on va dire, à l'assouplissement des politiques monétaires, qui pourraient intervenir ces prochains mois.
15:04 Donc on sait pas exactement. Mais en tout cas, on le prépare. — D'accord. — Je pense à plusieurs secteurs qui offrent beaucoup de potentiel,
15:12 qui se sont faits quand même, je dirais, assez massacrés. Ce sont le secteur immobilier, qui est le secteur immobilier. On en parlait un petit peu avec Le Grand.
15:19 Mais même sur une partie plus foncière. Ou le secteur des énergies renouvelables, qui pourrait revenir ces prochaines années sur le devant de la scène,
15:29 avec un assouplissement des conditions financières. Et puis une valeur d'actifs, qui finalement ne bouge pas tellement.
15:38 Donc deux secteurs principalement, que nous avons dans le fonds Empreinte-Emploi France, qui reste sur des tailles assez limitées.
15:47 Mais nous sommes plutôt au renforcement de ces thématiques. Et puis un mot de conclusion sur le fonds Empreinte-Emploi France.
15:54 Donc positif également sur la partie valeur moyenne, donc à condition d'être exigeant, je dirais, sur le stock picking.
16:03 Je vous l'ai dit en introduction, à peu près une répartition équilibrée entre grandes valeurs, donc plus de 5 milliards de capitalisation,
16:11 et 50% sur le gisement inférieur, donc petite et moyenne capitalisation.
16:17 – Ceux qui sont en retard et qui, un jour ou l'autre, rattrapent ou corrigeront.
16:22 – Exactement. Avec bon nombre de bonnes publications. Il n'y a pas que Steph ou Neurone qui arrivent à surperformer le marché.
16:30 Et puis voilà. Et notre ambition ces prochaines semaines, c'est donc de faire preuve de pédagogie sur tout l'intérêt de l'investissement sur ces sociétés
16:42 qui jouent le jeu de l'investissement en France, et dans lequel nous arrivons à évaluer leur retombée socio-économique en France,
16:50 pour développer l'encours de ce fonds. Et puis à notre humble échelle, de pouvoir doubler les encours pour franchir le cap des 100 millions d'euros
16:58 ces prochaines semaines, à ces prochains mois.
17:01 – C'est ce que nous souhaitons. Julien, merci d'être venu nous partager votre expertise. Merci à tous de nous avoir suivis.
17:06 Vous pouvez, en cliquant sur "donnez votre avis", donner votre avis sur les valeurs que nous a présentées Julien.
17:12 Merci à tous de nous avoir suivis. Je vous donne rendez-vous très vite sur Investisseur TV, avec de nouveaux invités.
17:19 [Musique]
17:29 [Silence]