• il y a 8 mois

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00:00 [Générique]
00:08 Bonjour et bienvenue sur InvestirTV, notre émission bourse où les gérants viennent nous partager leurs convictions, attirer notre attention sur des valeurs à potentiel.
00:19 Aujourd'hui c'est Alexis Chébli, gérant analyste chez Gestion 21 que nous accueillons. Alexis bonjour.
00:25 Bonjour Stéphane.
00:26 Peut-être deux mots de présentation de votre maison pour commencer, Gestion 21.
00:30 Gestion 21 est une société de gestion indépendante qui a été fondée en 2007. Nous gérons aujourd'hui à peu près 200 millions d'encours et nous sommes investis sur les actions principalement, uniquement, dans deux thématiques d'investissement précisément.
00:44 La première, les fonds circotés de la zone euro, donc toutes les sociétés dont le business est de détenir du patrimoine et d'en percevoir des loyers.
00:51 La deuxième thématique d'investissement, ce sont les actions françaises, tout secteur confondu, toute taille de capitalisation également.
00:58 Et simplement ce qu'il faut préciser, c'est que notre philosophie d'investissement, c'est la value.
01:03 Donc on investit dans des sociétés qu'on considère décotées, que le cours de bourse d'aujourd'hui ne reflète pas la valeur fondamentale de ces sociétés.
01:12 Alors la value, qu'est-ce que c'est ?
01:13 Ça peut être des secteurs qu'on catégorise comme étant de la value, les bancaires, l'automobile, le pétrole, mais c'est aussi parfois des petits creux de valorisation sur certaines valeurs
01:24 qui peuvent nous permettre d'investir dans des valeurs catégorisées croissance, le luxe, les énergies renouvelables ou encore les semi-conducteurs.
01:31 Parfait, c'est clair. Et de cette thématique, vous nous avez extrait aujourd'hui trois valeurs. La première, c'est Valorec. Pourquoi ? Qu'est-ce qui vous plaît chez Valorec ?
01:39 Exactement. Valorec, pour rappel, c'est un des leaders mondiaux des solutions tubulaires dans les infrastructures énergétiques, notamment le pétrole et le gaz.
01:49 Les solutions tubulaires, ce sont tous ces tubes que vous allez pouvoir voir dans ces infrastructures.
01:54 Les raffineries, les bateaux, etc.
01:56 Exactement. Valorec, pour situer un petit peu, c'est une SMID, une moyenne de capitalisation boursière. C'est 4 milliards de capitalisation boursière à peu près.
02:02 C'est également 5 milliards de chiffre d'affaires avec une partie importante du business réalisé en Amérique du Nord.
02:08 Ce qui nous plaît dans cette valeur, il faudrait faire un petit rappel historique, c'est une valeur qui a beaucoup souffert.
02:14 Oui, c'est volatile.
02:15 C'est très volatile, c'est très cyclique. Elle a beaucoup souffert dans les années 2010 de la baisse des investissements des compagnies pétrolières.
02:22 C'est vrai.
02:23 Donc mécaniquement, quand vous avez une entreprise qui n'est pas profitable et que le cycle se tourne négativement...
02:30 Tout le monde a dit « ouais, ça renforce le côté vicieux du cercle ».
02:34 Exactement. Donc plein de résultats négatifs pendant 7 années consécutives, une dette qui a explosé.
02:38 Il a fallu la restructurer, cette dette, donc il y a eu une augmentation de capital.
02:42 Aujourd'hui, ça va beaucoup mieux. La société est presque complètement désendettée.
02:47 Elle est profitable, elle a délocalisé certaines usines qui étaient en Europe, en Amérique latine pour avoir une meilleure profitabilité.
02:56 La société va beaucoup mieux. Et en plus, elle n'est pas chère.
02:59 Elle se traite environ à 4,5 fois l'EBITDA. C'est le ratio qu'on regarde pour cette valeur.
03:03 Un historique plutôt à 7 fois dans un cycle moyen.
03:08 Et avec des perspectives de hausse du pétrole.
03:10 En plus, tout à fait. Elle va profiter de ces perspectives.
03:13 L'environnement de marché est beaucoup plus favorable que dans cette période que j'indiquais tout à l'heure.
03:17 Et à noter également très important le retour du dividende après 10 ans d'absence.
03:23 Ce qui est plutôt un bon signe.
03:24 C'est un très bon signe. Et nous, on l'estime à peu près pour l'année prochaine à 10% ce rendement de dividende.
03:29 Ah oui ? Ils vont distribuer généreusement.
03:31 Ils vont distribuer généreusement puisque maintenant, il n'y a plus de dettes.
03:33 Sauf si le cours explose d'ici là.
03:35 Le rendement sera un peu plus faible.
03:37 Mais le rendement sera d'autant.
03:40 Deuxième valeur, vous parliez de foncières. C'est une foncière commerciale. C'est Unibail.
03:46 Unibail, un des leaders européens des centres commerciaux.
03:50 C'est à peu près 50 milliards de patrimoine.
03:52 C'est 10 milliards de capitalisation boursière seulement.
03:55 On peut déjà faire un petit ratio.
03:57 C'est essentiellement des centres commerciaux en Europe.
03:59 Il y en a un petit peu également aux Etats-Unis.
04:03 Ce qu'il faut noter, encore une fois, si je fais un tout petit rappel historique,
04:07 les foncières, Unibail compris, mais les foncières de centres commerciaux dans leur ensemble
04:11 ont été très fortement chahutées en bourse.
04:13 Pourquoi ? Il y a eu cette crainte du marché sur le développement du e-commerce.
04:16 Oui, qui est de la consommation.
04:19 Exactement. Redistribuer les cartes de comment nous, vous et moi, consommons.
04:24 Et également la crainte du Covid, puisque comment on allait ressortir du Covid
04:28 dans notre mode de consommation.
04:31 Et puis c'était très endetté. Je les laissais un petit peu, je m'y intéressais.
04:34 Puis je les laissais à un moment où Xavier les faisait rentrer.
04:37 Il y avait un arbitrage entre vendre les centres aux Etats-Unis, les garder,
04:41 faire un problème de financement. Comment ils ont géré ça ?
04:44 Exactement. Tout à fait, vous avez raison.
04:45 C'était la deuxième crainte très importante du marché.
04:47 C'était le très fort endettement qui résultait de la grosse acquisition
04:51 qu'ils avaient faite à l'époque, en 2018.
04:53 Westfield.
04:54 Tout à fait. Donc la deuxième crainte du marché.
04:56 Donc nous, ce qu'on veut faire aujourd'hui, c'est rassurer un petit peu les investisseurs
04:59 sur ces deux points négatifs.
05:01 Le premier, l'exploitation. Donc les craintes sur le développement.
05:04 On voit que les soins commerciaux tiennent, résistent.
05:06 Tout va bien. Au niveau de l'exploitation, nous, les chiffres qu'on va récupérer,
05:10 c'est les chiffres d'affaires des commerçants, donc des boutiques en place.
05:13 Ils sont supérieurs à ceux avant Covid.
05:15 Et c'est la même chose pour les taux d'occupation. Il n'y a pas de vacances.
05:17 Il y en a qui ferment, mais ils sont tout de suite remplacés.
05:19 Exactement. La réalité des chiffres nous rattrape.
05:21 On est à peu près à 95% de taux d'occupation, ce qui est quand même un niveau assez important,
05:25 qui est d'ailleurs celui d'avant Covid. Donc pas de crise à ce niveau-là.
05:28 Et les taux de fréquentation aussi. Est-ce que vous et moi allons au centre commercial ?
05:32 Eh bien, la réponse est oui, puisqu'ils ont...
05:33 Oui, quand on y va le week-end, ils sont remplis.
05:36 Exactement. Et si on parle un peu de valorisation, puisque c'est le plus important,
05:39 une situation qui n'est pas catastrophique, avec des ratios de valorisation
05:42 qui, eux, traduisent justement une catastrophe.
05:44 Donc le marché nous met à 8 fois à peu près les cash flows.
05:47 C'est le chiffre qu'on regarde.
05:49 Historique.
05:50 16 fois. Donc on ne dit pas que ça va retourner à 16 fois.
05:53 16, mais il y a quand même un peu de la marge.
05:55 Le dernier élément important en termes de valorisation, c'est la décote sur l'ANR.
05:58 Donc la capitalisation boursière qu'on va rapporter finalement à l'actif,
06:04 le patrimoine immobilier corrigé de la dette.
06:06 Oui, le foncier, le mur.
06:07 On est à 33% de décote. Donc là aussi, on pense qu'il y a un peu d'upside sur ce titre.
06:11 Ok.
06:12 Un dernier élément peut-être, je rajoute, que j'avais oublié, c'est le retour du dividende également.
06:16 Parce que je n'ai pas parlé du désendettement.
06:18 Oui, parce que les foncières sont plutôt généreuses en termes de...
06:21 Exactement, mais pas une e-buy parce que justement, à cause de ce problème de dette lié à l'acquisition de Westfield,
06:25 ils n'ont pas distribué pendant 3 ans.
06:27 Il revient cette année.
06:28 Donc il est assez faible pour cette année.
06:30 Il est à 2,50€ par action pour un cours à un peu plus de 70€.
06:34 Mais l'objectif du management est de le monter année après année.
06:37 Donc ça confirme déjà une certaine confiance dans l'activité.
06:39 Et en plus, on peut entrevoir...
06:41 Est-ce que c'est pas il poursuit des entités ?
06:42 Je crois qu'il y a eu des accas, des augmentations de capital.
06:44 Il y en avait une assez tôt après l'acquisition de Westfield.
06:47 Mais depuis, c'était la crainte du marché.
06:49 Il y a eu une accas justement qui allait diluer.
06:51 Finalement, ils ont réussi à se désendetter par la thésaurisation, sans distribuer, et par quelques petites sessions.
06:56 Les sessions aux Etats-Unis que vous évoquiez n'ont pas encore eu lieu.
06:59 Mais si elles ont eu lieu...
07:01 Tant mieux, ils n'ont pas vendu à perte.
07:03 Ils n'ont pas eu besoin.
07:04 On avait peur aussi qu'ils soient "fortsellers".
07:06 Bon, finalement, on voit qu'ils ne le sont pas tant que ça, qu'ils ont réussi à désendetter malgré tout.
07:10 Donc ça, c'est très positif.
07:11 D'accord.
07:12 Troisième valeur, un autre secteur qui n'est pas simple aussi, c'est l'automobile avec Stellantis.
07:17 Exactement.
07:18 Stellantis, un mastodonte du secteur de l'automobile.
07:21 C'est 6 millions de véhicules vendus à peu près en 2023.
07:23 C'est né de la fusion entre PSA, Peugeot-Citroën, et FCA.
07:27 Fiat-Escort.
07:28 Fiat-Chrysler, exactement.
07:30 C'est une capitalisation boursière beaucoup plus grosse pour le coup.
07:33 C'est 80 milliards.
07:34 Un chiffre d'affaires de 190 milliards.
07:36 C'est une très grosse société, aujourd'hui.
07:39 Par rapport à la voiture électrique, parce que Tavares freine un peu le côté basculement dans tout électrique.
07:47 Comment ils gèrent ça ?
07:48 Tout à fait.
07:49 Donc ça, c'est une crainte très importante du marché, c'est le développement de la voiture électrique.
07:53 Le marché, le consensus, les investisseurs ont peur que les véhicules électriques soient peu margés, ne soient pas très bien margés.
08:00 Nous, ce qu'on constate dans les chiffres, encore une fois, c'est que la croissance dans le mix du véhicule électrique, aujourd'hui, ne pénalise pas du tout les marges.
08:06 Si vous regardez PSA, entre 2015 et 2019, la moyenne de la marge opérationnelle, c'était 7%.
08:13 En 2022 et en 2023, Stellantis frôle ou touche les 13%.
08:18 Donc on a quand même une marge opérationnelle qui est bien supérieure à celle qu'elle était il y a 5 ans.
08:24 Et le marché, lui, a peur qu'elle baisse.
08:26 Il ne croit pas en la reproductivité de ses résultats.
08:29 Nous, on y croit.
08:30 Pourquoi ?
08:31 Parce que, justement, Carlos Navarrez, on commence à le connaître, a fort objectif de réduction de coûts, variables ou fixes,
08:38 et en même temps, une offensive produit très importante sur l'électrique.
08:41 Et en plus de ça, il favorise les mix qui sont fortement margés, à savoir les segments C qui sont mieux margés.
08:48 Donc nous, on pense que la marge des constructeurs automobiles va rester à ce niveau-là.
08:52 Même par rapport à la pression des constructeurs chinois ?
08:55 C'est le deuxième risque, tout à fait.
08:57 Les constructeurs chinois arrivent assez fortement, il faut l'avouer, sur les marchés qui étaient historiquement traités par les Européens.
09:05 Mais ce qu'il faut dire aussi, c'est que Stellantis a l'avantage de son exposition géographique.
09:10 Ils sont partout.
09:11 Ils sont partout, mais ils sont surtout à 60% de leurs résultats opérationnels dans une zone qui n'est absolument pas touchée par les Chinois.
09:17 C'est les États-Unis.
09:18 Les États-Unis, avec Chrysler.
09:20 Notamment avec Chrysler.
09:22 Et l'autre grande partie du résultat opérationnel de Stellantis, c'est l'Europe.
09:28 Là, effectivement, les constructeurs chinois commencent à venir.
09:31 On voit les voitures BYD, Lyoto un petit peu dans nos rues.
09:34 Pour autant, la part de marché est encore assez contenue.
09:38 Oui, parce que les Chinois sont "dangereux" sur le "full électrique", alors que Stellantis ou Renault sont plutôt sur du "full hybride".
09:45 Exactement.
09:46 Mais surtout, ce qu'il faut préciser, c'est que les constructeurs chinois sur le "full électrique" sont très dangereux en Chine, là où n'est pas Stellantis.
09:53 C'est ce qui nous "rassure" dans cette crainte exagérée du marché.
09:58 Pourquoi je dis exagérée ? Parce qu'aujourd'hui, le PE de Stellantis, c'est 4 fois.
10:02 La moyenne historique sur l'autonomie, c'est combien ?
10:05 C'est à 6, 7, voire 8.
10:07 C'est très cyclique, donc c'est difficile de donner une moyenne historique, mais en tout cas, c'est très plus cher.
10:13 Et distribue Stellantis ou pas ?
10:14 C'est le point très important. Aujourd'hui, la valoration est très basse, mais la génération de cash est exceptionnelle.
10:19 C'est une des boites qui génère le plus de profit. Je parlais de 19 milliards de bénéfices.
10:23 Et distribue, il garde pas en réserve au cas où il y ait un cycle...
10:26 Il distribue. Si je somme le dividende plus le programme de rachat d'actions qui a été annoncé, qui est de 3 milliards d'euros,
10:33 qui est l'un des plus ambitieux du CAC 40, après Total Energy, on a un rendement de dividende qui dépasse les 10 %.
10:39 Vous voyez un peu la value, comment nous, on a percé.
10:42 C'est de l'obligue "highly" !
10:43 Oui, mais il faut que les résultats tiennent sur la durée. Nous, on y croit contrairement aux marchés.
10:48 Parfait. D'une manière générale, comment vous voyez l'évolution de ces marchés sur les prochains mois ?
10:54 C'est une question un peu difficile, elle est un peu large, je dirais.
10:57 Si on part du point tout en haut, sur les indices, notre constat, c'est que les valorisations ne sont pas très bon marché.
11:05 On est sur des niveaux à peu près égaux à l'historique.
11:09 La croissance des résultats, qui est aussi sous-jacente pour 2024, ce n'est pas non plus super exceptionnel.
11:15 Nous, on attend sur le marché européen 3-4 % de croissance des BPA.
11:20 La valorisation, je n'ai pas dit le chiffre, c'est à peu près 15-16 fois les résultats, donc la moyenne historique.
11:25 Mais en réalité, et c'est ça qui nous rend beaucoup plus enthousiastes, c'est qu'il y a deux réalités du monde.
11:31 Il y a les boîtes pas chères du tout, donc les boîtes value, j'en ai mentionné trois, mais il y en a beaucoup d'autres,
11:37 qui, elles, se traitent avec des niveaux de décote très importants par rapport à leur historique long terme.
11:42 Donc si je prends les deep value sectors, je suis à peu près à 7 fois les résultats contre un historique à 10 fois,
11:48 30 % de décote par rapport à mon historique.
11:50 Et si j'enlève de cet indice qui, lui, se paye l'historique ces secteurs très value,
11:54 en fait, je me paye une prime par rapport à l'historique.
11:56 Donc nous, ce qu'on veut faire, notre conviction, c'est d'investir dans des sociétés value.
12:00 D'accord, parce que la moyenne est haute quelque part, avec le luxe en Europe et puis aux Etats-Unis, les fameux sets magnifiques.
12:06 Exactement, et toutes ces sociétés-là de croissance se payent évidemment avec une prime par rapport à leur historique long terme.
12:10 D'accord, il faudrait faire deux indices presque séparés, pour bien avoir une clarté.
12:13 Exactement, et c'est le problème de cette moyenne qui regroupe à la fois des sociétés qui se payent une prime par rapport à leur historique
12:20 et des sociétés qui sont, elles, en décote par rapport à leur historique, c'est que ça cache la vraie réalité,
12:24 qu'il y a un accroissement des spread de valorisation entre la croissance et la value.
12:28 Donc nous, on est pour la value.
12:30 Et je rajouterais aussi une autre catégorie qui nous intéresse beaucoup,
12:33 ce sont les SMID qui ont beaucoup sous-performé ces dernières années.
12:36 Oui, on reçoit pas mal de présidents, de patrons de sociétés cotés, SMID, Small Cap, Mid Cap, effectivement, ils souffrent.
12:42 Ils souffrent tant au niveau opérationnel, mais aussi surtout sur leur compte-bourse.
12:46 Surtout sur leur compte-bourse, sur le skill opérationnel.
12:47 Comme vous dites, il y en a qui souffrent plus que d'autres au niveau opérationnel, mais certains se portent bien opérationnellement,
12:52 mais le cours est massacré.
12:54 Donc pour nous, c'est une thématique à avoir en tête pour l'année 2024 et également un peu plus loin.
12:58 D'accord, il y aura un rattrapage, on ne sait pas quand, mais ça sera 2024-2025, de toute façon, depuis le temps, ça va finir pareil.
13:03 Il faut faire quand même attention à bien sélectionner ses valeurs, puisque certaines, effectivement, souffrent beaucoup sur la chaîne de logistique.
13:08 C'est très hétérogène, vraiment stock picking.
13:09 Stock picking très important, donc je vous parlais de Valorec, il y en a d'autres aussi dans notre besace,
13:13 mais j'en ai mentionné que trois aujourd'hui.
13:16 Eh bien, vous viendrez donc nous reparler de trois autres prochainement.
13:18 Merci Alexis, en tout cas.
13:20 Merci à tous de nous avoir suivis.
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13:27 À très bientôt sur Investisseur TV avec de nouveaux invités.
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